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Oncle John

Chapitre 3

Orgie / Partouze
Résumé des épisodes précédents.Invités par l’oncle John, le couple de Jérémie et Jessica lui rend visite. Très vite, Jessica flashe sur John et Jérémie accepte qu’elle l’utilise comme sex-toy, mais ils font un pari qu’elle n’y arrivera pas. Elle y arrive trop bien et à trois, ils font une partie chaude. Très amoureuse, Jessica lui promet un réveil dont il se souviendra en remerciement de sa largeur d’esprit. L’ennui, au réveil, il n’y a plus personne et la promesse envolée. Il la retrouve en train de se faire labourer par John.
Le récit de JessicaDepuis que j’ai vu John, je ne sais pourquoi, mais je flashe sur lui, à la sortie de la piscine, quand je l’ai vu en caleçon de bain et surtout ce qu’il cachait, chaque fois que je le regarde, j’ai une bouffée de chaleur qui me tord le bas-ventre. Hier, quand il est venu me faire de l’ombre sur mon popotin qui prenait la couleur de la tomate et qu’en me redressant, j’ai vu un serpent qui sortait de son slip, heureusement que Jérémie était de retour, sinon je ne suis pas sûre que ma main n’aurait pas voulu l’apprivoiser. Je crois que j’ai été sauvée par le gong. Jérémie me propose gentiment de calmer le coup de soleil avec de la crème post-coup de soleil.
Cela fait beaucoup de biens et me détend de sentir ses mains douces sur ma peau un peu brûlée, mais je n’ai pas envie qu’il voie mon cul qui est presque trop brûlé et je m’oppose à ce qu’il descende mon slip, je n’ai pas envie qu’il voie que j’ai une inondation au sous-sol, il pourrait penser je ne sais quoi.
Mais il insiste et d’autorité, il me descend le slip, sans s’attarder sur l’état d’humidité et l’odeur de mouille que mon minou doit émettre. Il me fait remarquer que c’est justement là qu’il faut bien mettre de la crème, la peau étant rouge vif.
Il me demande des explications et je suis franche avec lui en lui disant que j’ai fait du nudisme, pensant que John s’était retiré dans son bureau et qu’il a avait eu tout loisir de me contempler pile et face et qu’heureusement qu’il était arrivé, car quand j’ai vu un python qui dépassait du caleçon de bain, j’avais une furieuse envie de l’apprivoiser, même s’il était bien vieux. Un morceau pareil, on n’en voit pas tous les jours.
À la suite de mes explications, mon chéri me fait une drôle d’explication en m’affirmant qu’il n’est pas jaloux de mon sex-toy et que si je prends John comme un sex-toy, il n’a pas lieu d’être jaloux.
Il me met au défi d’arriver à séduire son oncle. Il ne sait pas ce que j’ai vu quand il m’a observée quand il me faisait de l’ombre et que son serpent guignait au-dessus du slip de bain, là il prend un gros risque de me laisser toute latitude.
Devant cette possibilité qui couvre mon fantasme d’en essayer une vraie grosse queue. Je lui avoue mon fantasme et simultanément, une envie folle de faire l’amour débridé et lui depuis qu’il reniflait l’odeur de ma chatte en chaleur n’hésite pas et plonge, affamé, entre mes cuisses et me sert un cunnilingus incroyable, à croire que d’imaginer John en train de me faire l’amour le booste à mort.
Complètement exténués, on s’endort, repus d’amour pour nous réveiller le lendemain, encore un peu fatigués, enfin moi, je n’ai pas encore tout à fait récupéré le décalage horaire.
Je ne sais si c’est exprès, mais Jérémie à la place de me garder, part avec l’homme à tout faire de la maison pour aller chasser, me laissant seule avec John, à croire qu’il veut tester si je suis capable et s’il pense que je ne vais pas tâter du saucisson américain, il me connaît mal et surtout que John ne m’a pas l’air désintéressé de la chose à voir la façon qu’il me regarde.
John, après avoir fait amener des en-cas, me propose de voir l’album de famille américaine. Je mets tout contre lui et on commence à feuilleter et je vois sa femme défunte, elle a une certaine ressemblance avec Jérémie. En la voyant, une ombre de tristesse passe sur son visage, d’instinct, je me mets sur mes genoux (il est grand) et je le serre dans mes bras et l’embrasse tendrement pour chasser son chagrin et il m’assoit sur ses genoux en m’entourant de ses grands bras et ses mains pressent mes fesses contre lui. Je suis toute troublée, j’ai l’impression d’être une petite poupée fragile entre ses bras et cela m’émeut horriblement.
Respirant un bon coup, il me dit que mon parfum lui rappelle mon épouse décédée et que cela le trouble et d’un coup, je sens un morceau de bois croître contre ma cuisse. Il me murmure dans l’oreille. « Tu réveilles des souvenirs puissants et j’ai envie de toi, laisse-moi me souvenir du corps de mon épouse » et il me soulève et me couche sur le canapé en m’enlevant ma petite culotte, je ne me débats pas au contraire. J’ose lui dire que je suis aussi très troublée par sa force.

Il met sa tête entre mes jambes et commence à me laper avec vigueur, c’est moins appliqué qu’avec Jérémie qui en a la médaille d’or, on voit qu’il n’a plus pratiqué depuis longtemps, mais c’est comme le vélo, cela ne s’oublie pas et rapidement, je pars dans le bonheur de voir mon rêve enfin se réaliser. Une fois m’avoir bien fait jouir, il se relève et me confie que ce n’est pas dans ses habitudes et qu’avec sa femme, elle n’y avait droit qu’à son anniversaire et quelques fois à Noël.
Là, pour égaliser, je lui apprends que Jérémie, lui par contre, est un as dans le broute-minou.Sans attendre, je mets à jour ce qui m’intéresse et le débarrasse de son caleçon et ne peut m’empêcher de goûter à son sucre d’orge. Dire que je fais la difficile avec mon chéri, je crois que je suis une vraie débauchée, j’ai un peu des remords, surtout qu’un morceau de viande pareille, le mettre dans la bouche, ce n’est pas trop dans mes capacités de le faire longtemps sans me décrocher la mâchoire.
J’arrête de le sucer et il comprend que son morceau est trop difficile à assimiler, il se lève et se met en face de mes cuisses. L’instant de vérité est arrivé, je vois que son monstre prêt à s’attaquer à ma petite minette, j’angoisse un peu, vais-je réussir à absorber une telle montagne de viande dans mon petit chez-moi. Il me rassure qu’il va y aller doucement.
Enfin, les lèvres de ma minette sont doucement écartées avec fermeté, il promène son monstre de haut en bas, effleurant mon pistil avec tendresse puis lentement comme promis, il s’enfonce dans ma grotte. Ouf ! C’est du gros, je suis pratiquement écartelée, cela fait un peu mal, car j’ai abondamment joui quand il m’a brouté mon bijou, la descente au paradis se poursuit lentement, je n’ai pas de douleurs, que du bonheur, enfin il est au fond, je sens que son bâton frappe à la porte de ma nursery. Je vois les étoiles dans le ciel à travers le plafond. C’est à ce moment-là que je vois mon chéri, se dirigeant vers la salle de bain d’une drôle de démarche et criant de ne pas nous déranger et qu’il va prendre une douche. John qui ne l’avait pas vu commence à paniquer et envisage même de ne plus niquer. Ce qui ne ferait pas mon affaire, je le calme en l’encourageant à continuer ce qu’il avait si bien commencé.
Juste à ce moment, Jérémie arrive en annonçant qu’il a perdu son pari et qu’on peut poursuivre ; mais il bande comme un satyre et pendant que John continue à me faire du bien, je ne peux m’empêcher de lui prendre sa gaule, elle est quand même plus facile à mettre en bouche. On sent que le plaisir arrive presque en même temps pour les trois, Jérémie m’envoie une bonne rasade de jus de pruneau et comme j’arrive à jouissance après avoir crié comme une perdue, machinalement je ressers mes dents et là, j’ai failli lui couper le tuyau, il a eu juste le temps de le retirer.
Et John, comment a-t-il vécu cela ?Depuis que je suis allé à Chicago, je n’arrête pas de me passer en boucle l’image de ma belle nièce. Je réalise que mon veuvage ne m’a pas coupé les idées et alors que je pensais être calmé de ce côté, cela revient en force.
Hier, alors que j’avais dit que j’allais un moment dans mon bureau contrôler quelque chose, quand je suis revenu, elle dormait en plein soleil, complètement nue. Je sais en Europe, le nudisme dans certaines régions est passé dans les mœurs, mais pas ici, dans le biblebelt1. Avec tous les grenouilles et crapauds de bénitier, cela ne passerait pas.
Son cul, qui probablement n’avait pas trop l’habitude d’être au soleil, prend une couleur un peu trop vive. Je me place pour que Phébus ne lui grille pas trop le popotin, ce qui ne m’empêche pas d’admirer le reste, la descente de reins, sa peau satinée. D’un coup, elle se réveille, peut-être dû au manque de soleil et sans s’en rendre compte, se tourne et me présente son intégrale beauté. Des jolis petits seins presque de jeune fille, bien en place, un ventre sans vergeture, un buisson pour faire semblant de cacher ses trésors, mais on voit clairement deux lèvres que je dirais gonflées. Du coup, c’est un coup de clairon, un réveil en fanfare, mon slip devient indigent et incapable de contenir ce qu’il devrait et cela guigne par en dessus. La coquine a le regard scotché sur mon appendice qui prend l’air quand mon neveu rentre de sa promenade.
— Ouf ! Je crois que je l’ai échappé belle, à voir son regard de dévoreuse, il s’en est fallu d’un poil qu’elle goûte à ma saucisse de Strasbourg.
Elle a l’air un peu mal à l’aise comme si elle s’était fait prendre la main dans le caleçon. Après lui avoir demandé de s’occuper de son coup de soleil, je les laisse, je pense qu’ils sont de toute façon encore fatigués du voyage.Le lendemain, longtemps avant qu’ils ne se lèvent, je demande à mon homme de main de faire une partie de chasse et de ne pas trop se presser pour rentrer, j’aimerais traiter quelque chose avec ma nièce par alliance.Il me répond avec un sourire de connivence,
— De combien de temps avez-vous besoin ?— Je ne sais pas, environ deux heures peut-être trois. Cela dépend en fait d’elle.— Bien je ferai comme Monsieur désire.
Je sais qu’il m’en veut encore un peu d’avoir dessalé sa femme à la mort de la mienne, mais c’est de l’histoire ancienne. Une fois les deux partis avec force de fusils de chasse, je demande à notre cuisinière de nous servir du café dans une cafetière et puis de s’occuper de sa cuisine. Nous dégustons notre café et moi je me demande comment amener le sujet, je vois ses yeux de gourmande qui me fixent avec désir, mais j’ai de la peine à me lancer, c’est une pente savonneuse.J’ai une idée, on pourrait commencer par l’album de famille, cela nous permettrait de nous rapprocher. On s’installe sur le canapé et je lui montre le début du ranch quand j’étais encore célibataire et toute mon équipe, ensuite notre mariage avec Lucy et mon premier enfant qui est parti pour Boston et dont je n’ai plus eu de nouvelles, il m’a fait savoir qu’il était fâché après moi, car je n’étais permis de regarder ce qu’il y avait dans le décolleté de sa femme en me traitant de pervers, j’ai su plus tard que mon épouse n’avait pas été très discrète sur mes incartades.
Le deuxième s’est fait tuer dans cette connerie de guerre du Vietnam. Les pages tournent et on arrive quand Jérémie est venu, c’est là que je remarque, ce que je n’avais jamais vu, qu’il regarde Lucy de manière amoureuse, ce fût une belle époque, on aurait pu croire qu’elle avait fait table rase de mes infidélités et qu’est-ce que j’en ai profité, juste avant que ce putain de cancer me la ravisse. D’un coup en me rappelant ses souffrances dans les derniers jours, j’ai les larmes qui me montent aux yeux. Je ne devrais plus voir ce putain d’album, cela me remue trop.
Compatissante, Jessica se met à genoux sur le canapé et m’entoure de ses bras et me fait un gros câlin, Dieu que c’est bon de la sentir contre moi, je la prends et la soulève comme une plume et la pose sur mes genoux et je la serre de reconnaissance contre moi pour cet instant de compassion.
Quand tout à coup, je sens émanant d’elle la même odeur que quand ma femme avait besoin d’un gros câlin, ça sent la chatte en chaleur, d’un coup ma fusée à tête chercheuse se redresse violemment, cela fait longtemps que je n’ai plus senti de près une femme qui demande. Je ne peux me retenir et je la prends pour la coucher sur le canapé sur le dos, je lui enlève son slip et même elle y participe, il faut que je goûte ce plat que je n’ai plus eu depuis si longtemps.
C’est bon, je crois bien qu’elle apprécie aussi ma prestation, je la vois qui se trémousse comme une folle, elle me gicle carrément sur la langue, je ne me souviens pas qu’avec Lucie, il y avait une telle passion, ce petit pain aux lèvres bien gonflées, un délice, moi qui renâclais à le faire.
Quand enfin repus de sa jouissance, je me redresse, j’ose lui avouer que si par le passé, je ne le faisais qu’aux anniversaires et éventuellement à Noël j’avais pris beaucoup de plaisir à la déguster, même si je ne suis pas très adroit dans ce domaine.
Là, elle m’affirme que son Jérémie est champion olympique dans la discipline du broutage de minou, mais pour le reste, c’est un peu moyen et qu’elle allait me rendre la pareille.
Je me souviens que Lucie n’arrivait qu’à peine avec sa bouche à la Julia Robert, à enfourner ma queue, là, je demande à voir. Mais c’est pas mal, elle sait se servir de sa langue la petite, même si elle a de la peine à me gober le gland et il ne faut pas s’imaginer aller plus loin. Finalement après une grimace marquant la difficulté de me faire plaisir de cette façon, je me dis que le moment est arrivé de lui faire sentir au bon endroit ce qu’il faut, je l’étends sur le dos, mais avant, je la débarrasse de sa robe et je la veux nue pour moi. Elle a l’air un peu effrayée devant ce qui se présente devant sa moule et me demande de faire doucement.
Évidemment, je ne suis quand même pas un monstre pour me plonger comme une brute dans ce joli coquillage. Lentement, je présente mon sexe et parcours le sien, jouant un peu avec son bouton d’amour puis je me laisse descendre dans son puits. C’est bien graissé ou huilé, ça rentre sans difficulté, mais le plaisir de sentir quelque chose de comme neuf, bien serré, je pense qu’elle apprécie, car elle ne râle pas, au contraire, il me semble qu’elle vient au-devant de ce qui la défonce.
Je suis un peu pris de remords vis-à-vis de mon neveu, je nique sa femme, je suis un salaud, mais c’est trop bon. C’est alors que je le vois pressé d’aller sous la douche avec l’excuse que la chasse, cela fait transpirer.
À priori, la façon dont il marche, on dirait qu’il a fait dans sa culotte, mais cela me coupe mes moyens, je n’ai pas envie d’entendre les mêmes reproches que m’a servis mon fils aîné.Mais Jessica ne l’entend pas de cette oreille, elle en veut pour son compte. Elle m’assure qu’il n’est pas jaloux et qu’il faut que je continue. Comme elle me le dit et pour confirmer, Jérémie sort de la douche avec un peignoir, affirmant qu’il a effectivement perdu son pari. Il n’a vraiment pas l’air fâché et il bande comme un fou, je suis sûr qu’il doit être plus dur que moi. Jessica compatissante lui attrape la queue et commence à la sucer pendant que je la lime d’importance, on arrive en même temps à l’orgasme, peut-être Jérémie un petit peu avant. Quand on est jeune, on part au quart de tour.
Après cela, la journée s’est bien déroulée et les jeunes sont repartis se coucher pour absorber la fin du décalage horaire. Après avoir vu les actualités et ma série préférée, je vais aussi me coucher, sans me laver, je veux garder cette bonne odeur de jeune mouille pour m’endormir heureux.
Je fais un rêve merveilleux, quelqu’un s’est glissé sous mon duvet et s’occupe de mon matériel matrimonial, mais ce n’est pas un rêve, je soulève le duvet et vois Jessica acharnée sur mon pieu qui s’est bien redressé. Sans attendre, elle vient me chevaucher, un vrai rodéo. Elle en veut, elle part deux ou trois fois quand d’un coup, la porte s’ouvre et apparaît Jérémie, à moitié fâché.Je lui explique que Jessica avait besoin d’un petit câlin et que je n’ai su résister, d’autant plus qu’elle ajoute que quand elle s’est réveillée, il dormait si bien qu’elle l’a laissé dans ses rêves, mais qu’elle avait besoin d’un câlin ce qu’elle est venue chercher ici. « Tu es fâché ? » lui a-t-elle ajouté.
— Un peu, ce matin, tu m’avais promis de me montrer comme tu m’aimais, c’était un peu décevant, je m’attendais à mieux.
C’est là que j’ai voulu sauver ce qui pouvait être sauvé en lui affirmant que je n’avais pas encore joui en elle. Le fin renard m’a proposé que je m’occupe de sa bouche d’en haut pendant qu’il s’occuperait de celle d’en bas. Il m’a bien eue, je n’aime vraiment pas le goût du sperme, surtout le mien qui est un peu rance à mon goût, peut-être pas à celui de Jessica, mais moi non, ce n’est pas ça. C’est vrai qu’elle n’a pas voulu que je me vide dans son minet, car elle savait que ce n’était qu’un petit entre-acte alors je lui ai rempli la bouche. Elle n’a pas bronché et a avalé, mais l’odeur reste. Alors je leur ai dit d’aller dans leur chambre, que j’étais fatigué. On a bien le droit à mon âge, même si ce n’était pas vrai et que j’aurai bien pu encore la sauter allégrement jusqu’à plus soif, mais si elle avait promis, elle devait tenir ses promesses.La démonstration de son amour
Sitôt de retour dans la chambre, c’était loin de l’ambiance de la veille, elle faisait la gueule des mauvais jours.
— Salaud, tu n’aurais pas pu attendre un peu, tu m’as cassé mon cou. Tu étais pourtant d’accord que j’utilise John comme sex-toy. J’ai même demandé qu’il vienne dans ma bouche pour pas que mon minou soit pollué quand je reviendrais, mais je n’avais pas fini.
Là, je tombais des nues. J’avais pourtant l’impression d’avoir eu l’esprit large et positif, mais j’avais peut-être ouvert la boîte de Pandore. Maintenant que je l’avais laissé goûter à une super queue, peut-être que la mienne lui était insuffisante ? J’étais devant un sacré dilemme, je n’avais pas envie de renoncer à elle, mais elle qu’est-ce qui en était ? Est-ce John passait de sex-toy à quelque chose de différent, où à terme j’en serai exclu ?
— Je ne te comprends pas, qu’est-ce qui se passe ? Tu me parles comme à une merde alors que je me suis montré compréhensif vis-à-vis de ton fantasme !
Et je sors en claquant la porte, vraiment fâché ou tout au moins donnant l’impression. Je vais de ce pas dans la chambre de John, j’aimerais voir ce qu’il convient de faire dans ces cas, s’il a du sentiment pour elle, si on se dirige vers un divorce, etc.Je lui explique mon problème et lui demande ce qu’il en pense.
— J’ai beaucoup de plaisir à baiser avec elle, mais ce n’est que du sexe et de voir son attitude, ça me refroidit un peu. Finalement, que cela se passe ici, c’est peut-être une bonne chose, car moi, je ne veux en aucun cas ton malheur, tu es mon héritier dans la mesure de la légalité, à mon connard de fils, je ne veux rien laisser et si tu te décidais de déménager ici, je te passerais mon ranch. Donc tu vois. Mais imagine que ce soit arrivé avec quelqu’un de mal intentionné, je pense que cela se serait terminé mal pour les deux. Évite de laisser ta femme prendre des amants de son choix, c’est trop dangereux ou alors, agis de sorte que tu ne le saches pas, mais jamais ouvertement comme tu l’as fait maintenant, elle pourrait te mépriser pour faiblesse de caractère et penser que tu ne l’aimes pas assez pour tolérer ceci.— Mais je lui ai bien expliqué que si c’est comme un sex-toy, je n’ai pas à être jaloux et je ne le suis pas, mais j’ai l’impression que maintenant, tu es plus qu’un sex-toy dans sa tête et ça, cela ne me convient pas.— C’est compliqué les femmes, vois Lucie, je n’ai jamais pensé que vous aviez couché ensemble et c’est toi qui me l’as appris. Elle n’a jamais osé me l’avouer et c’est très bien comme cela. Cela oblige une certaine retenue vis-à-vis de son conjoint, je ne sais comment elle aurait réagi si j’avais implicitement donné mon accord.— Je vois en fait, je ne vois pas très bien comment me sortir de ce pétrin.— Pas facile, si tu ne mets pas le holà, elle voudra encore plus et si tu le mets, elle t’en voudra tout court et si tu t’en sépares, je ne sais pas si tes sentiments sont très forts ou faibles, mais apprête-toi à souffrir.— Je pense que je vais faire de la manière suivante et soit elle accepte, soit on casse. Je vais lui proposer que je sois toujours le premier et que je ne remets pas en question qu’elle ait du plaisir avec toi, mais qu’avec toi et toujours avec mon aval, autrement j’arrête avant de souffrir trop. Qu’est-ce que tu en penses ?— C’est une chose à essayer, pour ma part, c’est un peu vexant de devoir dépendre de ton bon vouloir, mais si cela peut sauver ton ménage.— C’est pas un frein vis-à-vis de toi, mais d’elle. C’est pas toi qui es allé la relancer cette nuit, mais elle qui a déserté la couche matrimoniale. Enfin, je ne sais pas si c’est la bonne manière, je ne suis pas jaloux de toi, mais j’ai peur qu’elle prenne de mauvaises habitudes en dehors. C’est une bonne manipulatrice avec moi et j’ai peur de me faire avoir.— Tu as raison, il faut mettre des garde-fous clairs et nets et je te remercie de me permettre d’être encore utilisé comme sex-toy, me dit-il avec un grand sourire.— Comment présenter tout cela, il faut que j’y réfléchisse, un mot, de pas assez ou de trop, peut rompre de délicat équilibre.— J’ai comme idée que le mieux serait de faire un tour avec Samuel, cela te donnera peut-être la solution et de lui laisser un peu le temps de mariner sur son attitude. Au pire, je vais voir si elle a envie de recommencer, c’est aussi une indication puisque tu n’es pas jaloux. Je n’irai pas la chercher je te promets, mais si elle vient, on aura une longue discussion de ce qui sera peut-être plus qu’intéressant.
Sur ces conclusions, il appelle Samuel :
— Samuel, Jérémie a un problème de cœur, j’aimerais que vous alliez vous promener pendant un moment pour réfléchir à la situation, je vais essayer de mon côté de résoudre un peu le problème.
Cela fait demi-heure qu’on est parti à cheval, ce qui favorise la réflexion sur soi, mais malgré tout, je m’imagine mal la suite, enfin on s’arrête au bord d’une rivière à deux pas d’une petite cascade.
— Alors, dites-moi ce qui ne va pas.
Je lui explique en gros que j’ai donné une certaine licence à ma femme si elle voulait avoir une aventure avec John, mais que cela devait rester seulement sexuel, elle a été troublée par la vue de son gros sexe et elle semble accro à ça.
— Hé bien ! Cela me rappelle un peu mon histoire avec mon épouse. Ce ne fut pas facile, elle visait de divorcer pour le marier au décès de Lucie. Cela ne fut pas facile aussi pour moi, car évidemment au sortir d’un décès très difficile, il avait besoin de réconfort. J’ai fait idem parce que j’aime beaucoup John, mais passé un certain stade, j’ai eu un peu la même discussion je suppose que tu as eu avec lui. Là, il m’a rassuré, en aucun cas, il envisageait de se remarier, mais que ma femme lui avait été d’un grand secours, mais il pensait que maintenant il pouvait s’en passer, mais peut-être si cela ne me gênait pas, de temps en temps, il aurait besoin d’un peu de tendresse.
... J’ai accepté et ma femme, malgré ses rêves envolés d’être sa femme a accepté de temps à autre lui délivrer, pour son plus grand plaisir, un peu de tendresse. Mais avec le temps, c’est devenu de plus en plus rare et pour se faire pardonner, elle devenait de plus en plus aimante. Du reste si tu veux te venger, je te la prête volontiers, j’aime voir quand elle a du plaisir.
— Merci, tu me suggères de faire la même chose ?— Non, mais à chacun sa solution. Je suppose que John va lui tenir un peu le même discours et si l’objectif de ta femme n’était pas uniquement sexuel, d’apprendre que tu as des vues sur une autre femme va lui changer peut-être sa façon de voir.— C’est que je suis très amoureux de ma femme et je ne sais pas comment cela se passerait.— Avant de prendre une décision sur la suite, attends donc si John a réussi à démêler le nœud de serpents. Tu ne veux pas prendre un bain dans la rivière avant de rentrer, cela lui laissera plus de temps pour trouver.— Pourquoi pas, mais je n’ai pas de costume de bain.— Moi non plus, mais on se met tout nu.— Je croyais que dans cette région, dès qu’on voit un nu on le brûle comme suppôt de Satan et en plus on a pas de linge pour se sécher.— Pour le linge, pas de problème, il suffit de se laisser sécher et pour être pris en faute, encore faut-il qu’il y ait des témoins et là, il n’y a jamais personne. — Bon si tu le dis.
En se déshabillant, je m’aperçois qu’il bande comme un âne, serait-il de la confrérie de la jaquette fendue ? De l’armée des cougne-pets ? Finalement devant son érection, je renonce à me baigner, mes problèmes personnels me suffisent et je le lui dis.
— Dommage, d’habitude les nanas ont un faible pour les hommes qui s’aiment entre eux, cela les fait un peu fantasmer.— Non, sans façon, je veux gérer un problème à la fois et en principe, c’est pas ma tasse de thé.
Après qu’il se fut séché au soleil, ses illusions coupées, on rentre tranquillement et en arrivant, il s’enquiert si je suis fâché, je lui réponds non, on a bien discuté que je le remercie de son soutien et que sa seconde proposition simplement ne rentre pas dans mes habitudes.
De retour au ranch, je vais directement dans la chambre de John et je les retrouve les deux toujours en grande discussion. Je ne remarque pas d’odeur suspecte. Il l’a vraiment entreprise pour savoir ce qu’il y a. Voilà à peu près son résumé.
Peu après ton départ, elle est venue me rejoindre en pensant avoir un complément et finir ce qui était si bien commencé, elle a commencé à me caresser l’entrejambe, mais je l’ai arrêtée tout de suite en lui disant qu’il y avait un problème avec moi et qu’il n’était pas d’accord avec sa conduite, que c’était déplorable avec un si gentil mari d’être aussi vache avec.
Elle a ouvert de grands yeux, surprise de ma réaction. Je lui ai clairement demandé comment elle voyait la suite. Sans rien changer, m’a-t-elle déclaré, j’aime Jérémie, mais j’aime aussi ton sexe et j’ai de la peine à choisir et mettre les priorités.
Je lui ai demandé si elle se rendait compte que j’étais très fâché contre elle.
— Ah ! Bon ! Pourquoi ?— Tu ne te rends pas compte ? Tu as un mari qui accepte que tu aies des relations extra-conjugales avec moi sans poser de condition, il te laisse faire et tu le traites plus bas que terre. Tu lui promets un réveil radieux et tu viens te faire mettre à la place et quand il se plaint, tu l’envoies sur les roses.
... Cela ne me plaît pas, j’aime beaucoup Jérémie ; ne joue plus jamais ce petit jeu avec moi. J’ai eu du plaisir avec toi, mais ce n’est pas indispensable. Je préfère le voir heureux que de te donner et prendre du plaisir avec toi ; à mon âge, c’est moins contraignant. Maintenant que je t’ai expliqué, explique-toi que se passe-t-il dans ta petite tête de linotte.Là elle essaye de m’amadouer en jouant la vamp.
— Laisse ça tranquille et explique-toi !— Mais il n’y a rien à expliquer, c’est comme cela.— Alors tu sais ce que tu risques ?— Non, je ne vois pas.— Il m’a parlé de divorce, cela t’arrangerait ? Évidemment tu aurais tous les torts, car ce n’est pas lui qui est en faute ; les vacances seraient pour toi abrégées et tu reprendrais l’avion le lendemain. C’est vraiment cela que tu veux ?— Mais je pensais que tu pourrais m’aider, voire m’épouser.— Non, n’y compte pas. Je sais que pour les femmes, le chiffre vingt est très attirant et marque une limite idéale, mais cela ne va pas.— Comment quatre-vingts ?— Oui, un mari de plus de quatre-vingts ans qui a un compte en banque de plus quatre-vingts millions et qui a des pulsations cardiaques de plus de quatre-vingts à la seconde.
... J’en ai parlé avec Jérémie, il veut bien que je fonctionne encore comme sex-toy comme c’était prévu au départ, mais pas plus et avec son autorisation et je pense qu’il ne veut pas que tu agrandisses ton champ de connaissances avec d’autres sex-toys humains. Il m’a parlé qu’il veut te proposer un pacte de conduite à venir pour ne pas divorcer, réfléchis bien et si tu l’aimes comme tu dis, je l’accepterai.
— J’avais pas vu les choses sous cet angle. Ce que tu ne sais pas c’est que la première fois entre nous, on a eu des rapports non protégés et quand je lui ai dit que je risquais de tomber enceinte de toi, tu ne sais pas ce qu’il m’a dit ?— Non, je ne vois pas.— Que c’est pas grave si c’est ton fils, car il sera plus beau que si c’est le sien. Il m’aime trop.— Je connais pas de femmes qui ont eu la chance d’avoir un mari comme lui et par bêtise, tu risques de le perdre. Reprends-toi et ne sois pas complètement idiote, parce que je n’aime pas les idiotes qui n’ont pas un brin de jugeote.— Comme tu veux, mais je t’aime aussi.— Moi pas, certes, j’ai du plaisir en baisant avec toi, une toute jeune, mais pas plus.— Là maintenant, tu ne veux pas me baiser en les attendant.— Non, j’aimerais d’abord savoir ce qu’il a décidé et je t’ai dit que je ne te baiserai qu’avec sa permission expresse.
Peu de temps après, tu es arrivé, je lui ai fait la morale en lui disant qu’avec un mari trop gentil, ce serait idiot de sa part de le perdre. Maintenant, la décision vous appartient.
— Je ne sais pas encore sous quelle forme je vais le mettre, mais il y a une chose qui est certaine, c’est que John sera ton seul sex-toy humain. Maintenant, est-ce que je veux tout autoriser ou ne rien savoir ? Les deux ont des avantages et des inconvénients, mais dans les deux cas, je veux être ton maître si tu acceptes ce pacte et si j’ai une exigence, quelle qu’elle soit, elle devra être satisfaite sans rechigner.— Je crois que j’ai assez informé Jessica pour que vous puissiez en discuter tous les deux dans votre chambre, j’ai deux trois choses à régler aujourd’hui.
Le pacteEn arrivant et pour essayer de m’attendrir, elle a bien essayé de se faire calmer sa minette par mes soins, ce n’est pas que je n’en avais pas envie, mais je me rendais bien compte qu’après, il faudrait faire des concessions.
— Laisse ça tranquille pour le moment. Je veux garder les idées claires. — Mais qu’est-ce que vous avez les deux ? Aucun ne veut me faire plaisir ce matin.— En me levant ce matin, c’était mon idée et très fortement, malheureusement tu te faisais bourrer ailleurs, tu peux comprendre que cela ne m’a pas plu, surtout avec ce que tu m’avais promis le soir précédent.— Bon d’accord, j’ai fait tout faux ce matin, mais ne m’en veux pas trop. Je t’aime !— Je ne te rappellerais pas le bon mot de Cocteau si je ne me trompe :— Amour et toujours la frime riche de la langue française.
Sans attendre, je prends un papier et je commence à écrire notre pacte.
— Pacte entre Jérémie comme maître et Jessica sa soumise.
Déjà là, elle m’interrompt :
— Pourquoi tu veux mettre maître et soumise. C’est pas nécessaire.— Si c’est pour bien marquer nos futures relations puisque les relations simples ont été ridiculisées par toi, je tiens à mettre clairement les choses pour continuer notre vie ensemble.
Je reprends l’écriture :
— Moi Jessica soumise, accepte de me soumettre à tous les désirs de mon maître, sans exception et à le satisfaire du mieux que je peux. En cas de manquement, je sais que la punition sera de plus en plus dure. En particulier, je ne forniquerai avec d’autres personnes qu’avec l’autorisation express de mon maître Jérémie, mon époux, chaque fois renouvelée ou sous ses indications.— Fais-le...— Tu veux dire quoi avec cette phrase ?— Que tu ne seras pas libre de forniquer comme tu le désires, mais que comme je te l’autoriserai ou que je désirerai. C’est pourtant simple.— Et tu as prévu quoi comme punition en cas de manquement ?— Tu verras bien, mais tu peux être sûr que ce ne sera pas du gâteau, surtout si c’est fait volontairement dans un esprit frondeur.— Et si je ne signe pas ?— Je crois que John te l’a expliqué. C’est le divorce et retour en Europe par le premier avion. Ce sera dur pour moi, c’est clair, mais pour toi encore plus. Enfin je ne suis sûr avec une jolie femme qui est avide de sexe, tu peux t’en sortir.— Mais je ne suis pas comme cela, j’ai eu un fantasme, mais un seul et tu étais d’accord. Toi, tu n’en as jamais eu ? C’est vrai que tu ne m’en as jamais parlé.— Un de mes fantasmes, c’est que je ne sois pas obligé d’agrandir les portes pour pouvoir passer la tête avec les cornes qui dépassent et là tu viens de le briser.— Mais tu m’avais permis tu te souviens ?— Oui d’avoir un sex-toy, mais pas de passer après, ce qui a été le cas. Trêve de discussions, tu signes ou tu ne signes pas ?— Je peux réfléchir jusqu’à quand si j’accepte ?— Disons une heure où je te laisse le temps de me prouver que je ne fais pas une connerie en te proposant ce pacte qui ouvre beaucoup de portes, même si j’en garde le contrôle. Top chrono !
Sur ces mots que je pensais fort, elle me répond :
— Où est ma valise ?— Pourquoi ?— Je ne peux accepter ce dictât, dictât qui ferait de moi ton esclave, ce n’est pas du tout équilibré. Je ne me suis pas marié avec toi pour être ton esclave. Je préfère le divorce à l’esclavage.— Alors comment tu aimerais que ce soit écrit ?— C’est pas difficile, tu supprimes les mots « soumise » et « maître » et tu ajoutes la même chose en intervertissant toi et moi. Ça je peux l’accepter.— Tu as raison, ce serait mieux. Je l’accepte.— Viens que nous fêtons notre réconciliation.— J’ai un fantasme, que j’annonce pour voir sa réconciliation.— Oui ? C’est quoi ?— J’aimerais faire l’amour avec une Indienne, par exemple la femme de Samuel.— Exclu, éventuellement que tu l’utilises comme garage à bites, mais pas lui faire l’amour.— C’est bien ainsi que je le pensais.— Alors tu ne lui lécheras pas son garage ?— Il faut bien préparer avant l’utilisation et c’est bien là mon principal atout. C’est comme si je te disais, tu ne bénéficieras pas de l’introduction du vit de John, tu le suceras seulement. Tu n’y verrais que de te distendre les mandibules sans en avoir du plaisir.— C’est vrai tu as raison. Je te permets si je peux encore avec John.— Seulement si on n’a pas quelque chose en suspend entre nous. Je ne suis pas d’accord de jouer à cinq contre un de dépit, pendant que tu t’éclates avec un autre.— Finalement, notre discorde, c’est qu’une question de se concerter, on est bien d’accord là-dessus. Je te promets que je ne te ferais plus jamais le coup de ce matin, je te réveillerai plutôt.— Je suis d’accord, maintenant, il ne te reste plus qu’à tenir ta promesse d’hier soir avant le souper, alors que c’était prévu pour le réveil et on récrira à deux mains ce contrat à la suite.
Elle remet sa valise au placard et commence à se déshabiller. Vraiment, je suis un con, dire que j’ai failli perdre ce trésor pour une question d’amour propre. Elle est belle ma femme et surtout son odeur de chatte en chaleur me grille les neurones, je crois que je ne pourrais jamais m’en passer, mais ça, il ne faut pas qu’elle l’apprenne.
— Tu viens me préparer, je sais que tu aimes me lécher. La promenade avec Samuel, suivie de la discussion entre John et Jessica la moule et moi j’adore quand tu le fais.
Là, je m’en donne à cœur joie et je me rassasie, quand je sens ses lèvres gonflées me distribuant son jus divin, je ne sens plus ma joie, surtout quand de ma langue j’agace son bouton d’amour et que je la sens partir.
— Viens maintenant j’ai besoin de te sentir en moi.
Me glissant dans son nid d’amour, je remarque que contrairement à précédemment, c’est nettement moins serré, je dirais qu’il y a du jeu, mais qu’importe, je me sens bien dans cet étui chaud et accueillant et rapidement je sens l’excitation me prendre, sans qu’elle ait manifesté des signes de jouissance comme avant, zut qu’importe, j’ai envie de jouir, tant pis si elle n’a pas son pied et sans perdre plus de temps, je jouis à fond, la laissant insatisfaite.
— Excuse-moi, mais depuis le temps que j’étais en attente, j’ai pas eu la possibilité de me retenir.— Est-ce que tu serais fâché si j’allais prendre un complément chez John ?— Pas tout de suite, tu ne veux pas essayer de réveiller mon instrument de plaisir.— Je veux bien.
Mais le cœur n’y est pas, ni d’un côté ni de l’autre, j’ai eu ce que je voulais, sa moule odorante à m’en péter les moustaches et le reste est un peu anecdotique.
— Je vois qu’il n’y a rien à faire. Vas-y et reviens-moi vite, peut-être que je serai prêt pour continuer d’ici là.— Tu ne seras pas fâché si je suis pleine de son plaisir ?— Pas plus que lui quand il va devoir faire avec le mien. Il n’est pas interdit de se laver après usage.— Tu es un amour, vraiment je crois qu’on était en train de faire une belle connerie les deux en voulant se séparer.
Après son départ vers la douche, je sors me rafraîchir les idées et je croise Samuel.
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