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Olivier, prof soumis

Chapitre 4

Erotique
J’ouvris le message. Aussitôt, je me trouvais face à une nouvelle photo de Jennifer, insolemment nue, les cuisses grandes ouvertes, la poitrine magnifique, sourire aux lèvres. Mon oreille restait rivé au bruit de la douche tandis que je contemplais ce corps de rêve.
Elle s’appelait Jennifer, mais n’avait rien de la gagnante de la star-académie. Elle était blonde, le visage clair, les cheveux mi-longs et naturellement ondulés. Son nez était parfait, partant d’une base fine, longue, qui venait s’ouvrir harmonieusement au-dessus d’une grande bouche dont la lèvre supérieure était sournoisement mince et l’inférieure exquisément pulpeuse. Et que dire de ce corps, qu’elle avait grand tort de dissimuler en temps normal sous des frusques sans élégance. Les bras étaient fins, comme les cuisses, les seins volumineux sans être disgracieux, et parfaitement tenus par des épaules bien marquées. La taille était parfaite, idéale. On n’aurait pu en rêver de plus adéquates. Jennifer souriait d’un grand sourire faussement innocent.
Sentant à nouveau l’excitation monter en moi, et guettant toujours les bruits de la douche, la main sur la souris, prêt à faire disparaître le message, je lus — en sentant les pulsations de mon cœur tambouriner sous mes tempes — le texte qui accompagnait la photo.
« si vous êtes sage, si vous êtes obéissant, voilà le cadeau auquel vous aurez droit............... tu devais être tout excité, en rentrant chez toi ce soir, hein ?....... c’est ta femme qui a du en profiter, la salope.................. je suis sûre que tu l’as sauté....... je veux que tu me racontes et si tu l’as pas encore sautée, alors mate bien ma photo, et va lui faire sa fête....... d’ailleurs, vous pouvez même le refaire encore une fois...... regarde mes nibards..... je suis sûre qu’elle en a pas des comme ça, de nibards, hein ?..... regarde-les bien et va la retourner dans le noir.... avec un peu d’imagination, tu pourras croire que c’est les miens.... je suis sûre que vous allez y arriver....... »
Je ne pouvais que m’exaspérer — réflexe professionnel oblige —, de l’alternance, au sein même d’un unique message, entre ses « tu » et ses « vous » hésitants. Mais, je ne sais pourquoi, ils eurent le don d’exciter mon désir.
Et puis à nouveau, je percevais la puissance inexplicable de cette jeune fille. Bien que je sache qu’elle abusait, qu’elle outrepassait les convenances, je ne pouvais m’empêcher de me sentir en quelque sorte « de son côté ». Comment le dire autrement? J’avais envie de lui faire plaisir. Après tout, quel risque y avait-il, puisqu’elle n’en saurait jamais rien ?
Excité par ce corps pâle, c’est donc ce que je décidais de faire en sentant mon sexe se redresser dans le slip que j’avais renfiler avant de quitter la chambre. J’affichai à nouveau sa photo au centre de l’écran, et la dévorais pour m’imprégner de ses formes sensuelles. Puis, après m’être assuré en fermant les yeux à plusieurs reprises que j’en avais bien mémorisé les contours, tous les contours, je glissai avec un peu de regret le mail dans la corbeille, vidais la corbeille et éteignis l’ordinateur.
J’éteignis aussi la lumière en pénétrant dans la salle de bain, ce qui arracha un cri à Nicole, encore sous la douche.
– C’est moi, ne crains rien.
– Mais qu’est-ce que tu fais ?…
Puis je retirai mon slip et ma chemise dans la pénombre, ouvrit le panneau coulissant et me glissai sous la douche.
– Hé bien, toi! s’étonna Nicole. Tu es en pleine éclosion, en ce moment!
Le mot me fit rire intérieurement et, dans le noir, je me collais à elle, sous le jet d’une eau trop chaude qui maintenait à l’intérieur de la douche une obscurité encore plus dense. Sans un mot, je commençais à couvrir Nicole de baisers, en sentant mon sexe qui, en se raffermissant encore, caressait en remontant l’intérieur humide des cuisses de ma femme.

– Hum, Olivier… Il faudrait que ce soit la rentrée tous les mois… Avoue, c’est une petite nouvelle qui te met dans cet état ?… Tu sais, je pourrais comprendre… Tu restes un homme, après tout. Tu me le dirais ?
– Bien sûr que je te le dirais, voyons… lâchai-je, sans conviction.
Puis, comme répondant à mon désir, elle se retourna contre le mur, fit tomber la culotte en soie qu’elle avait gardé sur elle, et s’appuya de ses mains bien ouvertes contre la vitre embuée. J’attrapai alors aussitôt ses seins à pleines mains par derrière, en venant placer d’un mouvement de rein mon membre entre ses deux fesses, le long de sa raie. Je commençai à la peloter, en fermant les yeux, m’imaginant encore les seins superbes de Jennifer sur la photo, que je revoyais parfaitement, aussi bien que son sourire encourageant. Nicole glissa la main derrière elle pour attraper ma queue trop raide.
– Avoue… Elle est comment ?…
– Qui ça ?
– Tu sais très bien de qui je veux parler, Olivier. Ta petite nouvelle.
Elle se mit à me masturber lentement le long de la raie de ses fesses. J’étais à deux doigts de perdre tout contrôle.
– Elle est… c’est une jolie brune…
– Hum… Avec de jolis seins ?
– … Oui, de beaux petits seins…
– Hum…
Nicole augmenta un peu la cadence.
– Et tu aimerais pouvoir la baiser ?… Tu peux me le dire, tu sais… Je suis prête à tout entendre.
– Oui… j’aimerais beaucoup la baiser…
– Alors, tu n’as qu’à penser que c’est elle, là, sous la douche, avec toi, susurra-t-elle d’une voix excitée. Tu vas me sauter en pensant à elle, d’accord ? Réfléchis, elle n’en saura jamais rien, de toute façon. Jamais rien.
Et elle fit pénétrer mon sexe entre ses lèvres parfaitement lubrifiées.
– Hum… Olivier… Regarde comme tu me fais mouiller !
C’était vrai. Bien qu’à l’intérieur de son vagin, je ne sentais que vaguement mon membre. La sensation était douce et frustrante en même temps. Nicole poussait de petits gémissements, tout nouveaux, des « oh oui, oh oui » que j’entendais pour la première fois dans sa bouche.
À chaque poussée de mon membre au fond de son sexe, mon ventre venait s’appuyer contre ses fesses mouillées, me rappelant le cul superbe que Jennifer me tendait dans la salle de cours.
– Vas-y, saute-la, cette petite salope !
Je me mis à les défoncer rageusement, ces fesses, jusqu’à arracher à Nicole des cris de plaisir rauques, qui se transformèrent graduellement en hurlements aigus venant claquer contre le carrelage de la pièce comme des étincelles dans l’obscurité.
– Défonce-la ! Défonce-la !
Ces cris résonnaient encore en moi le lendemain alors que je garais ma voiture sur le parking réservé aux enseignants, à l’arrière du lycée. La séance de douche avait plu à Nicole, et elle avait voulu que nous remettions ça ce matin-même, après une bonne nuit de sommeil. Mon désir semblait inextingible en ce moment, j’étais donc trop heureux qu’elle y réponde, et qu’elle devance même mes appels. Nous nous étions donc retrouvés sous la douche encore une fois, elle me demanda de la lécher, longtemps, à genoux dans le bac entre ses cuisses sous le jet bouillant, puis elle me demanda de me masturber à nouveau devant elle en me décrivant dans le détail cette soi-disante petite brune à l’origine de mon réveil sexuel, et de ne venir en elle que tout juste avant d’éjaculer, ce qui eut pour effet de lui provoquer un orgasme aussi fulgurant qu’inattendu.
En quittant la douche, je me sentais un peu honteux, mais Nicole, espiègle, me rassura tout à fait en me confiant que cela l’excitait terriblement que je lui fasse part de mes fantasmes de « prof ». Je ne voulais pas la décevoir en lui avouant que jamais je n’aurais osé fantasmer sur une élève — en tout cas pas jusqu’à cette rentrée —, je préférai donc répondre d’un silence laissant entendre que ce n’était pas la première fois.
Alors que je sortais de la voiture, j’aperçus Jennifer qui attendait, sur un des plots de l’entrée du bâtiment administratif, dans un manteau trop grand pour elle, et soigneusement boutonné. Elle se leva et se rapprocha, sans la moindre gêne. Mon sourire du matin tomba aussitôt.
– Alors ? Vous ne répondez toujours pas à mes mails ?
– Quel mail ? voulus-je feindre.
– C’est ça, tu me prends pour une conne ?… Je connais les hommes comme toi, tu sais, je les reconnais au premier coup d’œil.
L’assurance de sa voix, de son attitude, me déstabilisa un peu. Elle enchaîna aussitôt.
– Et toi, tu as besoin d’être dressé. Et je suis là pour te dresser.
– Mais qu’est-ce que vous racontez, je…
– Tais-toi !
Son ordre résonna en moi comme une gifle. C’était moi le prof, c’était elle l’élève, et pourtant, elle me giflait, même si ça n’était que d’un mot. J’aurais dû réagir, reprendre immédiatement le dessus, remettre les choses à leur place. Mais si je ne bougeais pas, c’est que je ne pouvais qu’admettre, intérieurement, que la façon dont elle me traitait ne me laissait pas indifférent, que cette façon, inconnue, me plaisait. Mais ce constat, cet aveu d’impuissance, me déstabilisait plus encore.
Elle reprit plus bas, voyant du personnel sortir de l’école.
– Tu as fait ce que je t’ai demandé ?… Tu as maté ma photo et tu as été sauter ta gentille petite femme ?…
Devant mon hésitation, elle s’énerva.
– Alors ? Réponds ! Tu me fais perdre mon temps. Tu l’as sautée oui ou non ?
– Oui… lâchai-je à contre-cœur.
– Et tu as aimé ?
– Oui…
– Elle a aimé ?
– Oui, avouai-je avec encore moins de voix.
Elle changea brusquement d’attitude, se fit douce en se rapprochant pour passer sa main derrière ma nuque.
– C’est bien, c’est même très bien. Regarde.
Et elle ouvrit légèrement son manteau, dévoilant son corps nu, tout à fait nu sous le seul vêtement qu’elle portait pour venir en cours. Elle jeta un coup d’œil aux alentours, sur le parking et vers l’entrée.
– Tu peux mater, nous sommes seuls, murmura-t-elle. Je vais m’arranger pour que tu puisses te branler sur moi, pas sur une photo. Mais pas tout de suite. Même si je sais que tu en as envie.
Je restais magnétisé par son corps de reine.
– C’est trop triste que tu doives te servir de ta femme… Écoute, pendant la pause de midi, je serai dans les douches des filles du gymnase. Il n’y a personne, le midi. Tu auras tout ton temps pour te branler sur moi en vieux cochon que tu es. Alors tu as intérêt d’être là. Tu auras le droit de toucher, mais juste un peu. C’est compris ?
J’acquiesçai d’un mouvement de tête mécanique en avalant ma salive, les yeux rivés sur son sexe dénudé sur le parking du lycée.
C’est alors qu’un autre prof gara sa voiture juste à côté et sortit précipitamment de son véhicule, alors que la sonnerie de début de cours retentissait.
Aussitôt, Jennifer referma soigneusement son manteau, avant de me lancer d’une parfaite voix d’élève :
– Je vous assure que ce n’est pas ma faute, monsieur Travant. J’avais bien dit à ma mère de l’acheter. Je vous promets de l’avoir pour la semaine prochaine, le livre, juré.
– Bien bien… ça ira pour cette fois… balbutiai-je.
Puis, lorsque le prof se fut éloigné, Jennifer partit de son côté elle aussi.
– Et n’oubliez pas, monsieur Travant ! À midi !

(<i>PS : merci à mes premiers lecteurs et lectrices pour leurs gentils commentaires. Jennifer me demande de préciser qu’elle m’a donné l’ordre de répondre à chacun des auteurs de commentaires lorsqu’il laisse son adresse mail. C’est une nouvelle mission qu’elle me confie, et que je tenterai d’honorer du mieux que je peux, même si j’ai encore plus honte de devoir faire cette chose parfaitement humiliante…</i>)
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