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Oncle John

Chapitre 4

Orgie / Partouze
Résumé des chapitres précédentsInvités avec sa femme Jessica, par John, l’oncle de Jérémie, ils se rendent dans son ranch. Très vite, Jessica flashe sur John dont elle a pu observer qu’il était un homme à femmes bien pourvu par la nature. Jérémie autorise Jessica de l’essayer comme sex-toy. Il s’éloigne pour lui permettre de vivre son fantasme et en rentrant, il constate qu’ils sont bien occupés, il reconnaît sa défaite et ils finissent en une partie à trois. Elle lui promet en remerciement un réveil en fanfare, mais au réveil, le lit est vide et vite il retrouve Jessica en pleine action et il menace de divorce, mais finalement ils arrivent à un accord, elle peut continuer, mais elle tolère qu’il se donne du bon temps avec la femme de Samuel, l’homme à tout faire de la maison.
Vive les Amérindiennes.
— Tu es un amour, vraiment je crois qu’on était en train de faire une belle connerie les deux en voulant se séparer.
Après son départ vers la douche, je sors me rafraîchir les idées et je croise Samuel.
— Alors, cela s’est bien passé ?— On peut dire cela, finalement il fallait qu’on s’explique, je lui ai dit que tu m’avais proposé ta femme et que j’allais accepter, c’est toujours d’actualité.— Je ne lui en ai pas parlé, mais comme Indienne, elle est assez soumise, donc cela ne devrait pas faire de problème. On y va ?— Pas tout de suite, on va d’abord faire quelques pas si tu veux, discuter un peu.— Oui, sans problème, j’ai rien d’urgent maintenant, mais viens, on va dire à ma douce qu’on va faire quelque pas et qu’en rentrant je lui réserve une surprise. Alors, je suis curieux, raconte un peu.— En premier, je lui ai présenté un pacte pour en faire une femme soumise, mais elle n’a pas accepté et a commencé à faire sa valise en me disant qu’elle préférait le divorce à l’esclavage, ce qui ne m’arrangeait pas ; je lui ai ensuite demandé ce qui la gênait. Sa réponse a été tout à fait logique entre deux personnes normales, elle voulait la suppression de mention de maître et d’esclave et que ce que j’avais énuméré comme devoir pour elle, elle voulait que je les énumère aussi pour elle.
Ne voulant pas la perdre, c’est moindre mal.
— Tu as bien fait, elle est vraiment très jolie et là tu aurais perdu.— C’est un peu ce que je pensais, mais quand on s’est lancé dans les câlins, si pour le cunni, il n’y avait pas de problème, quand je l’ai prise, j’avais l’impression de baiser une poupée gonflable, si ce n’est que ce n’était plus comme avant, les chairs étaient relâchées, c’est avec peu de plaisir que je lui ai éjaculé dedans.— Comme je t’ai dit, j’ai connu cela, c’était bien pareil à l’époque où John se faisait plaisir avec mon épouse. Tu comprends pourquoi je préfère l’anus à la minette.— Oui, mais depuis le temps, cela a dû se raffermir. Enfin, j’espère, car autrement c’est vraiment désolant si je dois me concentrer sur sa turbine à caca.— C’est aussi pas mal, j’ose t’affirmer qu’elle va rapidement repasser de poupée gonflable à quelque chose de plus vivant. Tu le lui as déjà fait ? En fait je ne crois pas et il faut le faire avec technique, tu veux que je te montre ?— Avec ta femme ?— Par exemple ou si tu as peur d’un impair, avec la tienne, je peux la préparer et te prêter quelques petits gadgets bien utiles.
— Je ne suis pas sûr qu’elle apprécie ton intervention.— Bon on va rentrer et je te laisse faire le côté pile et quand vous vous êtes bien fait plaisir, je te montrerai comment procéder.— Cela me convient.

Le cassage de cul
En rentrant, je vois que Jessica n’est toujours pas rentrée, elle prend vraiment du bon temps, alors pourquoi pas moi. On se dirige vers les appartements de Samuel où son épouse nous attend.
— Il ne me reste qu’une heure de pause avant de commencer le repas du soir. Alors qu’est-ce que tu as de nouveau inventé Samuel ?— Anna, voilà, Jérémie, il est malheureux, son amour est en train de se faire entreprendre par John, c’est pas qu’il soit jaloux, mais après c’est plus la même chose, il a l’impression que c’est comme de la viande morte. Tu te souviens comme c’était.— Oui, en ce temps-là, j’avais encore des illusions et beaucoup de plaisir, mais qu’est-ce que je peux faire ?— J’ai dit à Jérémie que tu serais d’accord de le consoler et le rassurer que le phénomène de la viande morte n’est pas définitif.— Vieux vicieux, tu veux que je couche avec lui et tu veux regarder te connaissant pour ensuite me visiter le fondement.— Tu as tout deviné.— Je ne dis pas non, cela me changera de tes habitudes de sodomite. Comment me trouves-tu Jérémie ? Je me souviens quand madame était encore là, vous étiez très proche les deux, très très proches, je l’ai quelques fois enviée, mais à l’époque j’avais des vues sur John, mais il n’a pas voulu de moi pour remplacer madame, tu penses qu’il veuille le faire avec ta femme ?— Non, pour lui, c’est juste sexuel et je pense que pour ma femme aussi quoiqu’on ne sait jamais, elle a l’air drôlement accro à son saucisson, qui il faut le dire, est remarquable.— Montre-le-moi, comment tu es et je te dirai si tu as une chance de t’en sortir.— Mais il faut que ce soit des deux côtés, j’aimerais aussi t’admirer et tes vêtements ne permettent que d’admirer ton visage, mais le reste est vraiment peu visible.— S’il n’y a que ça !
Joignant le geste à la parole, elle fait passer sa robe de travail par-dessus sa tête et apparaît tout à fait nue devant mes yeux. Elle est splendide, c’est une beauté qui cache bien ses qualités. Ses seins sont accrochés très haut, sa peau hâlée son ventre plat surmontant une forêt-noire comme la nuit, mais pas du tout dense, ses cuisses sont sans cellulite, elle pourrait participer à toute compétition de beauté hors USA et gagner.
— Alors, montre maintenant que tu t’es bien rincé les yeux.
J’hésite un peu, si elle veut comparer mon sexe à celui de John, je suis perdant et je ne compte pas sur ceci pour me faire plaisir, je veux explorer son entrejambe, me gaver de ses parfums.
— Pas mal, dans la norme, je pense qu’on va se payer un peu de bon temps.— Je peux te caresser, sucer, lécher ?— Tout ce que tu veux, ça, c’est vraiment pas monnaie courante dans la région.
On s’assoit sur le canapé et je commence à lui prendre ses lèvres pour un baiser profond, ce n’est pas comme à Hollywood, elle ne sait pas trop quoi faire avec sa langue alors après avoir caressé ses seins, je m’approche des jolies fraises des bois qui les ornent pour les dévorer, en plus, ses aisselles dégagent un parfum excitant, ni trop fort ni trop fade, légèrement vinaigré et épicé. De ma main libre évidemment, je pars en exploration du reste de son corps, son buisson ardent n’échappe pas à mes caresses et je me rapproche de plus en plus de ce qui m’intéresse.
— Tu ne veux pas te mettre sur le dos et ouvrir tes jambes que je puisse t’honorer.— Déjà ?— C’est trop tôt pour t’embrasser la minette ?— Ça, je ne sais pas, je pensais que tu voulais déjà venir dans moi. On ne m’a jamais embrassé la minette comme tu dis. Fais !— Alors, avançant une lippe avantageuse, je remplace ma main qui avait reconnu le terrain pour une inspection plus détaillée. Son petit pain m’a l’air bien appétissant, c’est assez relevé comme parfum, nettement plus que ma chérie, mais j’aime bien, c’est comme passer du Petit Lu au Camembert bien fait, coulant à souhait.
Surprise de sentir ma langue récolter son miel, la surprise, le plaisir, l’inédit font que rapidement les petites rivières se transforment en un fleuve puissant, les petites ondulations des hanches en tremblements violents, je ne touche pourtant pas sa rondelle, laissant ceci au spécialiste diplômé de l’enculage gratiné. Les doigts d’Anna me serrent la tête, pour ne pas me laisser m’échapper, jusqu’à ce qu’un soupir de satiété vienne m’indiquer que je peux quitter provisoirement le lieu de fête.
— Viens me dit-elle, en me tirant contre sa tête.
Sans me faire prier, j’introduis mon sexe dans sa minette inondée, si cela rentre facilement, c’est délicieusement serré, comme chez Jessica avant qu’elle se fasse écarteler sa chatte par le monstre de John.
— C’est bon d’avoir à nouveau la visite à ma nurserie. Samuel, il ne s’égare plus de ce côté.— Cela me rassure que la déformation n’est pas permanente, Samuel m’a appris que tu avais aussi avec John et que tu n’avais plus de réaction quand il te prenait et qu’il était obligé de te prendre par-derrière pour que vous ayez une certaine sensation. Il ne me faudra pour ma chérie peut-être qu’à attendre qu’elle fatigue.
À ce moment-là, Samuel se manifeste.
— Tu fais des beaux rêves, mais une fois qu’elles ont goûté à de la grosse artillerie, elles ont beaucoup de peine à s’en passer, les autres armés de fusils normaux paraissent fades. Mais je suis content de voir que c’est à nouveau praticable avec ma femme.— C’est quand même bizarre qu’avec ma tante, je n’ai jamais eu cette impression de vide comme avec Jessica. Comment faisait-elle ? Je crois qu’elle avait des rapports réguliers avec John.— Elle a probablement visité quelques sorciers indiens qui moyennant un bon coup leur fournissent de l’ouchditaki.— C’est quoi ?— C’est une plante miracle qui ressert les muscles du ventre, très utile après l’accouchement.— Alors si j’ai bien compris, tu es aussi allé chercher cette herbe miracle ?— Bien oui, je ne voulais pas rester perpétuellement avec des courants d’air dans mon trésor matrimonial, de toute façon, John semblait fatigué de mes services.— Mais tu aurais pu m’en parler.— Pourquoi, j’aime bien quand tu me prépares et utilises la porte de service.
... Bon la récréation est finie les enfants, il faut que je prépare le repas du soir.
— Mais Samuel devait me montrer comment faire pour utiliser la porte de service quand l’entrée principale a été utilisée par des visiteurs trop importants.— Eh ! Bien ! Il ne te reste que trois solutions, attendre demain, convaincre ta moitié de lui laisser faire la démo ou essayer toi-même.
Comment ce fut pour Jessica ?Après le souper, je me retrouve avec Jessica pour faire le point.
— Chéri, je suis très triste, John m’a dit qu’il était fatigué et ne voulait pas exagérer et que les bonnes choses, il faut les prendre avec parcimonie, ce qui ne calme pas mon envie. Je suis encore sous le coup de la dernière fois qu’on a fait l’amour, je trouve que ce n’était pas comme j’espérais.— Désolé, chérie, j’ai peut-être le remède à ton problème, j’ai eu une discussion avec Samuel qui m’a dit que quand l’avant ressemble à un hangar de Boeing, si on n’est pas soi-même un Boeing ou similaire, cela ne sert à rien de s’acharner, mais il faut prendre l’entrée des ouvriers en la préparant bien pour passer la porte sans problème.— Comment cela, je ne comprends pas bien ce que tu veux dire.— En gros, pour que tu puisses à nouveau apprécier ma gaule, il faut la prendre dans le cul, mais je n’ai pas assisté à la démonstration et je manque un peu de know-how en la matière et sa femme a dû partir pour faire la cuisine et je n’avais plus rien pour assister à la démonstration.— Tu veux dire m’enculer ?— Comme tu dis, mais je ne trouve pas l’expression très jolie et elle m’a suggéré comme une des possibilités qu’il me montre sur ta personne.— Tu exagères vraiment après John, tu veux que je me fasse enculer par Samuel.— Je ne sais pas si cela nécessite cette extrémité, mais il a été sympa en me prêtant son épouse. Ce serait bien que pour sa démo, je ne sois pas mesquin.— Si cela peut réaligner mes chats Kra, finalement pourquoi pas à ce niveau, une queue en vaut une autre.— Merci, ce n’était pas ce que je pensais avec Anna, quand je l’ai prise, j’ai eu le bonheur de trouver une chatte comme la tienne, avant qu’elle ressemble à un hangar à Boeing et où j’avais l’impression de m’enfoncer dans un pot de beurre fondu.— Tu m’en veux chéri ?— Difficile à dire, avant quand je te prenais, je ressentais du plaisir, on a voulu essayer une autre approche et cela a détruit quelque chose. Ce n’est pas tout à fait ta faute puisque je n’y ai pas mis le frein et que j’ai accepté que vous vous fassiez du bien. Ni toi ni moi ne pouvions penser à l’effet que cela aura. Il faudra faire avec.— Mais dis-moi, d’avoir la chatte distendue, c’est définitif ?— D’après Anna, qui a eu aussi ce problème il y a quelques années, c’est pas définitif, il y a un sorcier indien qui a une potion magique qui remet les choses en place. Si cela t’intéresse, vois avec Anna, avec Lancy je ne me souviens pas qu’il y ait eu du jeu quand je la prenais.— Bien, fais venir Samuel, si à court terme, sa technique peut remédier à notre problème, pourquoi pas ?
C’est ainsi que ma chère Jessica, après s’être fait élargir de manière disproportionnée le sexe, va se faire visiter le rectum pour mon plaisir.Je vais chercher Samuel, qui vient avec un ensemble de pommades plus ou moins odorantes et commence à lui masser les seins pour commencer, on voit qu’il a l’habitude pour forcer l’excitation.
— Regarde comment il faut faire pour les faire mousser à mort.
C’est vraiment bizarre sa technique, mais elle marche, le popotin de Jessica commence une danse que je connais bien, surtout quand elle enfourche John.
— Je pense qu’elle est à point pour la suite, me dit Samuel qui la retourne d’un coup comme une crêpe bretonne.
Il prend soin de l’œil de Satan, le beurrant comme une tartine au miel. La petite bouche donne l’impression d’appeler autre chose, on sent qu’elle a envie d’une visite, sans plus se poser de question, vu que j’avais bien profité de sa femme, il sort son engin, fin, mais d’une longueur très respectable, on voit qu’il ira loin, à défaut dans la vie, dans le rectum de ma moitié. Ça rentre bien gentiment et quand sa toison vient frotter celle ma chérie, il se met en mouvement, j’espère qu’elle n’a pas trop de sels dans le colon ou dit autrement de merdes qui attendent gentiment dans le cul. Mais si c’est le cas, en tout cas, cela n’a pas l’air de les gêner, ni l’un, ni l’autre. Après avoir bien enfilé sa canne et l’avoir remuée dans tous les sens, finalement, il se crispe et on voit qu’il décharge à gros flocons dans le cul de ma chérie qui part dans un orgasme bien partagé.
— Chéri, c’est bon de ce côté, pourquoi tu ne l’as jamais visité.— Tant que le côté pile fonctionnait, je ne voyais pas la nécessité de m’emmerder par-derrière, mais maintenant, tu vas voir, vu que de l’autre côté, il y a du jeu, l’entrée de service va devenir mon entrée principale.
Samuel se retire et me dit :
— Vas-y, avec ce que je lui ai mis, cela devrait glisser sans problème.
Écartant ses fesses, je constate qu’effectivement, son œillet bien ouvert a l’air d’attendre ma visite. Dans ces cas, il ne faut pas trop tergiverser, je baisse mon slip et me présente avec arme et bagages devant son temple dédié au culte de Sodome. C’est chaud, bien huilé et comme je l’ai un peu plus large que Samuel, j’ai l’impression d’avoir retrouvé mes sensations que je n’ai plus avec la voie normale. Là, je pitonne dur, assurant sec dans cette fissure diabolique. Cela me rappelle mes jeunes années d’escalade. Enfonçant avec rage mon trombone, je mets en route mon piston et lui joue rhapsodie in blues dans l’intégrale. J’ai l’impression que j’ai regagné une partie de ce qui était parti sur le devant de la scène. Dans la joie de retrouver mes marques, je me laisse aller et sans que j’y prenne garde, dans un déchaînement de cymbales, j’éructe de la queue, j’arrose son cul en feu, cela fait déjà plusieurs jours que je n’ai eu un tel plaisir.
— Bon, maintenant, tu sais comment faire, me dit Samuel dont la queue servait d’amuse-gueule à mon épouse. Regarde bien comme elle s’applique à me faire partir une autre fois, elle le fait à merveille, c’est une chose qu’il faudra qu’elle apprenne à mon épouse.
Ses sens rassasiés, mon épouse s’endort d’un sommeil que j’aurai du mal à qualifier du juste, mais au moins profond, jusqu’à ce que dans un sursaut, elle crie :
— John !— Merde, même dans ses rêves, je n’y tiens plus de place, même après tout le mal qu’on s’est donné.
Enfin, on fait ce qu’on peut comme on peut.
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