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Ophélie et Marion

Chapitre 5

Le fantasme réalisé

Inceste
Chapitre 5 : le fantasme réalisé.
Les jours passent.
J’ai délicieusement basculé avec maman dans une autre dimension de sexe. Je découvre une nouvelle façon de vivre notre petit couple mère/fille.Rien n’a changé dans notre vie quotidienne si ce n’est l’intensité de nos rapports. Je m’ouvre littéralement à une nouvelle sexualité. Incestueuse, immorale, mais tellement plus riche et excitante que mon éthique s’en trouve irrémédiablement balayée. La légère pudeur qui existait entre nous auparavant s’est envolée pour laisser place à un « laisser-aller » sans pudibonderie. Chaque moment de proximité devient, au choix, un instant de tendresse, de taquinerie ou de sensualité auréolé d’un léger parfum de sexualité. Oh, attention, nous ne nous sautons pas dessus à tout bout de champ, mais nos interactions sont bien plus intenses, assaisonnées d’une pointe de sous-entendus constante.
—--------
Les jours passent.
Ma vision de mère attentionnée qui doit faire de son mieux pour le développement moral de sa fille vient de prendre une claque monumentale dans la gueule. Marion et moi élaborons une nouvelle forme de complicité. Le stade de la timide découverte est désormais dépassé. C’est avec une gourmandise mutuelle, une faim insatiable partagée, une envie commune de rattraper le temps perdu que nous nous sommes jetées à corps perdu dans les joies de l’inceste. Je n’en ai pas encore parlé à Laurent et, de fait, je profite de mes ébats lubriques avec lui d’un côté et incestueux avec ma fille de l’autre.
Ce soir, on est vendredi et il n’est pas d’astreinte pour le week-end. Il vient donc chez nous, passer les deux jours. Il a fait le déplacement sur Paris pour me chercher au travail vers 19 h, me soulageant d’une heure de métro et de RER. On rentre directement chez moi où Marion nous attend.La porte est à peine ouverte que, comme à leur habitude, les chiens nous font la fête. Je rentre et Laurent derrière moi referme soigneusement pour que les chats ne sortent pas. Toujours épique le passage de la porte.
— Vous êtes déjà là ?
Arrivant de sa chambre, Marion vient de débouler.
— Ben oui ma cocotte, tu croyais quoi, que j’allais faire des heures supplémentaires ?— Pff, j’ai pas vu l’heure passer. Je dois filer à la douche.
Laurent déshabille littéralement Marion des yeux et pour tout dire, il n’y a pas grand-chose à déshabiller.
— Ferme la bouche mon cœur, c’est Marion, lui dis-je en souriant.
Bon, OK, pour sa défense, la gamine n’a que sa serviette pour masquer sa nudité. Elle m’amuse la p’tite garce, je suis sûre qu’elle l’a fait exprès.Ses lunettes lui donnent un petit côté intello qui participe à son charme. Pieds nus, la serviette bleue masque son corps à mi-cuisses jusqu’au-dessus de ses seins. Les cheveux, juste attachés par un chouchou noir, lui dégagent la nuque. Son épaule gauche arbore sa petite colombe qui ajoute une touche de pureté en parfait contrepoint avec la tension sexuelle qui émane d’elle.Désirable. Ma petite est désirable. Et le pire dans l’histoire, c’est qu’en voyant comment Laurent savoure la vision, je me prends à apprécier le même spectacle avec sûrement les mêmes envies que lui. Si Marion continue comme ça pendant le week-end, j’en connais un qui risque d’être à la torture.
Après quelques secondes durant lesquelles Marion s’amuse à planter ses yeux dans ceux de Laurent tout en prenant consciemment ou inconsciemment la pose, elle fait volte-face en direction la salle de bain avec, dans son sillage, Moogly, un des caniches.
— Pffou... Eh ben, si elle me fait ça tout le week-end en y ajoutant l’usage à outrance de son fameux tee-shirt, ça va être « chaud patate ».— Et quoi ? Tu vas lui sauter dessus ?— Non ma puce, mais il va y avoir forcément un peu de transfert et c’est toi qui vas en profiter. Désolé, mais je ne suis qu’un mec et mon imagination est fertile.— Mouais... J’imagine très bien, mais bon, si j’en profite au bout du compte, tant mieux. Ce sera avec plaisir.—-----------
Enfin !La clé tourne dans cette foutue porte. C’est que je commençais à en avoir marre d’attendre assise sur mon lit en serviette. Laurent arrive enfin ! Depuis mes premiers ébats avec maman, je me suis décidée. Il faut que je me fasse Lolo. Je ne sais pas trop ce que peut en penser maman. Elle n’a pas plus relevé que ça quand je lui avais avoué penser à lui. Tant pis, on verra bien. J’attends qu’ils soient dans le hall et je fais mon apparition de petite vierge effarouchée. Maman est avec sa doudoune chauffante que Laurent lui a offerte et lui, il porte son manteau marron avec le col de fourrure et il est en train de repousser gentiment Neo du pied tout en fermant la porte.
Il est plus grand que moi, ce n’est pas difficile. Maman et moi, on paraît toutes menues à côté de lui. Alors qu’il se retourne et pose les yeux sur moi, je me sens... vulnérable, immédiatement soumise à son regard qui me scrute, me déshabille, m’envisage. Être quasiment nue devant lui, sous le regard d’abord étonné puis amusé de ma mère, m’excite direct. Mon cœur s’emballe, mon ventre s’échauffe, j’ai la bouche sèche. Quelques phrases s’échangent avec ma mère et je file à la douche après avoir attendu suffisamment longtemps pour qu’il puisse bien se rincer l’œil.
Le week-end va être très excitant. Même s’il ne se passe rien, je sens que je vais adorer ce petit jeu. J’espère tellement que maman accepte d’y jouer aussi. Croisons les doigts. L’eau chaude de la douche coule sur moi. Je me savonne en résistant à l’envie de me toucher. C’est peut-être con, mais j’ai envie de garder toute mon énergie sexuelle au cas où. Ça n’empêche pas mon cerveau de tourner à mille à l’heure en échafaudant des plans, des moments, en visualisant des scènes, des dérapages.
—-------— Attention aux chats en entrant, mon cœur.
Elle me met en garde à chaque fois. On vient d’arriver et l’opération « franchissement de la porte » commence. Ça se passe nickel, Ophélie est entrée et je suis juste derrière. Comme prévu, les chiens font diversion tandis que Neo, en embuscade, attend juste au coin de la porte. Pas de bol mon lascar, je t’attendais avec le pied.J’entre à mon tour et je referme la porte : « réussite mission ».
— Vous êtes déjà là ?
Je me retourne pour découvrir Marion, quasi nue avec juste une serviette pour cacher son corps. Je scotche. Tout innocente, virginale, cette gosse est à croquer. La simplicité de sa tenue est juste parfaite. J’essaie de garder une certaine tenue, mais Ophélie a bien vu l’effet que sa fille a eu sur moi. Je suis sûrement l’image même du beau-père pervers qui mate outrageusement sa belle-fille devant sa propre mère.In petto, je me dis qu’elle va m’incendier ou qu’elle va attendre que sa fille soit repartie pour le faire, mais non, rien, à peine quelques remarques que je noie sensuellement. En fait, je me rends compte qu’Ophélie regarde également sa fille, mais d’une manière... Zut, je n’arrive pas à mettre le doigt dessus. Un regard bizarre.Marion repart pour disparaître vers la salle d’eau. J’ai réussi à calmer ma chérie avec de petits sous-entendus grivois. Elle se débarrasse de sa doudoune et file vers la cuisine. Toutefois, je n’arrive pas à interpréter ce sourire qu’elle affiche.
— Café, bébé ?— Oui ma belle.
Bon, apparemment, l’épisode est clos. En rejoignant Ophélie en cuisine, je ne peux m’empêcher de jeter un œil dans le couloir qui mène aux chambres, mais Marion n’est plus là... Dommage.
—------
Laurent nous fait ses filets de poulet au curry avec du riz. Tous les trois à table, j’observe le manège de Marion qui tourne autour de lui comme une guêpe autour d’un pot de miel. Tous les prétextes sont bons pour le frôler. Je n’ai pas encore eu l’occasion de jeter un coup d’œil sous la table, mais je ne serais pas étonnée qu’elle lui fasse du pied. Tout en discutant de tout et de rien, Laurent, Marion et moi sentons bien que l’atmosphère est... différente. À la fin du repas, Laurent, comme à son habitude, débarrasse et fait un ou deux aller-retour à la cuisine. Alors que je me suis installée dans le canapé, je vois Marion, qui caressait Gabin le deuxième caniche, abandonner son chien pour disparaître dans la cuisine. Je souris. Elle va arriver à ses fins. Je préfère monter le son de la télé et laisser faire.
—-------
Laurent est dans la cuisine. Je n’ai pas osé la première fois, mais là, il faut que j’y aille. Il est en train de placer les assiettes dans le lave-vaisselle. Légèrement penché en avant, il m’est tout offert. J’arrive derrière lui et le cœur battant, les oreilles qui me chauffent, je viens me lover tout contre lui en plaçant mes deux mains sur ses fesses de la manière que je trouve la plus sensuelle possible.
Je lui chuchote à l’oreille :
— Désolé, j’ai pas pu résister, lui dis-je alors qu’il se redresse. Je n’enlève pas mes mains pour autant.— Ben... C’est pas désagréable, mais t’as pas l’impression que mes fesses sont un peu une chasse gardée ? me répond-il dans un souffle.— Pff, je suis sûre que maman ne dirait rien. Je lui laisse les sentiments, j’veux pas lui piquer son mec... juste en profiter.— Va falloir alors que tu en discutes avec elle, car j’ai pas envie de vous perdre sur un quiproquo.
Il ne retire pas mes mains. Je sens l’excitation du moment bouillonner en moi.Je me colle à lui comme si je voulais devenir une couverture, une seconde peau et je sens mes seins contre son dos. Ça me fait durcir les tétons direct. Je fais passer mes mains sur le devant de ses hanches et elles sont maintenant au niveau des poches avant de son jean, bien plaquées de part et d’autre de l’objet de toutes mes convoitises.
— J’aime bien tes mains baladeuses, la miss, et ton petit jeu de séduction est très excitant, mais comment je sais moi si ce n’est pas un test pour évaluer ma fidélité à ta mère ?— Tu penses que j’essaie de te piéger ?— Je n’ai aucun moyen d’être sûr. Ce serait logique que tu testes ma loyauté envers Ophélie. Je pensais même que tu le ferais bien plus tôt au cours des premiers mois.— J’y avais même pas pensé à te piéger comme ça.— Tu comprends bien quand même que je dois respecter certaines limites ? Non ?— Des limites. Il se trouve que des limites, j’en ai pas mal franchi dernièrement avec maman.—-----
Marion vient d’entrer dans la cuisine. Sans montrer d’hésitation flagrante, elle a plaqué ses mains sur mon cul. La sensation de sentir ses petites mains est grisante, électrisante. Il n’en faut pas plus pour que ma queue se réveille et commence à gonfler. Tandis que je la mets en garde, ses mains passent sur mes hanches et encerclent, résolues, la zone d’attaque.
— Des limites, de quelle nature ?— Du genre incestueux entre une mère et sa fille, me susurre-t-elle. Alors, pour ce qui est de commencer à envisager mon beau-père sous un autre angle, ça ne me pose plus vraiment de problème.
En disant ça, je sens sa main droite venir carrément se poser au centre et empoigner la silhouette de ma bite en érection.
— Mmh, elle est bien dure, elle, en tout cas. Je sens qu’elle est parfaitement d’accord avec moi.
Je sens ses doigts qui palpent ma verge. Le pantalon est tendu et je sens ses phalanges qui testent ma queue et roulent sur mes couilles. Je ferme les yeux en savourant l’excitation qui monte. Je pose ma main sur son poignet pour lui signifier de continuer et de l’autre, je fais sauter la boucle de ma ceinture. J’ouvre le premier bouton de mon jean et défais les deux suivants rapidement. Marion a compris et enfile sa main dans la fournaise de mon caleçon en franchissant allègrement la maigre barrière de l’élastique.Je sens ses petits doigts enserrer le tube de chair dur de mon chibre. En glissant vers le bas de ma hampe, elle en décalotte le gland turgescent en m’arrachant, au passage, un sourd gémissement de plaisir. Elle me tient à pleine main et commence un lent va-et-vient au cours duquel mon gland, logé confortablement dans sa paume, hurle de plaisir. Je la laisse me branler en me tenant désormais au bord du meuble des deux mains. Ma queue est offerte à la branlette de la gamine.
—------
J’adore !!!Je la sens, dure, chaude, au creux de ma main. La moiteur de l’intérieur de son caleçon ajoute à mon excitation. Pour un peu, je sentirai l’odeur de son sexe monter à mes narines. Je sens dans ma paume, quelques gouttes de liquide séminal qui doivent perler de la pointe de sa queue. Je n’ai qu’une envie, c’est de le faire pivoter et de la dévoiler complètement.
— T’aimes ma main ? Tu veux que je te branle plus vite ? Plus fort ?— Cette main interdite sur ma queue et une torture délicieuse, jeune fille.— J’aimerais bien faire pire.— Ben, là, je suis tout à toi, mais... et ta mère ?— Rien à foutre, me répond-elle.
Je le fais se retourner et il s’exécute sans sourciller. Je termine d’ouvrir son pantalon et je le fais glisser un peu plus sur ses hanches. Laurent s’est mis en appui avec les mains sur le bord du meuble bas de la cuisine et c’est une bite fièrement dressée qu’il m’offre, en portant son bassin légèrement en avant. Je la contemple désormais pleinement. Sans être énorme, elle est joliment courbée et doit faire dans les quinze centimètres de long pour un diamètre de trois à quatre centimètres. Le gland rose sombre est particulièrement appétissant. Je regarde avec gourmandise ses couilles impeccablement rasées et ma main se glisse dessous avec excitation.
— Mmh, c’est bon de les avoir en main comme ça.— Et c’est un régal de te les offrir.
Laurent a levé les yeux au plafond :
— J’veux même pas savoir comment tout ça va s’terminer. On verra bien.
Je me place à genoux devant cette queue offerte. Je suis pile le nez sur ses burnes tandis que ma main reprend sa verge fermement. J’applique ma langue enduite de salive bien à plat sous son scrotum et je remonte lentement sur ses couilles, le long de son tube comme une petite chienne goulue. Je lui lèche les bourses plusieurs fois en déposant de plus en plus de salive sur sa bite et à ma remontée suivante, je lui gobe le gland. Sentir la queue de mon beau-père en bouche n’est que pure excitation. J’en oublie la présence de ma mère dans la pièce d’à côté. Je m’applique à lui pomper le dard en faisant jouer ma main et mes lèvres. Ma bouche l’aspire tandis que j’essaie de faire des ronds avec ma langue autour de cette belle bite chaude et bien dure. Je sens sous ma langue les reliefs des veines qui affleurent sous la peau, les petites ridules et autres petites aspérités qui m’excitent.
Je sens ma chatte qui suinte de mon petit jus. Ma culotte est trempée, mais je ne veux plus m’arrêter. Je lui astique le manche du mieux que je peux tandis que sa verge s’enfonce dans ma petite bouche. Je n’ai qu’une idée en tête, lui faire cracher son sperme.
—-------
Elle me lèche la queue et me suce comme si sa vie en dépendait. Je me suis offert aux assauts de ma belle-fille et la petite y met du cœur à l’ouvrage. Je suis en train de me faire pomper la bite et le fait que ce soit précisément Marion ajoute une indicible, une interdite excitation. Je me retiens de lui prendre la tête des deux mains pour bien lui enfoncer dans la gorge. Je ne vais pas tenir longtemps, mais je savoure le fait de lui donner ma queue et qu’elle se goinfre, elle-même, avec elle comme une oie qui, sans vergogne, se gaverait volontairement. J’avoue, elle me dévore la queue comme une bonne petite pute.
— Alors, elle se débrouille bien la petite garce ? Tu as ce que tu voulais, mon cœur ?
Ophélie est appuyée contre le chambranle de la porte de la cuisine. Avec les yeux fermés, je ne l’ai pas vue arriver. Marion, qu’elle ait entendu ou pas, continue de m’astiquer le mat. Je regarde Ophélie sans rien changer à ma position :
— J’ai plutôt l’impression que c’est elle, qui a ce qu’elle voulait, mais oui, elle se débrouille très bien.— À te sucer comme ça, elle va la faire fondre. J’espère qu’elle va m’en laisser.— Ah, va falloir que tu viennes vite te servir alors, parce que j’ai pas l’impression, qu’elle te la laissera volontiers.
Ophélie se rapproche alors et vient se mettre à genoux, épaule contre épaule avec sa fille.
—--------
Cela fait plusieurs minutes qu’ils sont tous les deux dans la cuisine. J’ai beau me dire que je veux les laisser tranquilles pour que Marion ait les coudées franches, je n’y tiens plus, il faut que j’aille voir ça.
Je ne pensais pas les retrouver carrément comme ça. Ma gamine est à genoux devant mon chéri et elle le pompe avec allégresse. Laurent est tranquillement accoudé au lave-vaisselle et il se laisse sucer sereinement, les yeux fermés, la tête en arrière. Marion le branle franchement avec la main droite tandis qu’elle se tient à la jambe droite de Laurent et sa tête fait de puissants va-et-vient en avalant goulûment cette queue dont je suis censée être la seule propriétaire. Apparemment, ça n’est plus le cas et le plus rigolo, c’est que non seulement, je m’y attendais, mais qu’en plus, j’en suis ravie.
Une demie seconde, j’ai envie de taper un esclandre, mais je me ravise rapidement, je n’ai aucune envie de briser stupidement la magie de l’instant. Je préfère me contenter de petites remarques croustillantes avant de les rejoindre. Collée à ma fille, soumise comme elle, à genoux devant mon homme, notre homme, je ressens puissamment l’excitation qui est la sienne. J’écoute les bruits de succion de sa petite bouche sur la queue de mon mâle. Je regarde les mouvements de masturbation de sa main sur la hampe dure et dégoulinante de salive de Laurent qui gémit doucement sous les coups de langue de Marion.
Je décide d’enlacer la taille de ma fille de mon bras gauche pour faire corps avec elle. Je rapproche ma bouche des couilles du mâle et j’y pose ma langue comme je peux en essayant de calquer mes mouvements à ceux de ma petite garce. Marion s’arrête de sucer un instant tout en continuant de branler Laurent. Son menton est dégoulinant de salive et cette dernière coule même sur sa gorge. Un long filet de bave lui relie encore la bouche au gland congestionné qui se dresse fièrement. Ce mélange de leurs fluides m’excite au plus haut point.
— Je te la prête, mais c’est bien parce que c’est toi, me dit-elle.— Trop aimable de me prêter ce qui m’appartient, jeune fille.— Vous battez pas les filles, tant que vous vous occupez d’elle comme il faut, elle s’occupera bien de vos petites bouches et autres cavités le moment venu.
Je regarde Laurent. Il est ravi le bougre. Je prends sa queue en main. Elle est poisseuse de la salive de ma fille qui, elle, en profite pour reprendre son souffle. Je poursuis la branlette de cette bite qui est la mienne quand même et je l’enfourne dans ma bouche. Je sens tout de suite son volume, sa texture, sa chaleur. Ma langue s’enroule d’instinct autour du gland. J’aime ressentir les petits picots de chair qui encerclent sa base. J’aime qu’ils me chatouillent les papilles. J’imprime dans un premier temps de petits va-et-vient pour ensuite, naturellement, gober sa queue de plus en plus profondément. Au début, ma glotte avait quelques soucis pour accepter l’entièreté de son membre, mais désormais, je peux lui avaler la bite quasiment complètement. Je sais qu’il adore ça et surtout le fait que ça déclenche en moi une surproduction de salive qui dégouline de manière très excitante le long de ses couilles.
Cela me donne, comme à chaque fois, l’envie de les malaxer doucement. J’aime avec la pointe de mes doigts, lui caresser le périnée et lui chatouiller la rondelle et je sais que ça l’excite particulièrement. Je lui bouffe la bite tandis que ses mains se sont portées sur ma tête. Il aime me posséder, mais il le fait sans trop appuyer et je sais qu’il reste attentif en relâchant la pression quand je sens qu’il appuie trop.
J’oublie le temps qui passe et mon attention est tout aux sensations que je ressens en ayant ce corps chaud en bouche. Son volume, juste à la limite de mes capacités buccales. Sa longueur qui flirte avec ma gorge. Sa douce chaleur et le mélange de ma salive et de son petit jus, tout cela m’enivre. Ma propre chatte pulse dans ma culotte. Je sens sans les contrôler, mes hanches qui ondulent sous les vagues délicieuses de spasmes qui irradient de ma vulve.
Mon esprit se perd dans cette soumission sexuelle totale au mâle qui me surplombe.
— Maman, s’te plaît, laisse-moi-le finir.
Marion me sort de ma torpeur lubrique. C’est à contrecœur que je retire le manche de Laurent de ma bouche en libérant un flot de salive qui me dégouline sur le menton, sur la main, sur sa queue.
— Laisse-moi le boire. J’ai trop envie d’avaler son sperme, s’te plaît, s’te plaît, s’te plaît.— Oui, oui, vas-y, vide-le.
C’est avec un brin de frustration que je la vois se jeter sur la queue de mon homme. Je la comprends et je l’accepte.
— T’avales tout et tu le nettoies bien après, il adore ça.—-------
Je n’y fais pas attention. Maman est derrière moi. Je suis à peine consciente de ce qu’elle dit à Laurent. L’excitation, les hormones, l’ensemble des émotions qui me submergent ont oblitéré ma perception de l’environnement immédiat. À cet instant, mon monde se résume à ma bouche, sa queue, ses couilles. Mon but dans la vie, à l’instant T, c’est de le faire jouir dans ma bouche, de boire son lait, de sentir son sperme gluant se déverser sur ma langue et couler dans ma gorge.
Je ne veux qu’une chose, c’est qu’il me possède le corps en envahissant de sa semence mon tube digestif. Lui montrer qu’en le buvant, je deviens sienne comme maman.Même si sa présence décuple mon excitation, c’est presque la rage au ventre quand je la sens venir se coller à moi. C’est à regret que je lui cède la place, mais c’est avec une grande excitation que je la regarde de si près empaler sa bouche sur la bite de Lolo. Je n’ai pas de mots pour exprimer ce que je ressens de voir comment ma mère lui dévore la queue. Sûrement aussi goulue que moi, je la vois avide de sexe, les yeux fermés qui pompe et aspire la verge de notre mâle.
Après une ou deux minutes, je m’impatiente, j’ai peur. Je ne veux pas qu’il jouisse dans sa bouche à elle, mais dans la mienne. Je le veux son jus. J’ai trop fantasmé sur son goût, sur sa texture, sur la quantité. J’ai trop hâte de sentir les jets gluants que j’ai imaginés. J’ai trop envie de sentir ma bouche se remplir de son sperme chaud et visqueux.
— Maman, s’te plaît, laisse-moi-le finir.
Elle a compris et me laisse la place. Je retrouve la queue de Laurent comme un bébé retrouve sa tétine. Cette bite va devenir ma meilleure amie, mon doudou préféré et c’est réellement dans un mélange d’excitation et de réconfort que je reprends la verge de l’homme en main, que je me réapproprie son gland turgescent.Je vais le finir. Je me prends à comprendre que même si je suis soumise à ses pieds, esclave de ses mains qui se sont posées sur ma tête et qui m’impriment un rythme désormais violent, c’est moi qui lui donne le plaisir. C’est moi qui tiens, qui serre, qui branle, qui aspire ou lèche, qui engendre le va-et-vient. Je comprends le paradoxe esclave/maîtresse. Il est le maître de son côté qui reçoit le plaisir, mais je suis celle qui lui donne ce plaisir. Les rôles sont parfaitement imbriqués.
— Ne t’arrête plus Marion, tu vas avoir ce que tu cherches, me souffle-t-il dans un gémissement.
Laurent raffermit sa prise sur ma tête. Même si je suis celle qui engendre son plaisir, je sens bien qu’à cet instant, je ne suis plus qu’un orifice pour lui. Un trou dans lequel, il va déverser toute sa bestialité de mâle qui utilise une petite femelle docile.
Et c’est bien simple... J’adore. Je ne suis même pas honteuse de mon manque d’amour-propre, j’adore ce concept de n’être plus, pour quelques instants, qu’une femelle qu’un mâle utilise. Un réceptacle, un Graal qui va recevoir la quintessence de l’homme. À cet instant, c’est comme si Laurent me faisait don de ce qu’il a de plus précieux.
Soudain, un premier jet chaud, comme je l’imaginais, emplit ma bouche de sperme. Ma langue perçoit très rapidement la viscosité, le goût un peu salé de ce miel. Mes muqueuses se couvrent de cette substance gluante et pourtant bien liquide. J’ai à peine le temps de déglutir que plusieurs autres spasmes parcourent les hanches de Laurent tandis qu’il se vide les couilles dans ma gorge. Ses mains sont un étau dans lequel ma tête est prisonnière.
J’avale comme je peux cette semence. J’étouffe une seconde et je ne peux retenir une toux malencontreuse. Une charge de sperme ne passe pas dans ma gorge inondée et trouve le chemin de mon nez. J’éternue du sperme, je le sens qui me coule des narines. J’avale tant que je peux pour pouvoir respirer, je force l’air à franchir de nouveau mes narines et je sens son foutre qui m’inonde les naseaux en un gluant reniflement.
Je veux absolument, coûte que coûte, tout avaler, tout garder, tout m’approprier. Je suis gluante de partout. Le sperme de Laurent dévale ma gorge, obstrue ma bouche, calfeutre l’intérieur de mes narines, déborde aux commissures de mes lèvres. J’avale, je lèche, j’aspire, je déglutis, je renifle et éternue son jus.
Je suis aux portes de mon propre orgasme tellement je m’imprègne du sien et c’est dans un état second que je m’entends moi-même gémir, grogner. Je me sens aussi bestiale que lui. Je ne me sens plus la petite fille bien sous tout rapport, je ne suis plus la douce et espiègle Marion, je ne suis plus... qu’un animal, une femelle soumise, une petite chienne, une petite salope, une bonne petite pute... et j’en jouis fièrement. Qu’il est bon de s’abandonner à cet état que je ne veux pas voir s’arrêter.
Laurent finit toutefois par ne plus avoir de jus à me donner. Et tandis que son orgasme s’éteint doucement, je me décide à regret à régurgiter cette corne d’abondance pour passer les derniers instants à la nettoyer comme m’a demandé de le faire ma petite maman. C’est donc avec plusieurs coups de langue et quelques dernières succions bien appliquées que je lustre cette verge à demi molle. Je dois être pitoyable à regarder, mais j’éprouve une grande fierté d’avoir vécu ce moment avec ma mère à mes côtés.
—-----
J’explose comme rarement, je l’avais fait.L’alternance de leurs bouches, les rythmes propres à chacune, l’excitation de leurs présences simultanées ont décuplé mon orgasme.La volonté de bien faire de Marion et son envie de m’amener à l’éjaculation couplée à la connivence de la mère et de la fille engendre un cocktail incroyablement détonnant. Je me perds dans ce maelström fantastique de fantasme assouvi, d’interdits bravés et de limites franchies. Cette séance de fellations à deux bouches est ma première et j’entrevois le futur par le biais de cette porte que nous venons d’ouvrir à trois.Marion se remet de cette pipe incroyable tandis que sa mère la regarde mi-amusée mi-envieuse. Moi, mis à part l’orgasme que je viens de vivre, je me délecte de voir ces deux femelles à mes pieds. Je viens de mettre en place ce dont j’avais rêvé, conquérir mes deux petits bouts de femmes et je sens que les prochaines réjouissances vont être particulièrement torrides.
— Je pense qu’on va avoir besoin d’une pause, surtout Marion, non ?— Euh... ouais. J’ai besoin d’aller me débarbouiller un peu, je crois, répond-elle.— Elle en a même fait ressortir par le nez, surenchérit sa mère.— On repasse dans le salon, dit Ophélie. J’ai mal aux genoux sur ce carrelage.— Oui, il faut que je me pose aussi, vous m’avez achevé toutes les deux.— Je vous rejoins, je vais sous la douche, ça sera plus rapide, je suis gluante de partout.— De partout ? relevais-je.
Pour toute réponse, Marion me tire la langue avec des yeux pétillants comme jamais avant de disparaître.
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