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opération délicate

Chapitre 1

Inceste
Opération délicate
Maéva était une jeune fille de 19 ans, plutôt timide et réservée, elle avait bien quelques très bonnes amies qu’elle connaissait depuis la primaire, mais depuis son entrée dans la puberté, et le développement de son imposante poitrine, elle avait du mal à nouer de nouvelles relations, en particulier avec les garçons qui n’étaient intéressés que par ses énormes seins, qui ne semblaient jamais vouloir s’arrêter de grossir.
Elle avait mal vécu le développement de sa poitrine, car au fur et à mesure que sa poitrine enflait, elle subissait les quolibets et les remarques graveleuses de ses camarades, elle avait alors appris à camoufler ses seins sous de large sweet, ce qui lui permettait de passer inaperçue et d’éviter les regards lubriques des garçons.
Sa poitrine énorme était donc devenue un véritable complexe pour Maéva, elle en avait honte, alors à l’âge de 19 ans, après en avoir longuement discuté avec sa mère, elle avait décidé de se faire opérer pour une réduction mammaire.
Il faut dire, que Maéva faisait maintenant du 100F et comme elle n’était ni très grande, ni très grosse, dès qu’elle tentait de porter un vêtement un petit peu trop collant, elle avait l’impression qu’on ne voyait plus que son énorme poitrine.
Pourtant Maéva était plutôt mignonne, cheveux chatains, mi-longs, ondulés, de jolis yeux bleu, 1,58m pour 52kg, elle avait tout pour plaire, surtout qu’en plus de son énorme poitrine, elle possédait un magnifique cul superbement bombé.
N’importe quel homme, aurait été ravi de profiter de ses atouts, mais elle n’était pas encore prête à s’offrir ainsi, sa poitrine la complexait, et elle espérait vraiment que cette opération allait la rendre plus « normale ».
Possédant une poitrine de 95E, et ayant subi les mêmes moqueries durant son adolescence, sa mère la comprenait parfaitement, elles avaient donc cherché un chirurgien de bonne renommée pour cette opération un peu délicate.
Après de longues semaines de prospection, elles avaient arrêté leur choix sur un chirurgien spécialiste des seins, elles avaient donc pris rdv, et devaient s’y rendre ensemble la semaine suivante.Malheureusement pour Maéva, sa mère fut retenue à un rdv professionnel important ce jour-là, et comme elle n’avait pas encore le permis, elle n’avait d’autre choix que de demander à son père de l’accompagner.
Ce dernier était au courant du choix de sa fille, concernant l’opération de sa poitrine, il avait essayé de la dissuader, prétextant qu’elle ne devait pas dénaturer le corps que la nature lui avait donné.
Alors profitant de l’opportunité d’emmener sa fille à ce fameux rdv, il retenta de la faire changer d’avis, essayant de trouver les meilleurs arguments, sans être trop graveleux.Mais même si Maéva commençait un peu à douter, elle ne lui demanda pas de faire demi-tour, et ils arrivèrent devant le cabinet du chirurgien.Ils furent un peu surpris d’être reçu par un vieux chirurgien, qui posa tout un tas de question intime à Maéva, elle fut un peu confuse de devoir répondre à cet inconnu et cela devant son père.Paul, le père de Maéva, appris donc que sa fille était encore vierge, et cela le rassura, mais il fut très embarrassé d’apprendre qu’elle se masturbait dans son lit.
Mais même si Maéva était aussi embarrassée que lui, elle le fut encore plus lorsque le chirurgien lui demanda de s’installer sur la table d’examen et de se déshabiller pour qu’il puisse l’ausculter.Très gênée, de se déshabiller devant un inconnu et devant son père, elle hésita à retirer son large pull, mais sous l’insistance du chirurgien, elle ne put qu’obtempérer et se retrouva donc en soutien-gorge devant ce dernier, et alors qu’il commençait déjà l’examen de ses seins, elle essaya de trouver un peu de réconfort dans les yeux de son père.
Mais ce qu’elle découvrit alors, allait changer sa vie, elle lut dans le regard de son père, à peu près la même perversité qu’elle lisait dans les yeux des garçons, qui reluquait ses seins.Elle fut particulièrement troublée de découvrir que son père pouvait être aussi pervers que les autres garçons, mais surtout elle remarqua, à la bosse dans son pantalon, qu’elle l’excitait, et alors que le chirurgien lui demandait de retirer son soutien-gorge, elle fut profondément surprise de ressentir une terrible envie d’offrir la vue de ses seins nus à son père.
C’est presque sans éprouver la moindre honte qu’elle dégrafa son soutien-gorge, et se retrouva donc les seins à l’air, le chirurgien commença aussitôt à les palper ici et là, mais elle s’en moquait éperdument, Maéva n’arrivait pas à quitter le regard de son père, dont les yeux semblaient complètement hypnotisés par ses énormes seins.
Même si Paul avait déjà vu de grosse poitrine, dont celle de sa femme qui était plutôt bien fournie de ce côté-là, les seins de sa fille, si fermes et encore plus gros, le fascinaient totalement, et même s’il en avait terriblement honte, il n’arrivait plus les quitter des yeux.Alors quand le chirurgien les abandonna, prétextant devoir aller chercher un appareil pour mesurer la densité des seins de sa fille, il se retrouva seul avec elle, et curieusement Maéva ne fit rien pour soustraire sa poitrine au regard si lubrique de son père.Elle sentit naitre en elle, un étrange désir, alors après de longues minutes atrocement silencieuses, où elle attendit patiemment que le chirurgien revienne, tout en laissant son père lui dévorer les seins, elle prit une profonde inspiration et osa lui demander :
— Ils te plaisent, mes seins, papa ?
Profondément confus, Paul ne sut quelle réponse adéquate, il pouvait bien donner à sa fille, alors après avoir bafouiller des mots incompréhensibles, la vérité s’imposa à lui et il répondit donc :
— Oui, ma chérie, ils sont magnifiques.
Maéva fut surprise de gonfler la poitrine, comme pour l’offrir davantage à son père, et elle fut extrêmement troublée de le voir déglutir, en se léchant les lèvres, comme s’il bavait devant une sucrerie interdite.Alors comme le chirurgien semblait toujours prendre son temps, Maéva fut surprise de s’entendre proposer à son père :
— Tu peux t’approcher, si tu veux mieux les voir.
Mais alors qu’elle pensait qu’il allait rejeter cette invitation profondément scandaleuse, elle le vit pratiquement bondir de son siège et s’approcher d’elle, tel un prédateur en pleine chasse.Cette étrange impression d’être la proie d’un chasseur qui approchait doucement d’elle pour la dévorer, l’effraya, mais l’excita en même temps, alors sous le regard brûlant de son père, elle sentit un intense désir monté en elle, et à chaque pas que son père faisait pour se rapprocher, elle sentait un étrange fourmillement entre ses cuisses.Alors quand il fut suffisamment proche et comme il n’avait toujours pas quitté ses seins des yeux, elle osa lui proposer :
— Tu peux les toucher, si tu veux les examiner toi aussi.
Mais même si elle se doutait qu’il n’allait pas avoir les gestes aussi professionnels que le chirurgien, elle avait très envie de sentir les mains de son père sur ses seins, alors suite à sa proposition, il n’hésita pas un seul instant, elle le vit approcher ses mains de ses seins, et alors qu’un silence pesant s’était de nouveau installé, elle fut surprise de s’entendre soupirer de plaisir lorsqu’il posa ses mains chaudes sur ses seins.Elle le laissa pétrir, soupeser, caresser ses seins, sans ressentir la moindre honte, et à ce moment précis, elle se rendit compte que tout ce qu’elle avait refusé d’offrir à un garçon, elle laissait son père le faire, en y prenant un plaisir incroyable.Elle se mit même à geindre doucement, lorsque son père se pencha sur sa poitrine et se mit à lui lécher les tétons, elle lui caressa doucement la tête et tout en jouissant sous ses coups de langue, elle lui gémit :
— Doucement, papa, ils sont très sensibles.
Les seins de Maéva le rendaient complètement fou, leur douceur et leur fermeté échauffaient tous ses sens, alors quand sa langue passa d’un téton à l’autre, les sentant durcir dans sa bouche, Paul n’arrivait plus à se maitriser, même s’il comprenait que c’était les seins de sa fille qu’il était en train de martyriser, ses gémissements ne faisaient que l’exciter davantage.Pourtant lorsqu’ils entendirent les bruits de pas du chirurgien se rapprocher, Paul abandonna aussitôt les seins de Maéva, pour sauter sur son siège, et essayer de reprendre une attitude convenable.Lorsque le vieux chirurgien rentra dans son bureau, il fut un peu surpris de découvrir les visages rougis de Paul et Maéva, et curieusement, il ne fit aucun rapprochement entre ce fait et les seins couverts de salive de sa patiente.Il allait reprendre son examen, lorsque Maéva, terriblement excitée par ce qu’il venait de se passer, renfila rapidement son pull en lui disant :
— Je crois que je fais une erreur, docteur, je ne veux plus me faire opérer.
Le chirurgien savait que les femmes avaient du mal avec ce type d’opération, cela touchait à une part de leur féminité et il préférait qu’elles changent d’avis le plus tôt possible, alors il prit plutôt bien le nouveau choix de Maéva, et lui dit :
— Très bien, alors arrêtons-nous là, et ne revenez que lorsque vous serez certaine d’aller jusqu’au bout, ça évitera de nous faire perdre du temps à tous les deux.
Etrangement soulagée d’avoir renoncer à cette opération, Maéva repartit avec son père, mais depuis ce lubrique incident dans le bureau du chirurgien, il s’était installé une certaine gêne entre eux.Ils rejoignirent la voiture et reprirent la route sans dire un mot, ce lourd silence affectait beaucoup Maéva, elle commençait à regretter d’avoir offert ses seins à son père, même si elle y avait pris beaucoup de plaisir, elle s’en voulait d’avoir été, même quelques instants, l’amante de son propre père.Pour la première fois depuis cet épisode immoral, elle pensait à sa mère, à sa réaction si elle apprenait ce qu’il venait de se passer, et c’est dans une étrange harmonie qu’ils brisèrent ce lourd silence simultanément pour dire :
— Maman ne doit jamais l’apprendre.
Ils étaient bien d’accord tous les deux, mais même si Maéva avait terriblement honte de ce qu’elle avait fait avec son père, une question ne cessait de la tarauder :
— Allaient-ils recommencer ?
D’un côté, elle en avait terriblement envie, et d’un autre, elle refusait d’être la cause d’un scandale familiale qui aboutirait nécessairement au divorce de ses parents.Elle devait se faire une raison, ce qu’elle venait de faire avec son père, ne devrait jamais se reproduire, …, enfin sauf si celui-ci désirait encore lui lécher les seins.Maéva se fit alors une promesse, elle ne laisserait son père lui lécher les seins, que s’il le lui demandait explicitement. Cela rejetterait toute la faute sur lui et elle ne serait pas vraiment coupable d’obéir à son père, après tout.C’est avec cette promesse en tête, qu’ils arrivèrent chez eux, et alors qu’elle allait descendre de la voiture, son père la retint par la main, et lui dit d’un ton très solennel :
— Je suis désolé, ma chérie, je n’aurais pas dû me laisser aller.
Maéva avait presque pitié de son père, et comme elle se sentait un peu fautive également, elle posa sa main sur la sienne, et lui répondit :
— Ce n’est pas grave, papa, j’ai beaucoup aimé ce que tu m’as fait.— Mais, on ne …
Maéva posa un doigt sur la bouche de son père, et lui dit :
— Chuuut, papa, ne t’en veux pas, j’ai aimé, et j’espère que tu as aimé aussi.
Paul était très troublé par l’aveu de sa fille, et même s’il s’en voulait terriblement pour sa femme, il avoua à sa fille :
— Oui, j’ai beaucoup aimé aussi, ma chérie.— Alors tout va bien, et maman n’a pas besoin de l’apprendre, ça restera notre secret.
Encore tout bouleversé, Paul laissa sa fille sortir de la voiture, il resta un moment, seul dans sa voiture, à ressasser tout ce qui venait de se passer et ce que venait de lui dire sa fille.Il finit par se convaincre, qu’il ne devait pas s’en vouloir, Maéva avait été consentante et même si ce qu’ils venaient de faire, était tout à fait immoral, elle ne semblait pas traumatisée, par cet acte incestueux.Alors il sortit de sa voiture, presque rassuré, et tandis qu’il ouvrait la porte de la maison, une question particulièrement obscène lui vint à l’esprit :
— Aurait-elle envie de recommencer ?
Il eut terriblement honte de s’imaginer de nouveau, peloter et lécher les seins de sa fille, ils étaient si gros, si doux et si fermes, qu’il bandait, rien qu’à s’imaginer recommencer, mais l’arrivée de sa femme le sortit de ses songes incestueux, et comme pour se faire pardonner, il lui laissa à peine le temps de sortir de sa voiture, pour la prendre dans ses bras, et l’embrasser fougueusement.Il lui pelota les seins comme il l’avait fait avec ceux de sa fille, quelques minutes auparavant, et il ne put s’empêcher de faire un comparatif, certes les seins de sa femme étaient également très opulents, mais ils avaient perdu de leur fermeté, et comme il ne put comparer la douceur de leur peau, à cause de la robe de sa femme, il fut profondément bouleversé de préférer ceux de sa fille.
Amber, sa femme, fut un peu surprise par l’accueil de son mari, elle allait lui demander comment s’était passé le rdv avec le chirurgien, quand il s’était pratiquement jeté sur elle, cela faisait tellement longtemps que son mari n’avait pas été si fougueux à son égard, qu’elle ne chercha pas à en connaitre la raison, et le laissa la peloter sur le perron de la maison.Mais il finit par desserrer son étreinte et alors qu’il la tenait toujours fermement par les fesses, elle put enfin lui demander :
— Alors comment s’est passé le rdv ?
Même si Paul s’était attendu à cette question, il était en plein comparatif du corps de sa femme avec celui de sa fille, et tandis qu’il lui pelotait les fesses en se demandant honteusement si celles de sa fille étaient aussi agréables à caresser, il fut presque pris de court par la question de sa femme.Il répondit alors :
— Euh, très bien, pourquoi ?— Donc quand est-ce qu’il va l’opérer ?— Ah euh, oui l’opération, euh, Maéva a préféré annuler.— Ah bon, pourquoi ? elle semblait bien décidée pourtant.
Paul était très embarrassé, il se doutait que leur acte incestueux avait eu une forte influence sur la décision de sa fille, mais il ne pouvait raisonnablement pas avouer à sa femme, qu’il avait bouffé les seins de sa fille et qu’elle avait ensuite changé d’avis, alors il répondit :
— Je ne sais pas, faudrait le lui demander.
Amber se dégagea de l’étreinte de son mari et entra chez elle, pour aller retrouver sa fille et lui demander des explications.Maéva était montée dans sa chambre, et maintenant qu’elle était seule, elle était en plein songe immoral, elle avait relevé son pull, pour admirer ses énormes seins dans le miroir de son placard, se remémorant parfaitement comment son père les avait caressé, pétri et puis léché avec une ardeur incroyable, elle n’aurait jamais cru que ses seins soient capables d’engendrer un tel engouement chez un homme et encore moins chez son père.
La seule chose que ses énormes seins avaient pu générer jusque-là, c’était des remarques puériles et désobligeantes des garçons de son âge.Pourtant cet évènement incestueux provoquait encore des remous dans tout son corps, alors comme elle était seule dans sa chambre, elle n’avait pas hésité à se caresser les seins devant son miroir, essayant de retrouver la même poigne et la même ferveur que son père avait eu dans le cabinet du chirurgien, mais elle n’arrivait pas à ressentir la même excitation, alors elle glissa une de ses mains dans son pantalon et dans sa culotte, et se mit à se caresser doucement le clitoris.
Elle se mit alors à geindre doucement devant son miroir, en jouissant sous ses doigts, mais tandis qu’elle imaginait déjà les doigts de son père se glisser entre ses cuisses pour la faire jouir encore plus fort, elle entendit quelqu’un frapper à la porte de sa chambre.
En pleine divagation incestueuse, et pensant que c’était son père qui venait de nouveau abuser de ses seins et de son corps, elle répondit en gémissant :
— Ouiii, vas-yyy, entre.
Amber fut un peu surprise par le ton de la réponse de sa fille, mais elle le fut plus encore en la trouvant, les seins à l’air, une main dans la culotte en train de se caresser l’entrecuisse, et après de longues secondes d’une confusion la plus totale, Maéva devint rouge pivoine, rabaissa son pull et retira sa main de sa culotte, tandis que sa mère refermait précipitamment la porte.Elle ne sut quoi dire, jamais elle n’aurait imaginé surprendre sa fille en train de se masturber, et si elle l’avait ne serait-ce que soupçonner, jamais elle ne serait monté la voir, mais malgré cette profonde confusion, elle se souvint de la raison de sa venue dans la chambre de sa fille, alors d’une voix toute douce, elle lui demanda à travers la porte :
— Désolé, ma chérie, je ne voulais pas te déranger, mais ton père m’a dit que tu avais annulé l’opération, alors je voulais voir avec toi, quelle en était la raison.
Maéva était toujours rouge de honte, bien qu’elle ait retiré sa main de sa culotte, la question de sa mère ne fit que raviver le souvenir incestueux de la langue de son père sur ses seins, et ne pouvant pas avouer la vérité à sa mère, elle chercha une excuse valable.Elle se souvint alors des longues discussions qu’elle avait eu avec sa mère, qui lui avait raconté son adolescence et de ses premiers petits amis qui ne pensaient qu’à peloter sa grosse poitrine, alors prise d’un élan de confiance, elle lui répondit :
— Je n’en ai plus envie, tu as bien réussi à vivre avec, toi, pourquoi je n’y arriverais pas.
Amber se souvenait combien elle avait mal vécu, le peu d’intérêt qu’avaient ses premiers petits amis, pour elle-même, car ils ne pensaient qu’à peloter ses gros nichons, comme ils le disaient.Avec le temps, elle avait fini par accepter sa poitrine, et avait même fini par assumer n’être qu’un simple fantasme pour certains garçons, elle avait alors abusé de sa grosse poitrine pour draguer des garçons, plus intéressants que les queutards habituels qui lui tournaient autour.
Et c’est donc comme ça qu’elle avait rencontré Paul, alors qu’elle était en train d’effectuer une recherche dans la bibliothèque, elle avait bien remarqué qu’il louchait sur ses gros seins, un peu comme tous les garçons, mais il savait se tenir, et passait plus de temps à étudier qu’à épier ses gros nichons.
Elle avait donc voulu le mettre à l’épreuve et après avoir ouvert un peu plus son décolleté, elle avait été l’interrompre, et s’était amusé à le voir baver en louchant sur le sillon de ses seins.Quelques jours plus tard, ils sortaient ensemble, et quelques années plus tard, ils se marièrent et eurent rapidement deux superbes jumeaux, une jolie petite fille et un mignon petit garçon.
Donc aujourd’hui, Amber était un peu perdue avec la nouvelle décision de sa fille, elle l’avait soutenu dans son choix, afin qu’elle ne subisse pas les mêmes remarques grivoises qu’elle, mais alors que le matin même sa fille semblait déterminée, elle revenait du rdv en ayant tout annulé, Amber se demanda alors ce qu’avait bien pu la faire changer d’avis et lui demanda :
— Dis-moi juste pourquoi, tu as changé d’avis, ma chérie, quoique tu décides, je te soutiendrais.
Maéva ne pouvait pas dire à sa mère que c’était les mains et la langue de son père qui l’avaient tellement excité, qu’elle avait voulu tout annuler afin de pouvoir lui offrir de nouveau ses seins, dès qu’il en aurait envie.Alors ne trouvant rien de mieux que de se réfugier dans le mensonge, elle lui répondit :
— J’ai rencontré un garçon.
Un peu surprise, sa mère lui demanda :
— Aujourd’hui ?— Oui, et j’ai envie de voir si c’est sérieux ou si c’est juste pour ma poitrine.
Maéva se dit qu’elle avait trouvé la parfaite excuse, mais sa mère lui demanda :
— Mais où est-ce que tu l’as rencontré ?
Elle devait trouver un lieu cohérent, et ne trouva rien d’autre que :
— Au cabinet du chirurgien.
De plus en plus surprise, sa mère lui demanda :
— Mais c’est un spécialiste de la réduction mammaire, qu’est-ce qu’il faisait là ?
Un peu coincée, Maéva chercha comment se débarrasser de sa mère, elle eut une idée et répondit :
— C’est son fils.
Etonnée, mais avec le fait qu’elle ait surpris sa fille en train de se masturber, Amber fut presque convaincue, elle n’insista pas davantage, et lui répondit :
— Très bien, mais soit prudente avec ce garçon, ma chérie.— Ne t’inquiète pas, maman, je ferais très attention.
Amber laissa sa fille tranquille, et après avoir rejoint son mari au rez-de-chaussée, elle lui demanda aussitôt :
— Maéva a rencontré un garçon au cabinet ?
Paul faillit s’étouffer avec son verre d’eau, et comprenant que sa fille avait menti à sa mère, il se rendit complice de ce mensonge en répondant :
— Oui, je l’ai vu discuté avec un garçon, pendant qu’on attendait le chirurgien.
Amber lui fit un interrogatoire complet sur ce fameux garçon imaginaire, et Paul dut tout inventer, plongeant un peu plus loin dans ce mensonge éhonté, et tout en mentant à sa femme, il se dit qu’il allait falloir qu’il ait une longue discussion avec sa fille, afin de bien accorder leur version de l’histoire et du jeune homme.
Heureusement pour lui, leur fils, Andrew, revint du basket à ce moment-là, Amber dut donc mettre fin à son interrogatoire, et profitant que sa femme soit accaparée par leur fils, Paul put rejoindre discrètement sa fille dans sa chambre afin de bien se mettre d’accord sur la version, qu’il venait d’inventer.
Mais de son coté, dès que sa mère l’avait laissé tranquille, Maéva n’avait pas pu s’empêcher de reprendre ses activités masturbatoires, elle était maintenant allongée sur son lit, une main sur ses seins nus et une autre entre ses cuisses, et geignait le plus doucement possible pour ne pas se faire entendre.
Si bien que lorsque Paul débarqua devant la porte de sa chambre, il n’osa pas frapper pour ne pas se faire repérer par sa femme ou son fils, il préféra ouvrir délicatement la porte et entrer discrètement.
Lorsqu’il découvrit sa fille en pleine séance de masturbation, il rougit d’embarras, mais comme elle ne l’avait pas remarqué, il n’osa pas l’interrompre, il se dépêcha de refermer la porte, et la regarda jouir sous ses caresses.
Il avait un peu honte d’être là, à jouer les voyeurs, mais il la trouvait magnifique, ses seins semblaient encore plus gros quand elle était excitée, ses tétons pointaient outrageusement, et même si elle était encore cachée par son pantalon, il se doutait que sa petite chatte devait être trempée.
Ce spectacle le fit bander outrageusement, il ne put se retenir de se caresser la bite par-dessus son pantalon, et alors que Maéva faisait baisser le sien pour accéder plus facilement à sa petite chatte, il sortit sa queue et continua de la regarder jouir, en se branlant doucement.
Paul avait honte d’être ici, alors que sa femme et son fils était juste en dessous, pourtant il ne bougea pas d’un pouce, lorsque Maéva se redressa pour finir de retirer complètement son pantalon et sa petite culotte, elle découvrit son père, la bite à la main, en train de se branler devant elle.
Bien qu’elle sursautât et poussa un petit cri, lorsqu’elle aperçut son père en train de se branler, elle ressentit une étrange confiance naitre en elle, en découvrant sa bite bien dure, qui glissait doucement entre ses mains, elle lui fit alors un de ses petits sourires espiègles, et continua de se déshabiller.
Lorsqu’elle fut enfin complètement nue devant lui, elle se caressa les seins et lui demanda, d’un ton très sensuelle :
— Je te plais, papa ?
Paul ne savait pas où donner de la tête, il sentait sa bite palpiter entre ses doigts, même s’il mourrait d’envie de sauter sur ce corps si attirant, il lui restait encore une once de morale, qui l’empêchait de succomber à cette tentation de plus en plus grande.Mais lorsque Maéva s’allongea nue sur son lit, remontant ses cuisses sur sa poitrine, pour les ouvrir complètement, et alors dans cette posture plus qu’indécente, elle reprit ses caresses intimes devant son père, ce dernier sentit sa volonté commencer à faiblir rapidement, lorsqu’il vit le doigt de sa fille disparaitre dans sa chatte trempée.Depuis qu’elle avait découvert son père, la bite à la main, Maéva se sentait animée d’une puissante confiance en soi, elle était comme portée par une profonde allégresse, elle ne ressentait plus aucune honte à se doigter la chatte devant son père, elle le voyait bander pour elle, et cela la rendait complètement folle, alors tout en se pétrissant les seins, elle osa lui dire :
— J’aimerais que ce soit toi mon premier, papa.
Comprenant parfaitement ce qu’entendait sa fille par : « son premier », Paul sentait sa volonté fondre comme neige au soleil, et alors qu’il voyait le doigt de sa fille ressortir de sa chatte, luisant de mouille, il fit un pas vers elle et tout comme il avait succombé à ses superbes seins dans le cabinet du chirurgien, il succomba de nouveau.Tout en continuant de se branler, il s’agenouilla au pied de son lit et approcha son visage de sa chatte en feu, elle retira son doigt de son vagin et lui dit :
— Vas-y, elle est toute à toi, papa.
Paul fut rapidement submergé par les effluves de sa chatte trempée, et ce fut le coup de grâce pour lui, il plongea littéralement sur le sexe de sa fille, et se mit à lui lécher la chatte, comme il ne l’avait pas fait à sa femme depuis longtemps, il passa sa langue dans tous les recoins, titillant son clitoris gonflé, enfonçant sa langue le plus loin dans sa chatte, aspirant sa mouille avec un appétit féroce.
Maéva n’avait jamais été léché de la sorte, elle n’avait d’ailleurs jamais été léché par quiconque, alors lorsque la langue de son père s’était posée sur sa chatte, elle avait été comme foudroyée, elle s’était mise à trembler sous ses coups de langue, oubliant la présence de sa mère à l’étage d’en dessous, elle se mit à pousser de longs gémissements de plaisir.
La langue de son père la faisait jouir tellement fort, qu’elle vint poser ses mains derrière sa tête pour mieux plaquer sa bouche contre sa chatte, mais ses gémissements de plaisir finirent par se faire entendre au rez-de-chaussée, et tandis que sa mère croyait deviner ce qui se passait là-haut, Andrew lui demanda :
— Elle ne va pas bien la frangine ?
Sa mère lui répondit un peu trop rapidement :
— Elle a rencontré un garçon, ce matin, apparemment.
S’en voulant d’avoir révélé cette information à Andrew, et comprenant qu’elle était plutôt ambiguë elle tenta de se racheter, en lui disant :
— Il n’est pas avec elle, et promets-moi que tu ne feras aucune remarque désobligeante, tant qu’elle ne t’aura rien dit.
Andrew était quelqu’un de très curieux et de très moqueur, en particulier avec sa sœur jumelle, alors même s’il promit à sa mère de ne rien dire, les gémissements de sa sœur commençaient à bien agacer sa curiosité.
Il prétendit devoir prendre une douche, pour monter à l’étage et se rapprocher des gémissements de Maéva, il ne l’avait jamais entendu gémir et jouir ainsi, et même s’il avait un peu honte de l’admettre, mais cela l’excitait profondément.
Grand curieux parmi les curieux, il colla son oreille à la porte, et fut surpris de sentir sa bite se redresser dans son short, il jeta un œil autour de lui, pour vérifier qu’il était bien seul à l’étage, et glissa sa main dans son short pour commencer à se branler.
Il avait un peu honte de se branler en écoutant sa sœur jouir, mais c’était plus fort que lui, elle l’excitait avec ses petits cris de plaisir, il se demandait ce qu’elle pouvait bien faire pour jouir autant, pourtant, même s’il en mourrait d’envie, il n’alla pas jusqu’à ouvrir sa porte pour la voir se donner du plaisir.
Mais comme il commençait à être à l’étroit dans son short, il finit par sortir sa queue pour se branler plus librement.Pendant que son fils se branlait derrière la porte, Paul avait fourré un doigt dans le vagin en feu de sa fille, il le faisait doucement coulisser, tout en continuant de lui brouter le clito, Maéva prenait un tel plaisir avec le doigt et la langue de son père, qu’elle se mit bientôt à crier de jouissance.
Amber était très gênée d’entendre sa fille jouir aussi fort, mais elle ne voulait plus la déranger, elle allait avoir une petite explication entre fille, plus tard, mais pour le moment, elle se contenta d’allumer la radio pour étouffer un peu les cris de jouissance de sa fille.
Celle-ci était en pleine extase, son père la faisait tellement jouir avec sa langue, qu’elle sentit le premier orgasme de sa vie lui traverser le corps, et alors qu’elle sentait sa chatte se vider littéralement dans la bouche de son père, elle cria :
— OUIIIII, JEEEEE JOUIIIISSSSS.
Paul était submergé par les giclées de cyprine de sa fille, mais il avalait à grandes gorgées son jus si délicieux, il retira son doigt de sa chatte, et la laissa se remettre de son orgasme.Même s’il mourrait d’envie de lui fourrer sa bite au fond de la chatte, il attendit patiemment qu’elle reprenne son souffle et ses esprits, pour être certain qu’elle souhaitait vraiment qu’il la dépucèle, mais alors que Maéva redescendait doucement de son orgasme, Paul entendit grogner derrière la porte.
Il fut surpris, mais même s’il n’était pas en état d’aller voir qui était de l’autre côté de la porte, il devina facilement qu’Andrew avait dû écouter sa sœur jouir, et devait être en train d’éjaculer devant la porte.
Il ne sut quoi faire, il ne pouvait pas sortir, sous peine qu’Andrew découvre ce qu’il venait de faire avec Maéva, alors il se contenta d’attendre, et lorsque sa fille voulut lui parler pour le remercier, il lui mit le doigt sur la bouche, en lui faisant comprendre silencieusement, qu’il y avait quelqu’un derrière la porte.
Maéva mit un moment à réaliser, qu’elle venait de jouir tellement fort que son cri de jouissance avant dû s’entendre dans toute la maison, et elle se demanda si c’était sa mère ou son frère derrière la porte.
Ce fut son père qui lui révéla l’identité du malotru, Paul se pencha sur elle et lui dit à l’oreille :
— Andrew vient de jouir devant ta porte, en t’écoutant gémir, je ne sais pas s’il est parti ou s’il va nettoyer son sperme, qui doit être tombé sur le sol.
Maéva fut très troublée d’apprendre que son frère avait éjaculé en l’écoutant jouir, elle se découvrait un pouvoir inattendu sur la gent masculine, et en particulier sur les membres de sa famille.Elle fut étrangement pressée d’aller voir si son frère avait vraiment éjaculé devant sa porte, alors elle se redressa et chuchota à son père :
— Cache-toi dans le placard, je vais aller voir.
Même s’il bandait encore, Paul remballa sa bite dans son caleçon et partit s’enfermer dans le placard de sa fille. Trop impatiente de voir les « dégâts » qu’avaient pu faire la bite de son frère, Maéva ne prit même pas le temps de se couvrir et alors qu’elle était toujours nue, elle ouvrit sa porte, et surprit son frère, la bite à la main, avec une flaque gluante à ses pieds.
Alors qu’il venait de jouir en l’écoutant gémir, Andrew fut tellement abasourdi de découvrir sa sœur complètement nue, qu’il ne sut comment réagir, il resta figé devant sa porte en bavant sur les énormes seins de Maéva.
Il savait qu’elle avait une grosse poitrine, mais il ne l’avait jamais vu d’aussi prêt et totalement découverte, alors tout comme son père avant lui, il se lécha les lèvres d’envie.Maéva fut tout aussi troublée que son frère, bien qu’elle ait vu sa première bite bander pour elle, quelques minutes auparavant, avec celle de son père, voici que c’était le tour de son frère, qui bandait et même éjaculait pour elle.
Mais alors qu’Andrew, dans un sursaut de lucidité s’enfuyait dans sa chambre, elle resta figée sur la petite marre de sperme qu’elle avait devant sa porte, et alors qu’elle venait de découvrir quel étrange pouvoir, elle avait sur les hommes, elle posa son doigt sur cet étrange liquide.
C’était à la fois visqueux et tiède, et curieusement, au lieu de l’écœurer, elle eut très envie d’y gouter, alors tout en ramenant son doigt couvert du sperme de son frère jusqu’à sa bouche, elle se dit que cette journée avait été exceptionnellement riche en émotion.
C’est donc sous le regard ahuri de son frère, qui l’épiait depuis l’entrebâillement de sa porte de chambre, qu’elle se mit à récupérer son sperme avec les doigts et à les lécher avec une obscène gourmandise.
Une fois la marre asséchée, elle referma la porte et fit sortir son père du placard, mais ce dernier préféra mettre un terme à leur petite aventure, car Andrew aurait très bien pu les surprendre, alors comme il ne voulait pas que sa femme apprenne ce qu’ils avaient fait ensemble, il réussit à convaincre sa fille, que c’était la meilleure décision.
Après avoir eu son premier orgasme avec le doigt et la langue de son père, et après avoir gouté le sperme de son frère, Maéva accepta la décision de son père, elle vérifia une dernière fois que le couloir était libre, et le laissa sortir.
Heureusement pour lui, Andrew n’épiait plus la chambre de sa sœur, et personne ne découvrit leur relation incestueuse.De nouveau seule dans sa chambre, Maéva repensa à tout ce qu’elle avait vécu aujourd’hui, certes elle était encore vierge, mais elle savait déjà que son père allait, très prochainement, faire d’elle une femme.
Il lui fallait pourtant se préparer à une longue discussion avec sa mère, et étant presque devenue la maitresse de son père, elle allait devoir lui mentir sans cesse, et comme elle aimait beaucoup sa mère, elle s’en voulait énormément.
Mais elle allait également devoir gérer son frère, qui semblait apparemment, très sensible à ses seins, qui, en une journée, étaient devenus ses principaux atouts pour faire succomber les hommes.Presque honteusement, elle se demanda si son frère ne serait pas un amant moins risqué pour elle, et au moins son père ne tromperait pas sa mère.Elle se rhabilla en essayant de choisir lequel serait le premier à la pénétrer, mais alors qu’habituellement elle prenait toujours des vêtements amples, cette fois-ci, elle sortit du fond de son tiroir, un T-shirt plutôt moulant.
En l’enfilant, elle se rendit compte qu’il épousait parfaitement les contours de sa poitrine et comme elle avait oublié de remettre un soutien-gorge, on pouvait même deviner ses tétons à travers, alors qu’auparavant, elle n’aurait jamais osé sortir dans une telle tenue, aujourd’hui, elle était une nouvelle femme.
Certes, une femme incestueuse qui rêvait de coucher avec son père ou avec son frère, mais pour la première fois, depuis que sa poitrine s’était développée, elle assumait pleinement ses formes, et pour la première fois, ses énormes seins n’était plus un complexe pour elle, mais plutôt un atout.
Alors c’est en ressentant une étrange euphorie, qu’elle sortit de sa chambre, elle sourit en voyant encore les traces de sperme de son frère, devant sa porte, mais elle ne s’en préoccupa pas et rejoignit sa mère dans la cuisine, bien décidée à l’affronter
Amber fut très surprise de voir que sa fille avait enfilé un T-shirt moulant, et alors qu’elle s’apprêtait à l’assaillir de question, elle se dit que cette rencontre avec ce fameux garçon avait changé sa fille, c’était la première fois qu’elle assumait ses formes, alors plutôt que de lui reprocher d’avoir annuler l’opération, elle préféra garder le silence et la laissa passer de larve à un superbe papillon, aux formes délicieuses.
Maéva fut, à son tour, très surprise que sa mère ne lui pose pas plus de question, alors elle fit comme-ci, elle ne venait pas de se faire peloter les seins et bouffer la chatte par son père, et l’aida à préparer le diner, comme à son habitude.
Lorsqu’elles furent dérangées par Andrew, qui s’était un peu calmé, et était redescendu, Amber lui demanda de mettre la table, tandis que Maéva n’avait pas pu s’empêcher de regarder l’entrecuisse de son frère, en se demandant à quoi pouvait bien ressembler sa bite.
Mais ce dernier avait été surpris par la tenue de sa sœur, jamais il ne l’avait vu dans une tenue si moulante, et même s’il avait déjà vu ses seins nus, les deviner à travers son T-shirt et apercevoir ses tétons, qui semblaient pointer fermement, l’excitait peut-être encore plus.
Maéva put apercevoir un léger gonflement au niveau de l’entrejambe de son frère et cela l’émoustilla profondément.Elle se dit alors qu’elle allait devoir faire les boutiques pour renouveler sa garde-robe, et pouvoir continuer à exciter son frère et son père.
Mais cette journée avait déjà été très riche en émotion, alors elle n’osa pas tenter d’en avoir davantage, elle passa une petite soirée tranquille, même si elle pouvait sentir les regards lubriques des deux hommes de la maison sur ses seins.
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