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L'ordre du chaos : saison 2

Chapitre 4

La guerre se prépare

Divers
Chapitre 4 : La guerre se prépare

Après plusieurs mois de travail, ma collaboration avec Cubi arrive enfin à son terme. Elle a l’air satisfaite. La bibliothèque regorge de nombreux livres rares et elle a tout ce qu’il lui faut pour ses expériences. En attendant, elle n’a pas perdu de temps. Elle a beaucoup recruté au fils des semaines et elle est parvenue à réunir une bande de sorcières démones adeptes de la magie la plus noire.
Comme une bonne nouvelle ne vient jamais sans un nouveau malheur, Yezabel m’a fait convoquer. Cela faisait longtemps qu’elle ne m’avait plus tenu au courant de l’avancée de ses conquêtes, et les choses ne vont manifestement pas bien. Elle a essayé de se faire discrète le temps de constituer une véritable armée, mais après le coup de Monalite, les humains ont compris que le royaume était attaqué par autre chose que de simples bandits organisés, le roi a appelé ses vassaux pour partir à la guerre. Ça sent mauvais, ils savent beaucoup trop de choses sur nous. Ils sont au courant pour Yezabel, et ils connaissent la position du château. Une armée se rassemble et foncera bientôt sur nous. Il n’y a rien qu’elle puisse faire pour l’en empêcher ou ralentir sa progression. Au mieux, nos ennemis perdront un peu de temps en essayant de reprendre Monalite. Au pire, ils se dirigeront directement ici. Ma maîtresse compte bien les recevoir et me charge de préparer au mieux les défenses.
Elle tient aussi à ce que ce soit moi qui sois aux commandes lorsque nous serons en état de siège. Je comprends mieux désormais. Elle savait que cela arriverait depuis le début, c’est pour ça qu’elle m’a choisi. Je ne suis pas un grand général ni même un bon combattant, mais je sais comment défendre des remparts et protéger une ville. Je n’avais jamais pris cet aspect très au sérieux jusqu’à présent durant les rénovations, je commence à regretter mon choix. Elle estime qu’il reste sans doute encore quelques mois avant que l’armée ne soit prête et n’atteigne le château. Ça va faire court, pourvu que ses espions ne se trompent pas.
Bien sûr, elle me demande de garder tout cela secret, il ne faut pas créer de panique. J’ai tout de même peur que les gens se rendent compte de quelque chose quand je commencerais à faire stocker les vivres et que je me concentrerais sur le renforcement des murs. Il va falloir que je réfléchisse à des moyens de me débarrasser de leurs futures armes des sièges aussi. Je me demande si la magie ne pourrait pas nous pour ça. Et merde, je vais devoir retourner voir Cubi. Notre salut à tous est peut-être entre ses mains.
Le timing n’est peut-être pas si mauvais. En travaillant sur mes précédentes tâches, j’ai pu avoir accès à des manuscrits rares et parler avec des experts. J’ai pu ainsi fortement avancer dans mes recherches sur la malédiction d’Helena durant mes temps libres. Je pense avoir trouvé un remède, il ne me reste plus qu’à lui en parler. Je me sentirais plus soulagé de la savoir libre. Bien sûr, je réalise ce que cela implique. Une fois qu’elle sera de nouveau elle-même, plus rien ne sera pareil. Je crains même qu’elle me haïsse pour tout ce que je lui ai fait. Je n’ai pas été tendre avec elle, je l’ai traitée comme une merde, sauf que ce n’est pas parce que j’en ai bien profité que j’ai envie qu’elle reste comme ça. Aussi salaud que je puisse être, je sais que c’est la meilleure chose à faire. Je suis prêt à assumer les conséquences de mes actes.
Je rentre dans mes appartements et nous avons une conversation tous les deux. Je lui dis que je sais comment la délivrer et je me prépare à lancer le sort :
— Non, attends, arrête, m’interrompt-elle.— Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? — Je... je ne suis pas sûre de vouloir faire ça.— Qu’est-ce que tu racontes ?!— Je ne suis pas malheureuse Manaël. Je suis bien comme ça. — Tu ne sais pas ce que tu dis. Tu es une dame noble au cœur de guerrière. Tu ne peux pas être heureuse à être traité comme une pute qui me sert de sac à foutre. — Et pourquoi pas ? J’ai peur Manaël. Je n’ai pas envie de redevenir moi-même. Et si tout à coup, je ne supporte pas ce qui s’est passé ? Qu’est-ce que je vais ressentir pour Monalite ? Pour mon père ? Pour toi ? Comment vais-je continuer de pouvoir vivre ici sachant pour Yezabel ? — Helena... tu ne peux pas non plus passer ta vie à baiser et à enchaîner les orgasmes... — Peut-être pas. Mais pour le moment, c’est ce que je veux. S’il te plaît, ne le libère pas.
J’ai le cœur déchiré. Je sais bien que cela ne sera pas facile pour elle si je le fais. J’hésite. Puis-je vraiment la considérer comme assez lucide pour être capable de prendre d’elle-même une décision d’une telle importance ? Ou ai-je le devoir de décider à sa place ? Qu’est-ce qui est le mieux pour elle ? Ne sachant que choisir, je choisis de ne rien faire du tout. Je vais respecter ce qu’elle veut. Nous pourrons de toute façon ravoir cette discussion plus tard.
***
Je me réveille avec d’étranges souvenirs de la veille. Ai-je rêvé ou est-ce vraiment arrivé ? J’ai eu un pénis ? Et j’ai... joué avec pendant des heures ? J’ai un curieux réflexe de vérifier mon entrejambe. Tout a l’air en ordre maintenant en tout cas. En me levant, je constate à quel point mes draps sont souillés. Tout était donc bien réel. Ce que j’ai honte, j’ai vraiment dormi là-dedans ? Ces choses que j’ai faites, ces pensées que j’ai eues. Je me sens sale, souillée, rongée par la culpabilité.
Je reprends ma vie normale pour essayer d’oublier cet épisode. Ce n’est rien, ce n’était qu’un sortilège, une malédiction. Ce n’était pas vraiment moi. Je ne suis pas comme ça. J’ai néanmoins désormais l’angoisse de recroiser cette Cubi à chaque fois que je me retrouve seule dans un couloir. Ce n’est pas possible de continuer à vivre comme ça, je vais finir par devenir folle !
Plusieurs jours plus tard, alors que je viens de rentrer claquée de mon travail, quelqu’un toque à ma porte. Je sursaute. C’est la première fois que cela arrive depuis que je suis ici. J’ouvre avec appréhension. C’est Trask, mon mari. Comment a-t-il su me trouver ?
Même si je n’ai pas du tout envie de lui parler, je reste polie et le fais entrer. Il n’est pas difficile de deviner pourquoi est là. Il me demande pardon, il dit qu’il est désolé, que cela n’aurait jamais dû se produire et que cela ne se reproduira jamais, qu’il m’aime, bla bla bla. Bien sûr, j’y ai beaucoup réfléchi ces derniers temps. Je n’ai même pensé qu’à ça. Et non, c’est au-dessus de mes forces. Notre mariage était sacré à mes yeux. Notre amour était tout. Comment je pourrais de nouveau avoir confiance en lui désormais ? Il tente de se justifier en prétendant que Yezabel lui a jeté un sort. C’est censé me rassurer que cela ne se reproduise pas à nouveau ? Ce n’est qu’un sale porc. Faire ça avec une démone en plus, celle qui a ruiné nos vies. Comment veut-il que j’oublie tout et qu’on reprenne nos vies comme si de rien n’était ? Si nous étions toujours chez nous, je demanderais le divorce sur-le-champ.
Il essaie de me convaincre que j’ai juste besoin de temps, qu’il sera là pour moi lorsque je changerai d’avis. Ce culot de croire que je vais juste passer l’éponge. Oui, il me manque, mais c’est surtout l’homme que j’ai connu qui me manque. Pas celui qu’il est devenu. Je le fiche dehors, complètement hors de moi.
Cet accrochage me fait rappeler que je ne suis pas moi-même non plus sans défaut. J’ai également quelque chose à me faire pardonner à quelqu’un. Malgré ma fatigue, je trouve le courage d’aller à la taverne. Il faut que je parle à Ana. J’ai peur de sa réaction quand elle me voit arriver. Pas de regard fâché ni de paroles agressives pour me chasser. J’imagine que c’est plutôt bon signe ? Je lui demande si elle a une minute à me consacrer. Elle accepte bien qu’elle soit débordée. Apparemment, elle ne m’a pas remplacée. Je lui présente mes excuses pour ce que je lui ai dit et pour l’avoir jugée de cette façon. Elle a cette façon étrange de me sourire :
— Ne t’inquiète pas pour ça, ma belle. Je me doute bien que tu ne le pensais pas. Tu vivais des moments difficiles. Il n’y a rien à pardonner, c’est déjà tout oublié. Je regrette juste... que tu ne sois pas venue plus tôt. Je pensais que tu serais revenue le lendemain. J’étais assez inquiète. — Désolée. C’est vrai, j’aurais dû. — Allez, je t’offre un verre pour célébrer ça. Qu’est-ce que tu veux ? — Non. Rien, merci. Ça ira. Dis. Tu crois que... je pourrais revenir travailler ici ? — Ça... cela ne dépend pas de moi. Je t’avoue que ne te voyant pas revenir, j’ai essayé de prendre de tes nouvelles. On m’a dit que tu étais une femme de chambre maintenant. Ça m’a fait mal au cœur. Je ne demanderais pas mieux que tu reviennes, mais il faudrait pour ça que tu aies l’autorisation de ta patronne.
Alors là, je doute l’avoir un jour. Même si cette dernière acceptait, Yezabel ne me laisserait jamais partir. C’est à elle que je vais devoir m’adresser si je veux m’en aller, et je n’ai pas le courage de l’affronter. Elle n’y verrait qu’une occasion de plus pour me tourmenter.
— Hey, dans tous les cas, tu es la bienvenue ici. Je t’offrirais toujours gratuitement le gite et le couvert, cadeau de la maison. Enfin, tant que tu restes raisonnable.— Merci, souris-je. La voir m’accueillir de cette façon me remonte le moral. Je ne le mérite pas.
Pour la remercier de sa gentillesse, je reste encore quelques heures pour l’aider un peu. C’est idiot, mais je me sens heureuse pendant quelques instants. Je réalise que cela me manquait plus que je n’osais me l’avouer de jouer les serveuses. L’endroit, l’ambiance. J’ai même appris à me débarrasser toute seule des clients difficiles avec le temps. Je finis tout de même par abandonner Ana bien avant l’heure de la fermeture. Elle me fait savoir qu’elle était heureuse de me revoir. Je lui dis que moi aussi. J’étais déjà éreinté par mon travail de jour, je le suis encore plus maintenant. Je m’effondre sur mon lit et trouve le sommeil presque tout de suite.
Le jour suivant, je me réveille en sentant clairement qu’il m’aurait fallu encore plusieurs heures de sommeil. Je n’ai malheureusement pas le choix, je dois y aller. Je m’occupe aujourd’hui de chambres dans l’aile des invités. C’est la pire des tâches : non seulement elles sont immenses, mais en plus, je ne sais pas ce qu’ils font là-dedans, mais c’est toujours le foutoir. Je découvre parfois des trucs que j’aurais préféré ne jamais découvrir. Beurk.
L’après-midi, j’ai à nouveau cette sensation qu’on m’observe à mon insu. Cela faisait longtemps que cela ne m’était pas arrivé...
— Cubi ! m’écrié-je. Montre-toi ! Je sais que tu es là ! — Je n’ai jamais su être très discrète, entends-je soudainement une voix venant juste de derrière moi.
Je me retourne en sursaut. Comment est-ce qu’elle fait ça ?!
— Arrête de me suivre, laisse-moi tranquille ! — Mais alors comment pourrais-je avoir des nouvelles de ma petite expérience ? Dis-moi petite souris. As-tu apprécié mon cadeau ? Combien de fois l’as-tu utilisé ? Combien de temps cela a-t-il duré ? — Non, je n’ai pas du tout aimé votre « cadeau » ! Vous n’aviez pas le droit de me faire ça ! Je n’ai rien demandé ! — Un cobaye ne demande jamais rien. Il subit, c’est tout. Tu dis ne pas avoir aimé ? C’est étrange, tous les autres m’ont rapporté avoir passé le meilleur moment de leur vie. Nous devrions peut-être réessayer, quelque chose a dû mal se passer.— Non ! Ne me touchez pas ! Je ne veux rien avoir à faire avec vous ! Je veux juste qu’on me laisse TRANQUILLE ! — Tu es encore si tendue... Alors que je cherche juste à t’aider. Ce n’est pas très gentil de me parler comme ça. Tu as besoin de te soulager, de te détendre. Et je sais exactement comment faire. — Non ! Je n’ai pas besoin de vous ! Je sais exactement comment me débrouiller toute seule ! Allez jouer avec vos autres « cobayes » si ça vous chante, mais laissez-moi dehors de ça !— Ce n’est pas comme si je te donnais le choix, sourit-elle avant de faire mine de s’en aller comme la dernière fois.
Cette fois, je la suis. Pour le moment, je me sens bien, mais je suis sûre qu’elle m’a relancé son sort et que je deviendrais bientôt incontrôlable. C’est qu’elle va vite, la garce, on dirait qu’elle flotte dans l’air. En pressant le pas pour ne pas la perdre, je me touche rapidement l’entrejambe. J’avais raison, la bosse est là. Non, non, non, non. Pas encore ! Il faut qu’elle m’enlève ça ! Mince, elle a disparu à un croisement. J’entends son rire, je décide de poursuivre dans cette direction. La route m’emmène dans les tréfonds du château. La dernière fois que j’étais dans les sous-sols, j’étais enfermée dans les geôles. De couloirs luxueux, je suis passée à des allées humides de pierres froides. Je l’ai de nouveau perdue de vue, mais j’entends qu’une porte vient de se refermer. C’est elle, j’en suis sûr, elle est là. J’en force la poignée. C’est verrouillé. J’insiste en toquant comme une forcenée. Elle s’ouvre. J’avais raison, c’est Cubi qui se trouve derrière :
— Pourquoi me suis-tu, petite souris ?— Vous avez recommencé ! Je veux que vous m’enleviez ça !
Je pousse la porte pour entrer. Je découvre une pièce qui ressemble à un laboratoire. Des étagères pleines de récipients aux contenus étranges, tout un nécessaire pour faire des potions avec des alambics et des mortiers sur une table, et tout plein d’appareils bizarres que je n’ai jamais vus. Si c’est assez étroit, cela reste tout de même assez cossu pour une pièce perdue dans les sous-sols. Il y a des canapés de cuir rouge comme on en trouve dans les appartements de riches. Il y a même un double lit aux tentures de soie. Est-ce que c’est ici qu’elle vit ?!
— T’enlever quoi ? Mon cadeau ? — Oui !— Pourquoi voudrais-tu une chose pareille ? N’as-tu pas envie de connaître le plaisir ? L’orgasme ? — Non ! — Mais tout le monde aime ça ! — Pas moi !— Tu n’es pas très honnête avec toi-même, petite souris. De toute façon, je ne peux rien pour toi. Il n’y a qu’une seule façon pour se débarrasser de mon cadeau, et tu sais très bien de quoi je parle.— Non... non... ce n’est pas possible...
Je ressens déjà les effets. Je bande. J’ai une furieuse envie de me masturber, d’éjaculer. Là, maintenant, tout de suite, même devant cette Cubi s’il le faut.
— Allons, détends-toi. Laisse-toi faire. Tu sens ce besoin naitre au fond de tes entrailles, n’est-ce pas ? Abandonne-toi à lui. Tu sais que c’est si bon.
Merde. Merde. Je reperds la tête. Je n’arrive plus... penser... Il faut que je rentre chez moi. Mais si loin, trop loin. Je pourrais peut-être... au moins une fois...
— Oui... oui... m’encourage mon bourreau, lorsque je relève ma jupe pour libérer cette chose qui me sert de pénis.
Je m’installe contre un mur et me mets à le caresser. Ooh. Oui ! Là, ça va mieux. Cela devenait vraiment insoutenable. Il est si gros que je peux le prendre à deux mains. Comme cela, ça devient vraiment bon.
— Aaaaaah, gémis-je. — Alors, on n’est pas mieux comme ça ? — Siiiiiii...
Il y a du sperme là-dedans, et il faut que je l’expulse comme un poison, c’est le seul remède qui me permettra de me sauver. J’ai honte de faire ça devant quelqu’un, je ne peux juste pas résister. Je deviens folle si je n’essaie pas de me masturber.
— C’est bon, n’est-ce pas ? insiste-t-elle. Dis-moi ce que tu ressens.— J’ai envie... de baiser !— De baiser ? Comment ?— Avec ma bite !— De l’enfoncer dans une chatte ?!— Oui !
Par les divins, ces mots, je ne me reconnais pas :
— Je peux t’aider pour ça aussi, tu sais. Regarde-moi. Il s’avère par le plus grand des hasards que je dispose d’un vagin. Tu ne voudrais pas utiliser ton engin sur moi ?— Je... non !
Elle est folle de proposer ça ! Je ne vais tout de même pas... avec elle !
— Tu es vraiment sûre ?
Elle fait glisser les bretelles de sa robe sans attendre ma réponse et la fait tomber à terre. Elle est nue, elle ne portait rien en dessous. Bon sang, je crois que je bande encore plus fort. Je n’ai jamais été intéressé par les filles auparavant, pourtant je la trouve belle, attirante. Elle a un beau corps de femme malgré ses quatre bras, ses seins tombants sont bien plus gros que les miens. Elle aussi a une énorme anomalie : comme moi, elle a un pénis sans testicules entre les jambes.
— Je sais à quoi tu penses, petite souris, dit-elle. Non, je n’ai pas utilisé ma formule sur moi-même. Moi, je suis simplement née comme ça. Mon sort se contente juste de le reproduire pour offrir mon don aux autres. Hélas, je n’ai jamais réussi à rendre ça permanent.
Encore heureux !
Elle s’installe sur un de ses divans. Les fesses aux bords, la tête en bas du dossier. Elle écarte les jambes pour bien me montrer sa chatte :
— Alors, elle ne te fait toujours pas envie ?!
Quelle garce ! Alors que j’essaie de me contrôler, elle fait tout pour me faire craquer ! Mes yeux sont rivés sur son intimité. J’ai envie, j’ai vraiment envie. Il est si proche, si accueillant, offert. Ce serait si facile de s’y enfoncer. Hmm...
Le bonheur que cela me procurerait...Je ne fais pas que bander, je mouille rien que d’y penser, cela coule le long des cuisses. Si c’est si bon, pourquoi est-ce que je me retiendrais ? Pour mon mari ? On pourrait dire que ce n’est que justice de le tromper aussi avec une démone, sauf que là, ce n’est tout de même pas comparable. Et puis de toute façon, c’est fini entre nous. Je n’ai plus personne à qui rester fidèle. Alors pourquoi ? Parce que c’est mal, c’est tout. Je n’arrive à l’expliquer, mais c’est ce que je ressens au fond de moi. Si je cède, j’ai peur de devenir quelqu’un que je ne suis pas. Mauvaise. Mais est-ce seulement vrai ? De toute façon, je suis déjà souillée. Il n’y a pas d’échappatoire. Je vais devoir faire jouir cette bite plusieurs fois pour la faire disparaître. À ce stade-là, à quoi ça sert de se torturer ?
Je fais quelques pas vers elle. Elle me sourit en voyant qu’elle a gagné. À ce moment précis, elle referme les jambes et se lève vers moi. Qu’est-ce que ? N’était-ce là qu’une ruse ?
— Si tu as envie de ma chatte, Xandra, il va falloir la mériter, m’explique-t-elle. Moi aussi j’ai des besoins, tu sais. Regarde-moi, je suis en érection depuis la seconde où je t’ai vue. Prends soin de moi, petite souris. Si tu me suces bien et que tu me fais jouir, je te laisserais disposer de ma chatte comme tu l’entends.
Ce n’est pas possible ! Elle ne peut pas me demander une chose pareille ! C’est tellement dégradant ! Oh bien sûr, j’ai déjà fait des fellations, mais c’était avec l’homme que j’aime. Je ne peux pas faire ça avec n’importe qui. Alors pourquoi est-ce que je viens de me mettre à genoux ? Par les divins, je suis en train de prendre son « monstre » en main. Il est si gros, et si... appétissant. Je ne sais vraiment plus ce que je dis. J’ouvre la bouche et le prends dans ma gorge. Ça y est, je le fais, je suis en train de sucer la queue d’une démone. Je devrais me montrer réticence, timide, pourtant, je fais ça sérieusement. Je... je crois que j’aime ça. J’en ai envie. J’aime pomper ce sexe, entendre les gémissements de plaisir de sa propriétaire. Je n’ai jamais osé l’admettre à qui que ce soit, mais cela m’a toujours beaucoup excitée. Je me branle d’une main en même temps que je branle cette belle verge.
Je salive beaucoup pour mieux la faire glisser entre mes lèvres, je titille son gland du bout de la langue. Cubi parait aux anges :
— Ooooh, ce que tu es douée petite souris. Tu es née pour ça. Tu es si mignonne, j’ai follement envie de jouir pour toi.
Je me prends un peu trop au jeu. Je ne fais plus ça juste pour avoir le droit de me soulager avec elle après. Je le fais parce que cela m’enivre. Je tente de lui faire une gorge profonde. C’est trop gros ! J’adore néanmoins avoir la bouche pleine. Je deviens de plus en plus bruyant dans mes va-et-vient. Je la sens fondre. J’imagine que c’est un compliment d’être capable de satisfaire une créature telle qu’elle. Ces pensées, ces réactions, je ne suis plus moi-même. Mes inhibitions ont définitivement sauté.
J’avais la fierté de me dire que j’avais le contrôle sur elle, quand elle me presse la tête pour me forcer à la prendre au fond de la gorge. Elle me la met bien plus loin que lorsque je le faisais moi-même :
— Ooooh ! Aaaah ! Ça vient, petite souris. Prends ! Prends tout ce que je vais te donner !
Elle plaisante ?! Manifestement pas. Je la sens décharger une bonne grosse giclée de sperme ! Je n’ai pas le choix, je dois tout avaler. Elle m’en envoie d’autres. Bon sang, il y en a tant comparé à un humain, j’ai l’impression que je vais me noyer. Son énorme sexe pulse en se vidant dans ma bouche. Elle se retire pour laisser respirer. Je tousse. Je reçois le reste de son plaisir mourant en plein sur la figure.
— Oooh, ma belle Xandra. Tu as été parfaite, me complimente-t-elle alors que j’essaie de reprendre mes esprits. —
Ce goût... Je n’ai pas pour habitude d’avaler de la semence de cette façon, mais il est clairement différent de celui des hommes. Je dois dire qu’il n’est pas si mauvais. Il est... moins amer. Je serais moins réticence s’il était tout le temps comme ça.
— Hmm, tu as mérité ta récompense, petite souris. Viens !
Elle se replace sur le divan comme tout à l’heure. Les jambes écartées, les fesses au bord du siège. Elle s’offre à lui pour de vrai cette fois ? Plus de coup fourré ? Je suis follement excitée.
— Viens ! Il est temps de passer à la seconde phase de mon expérience. Personne ne s’est encore jamais servi de son pénis de cette façon. Baise-moi ! m’invite-t-elle.
Oui, je le veux. Je la veux. Sa chatte, sa chatte. Je ne pense qu’à ça. Je me positionne devant elle, mon engin en main pointé à son entrée. Cela me parait si bizarre de faire ça. Moi, une femme. En ce moment, je m’en moque tant que cela me fait du bien. J’enfonce enfin mon pénis dans son vagin. Les sensations sont nouvelles, mais divines. Je soupire tellement c’est bon. Je me fiche tout en elle et m’arrête un instant. Je n’arrive pas à croire que je l’ai fait. J’ai trompé mon mari en enfonçant mon sexe à l’intérieur d’une démone.
Cubi me sourit, comme une invitation à poursuivre. Je remue du bassin et commence à faire du va-et-vient. Je me sens un peu sale, j’ai l’impression d’être un homme. Je comprends mieux à présent ce qui les obsède tant. Ce bonheur, ce plaisir, moi aussi je ferais tout pour pouvoir connaître ça.
Je suis en train de la prendre. Je « baise » cette démone. Nous gémissons toutes les deux. Elle pose une main sur mes fesses pour me pousser à mieux la posséder. Je n’ai pas besoin de beaucoup plus d’encouragement pour me laisser aller. J’ai des pensées étranges en l’admirant comme cela en dessous de moi. J’ai envie de jouer avec ses seins. Je les presse pour qu’ils arrêtent de gigoter. Ils sont beaux et agréables au toucher. Je me penche pour prendre ses tétons en bouche. Elle ne m’arrête pas, que du contraire. Je ne me comprends pas moi-même, j’aime ça. Son sexe toujours bien dur me rappelle sa présence en tapotant entre nos ventres tandis que je lui donne des coups de reins. Cela ne me choque pas, on est plus à une anomalie près. De toute façon, je m’intéresse surtout à son corps de femme.
J’imagine que dans une situation normale, je devrais me retenir d’éjaculer pour augmenter notre plaisir à toutes les deux, sauf qu’il n’y a rien de normal dans ce que nous faisons. Elle a déjà eu un orgasme, et je suis ici juste pour épuiser la magie de son « don ». Je me laisse aller lorsque je sens les prémices de la jouissance. Je ferme les yeux en la limant plus fort. Il faut que je fasse sortir mon jus. Pas parce que c’est la seule façon d’en finir, mais juste parce que c’est trop bon. Ça y est, je me sens partir, je vais connaître enfin à nouveau ce court moment de bonheur. Je gicle mon sperme tout au fond de son vagin en poussant un long râle. Oh oui, la délivrance ! Je me laisse me vider tandis qu’elle m’accueille sans rechigner. Je jute tout ce que je peux. Je reviens doucement à moi. Waow, c’était incroyable, mais je sais que cela ne va pas être suffisant. Ce n’est qu’une première fois. Bientôt, le besoin va revenir.
— Hmm. Bravo petite souris. Tu as été formidable. Cela t’a plu ? Avoue que c’est quand même bien meilleur que de le faire par soi-même.
Je n’ose pas répondre alors je me contente de hocher de la tête. Maintenant que j’ai goûté à ça, je crois que je n’arriverais plus jamais à me contenter de me branler. Enfin, si cette situation devait arriver à nouveau. Ce qui ne se produira pas. Soyons bien clairs.
— Allons. Essayons encore dans une nouvelle position, me propose-t-elle.
Elle s’installe à quatre pattes sur le sofa. Sa chatte est débordante de mon foutre. Je n’ai pas le temps de m’imprégner de l’obscénité de la scène. Je suis toujours en érection, mon bas-ventre me torture à nouveau, il est plus que temps de passer au second tour. Je me place derrière elle et la pénètre à nouveau. Je reprends mes coups de bassins comme si nous ne nous étions jamais arrêtés. Oh oui ! Cela ne faisait que quelques minutes, mais cette sensation m’avait trop manqué. Je commence à prendre mes marques. Je découvre comment bien m’enfoncer dans son vagin et me donner du plaisir. Je me moque du sien, je ne suis pas là pour ça. Elle m’a juste offert son trou pour que je puisse me soulager, et cela s’arrête là.
J’ai toujours bien aimé la levrette, bien que je sois plutôt habitué à la recevoir qu’à la donner. Je ressens une soudaine envie d’être plus violent. Je veux de la dominer. C’est tout ce qu’elle mérite de toute façon après tout ce qu’elle m’a fait subir. Mes assauts sont plus brutaux. Je la tire même un peu par sa longue chevelure noire. Je pensais qu’elle s’en offusquerait, mais même pas. On dirait qu’elle aime autant prendre le dessus qu’être en dessous.
— Alors, petite souris, elle n’est pas bonne ma chatte ? me provoque-t-elle. — Oh, oui ! — Cela te plaît de me défoncer comme une chienne ?— Putain, oui ! — Enfin peu d’honnêteté. Moi aussi, j’adore ça !
Je prends un pied d’enfer, je la baise comme un vrai mec. La moiteur de sa chatte me rend folle. Au bout de plusieurs minutes, je me sens proche d’un nouvel orgasme. Comme pour tout à l’heure, je ne résiste pas. Cubi gémit avec moi :
— Oh ! Oui ! Oui ! Ma belle ! Continue comme ça ! Ce que tu te débrouilles bien ! Baise-moi bien fort !
Voir celle qui m’a forcé il y a peu à la sucer me supplier maintenant de la ramoner, c’est une vengeance qui me plaît. Ça y est, je vais venir. Je sens le jus grimper le long de ma verge. Je me décharge pour la seconde fois dans son vagin, la remplissant d’une quantité anormale de sperme de femme :
— Ooooh Ouiii ! Je jouiiiis ! s’écrie-t-elle.
Ce n’était pas vraiment mon objectif, mais qu’importe. J’imagine que cela vaut mieux ainsi plutôt que de la décevoir. Sa queue gicle sur le canapé. Cela fait bizarre de se dire qu’un pénis éjacule sans même avoir été stimulé physiquement. Le plaisir vaginal a suffi à le faire exploser. Nos sexes expulsent tous les deux notre foutre en même temps. Nous partageons ensemble malgré nous ce moment de béatitude parfaite. À peine redescendue de cet océan de bonheur, je ne peux penser qu’à une seule chose : y retourner.
— Bon, c’est à mon tour maintenant, déclare Cubi.— Comment ?!— Quoi, tu n’as pas envie non plus d’être pénétrée ?
Je n’ose rien dire.
— Je suis sûre que tu es trempée de depuis tout à l’heure. Dis-moi, depuis combien de temps un homme n’a pas logé son sexe au fond de ta chatte ? Ose me dire que cela ne te manque pas ?
Je rougis en baissant des yeux. C’est vrai. Je n’ai pas fait l’amour avec mon mari depuis une éternité. Moi aussi j’ai mes besoins. Sans plus dire mot, je prends sa place à quatre pattes sur le divan. Qu’est-ce que je fais ? Je m’offre en pâture avec une démone. Le pire, c’est que j’en suis impatience. Je l’attends. Je veux également qu’on me fasse jouir ce pénis sans même qu’on ne me le touche, uniquement grâce à mon vagin. Je l’entends se mettre juste derrière moi. Je sens le bout de son gland caresser mon intimité. Je suis un peu intimidée, je n’ai jamais eu un engin d’une telle taille en moi. Elle me l’enfonce. Par les divins ! C’est vraiment énorme ! Je suis toute remplie.
Elle n’a aucune pitié de moi et commence à me pilonner. C’est bon. C’est diablement bon. Cela fait trop longtemps que je ne me suis pas fait baiser... J’aurais simplement préféré faire ça avec quelqu’un d’autre. Peu importe, je ne boude pas mon plaisir. J’affale mon torse sur le siège et me concentre sur mon bien-être :
— Hmm, Xandra, s’exclame Cubi. Ta chatte est tellement douce et serrée, un vrai régal. Et toi, dis-moi. Comment aimes-tu ma bite ?— Je l’adore ! ne pus-je mentir.— Cela te plaît que je te prenne ? — Oh, oui !— Tu en veux encore ?!— Ouiii, je veux jouiiiiir !— Nous allons jouir toutes les deux, ma belle.
Et dire qu’il y a peu, c’est moi qui étais à sa place. Je suis passée de dominante à dominée. Je suis tellement heureuse de me sentir femme à nouveau. Enfin, je dis ça, pourtant ma queue me démange. L’excitation que je ressens au niveau du vagin me fait bander plus fort. Cela me donne envie... de me décharger. C’est réellement une expérience unique qu’aucun homme ne peut comprendre.
Cubi n’est pas tendre avec moi, mais je n’ai aucune raison de me plaindre. Ses coups de boutoirs me font défaillir. Nous copulons depuis à peine quelques minutes que je me sens déjà bientôt venir.
— Hmm, alors, tu as envie de jouir, petite souris ? lit-elle dans mes pensées.— Oooh ouiiiii ! — Moi aussi. Je vais me décharger dans ta chatte, ma chérie. Je vais la remplir de mon jus.
Elle me force à me redresser pour coller mon dos sur sa poitrine tout en continuant de me ramoner. Elle fait tourner mon visage vers le sien. Elle me sourit tandis que je suis à moitié consciente sous l’intensité du plaisir. Soudain, elle m’embrasse, et cela provoque en moi un frisson électrique. Comme si un simple baiser, même d’elle, suffisait à me faire perdre la tête. Elle pose deux de ses mains sur mes seins pour me peloter et les deux autres sur ma verge pour me branler. Non, pas ça. C’est trop ! Je suis stimulée par mes deux sexes !
— Vas-y. Jouis, ma belle. Jouis ! — Aaah !
Il ne me faut pas longtemps pour craquer à cette cadence. J’ai un nouvel orgasme. Je jouis par ma bite et mon vagin en même temps. Mon sperme est aussi abondant que ma première fois. Comment est-ce possible d’expérimenter des sensations aussi divines ? J’ignorais que le sexe pouvait être aussi bon. Tandis que je suis prise de soubresauts, je sens son propre foutre m’envahir. Elle jouit avec moi. Mon corps d’humaine a suffi à l’exciter autant aussi vite. Je ne suis pas sûre de savoir pourquoi, mais je m’en délecte.
— Hmm, oh oui, fait-elle en s’apaisant.
J’ai moi-même fini de juter.
Nous n’en avons pas encore terminé. Nous le savons tous les deux. Nos sexes sont encore durs et en veulent bien plus.
— Humm, j’ai une idée, viens, m’exhorte-t-elle.
Elle se replace sur le divan comme la première fois que je l’ai prise. Hormis que ce coup-ci, elle écarte son anus en tirant sur ses fesses de deux mains :
— Allez viens, petite souris. Encule-moi.
Elle est sérieuse ? Je n’ai... jamais utilisé cet orifice pour le sexe. Pourtant, maintenant qu’elle le propose, pourquoi pas ? Elle ne cesse de me faire explorer de nouvelles choses, il en s’agit que d’une étape de plus. C’est donc reparti pour un tour, et cette fois, c’est moi qui reprends le contrôle. Je fais glisser mon sexe dans son cul. C’est incroyablement serré. Comme je suis toujours aussi excitée, je la bourre sans ménagement. Oooh ! Je n’imaginais pas que cela me serait tellement différent de faire ça par ce trou-là. C’est encore meilleur.
— Oui ! Vas-y Xandra ! Défonce-moi le cul ! m’encourage-t-elle.
Je ne m’en gêne pas. C’est tout simplement génial. J’étais encore « vierge » il y a quelques instants et voilà que je fais un truc aussi obscène. Elle semble être au paradis, son regard se perd. Elle a la bouche ouverte avec la langue bien pendue. Je n’imaginais pas qu’on pourrait autant aimer un truc pareil. Ce n’est pas une démone pour rien.
Nous copulons comme des animaux. Nous laissons échapper nos gémissements et nos râles. Ma partenaire a l’air dans un de ces états que je doute qu’elle sache encore parler. Soudain, son sexe se met à éjaculer. Elle se jouit dessus. Son sperme lui gicle entre les seins. Tout cela en étant prise par le cul ? Quelle tordue ! Ce spectacle obscène a raison de moi et je la rejoins tout de suite. Je lâche une nouvelle salve de foutre au fond de son anus.
Je me retire. C’est maintenant ses deux orifices qui débordent de sperme. Je ne suis pas peu fière de mon travail.
— Oooh, petite souris. Tu es si formidable. Je devrais te mettre en cage et te garder auprès de moi pour toujours.
J’espère qu’elle plaisante.
— Allez, échangeons nos rôles, poursuit-elle.
Heumm, je ne pense pas non. C’est peut-être un peu hypocrite, autant j’ai aimé lui défoncer l’anus, autant je n’ai pas super envie qu’on s’approche du mien.
— Fais-moi confiance, tente-t-elle de me rassurer en constatant ma réticence. Si tu savais comme c’est bon... je t’ai promis des montagnes de plaisir, t’ai-je jamais menti jusqu’ici ? Laisse-moi faire, tu ne le regretteras pas.
Si j’avais encore toute ma tête, c’est le moment où je m’enfuirais. Sauf qu’au lieu de ça, j’hésite. Il faut bien l’avouer, elle ne m’a jamais de « mal ». Alors pourquoi pas... Je suis folle de lui laisser faire ça. Je n’ai jamais laissé un homme s’aventurer par-là, et ils n’avaient pas son calibre... Je prends la même position qu’elle et écarte mes chairs à mon tour. Par les divins, qu’est-ce qui me prend ! Elle pousse son gland sur ma rosette. Ça y est, elle est entrée ! Je grince des dents, c’est assez douloureux. Elle se fiche au fond de moi, puis prend de l’élan pour me pénétrer à nouveau. J’ai du mal à réaliser ce qui m’arrive. Je me fais sodomiser pour de vrai. Je ne sais pas comment c’est possible, mais cela commence à devenir bon. J’ai peur. Quel genre de femme suis-je pour oser aimer un truc pareil ? Je pousse des cris... de bonheur tandis qu’elle me baise franchement :
— Hmm, Xandra, ton petit cul est tellement délicieux.
Raaah ! La salope ! Voilà maintenant qu’elle me défonce littéralement. J’en ai la chatte qui mouille et le pénis qui frétille. Elle se penche vers moi pour m’embrasser. Oh non ! C’est vraiment trop. Sa poitrine est pressée contre la mienne et nos seins se frottent les uns contre les autres. Quelle piètre image de moi je dois donner si quelqu’un venait soudainement à entrer dans la pièce ? Je n’ai jamais rien senti d’aussi intense. Pourquoi je n’ai jamais essayé ça avant ? Quelle idiote j’ai été pendant toutes ces années ! À avoir peur du plaisir, peur du bonheur. C’est juste trop bon de se faire baiser, par n’importe quel trou.
C’est trop. Alors que nos corps sont unis, je gicle. Je nous souille toutes les deux de sperme. Je m’en mets partout entre les seins et même jusqu’au cou. Comment est-ce possible ? Je n’ai été stimulée ni par le vagin ni par mon pénis. Simplement par le cul.
— Oooh ! Xandraaaa !
Voilà qu’elle me rejoint. Je sens son foutre se répandre dans mon anus. Aaah, c’est tellement sale ! Mais bon à la fois. Nous partageons à nouveau un orgasme toutes les deux comme si nous étions des amantes de longue date.
Combien de fois avons-nous joui depuis le début ? Manifestement pas encore assez vu comment je bande toujours. Nous remettons ça, encore et encore. Tantôt je suis la donneuse, tantôt je suis la receveuse. Il n’y a décidément pas une plus dominante que l’autre. Nous abusons chacune des orifices de l’autre pour notre plus grand plaisir. Nous éjaculons tellement de sperme, nous en sommes recouvertes. Du mien, du sien, peu importe, nous sommes collantes. Je me moque que ce soit gluant et salissant, cela ne nous empêche pas de jouer avec nos seins. Je ne pense de toute façon qu’à remettre ça. Des orgasmes, j’ai besoin de plus d’orgasmes ! Elle me fait explorer de nombreuses positions. Une fois, c’est elle qui chevauche et s’empale sur ma bite. Elle en a joui si fort qu’elle m’en a éjaculé sur la figure, la salope. Nous avons également essayé le soixante-neuf en nous suçant l’une l’autre. Elle est avantagée avec ses quatre mains.
Elle est capable d’en même temps me branler, me doigter, et me caresser les seins. Nous avons fait ainsi avaler notre sperme respectif, avant d’en partager le reste à coup de baisers. J’ai étonnamment trouvé ça délicieux.
Je ne sais pas combien d’heures j’ai passées sur ce divan à baiser. Tout ce que je sais, c’est que nous avons fini toutes les deux épuisées. Pour elle, il s’agit probablement d’une séance de sexe classique, mais pour moi, cela a été l’expérience de toute une vie.
Je me suis réveillée le petit matin dans son lit. Mon pénis avait disparu. J’ai fait une crise de panique en redevenant moi-même. Qu’est-ce qui m’a pris ? Comment ai-je pu ? Toutes ces choses que nous avons faites... Dans un sens, j’en ai des souvenirs incroyables, mais d’un autre, je me sens tellement honteuse. Comment ai-je pu laisser cette chose entrer dans mon cul ? Comment ai-je pu en jouir ?! Je profite qu’elle soit encore en train de dormir pour m’habiller et m’enfuir. Je me sens particulièrement troublée. Qu’est-ce qui m’arrive ? Je n’ai plus aucun repère. Je suis vraiment en train de perdre les pédales. Tout est en train de changer, et j’ai peur de celle que je pourrais devenir demain.
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