Résumé : Désormais liés, Anka ma superbe sorcière blonde et moi poursuivons notre enquête pour découvrir laquelle de ses cousines a passée un pacte avec un démon… Une fois Carla éliminée de l’équation et revenue à de biens meilleurs sentiments envers Anka, il est temps de s’y remettre. Le corps de la dernière victime a été déposé chez les goules de l’ancien cimetière et il n’en reste plus trace. Il n’y a pas de trace non plus de malversations financières et les recherches menées par les mages du bureau ne donnent rien sur les employés du parc. — C’est un peu normal, c’est moi qui ai vérifié leurs antécédents et en dehors de petites choses il n’y avait rien.— Et comme on ne vérifie rien sur sa propre famille..— Hou là imagine ce que m’aurait fait ma mère, on ne la surnomme pas la Reine de Glace pour rien, si elle avait appris que j’envisageais simplement cela— Donc j’imagine bien ce qui se passera quand elle saura que je suis autre chose qu’une passade humaine.On se regarde un peu consternés puis en même temps on se dit qu’il faut continuer l’enquête— Bon, je te propose de nous concentrer sur Zika.— C’est ta cousine que tu m’as décrite comme un peu particulière— Tu as bien retenu ta leçon. En fait comme je l’ai dit dans son apparence il n’y arien de particulier mais mon instinct conjugué à ses regards et aussi je l’avoue à certaines rumeurs me dit qu’il y a quelque chose chez elle qui la rend différente, je ne suis pas spécialiste mais son aura est floue. Et demander à ma mère qui est une voyeuse d’aura hors pair c’est exclu.— Bon ben en avant alors.Comme la technique de nous montrer en couple a bien fonctionnée, nous répétons le schéma et croisons plusieurs fois «par hasard» la jolie Zika. L’adjectif est mérité, elle est presque aussi jolie que mon Anka mais a les cheveux sombres presque bleutés et très courts. Ses yeux sont verts lagons et illuminent un visage aux trais fins et au teint mat. Elle a une silhouette fine mais très tonique car nous l’avons ciblée sur le parcours de footing près des hôtels du parc et elle semble très à l’aise. Si sa poitrine est moins opulente que celle d’Anka, elle a des fesses plus rebondies sans pour autant entrer dans cette mode des fesses de certaines starlettes de télé-réalité, enfin il en faut pour tout le monde. On finit donc pas courir ensembles et je suis bien content d’être assez entraîné pour pouvoir courir et discuter avec ses deux superbes jeunes femmes. Zika a peut-être cinq ans de plus qu’Anka mais il faut un œil vraiment exercé pour le voir. Et effectivement même pour moi qui suis entraîné à voir les auras magiques, je trouve que le sien est non pas flou mais changeant, subtilement différent de ce que j’ai l’habitude de voir, oh, je n’y vois pas de magies noire à priori mais autre chose, je sens l’idée toute proche mais je ne parviens pas à la saisir. Au fur et à mesure, de nos tours, on échange, on sympathise et ( Anka me le dira plus tard) Zika me trouve très bien pour un humain. Oui, je suis plutôt doué pour cacher ma magie et me faire sous-estimer ce qui est un avantage dans mon boulot. Finalement c’est Zika qui nous propose un remontant chez elle car «il fait bien trop chaud pour aller chez toi». Nous acceptons avec joie, nous avons tous deux assez joué le couple un peu ingénu enfin, surtout moi.L’appartement de Zika est meublé de façon très moderne et pour tout dire je ne m’attendais pas à tant de métal, de béton ciré et de déco plutôt masculine. J’ai une idée qui arrive mais une réflexion sur le sport la fait fuir trop vite. Je reviens avec un peu de mal dans une conversation où Anka, me décrit comme un gars cool et ouvert en réponse a une question de Zika. revenue de la douche et juste vêtue d’un jogging large et d’un t-shirt très ouvert.— En attendant que je vous serve à boire, va donc prendre une douche toi aussi, je te garde ton homme ici ça évitera que vous preniez toute l’eau chaude a batifoler sous les jets.Nous rions de bon cœur et comme prévu une fois Anka partie se laver, j’ai droit à un petit festival de questions sur comment nous nous sommes rencontrés, ce que je fais. Mais j’ai la certitude que toutes ces questions ont comme but de me mettre en confiance, de plus elle n’arrête pas de se pencher vers moi ( et oui elle ne porte pas de soutif), de se rapprocher ou de me lancer des oeillades peu discrètes. Si elle me trouve indéniablement à son goût, j’ai l’impression que ce n’est pas tout. Je suis interrompu (encore une fois) dans mes réflexions quand Anka ressort de la douche juste vêtue d’une large serviette. Je prends le relais dans la salle de bain non sans avoir lancé un petit sort d‘écoute amplifié. J’apprends donc que primo, Zika n’est pas timide, secundo, me trouve à son goût ; tertio, trouve aussi Anka à son goût et quattro serait partante pour s’amuser à trois avec un humain. Je reste un peu sous l’eau fraîche pour me calmer car même si nous savions que nous devions en passer par du sexe, cela fait drôle de se le voir proposer sur un plateau d’argent même si je sais bien que les sorcières ont des mœurs très relâchées.Quand je reviens,une serviette autour des hanches, les deux sont ma foi proches l’une de l’autre sur le grand canapé du salon. Anka a comme moi sa grande serviette autour d’elle et me fait un léger clin d’oeil au cas ou je n’aurais pas entendu ce qu’elles se sont dites. Zika me lance un petit sort pour me mettre à l’aise et me rendre coopérant qui est à la limite de ce qui est interdit par les lois magiques. Je joue le jeu et quand Anka me demande de laisser tomber la serviette je m’exécute sans sourciller dévoilant un sexe à moitié érigé— Hmm cela me semble prometteur, tu ne dois pas t’ennuyer cousine. Fait Zika. Il a bon goût ?— Suce le tu verras bien !Je crois que soit Anka est bien dans son rôle soit cette petite perverse aime voir ce genre de scènes. Quoi qu’il en soit, Zika n’en demande pas plus et me prend en bouche. Bouaf, elle est franchement douée et c’est bien autre chose que Carla, surtout qu’en plus elle me palpe les bourses avec maestria pendant qu’elle aspire toute ma colonne de chair. En quelques secondes je suis totalement en érection pour leur plus grand plaisir— Hé ben beau morceau ton mec, Encore une fois tu dois t’éclater avec lui.Anka lui sourit, enlève sa serviette, pousse un peu sa cousine et lui dit :— Et pour le faire grandir encore, ce qu’il aime bien c’est mettre sa queue entre mes seinsAussitôt dit, aussitôt fait pour la plus grande joie de tous les trois. Lubrifié par Zika, mon sexe glisse dans le doux sillon entre les deux superbes obus de ma chérie, le gland venant s’enfoncer dans sa bouche à chaque mouvement vers le haut.
— Génial, et t’as raison j’ai l’impression que sa queue a encore grossit, je peux ? Fait-elle en enlevant son tee-shirt dévoilant ses deux jolis seins— Fais toi plaisir.Je me mets devant Zika qui me fait subir (façon de parler !) le même sort et, si ses seins sont moins opulents, sa langue me semble un peu plus diabolique— Comme vous êtes excitants tous les deux. Oh j’ai envie de te voir nue Lance Anka.C’est là que l’aura si colorée de Zika tourbillonne un peu et que j’ai enfin l’illumination. Je suis donc moins surpris que mon aimée quand Zika qui se déshabille lentement nous dévoile une jolie verge fine bien tendue.— Ta cousine est vraiment sexy mon amour et nous dévoile des charmes forts sympathiques.— Tu n’est pas choqué ?— Rien ne me choque plus— Tu vois je t’avais dit qu’il était cool et rassure toi moi cela m’excite aussi.Et pour bien montrer son état d’esprit Anka saisit la tige tendue et la branle lentement pendant que je vais rouler une pelle à sa cousine. Tout en l’embrassant je lui caresse les seins à notre plus grande satisfaction. Quand on se recule, Zika est assise pantelante, le sexe tendu et suintant déjà d’excitation et avec un air qui invite à la prendre comme une bête, ce qu’elle demande d’ailleurs dans un souffle.— Attends place toi je m’occupe de tout Fait Anka qui reprend le rôle de dominante qu’elle a déjà jouée chez son autre cousine. Elle la repousse en arrière, la tire vers l’avant du large canapé, lui prend les jambes et les élève, exhibant son oeillet qui n’attend que la pénétration. Elle nous regarde vicieusement, se caresse un peu avec un long soupir, montre ses doigts gluants de cyprine, preuve de son excitation et va badigeonner le petit trou de son jus, faisant ronronner Zika avant de me prendre, me guider et m’enjoindre à bien sodomiser sa cousine. Elle le redit plusieurs fois, savourant le mot et encore plus la vision de mon sexe qui s’enfonce dans le petit cul de Zika. La trans a beau avoir une certaine habitude de ce type de pénétration, elle pousse néanmoins un petit cri de douleur avant de rapidement soupirer d’aise. — Oh putain comme je te sens passer, le pieeeed…Anka regarde la scène, fascinée par la dichotomie entre les seins de sa cousine qui bougent au rythme de ma pénétration et son sexe tendu qui oscille au même rythme. Elle se caresse un moment en nous regardant et le spectacle est enchanteur. Surtout que ma queue va et vient dans un étroit conduit brûlant. Zika a les mains crispées sur les coussins et lance un regard presque implorant à sa cousine. Anka revient dans la partie et après après roulé une longue pelle à sa cousine, la laisse la bouche ouverte comme un poisson hors de l’eau et va lui caresser les seins. Encore une fois elle y va fort, sans retenue ce qui semble vraiment plaire à la trans. Puis elle s’empare du fin sexe et le branle avec un plaisir évident. La situation est très excitante et quand je vois son regard chargé d’amour pour mo ialors même que nous faisons l’amour à trois, elle me sourit et va prendre en bouche la tige tendue. Elle s’est placée comme elle a pu sur le canapé mais sa cousine arrive quand même à la caresser. De temps en temps ma chérie reprend haleine et soupire de plaisir à être masturbée par Zika. — Oh putain c’est booon, ce qu’elle me fait , elle m’a mis deux doigts dans la chatte et oh ouiiii comme ça ouiiii.Ses gémissements me donnent un coup de fouet et je prends fort la trans, lui enfonçant ma queue à fond dans son cul, Les yeux d’Anka d’un violet éclatant sont fixés sur ma queue qui défonce sa cousine. Zika commence à gémir fort et Anka me lance d’une voix chargée de tension :— Fais la jouir mon chéri, encule la, branle la s’il te plaît, ça m’excite trop.Zika c’est mise à se tirer les tétons avec force, et tout en la sodomisant avec entrain et surtout plaisir, je prends son sexe en main et la branle avec toute la science développée au cours de mes séances de pratique solitaire. J‘entends Anka qui ne cesse de répéter que c’est beau, qu’elle aime voir son mec branler une chaudasse de trans, que ça la rend folle. Je plonge et replonge ma queue dans le cul de sa cousine, avec une telle force qu’il est heureux pour elle que sa tête soit séparée du mur parle dossier du canapé !A ce rythme, nous sommes proches de la jouissance et Anka qui, heureusement se rappelle de notre missions use d’un sort de lévitation pour pouvoir plus acilement faire basculer sa cousine afin que je puisse la prendre en levrette. — Vas-y lâche toi bien mon chéri bourre lui son cul — Oh oui défonce moi :, vas-y mon salaud , allez prend moi bien le cul !Devant cette déferlante d’encouragements bien vicieux amplifiés par les mouvements de Zia qui lance ses fesses en arrière et ma chérie qui lui pelote les seins par dessous, je jouis dans un grand cri, immédiatement suivi par Zika que je n’ai pas cessé de branler. Même si je suis un peu sonné, Anka et moi avons pu noter qu’aucun tatouage démoniaque n’apparaît sur sa cousine. Logiquement on devrait cesser, notre mission étant remplie mais aucun de nous n’y songe, au contraire le regard que nous échangeons est éloquent et la phrase de mon aimée est claire.— Venez me toucher, j’en peux plus d’excitation !Je l’embrasse avec amour et ferveur tant je suis bien avec elle, notre accord magique renforce nos liens et décuple nos sensations. Zika déguste son entrejambe avec habileté et Anka et moi baissons le regard pour savourer cette vision. C’est beau, érotique et je sens mon membre reprendre lentement de sa vigueur. Je glisse ensuite ma tête sur ses seins opulents et y joue de la langue, des lèvres et des dents pendant qu’elle gémit doucement, soumise à l’attention de nos bouches. Je sens le souffle d’Anka contre moi et elle me glisse à l’oreille :— J’ai trop envie,tu veux bien ?J’ai parfaitement compris ce qu’elle désire et, comme je l’ai bien eu quelques jours plus tôt avec son autre cousine, je ne peux rien lui refuser. Je m’assieds sur le canapé et elle vient s’asseoir sur mes genoux, dos à moi. Nul besoin de paroles, sa cousine/cousin descend juste plus bas et lui fait une feuille de rose qui la fait bien gémir. Puis j’ai droit à quelques allers retours baveux sur ma queue pour mieux la lubrifier encore et enfin, Zika me place juste à l’entrée de du petit oeillet brun d’Anka. Elle descend lentement sur moi, je sens la résistance puis rapidement cela passe. Elle descend encore, souffle fort et enfin je suis totalement dans son petit cul. Un petit sort discret de lévitation qui nous permet de basculer facilement en arrière et c’est Zika qui vient présenter sa jolie verge devant la chatte de sa cousine. Nul besoin de lubrification tant Anka est trempée, comme en plus la verge est moins imposante, c’est plus facile. Je sens son sexe progresser contre le mien, juste isolé par la fine paroi de chair et cela compresse d’autant ma queue durcie. Anka souffle plus fort et nous demande de ne pas bouger, réglant elle même la pénétration.Enfin, au bout d’un éon temporel tant je suis «ailleurs», elle commence doucement à bouger sous cette double pénétration nouvelle pour tous les trois. Je lui ai saisi les seins et les caresse avec douceur pendant que sa cousine l’embrasse de la même façon. Lentement, dans un accord tacite, la douceur devient ferveur, puis c’est la folie des sens qui s’empare de nous. Les deux se lèchent la bouche, le visage et je tire les tétons de l’une et de l’autre avec le même déchaînement. Anka joue la cow-girl sur nos sexes et on monte très vite vers l’explosion tant c’est intense.Quand elle survient,c’est énorme, un maelstrom de sensations, ma queue prise dans un étau, son miel qui coule sur mes cuisses, les vibrations de leurs plaisirs, ses cris ou plutôt les nôtres… Et, enfin au bout de longs instants ou seuls le bruit intense de nos respirations se fait entendre, une petite phrase, une petite question lancée par je ne sais qui — Encore ?
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