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L'ordre du chaos

Chapitre 3

L'assistante

Hétéro
Chapitre 3 : L’assistante
Je travaille dans mon bureau comme je le fais tous les jours. La journée a été longue, j’ai un peu mal à la tête. J’ai bien mérité une bonne petite pause. J’ai besoin de distraction, par chance, j’ai la personne idéale sous la main pour ça :
— Eliana !—
L’elfe blonde fait immédiatement son apparition dans la pièce. Plus que mon assistante, c’est mon jouet. Je ne manque jamais d’idées perverses pour m’amuser avec elle :
— Vous m’avez fait demander, maître ? fait-elle.— Oui, viens par ici.
Elle s’approche de moi, restant silencieuse, attendant mes instructions :
— Tu t’es masturbée dernièrement ?— Non.— Tu as couché avec quelqu’un ? — Non. J’ai suivi vos instructions à la lettre, je n’ai eu aucun orgasme.— Rappelle-moi depuis combien de temps c’est ainsi ?— Plusieurs semaines.— Tu as envie de jouir ?— Oui, terriblement.— C’est très bien, tu peux t’en aller.
Elle hésite un instant, me fixant avec désespoir, avant de prononcer :

— Maître...— Quoi ?!— S’il vous plaît... Je n’en peux plus...— Qu’est-ce que tu veux ?— Je veux jouir... Je vous en supplie...— Tu es sûre que tu l’as mérité ?— J’ai été sage, j’ai fait tout ce que vous m’aviez demandé.— Hmm, c’est vrai. Bon, d’accord, je te donne le droit de te masturber. — Merci ! Merci ! Maître ! bondit-elle de joie. Je peux y aller tout de suite ?— Non.— Maître, s’il vous plaît... j’attends ça depuis trop longtemps... J’ai besoin de me caresser. — Dans ce cas, fais-le.— Comment ça... ici ?— Oui, ici, devant moi, tout de suite.
Elle rougit en me lançant un regard coquin.
— Vas-y Eliana, montre-moi comment tu te masturbes.
Perverse et sans pudeur, elle est bien trop heureuse de s’exécuter. Elle relève sa jupe puis grimpe sur mon bureau face à moi. Elle écarte les cuisses pour me montrer sa délicieuse petite chatte glabre qu’elle caresse sans attendre. Je m’installe confortablement dans mon siège pour la mater. J’essaie d’afficher un air impassible pour lui cacher mon excitation. Elle soupire et gémit bruyamment. Elle joue furieusement avec son clitoris.
— Oooh, maître, ouiii...
Son plaisir monte un peu trop vite à mon goût. Lorsqu’elle ferme les yeux, je sens qu’elle n’est plus très loin de venir :
— Oh ! Oui ! Oui !— Stop ! lui fais-je.
En bonne petite soumise, elle s’arrête tout à coup, haletante et frustrée.
— Je t’ai autorisé à te masturber, mais pas à jouir, lui fais-je. Tu ne jouirais que quand je te le dirais, c’est clair.— Maître... me supplie-t-elle. — Caresse-toi.
Elle m’obéit. Cela doit être une torture pour elle. Prendre du plaisir, mais devoir se retenir, après toutes ces semaines. Elle m’offre néanmoins un véritable show. Je bande tellement fort que je ne peux plus prétendre en être insensible. Je sors ma queue et me branle en la regardant. Ses yeux ne s’en détournent plus. Elle doit fantasmer sur toutes les choses que je pourrais lui faire. Elle s’en enfonce même des doigts pour mieux se l’imaginer. Elle mouille si fort qu’elle en tache mon bureau. Je la réprimande. Elle s’en excuse, mais est incapable de s’arrêter. On entend des bruits de clapotis causés par ses va-et-vient. Ce que c’est beau de voir une femme en manque en train de se donner du plaisir. Je me régale du spectacle pendant plus d’une dizaine de minutes. Elle parvient à se contrôler durant tout ce temps, mais à la fin, je la sens sur le point d’exploser malgré son interdiction :
— Stop ! fais-je avant qu’il ne soit trop tard.— Maître... pitié... Laissez-moi jouir...— Tu veux jouir ?!— Oui...— Raconte-moi comment ? Et je te donnerais peut-être ce que tu veux. — Je voudrais que vous me baisiez, fort, comme votre pute. Que vous me défonciez avec votre queue. — Tu veux ma bite ?— Oui...— Alors tu vas l’avoir. Mais prépare-la avant, suce-moi.
Elle doit être écœurée, mais contente malgré tout de se rapprocher de son but. Je me relève tandis qu’elle s’allonge sur mon bureau la tête en avant et les jambes relevées. Je suis juste à la bonne hauteur pour lui présenter mon dard. Elle l’avale et se sert uniquement de sa bouche pour me faire du bien. Elle bave beaucoup pour me lubrifier.
— C’est bien Eliana, tu te débrouilles très bien.
Je passe une main sur ses fesses bien rebondies, elle a un cul à réveiller les morts. J’enfonce un doigt dans sa raie, elle gémit de bonheur. Je ne l’ai jamais prise par-là, mais après avoir m’être amusé avec les succubes l’autre jour, j’ai envie de lui élargir le cratère.
Je joue toujours les salauds impassibles, mais en réalité, je suis aussi impatient qu’elle de passer à l’action. Elle est belle, elle est chaude, elle m’excite, et elle n’est rien qu’à moi. Je la saisis par la tête et me mets à lui baiser la bouche. Elle se laisse faire et je l’utilise comme un vulgaire trou à bite. Je la force à me faire une gorge profonde. Elle tousse pour reprendre son souffle lorsque je la libère :
— Tu veux que je te baise ? — Oui maître.— Maintenant ? Tout de suite ?! — Oui maître ! — Alors je vais te baiser, Eliana. Et tu vas pouvoir jouir aussi fort et aussi souvent que tu en as envie. Tu n’as plus à te retenir. Présente-moi ta chatte que je te saute comme un animal. — Oh oui ! Oui !
Elle se remet dans sa position précédente : jambe écartée, la chatte au bord du bureau. Je l’attrape par les cuisses et m’apprête à la pénétrer. Je tapote ma bite sur son vagin pour la frustrer un peu, puis je m’enfonce en elle d’un seul trait.
— Oh ! Oui ! geint-elle.
Je la pilonne tout de suite. Les préliminaires ont été assez longs pour encore faire preuve de retenue. Cela m’avait manqué, l’interdire de sexe m’a autant fait de mal à moi qu’à elle. Son frêle corps fragile me donne envie de la ravager. Je la débarrasse de son haut transparent pour avoir accès à ses petits seins. Ils sont si adorables, je leur presse les tétons. Elle gémit comme une dingue qu’on pourrait l’entendre dans tout le château, si la pièce n’était pas insonorisée pour assurer la confidentialité des entrevues qui s’y tient. Nous avons à peine commencé qu’elle jouit déjà une première fois :
— Aaaaah ! Oui ! Cela faisait si longteeeeeeeeemps !
Je ne la laisse pas récupérer, je l’utilise comme bon me semble. Après tout, elle n’est que mon vide-couilles. Même si elle est un peu plus que ça, car je ne l’échangerais contre personne d’autre. Elle est unique, fantastique.
Je m’assieds sur mon siège et lui ordonne de me chevaucher. Elle bondit sur ma bite pour se l’enfoncer jusqu’à la garde. Je passe mes mains dans son dos pour la coller contre moi. Je lui mordille les mamelons. Elle est à moi, elle est ma chose, je la veux tellement. Je pourrais passer sur toutes les prostituées de Farah, je reviendrais toujours vers elle.
— T’aimes ma queue, salope ? — Oh oui ! C’est la meilleure du monde ! Je suis son esclave. Elle est tellement grosse ! Et pourtant, j’en ai vu passer des orques !
Peu après, elle atteint son second orgasme. Elle s’effondre sur moi, mais je n’en ai pas terminé. Je la fais s’allonger sur le ventre sur mon bureau, le cul bien relevé. Sa chatte dégouline d’impatience. Je l’allume un peu en lui donnant quelques fessées, puis je m’enfonce à nouveau au fond d’elle. Je la lime à puissants coups de bassin qui lui arrachent un cri à chaque fois, je la presse par le cou pour l’empêcher de pouvoir se redresser. Je suis si violent qu’elle en décolle les jambes dans le vide.
— Oui ! Oui ! Oui ! m’encourage-t-elle.
Je la fais jouir une troisième fois avant de passer au plat de résistance. Je sors de sa chatte et pointe mon engin vers son petit trou :
— Oh oui ! Oh oui ! Prenez-moi par-là, depuis le temps que j’attends ça !
Je vois que je n’ai aucun scrupule à avoir. Je lui pénètre l’anus et me fiche doucement tout au fond. Elle lâche un ronronnement sans équivoque. Elle est tellement serrée, c’est un délice. J’attends un peu qu’elle s’habitue à ma présence avant de démarrer mon va-et-vient. J’y vais d’abord doucement, puis augmente le rythme au fur et à mesure que je prends de l’assurance. Bientôt, je lui ramone le cul comme je lui défonçais la chatte. Elle se remet à gueuler :
— Ah ! Oui ! Encore ! Plus fort ! Utilisez-moi, maiiiiiiiiiitre ! — Tu aimes ça ? Qu’on t’utilise ? — Ouiiiiiiii !
Je suis une brute. Mon bureau tremble à chacun de mes assauts. Elle est obligée de s’accrocher aux bords. Je la tire par les cheveux, elle a les yeux révulsés, et les jambes de nouveaux en l’air. Je prends un malin plaisir rien qu’à voir mon sexe lui dilater le fion.
Ce manège dure inlassablement, je ne compte plus ses orgasmes. Pour quelqu’un qui s’est retenu aussi longtemps, je n’ose imaginer le bonheur qu’elle doit ressentir. Elle doit se dire que cette attente en valait la peine. C’est une véritable salope, une machine à jouir qui ne pense qu’à se faire envahir par de la pine. Je n’avais jamais vu de femmes se comporter comme une telle traînée. J’aime la voir comme ça, la pervertir, en faire un sac à foutre. C’est pour peut-être ça que Jezabel m’a choisi, elle a vu combien je pouvais être un salaud. J’ai enfin trouvé ma véritable nature, et prends un malin plaisir à l’exprimer sans retenue :
— C’est ça que tu voulais, salope ?!— Oh oui ! Oui !— Te faire enculer comme la dernière des putes ?!— Ouiiiiii !
Je la fais beugler une dernière fois quand j’estime qu’il est temps d’en finir. Je n’en peux plus, j’ai atteint ma limite :
— À genoux, je vais juter sur ta gueule.
Elle est à bout de souffle, je dois l’aider un peu pour qu’elle s’exécute. Je la maintiens par ses cheveux blonds en me branlant devant son nez.
— Ce que tu vas prendre, salope !
Elle ouvre la bouche en sortant la langue sans que je lui commande. C’est une invitation de trop, je lui enfonce mon chibre dans le gosier et elle se met à me sucer toute seule sans se servir de ses mains :
— Vas-y, pompe-moi, finis-moi, l’encouragé-je.
Elle me fait une gorge profonde, elle cherche vraiment à me traire. Il ne me faut pas longtemps avant de me sentir venir :
— Aah ! Je vais jouir ! Prépare-toi !
Elle se remet comme avant, prête à me recevoir. Je m’astique encore quelques secondes avant de lui envoyer une première giclée en plein visage. Elle ferme les yeux par réflexe. Je la souille d’autres jets, mon sperme coule sur son nez et ses joues. Je lui donne tout ce que j’ai en grognant :
— Aaah ! Ouiii ! Sale petite traînée !
Quand je n’ai plus rien à tirer, elle gobe mon sexe pour en aspirer les dernières gouttes. Elle avale tout ce qu’elle peut, je gémis de plaisir. Elle me suce ainsi longuement jusqu’à ce que je redevienne mou. Ce n’est qu’après avoir recraché ma queue qu’elle se nettoie les yeux afin de pouvoir les rouvrir. Elle peut enfin constater le carnage que j’ai fait. Elle a du foutre qui lui tombe du menton jusqu’aux creux de ses seins. Je voudrais pouvoir toujours la voir comme ça :
— Alors, ça t’a plu ? Tu as eu ce que tu voulais ? lui fais-je.— Oui, maître. Merci, maître. — Tu m’as bien servi. En récompense, je te retire l’interdiction de coucher avec quelqu’un d’autre. Temporairement du moins.— C’est vrai ? s’engoue-elle. — Oui.— Merci maître ! — Va, maintenant. J’ai du travail qui m’attend.
Elle quitte la pièce toujours à poil, à moitié couverte de sperme.
Depuis, je la démonte presque tous les jours. Je n’ai plus raison de me retenir maintenant que je ne cherche plus à la frustrer. Je prends un pied d’enfer. J’ai eu pas mal de partenaires dans ma vie, mais elle est clairement la meilleure, de près avec les succubes. J’ai beaucoup de chance de l’avoir trouvée. J’avais besoin de quelqu’un comme elle. Ce boulot a beaucoup de pression, et avec Jezabel qui s’amuse en plus à jouer avec mes nerfs ou qui se sert de moi comme familier pour que je lui fasse des cunnis, j’ai vraiment des moments où j’ai besoin de me soulager sur quelqu’un. Je passe mes nerfs sur elle en la remplissant par tous les orifices.
— Eliana ! fais-je un soir, fatigué d’être à mon bureau.
Elle se présente devant moi comme à son habitude, attendant mes instructions. Je fais semblant d’à peine lui accorder mon attention.
— Alors, tu as couché avec quelqu’un d’autre que moi, dernièrement ?
Elle est surprise par ma question. Elle aurait certainement envie de me répondre par un « cela ne vous regarde pas », mais elle n’en a pas le droit.
— Oui, maître, rougit-elle.
Cela ne me dérange absolument pas. Ce n’est pas la jalousie qui me motive. Il n’y a aucun lien qui nous unit, et je lui en ai même donné l’autorisation après tout :
— Qui était-il ? — Ils... ils... étaient deux.— Vraiment ? — Je ne sais pas qui ils étaient. C’était des gardes que j’ai séduits à la taverne. — Petite coquine... Je veux tous les détails.— Tous ? — Tous... Raconte-moi. Que leur as-tu fait ?— Nous avons loué une chambre, et j’ai commencé par les sucer.— Tu as aimé ?— Oui, ils en avaient des belles.
À ces mots, je sors ma queue pour commencer à me masturber en écoutant son récit.
— Cela t’a fait mouiller la chatte ?— Oui, elle était trempée.— Tu les as sucés ensemble ou séparément. — Parfois ensemble, parfois séparément. J’en branlais toujours un quand je pompais l’autre.— Je te sens excitée, tu as envie de te caresser en y repensant ?— Je... oui...— Vas-y, n’ai pas peur. Tu en as le droit.
Elle hésite un instant, puis elle glisse une main discrètement sous sa jupe.
— C’était la première fois que tu faisais ce genre de choses ? — Non. — Tu sais que tu es une salope ?— Je le sais, j’adore ça.— Tu mouilles, là ? — Oui. — Que s’est-il passé ensuite ?
Elle parle moins vite, ses phrases sont parsemées de gémissements :
— L’un d’entre eux s’est montré impatient, il m’a mise à quatre pattes et m’a enfourchée par derrière. — Par le cul ou par la chatte ?— La chatte.— Tu as continué de sucer l’autre ? — Oui. J’étais prise des deux côtés, cela me faisait fondre. — Et après ?— Ils m’ont baisée comme des salauds en échangeant leur place régulièrement. Nous avons changé plusieurs fois de positions, jusqu’à ce qu’ils me fassent jouir. — Te connaissant, tu en as voulu encore, n’est-ce pas ? — Oui... De toute façon, ils étaient loin d’en avoir fini. Ils m’ont prise encore et encore. Ils m’ont rendue folle !
Je m’astique de plus en plus vite en m’imaginant la scène :
— Tu les as suppliés de te prendre plus fort ?— Oui. Mais ce n’était toujours pas assez. J’en voulais toujours plus.— Plus ?— Oui. Alors, je leur ai carrément demandé de me prendre par le cul. — Ils l’ont fait ? — Oui, ils m’ont enculée comme une chienne et j’ai adoré ça.
Je ne vois rien de ce qui se passe, mais elle semble se doigter furieusement en me racontant son histoire.
— Et après ? Ils t’ont fait jouir ?— Oui. Mais j’en voulais toujours plus...— Encore ?! — Oui. Alors je leur ai demandé... de me prendre tous les deux en même temps...— Salope...— Ils m’ont soulevée et ils m’ont prise debout, l’un par le cul, l’autre par la chatte. Ils m’ont traité de tous les noms, de pute, de chienne, de salope. J’en ai adoré chaque mot. Ils m’ont fait hurler de plaisir, coincée entre leurs deux corps chauds. — Ils t’ont remplie de foutre ?— Non, je les ai suppliés de jouir sur moi quand ils avaient envie de se finir, ce qu’ils ont fait, après que j’ai eu besoin de les resucer un peu.— Où est-ce qu’ils t’ont éjaculé dessus ? Sur le visage, ou les seins ? — Partout. Ils m’ont couvert de foutre. — Tu as aimé ça ?— J’ai adoré. Leurs queues étaient bien juteuses. — Et ensuite ? — Ils se sont rhabillés et ils sont partis. Moi, je suis resté encore un moment, j’avais besoin de jouir une dernière fois alors je me suis masturbée. — Après t’être rhabillée aussi ? — Non, nue, toujours couverte de semence d’orques.— Putain de merde, Eliana. Si tu avais encore besoin d’un coup de bite, fallait m’appeler, je serais venu volontiers. — J’y penserai la prochaine fois, maître. — Il n’est pas trop tard pour y remédier. Avec ce que tu viens de me raconter, je suis terriblement excité. Crois-moi, tu vas prendre cher. — Oh oui, maître, j’ai encore besoin qu’on me souille !
Je l’assieds sur le bureau, lui relève sa jupe, et m’enfonce en elle d’un trait. Je la baise et l’encule pendant une vingtaine de minutes jusqu’à ce que j’éjacule dans son cul. Elle en a joui plusieurs fois. Eliana... tu es la plus perverse des elfes, mais c’est pour ça que je t’adore.
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