Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 162 J'aime
  • 1 Commentaire

Opération Hibou

Chapitre 1

Hétéro
Avis aux lecteurs/trices : Si vous voulez aller directement à l’action usez de la roulette *********** et si vous aimez le suspens sur plusieurs épisodes...
Ce jour là, j’avais cédé aux instances de mon patron et de mes collègues de bureau qui depuis mon arrivée quelques semaines plus tôt me tannaient pour aller s’amuser dans le grand parc ludique de la région. J’étais sûr d’une chose je n’allais pas gagner le challenge du nombre de passages dans les montagnes russes ni celui du plus gros mangeur de frites. Pour tout dire, de tempérament solitaire je m’étais rapidement « perdu » dans le parc pour mon plus grand bonheur. Savourer les spectacles sans commentaires idiots à côté,visiter le petit musée pictural, se régaler des architectures et des mondes différents, plus quelques attractions sans braillards suffisait à mon bonheur. Nous sommes des milliers à être ainsi, pas doués pour les interactions sociales, discrets, trop timides pour draguer, la connaissance dont on oublie toujours le nom ; bref presque invisibles pour vous autres.J’avais fini par arriver dans le «saloon hanté» version western de cette attraction qui est dans tous les parcs ou presque. J’avoue que les mannequins morbides, les illusions et apparitions soudaines étaient amusantes mais moins que les visages de certains face aux surprises même si moi aussi je sursautais parfois. Me voir dans les miroirs déformants me fit imaginer la façon dont les autres me voyaient. Pourtant à mes yeux j’étais un gars normal ; la trentaine, des cheveux noirs si sombres qu’ils présentaient des reflets bleutés, les yeux verts, assez grand, et plutôt athlétique, mon t-shirt dévoilait une partie de mes tatouages et, si mon visage était dur et un peu taillé à la serpe j’étais loin de faire «l’avant»pour ces vieilles pubs comparatives.
Je m’étais mis dans l’ombre relative du grand salon histoire d’éviter les cancanières du bureau 14 mais ce fut pour croiser les trois bellâtres du bureau 12 avec notre chef de service bien-aimé alias le chafouin dans une espèce d’ascenseur sensé nous amener dans la «tour des monstres». Installé dans un coin ils ne me prêtèrent que peu d’attention ; attention de toute façon fixée sur la jeune femme qui venait d’entrer et qui eut comme un infime mouvement de recul en les voyant. Évidemment ils ne virent que son look de danseuse de saloon ; blonde aux cheveux longs rassemblés en queue de cheval, silhouette très avantageuse dans un bustier violet en satin qui attirait l’attention sur une jolie poitrine, jambes interminables gainées de bas résille et jupe courte avec froufrous de dentelle, bras et ses épaules nues, elle ne pouvait qu’attirer le regard. Pour ma part je me focalisais plus sur ses yeux qui me semblaient presque violets et venaient éclairer un visage mince mais d’une beauté brute saisissante. L’espace d’une seconde nos yeux se croisèrent et même si cela fait« cliché » je sentis quelque chose passer entre nous.Mais cela ne dura pas car le festival des beaufs se mit en action.— Hé maintenant je comprends pourquoi ça nous emmène dans la tour des monstres— Tu dois bosser ici poupée ?— C’est évident regarde son look !— Mais alors elle doit être à disposition du public… (avec le rire graveleux qui va avec)— Ça doit être une sacrée chaudasse vu son peu de vêtements— Ouais les filles de saloon sont bien connues pour ça et puis ses seins t’imagines autour de ton engin !— Moi je n’imagine rien, je constate juste que vous commettez un délit, bon sang vous pouvez pas lui foutre la paix !— Ah le looser solitaire du bureau 17, tu veux pas aller voir ailleurs si on y est pendant qu’on la chauffe— Non. — Martin, vous allez maintenant la fermer et tourner la tête sinon vous allez être viré en revenantJe ne me pose pas de question, je réponds du tac au tac, les discrets ne sont pas obligatoirement lâches :— Vous allez peut-être me virer mais il faudra expliquer la vidéo, les plaies et le témoignage.Ils se tournent vers moi, prêts à se lancer quand le chafouin réalise et emporte ses subordonnés au moment où la porte coulisse sur une nouvelle partie de l’attraction. Je reste et la jeune femme aussi. Quand la porte se referme elle lâche juste un merci mais ses yeux me semblent furibonds— Ne me remerciez pas, j’ai la certitude que vous vous seriez très bien débrouillée toute seule mais je n’ai pas pu me retenir je les supporte depuis déjà trop longtemps.— Si j’ai bien compris cela risque de ne plus être le cas.— De toute façon je voulais changer de métier, aller vers autre chose, mais parfois on a peur d’oser, peut d’être soi-même sans doute, on recule la décision de changer de vie, de vivre ses passions. — Votre discours ne semble pas être celui du looser du bureau et votre look de dur tatoué non plus — Maintenant c’est moi qui vous remercie.Nous entamons alors une petite conversation qui dérive sur l’art, la littérature et c’est si passionnant d’enfin trouver une personne avec qui parler que je mets un moment à m’apercevoir que la pièce  bouge depuis plus  longtemps que nécessaire pour descendre d’un étage et m’en étonne un peu.  C’est là qu’elle coulisse à nouveau, dévoilant un couloir plutôt sombre et que la jeune femme se tourne vers moi en me disant :
— C’est maintenant qu’il faut choisir entre oser ou rester.Sa bouche aux lèvres rouge sang s’incurve en un petit sourire et j’avance d’un pas vers l’ombre.Je ressens alors comme un léger tremblement, comme un frisson et elle me semble un peu étonnée— Vous avez pu avancer ?— Oui, mais j’ai ressenti un truc assez bizarre, sans doute la tension— Martin c’est votre prénom ?— Euh non, c’est mon nom de famille enfin celui de mes parents adoptifs. Mon prénom c’est François si vous vouliez savoir— Le mien est Anka— En référence à la croix de vie des Égyptiens ? Euh désolé je m’intéresse un peu à tout cela, je ne voulais pas être euh intrusif— T’inquiètes et en plus c’est cela, on aime découvrir des choses dans ma famille. Enfin je comprends mieux que tu sois passé, oh je faisais référence au passage sans badge d’employéAnka m’explique alors qu’elle travaille ici et que nous nous trouvons dans les tunnels qui permettent aux employés d’aller et venir sans déranger les clients— Ah oui cela paraît assez logique et surtout pratique. Mais euh, je ne veux pas te créer d’ennuis en étant ici.— Tu est adorable à t’inquiéter pour moi. Allez viens je vais te faire voir d’autres endroits plutôt sympas.Je la suis dans un véritable dédale de couloirs,qu’aucun architecte normal n’aurait planifié, nous franchissons plusieurs portes et elle fait chaque fois le geste de passer un badge. Je note (entre autres choses) que parfois certains des couloirs sont peints en vert pâle avec des indications en français et que d’autres sont juste en béton ternes et sans signes. -Je me demande comment tu te repères, je suis totalement perdu !— Oui on dirait vraiment que c’est fait exprès mais à force tu sais.Tout en marchant à sa suite, j’observe la balancement de ses fesses qui est (presque)hypnotique, d’ailleurs quand elle se tourne j’ai l’impression qu’elle le sait et en joue. Nous arrivons finalement dans des couloirs aux couleurs plus riches, violets,bleus, vert forêt et elle s’arrête devant une porte ornée d’un heurtoir en forme de dragon si j’ai bien eu le temps de voir. Je la suis et me retrouve dans un véritable appartement en miniature, comme une tiny house sous terre. Un petit salon avec un bar et une mini kitchenette, un vieux canapé en cuir qui contraste avec un décor typé industriel, un coin bureau avec un ordinateur ultra moderne et un fauteuil gamer qui paraît incongru dans le décor , une porte en métal, un petit couloir.— Tu veux un verre ?— Euh c’est pas la cantine des employés ici ?— Non, en fait je suis apparentée aux patrons et j’ai pu transformer une réserve en lieu de repos privé— Waouh, c’est génial — Oui j’aime bien c’est pratique dans certains casElle nous sert un verre de whisky et nous les savourons en nous regardant dans les yeux. Les siens on une lueur de je ne sais pas quoi qui vous émoustillerait n’importe qui.
                                                *******************
Et puis, elle me prend la main et me tire dans le petit couloir pour aboutir à une chambre presque monacale ou il y a juste un grand lit, un placard en métal brillant et une chaise basique à côté. Elle me regarde et me dit — Tu me plais.— C’est réciproque.Les mots ne reflètent pas l’intensité de la scène, surtout quand elle se débarrasse de son bustier dévoilant ses seins somptueux tout en me regardant. J’ai déjà compris qu’elle est franche et sait ce qu’elle veut. Je lui rends la pareille en dévoilant mon torse couvert de tatouages. Nous avons le même regard chargé de tension et dans un mouvement quasi similaire j’enlève mon pantalon et mon boxer pendant qu’elle se débarrasse du bas de son costume de scène. On se dévore du regard et nous sourions tous deux, chacun appréciant ce qu’il/elle voit. Elle ne peut empêcher un mouvement réflexe en se pour léchant rapidement les lèvres et la tension rapide de mon sexe parle pour moi. Elle a vraiment un corps superbe, elle pourrait faire mannequin (de lingerie pas les porte-manteaux neurasthéniques des défilés) et je confirme qu’il s’agit d’une vraie blonde au vu du joli triangle entre ses cuisses. Elle suit du regard les tatouages qui se poursuivent sur mes cuisses avant de revenir à mon visage. Et là, c’est comme dans les films, on se jette presque l’un sur l’autre pour un baiser d’anthologie.C’est franchement hot, enthousiaste, torride bref les adjectifs pour dire que c’est vraiment sauvage, nos langues se cherchent, s’affrontent, on roule sur le lit, tantôt l’un tantôt l’autre dessus, je sens ses seins durcir et ma verge est sur la voie de son zénith. Ses mains se crispent sur mon dos, ses ongles m’agrippent et on se tire l’un vers l’autre comme si nos bouche n’arriveraient jamais à se rassasier l’une de l’autre. Le baiser ou plutôt le combat de nos langues et nos bouches dure longtemps avant qu’on se sépare à nouveau. On se regarde, un peu hors d’haleine, conscient qu’il y a un petit truc qui se passe.Puis, elle me plaque sur le lit et ses doigts parcourent mon corps, s’attardant sur mes tatouages comme si, oui comme si elle les analysait en fait. C’est un peu déstabilisant car nous étions bien lancés, mais ses caresses douces du bout des doigts me font un bien fou. Ma queue est tendue, bien droite et on fait assaut de compliments l’un envers l’autre. Je n’ai pas de difficulté à trouver les mots car c’est une des plus belles femmes que j’ai jamais vu.Finalement après avoir parcouru toutes les courbes des encres, elle a un drôle de petit sourire et remplace ses doigts par sa langue. Elle me semble chargée d’électricité et c’est terriblement excitant. J’ai bien senti qu’elle veut que je reste immobile et il faut vraiment que je me concentre pour ne pas me jeter sur elle. Elle prend mes parties en main, semblant les soupeser avant de m’adresser un sourire éblouissant et de me prendre en bouche. C’est hallucinant car, même si je suis vraiment bien pourvu elle m’engloutit dés la première fois, c’est presque magique tant elle réussit à me prendre. Elle finit le nez dans mes poils pubiens et je gémis longuement.Je ne vais pas rester passif devant une telle beauté et, quand elle s’est bien amusée à en juger par sa moue délicieuse, je roule sur elle afin de nous retrouver tête-bêche. Elle regimbe vaguement mais quand je commence à passer ma langue sur sa chatte très humide elle a un frisson et nous entamons un nouveau combat de langues auquel nous rajoutons nos mains. Elle est au dessus de moi et je caresse ses fesses somptueuses digne de faire tous les calendriers d’une certaine marque de lingerie. Elle me pompe, bave et lèche ma queue tendue et tire mes fesses vers elle. Nous roulons,bougeons et la tension monte et monte encore. Son miel coule dans ma bouche, mes joues et le goût de son intimité est délicieux, je déploie tout mon savoir faire pour la faire gémir et bouger sur moi. Sans compter que en bougeant, je vois parfois nos reflets dans le métal poli des placards et cela rajoute à mon, notre excitation. On est tous les deux au bord de l’explosion mais tacitement on stoppe et encore une fois elle vient s’emparer de mon membre gorgé de sang, lâchant au passage un appréciateur— Mmmh je vais vraiment me régalerIn petto je me dis qu’elle n’a pas que le look d’une fille de saloon mais je ne réfléchis pas plus loin car, a califourchon sur moi elle s’empale doucement, savourant visiblement chaque moment de la pénétration. Je savoure moi aussi son fourreau véritablement brûlant et la façon dont elle me prend. Elle est d’une beauté presque irréelle, ses seins lourds tiennent bien et les tétons ocres sur des aréoles larges et un peu plus claires sont durs et tendus. Profitant de ma taille et de ma souplesse, je me redresse et tout en caressant ses fesses et son dos musclé, je vais saisir les pointes dures entre mes lèvres, suçant puis mordillant ses seins.Elle accélère le mouvement et est si excitée que mes poils sont humides de sa cyprine qui coule dessus. Elle me serre et me griffe même un le dos tant elle est excitée. Du coin de l’œil je vois qu’une de ses mains glisse vers le matelas comme si elle voulait y prendre quelque chose mais j’accélère moi aussi mes gestes et elle s’accroche à mon cou, gémissant qu’elle est au bord de l’explosion. Effectivement, à peine a t’elle dit cela qu’elle crie son orgasme, m’écrasant sur le lit avec une force décuplée et plantant ses ongles dans mon dos. Elle respire avec force mais reste en place et cette fois c’est moi qui commence à bouger presque imperceptiblement puis plus fort. Elle respire maintenant plus vite et marmonne des mots sans suite que je ne comprends pas car moi aussi je suis doucement ailleurs, j’ai l’impression de léviter un peu tant notre union est intense. Elle gémit et me demande de la prendre plus fort, je la fais rouler et elle se retrouve collée contre moi, presque en cuillère, ce qui me permet de la caresser bien plus facilement tout en la prenant. Je caresse un sein, lèche le plus proche et joue avec son clito avec ma main droite ; son bras droit s’est posé sur ma hanche pour m’attirer encore plus vers elle. Je la sens monter à nouveau et il en va de même pour moi, ses gémissements se muent en encouragements à la faire jouir puis à jouir avec elle et après quelques coups de reins, j’honore son invite. Elle vibre comme si elle ressentait ma jouissance au plus profond et j’ai l’impression encore une fois de flotter avec elle.
On se dégage délicatement l’un de l’autre et elle se love dans mes bras avant de m’embrasser encore. Puis on se regarde et cette connexion que j’avais cru sentir entre nous me semble devenir plus réelle. On ouvre la bouche pour se parler quand la petite musique du Boléro de Ravel s’élève de son mini-téléphone. Elle se rue presque dessus et la coupe avant de me regarder d’un air navré et de me dire qu’elle a une petite urgence familiale. 
Nous nous quittons sur une promesse de rendez-vous en ville et l’échange de nos numéros, ce qui nous fait rire car chacun met un moment à retrouver le sien. Le chemin de retour est curieusement plus court et je ressors du côté d’une autre attraction non sans échanger un dernier baiser.
Plus tard une fois à l’extérieur du parc et après être passé à ma voiture, je sors de sa cachette mon autre téléphone et appelle un certain numéro.— Oui ? Fait la voix froide et impersonnelle.— Hibou est dans la place, je répète, Hibou est dans la place.-Bien reçu poursuivez comme convenu.
Diffuse en direct !
Regarder son live