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L'ordre du chaos : saison 2

Chapitre 5

Les tourments de Xandra

Divers
Chapitre 5 : Les tourments de Xandra

Je suis épuisée. Moralement, et physiquement. Je suis seule, loin de chez moi, à faire un boulot horrible au service de monstres et de démons, et comme si cela ne suffisait pas, je suis en train de me perdre moi-même. Cette Cubi m’a fait faire des choses... Quand j’y resonge, j’ai l’impression que ce sont les souvenirs d’une autre personne. Je ne peux pas avoir participé à ça, je peux encore moins avoir AIMÉ ça. Ce n’est pas possible, cela ne pouvait pas être moi. Je ne suis plus où j’en suis désormais. Je pleure tous les soirs dans mon lit sans être capable de trouver le sommeil.
J’ai une boule au ventre à chaque fois que je dois m’occuper de la chambre de la maîtresse Yezabel. Va-t-elle être là ? Vais-je devoir subir ses remarques et son harcèlement ? Si elle n’est pas contente de mon travail, pourquoi insiste-t-elle alors pour me garder ? La taverne me manque, si seulement je n’avais pas tout fichu en l’air, je serais encore avec Ana, et je serais au côté d’une patronne qui m’apprécie plutôt qu’un tyran. Je ne me rendais pas compte à quel point jouer les serveuses m’aidait à me rassurer et à me donner l’impression d’avoir une vie normale. Je vais souvent la voir après mon service, en tant que simple cliente. Ce sont les seuls moments de réconfort que je trouve dans ma triste vie.
Je sors d’une chambre d’invité avec un énorme panier à linge. Quel désordre régnait avant mon passage ! Je ne veux même pas savoir qui ce qui s’est passé là-bas hier soir ! Il m’a fallu plusieurs heures pour tout nettoyer. Je prends la route vers les escaliers et me dirige vers le lavoir du château. Sur le chemin, je croise un garde orc qui me regarde d’un drôle d’air. Je hais ces créatures. Ce ne sont que des brutes sales et puantes. Je baisse des yeux en passant à côté de lui en espérant me faire oublier, sauf que celui-ci se retourne et m’attrape brusquement par le bras :
— Hey ! Toi ! m’agresse-t-il.
J’ai le cœur qui fait un bond dans ma poitrine. Qu’est-ce qui se passe ? On ne peut pas simplement me laisser tranquille ?!
— Quoi ?! Qu’est-ce que j’ai fait ? fais-je, paniquée. — Peuh, ces humaines ! Tu pourrais montrer au moins un peu de respect quand tu croises un militaire !— Je ne comprends pas, je n’ai rien fait de mal !— Pas un regard, pas un salut ? Pour qui tu te prends ? Une princesse ? Tu n’es qu’une dame de chambre ! Et dire que nous passons notre temps à risquer nos vies pour protéger des gens comme vous !
Patrouiller dans un château fortifié qui n’a jamais connu le moindre siège, tu parles d’un travail héroïque !
— Je suis désolée, je ne voulais pas vous offenser. S’il vous plaît, laissez-moi partir.
Il me plaque violemment contre le mur, me faisant lâcher mon panier par terre dans la foulée.
— Tu crois que des paroles vides vont t’aider à te sortir de cette situation ?! J’en ai plus que marre des catins de ton genre ! Tu as intérêt à te montrer gentille ou tu vas faire un tour au cachot !
— S’il vous plaît, non ! Pas ça !— Alors, comporte-toi bien et montre-moi un peu de reconnaissance !
Il commence à ouvrir sa braguette pour en sortir son sexe. Je comprends tout de suite où il veut en venir :
— Non ! Pitié ! S’il vous plaît, laissez-moi partir !— À genoux ! m’ordonne-t-il en me forçant à m’abaisser. Et qu’il ne te vienne pas en tête de mordre ou je t’arrache les dents une à une ! — Non ! Non ! Non ! Pitié ! pitié ! Je suis désolée, je vous jure, cela ne se reproduira plus jamais !
Je suis tétanisée. Tout est en train d’arriver si vite. « Je suis en train de me faire violer ». Ces mots inimaginables raisonnent en chaîne dans ma tête comme un signal pour réveiller mon instinct de survie. Il faut que je fasse quelque chose, que je me sorte là :
— Au secours ! À l’aide ! crié-je en me débattant.— Ta gueule ! me hurle-t-il en me giflant violemment.
Il est d’une telle brutalité que j’en suis à moitié sonnée. Il tapote son pénis répugnant sur mon visage pour m’encourager à lui obéir. N’y a-t-il donc personne pour m’aider ?!
— Allez, on ouvre grand la bouche !
J’ai encore envie de crier « non ! », mais mes lèvres s’efforcent à rester scellées à proximité de son engin.
— Qu’est-ce qu’il se passe ici ?! entends-je soudain une voix familière.
Qu’est-ce que j’aurais aimé que ce soit Manaël... Au lieu de cela, quel désespoir de reconnaitre Yezabel ! Je n’ai aucune idée si elle va mettre fin à mon cauchemar ou au contraire me le rendre encore pire.
— Maîtresse ?! s’exclame l’orc.
À peine a-t-il le temps de prononcer ce mot que la démone fait jaillir d’une de ses mains un long trait violet translucide qu’elle brandit tel un fouet en sa direction. La « corde » magique s’enroule fermement autour de son cou dans un claquement bruyant. Suffoquant, il cherche désespérément à desserrer son étreinte sans comprendre que ses doigts passent au travers.
— M... Maîtresse, la supplie-t-il, à bout de souffle. — Comment oses-tu toucher une de mes dames de chambre ?! s’indigne Yezabel. Ce sont MES filles ! Elles sont sous MA protection !
Elle tire sur son cordon magique pour forcer mon bourreau à se mettre à genoux :
— P... Pardonnez-moi, maîtresse ! geint-il pathétiquement. — Te pardonner ? Ce n’est pas à moi qu’il faut demander pardon, mais à elle ! J’ai fait installer un bordel au château pour que les porcs en ton genre puissent se vider sans faire de mal à personne. Mais non, cela ne te suffit pas à toi. Il te faut t’en prendre à des jeunes filles sans défense ! Dis-moi, Xandra. Qu’en penses-tu ? Acceptes-tu les excuses de ce sale vicieux ?!— Non ! réponds-je instinctivement, toujours traumatisée par ce qui vient de se produire.— C’est bien ce qui me semblait. Ce traitre mérite une punition exemplaire. Il me vient une idée. Suis-moi.
La responsable de tous mes tourments vient-elle vraiment de me sauver la vie en prenant ma défense ? Je me sens à la fois reconnaissante et effrayée par ce qui va se passer ensuite. Je ne suis pas encore tout à faire sûre d’être vraiment sortie d’affaires. Elle se dirige vers la sortie du couloir en tirant sa victime par la laisse. Il est obligé de la suivre docilement s’il veut pouvoir respirer. Je suis à la fois sous le choc et impressionnée. Même si c’est une démone, elle n’a l’air que d’une simple gamine frêle et fragile vue de l’extérieur. En voyant comment elle a su soumettre cette montagne de muscles en un claquement de doigts, je commence à comprendre comment elle a su parvenir à maintenir son autorité sur une telle horde de dégénérés. Il ne faut pas se fier aux apparences, c’est une puissante sorcière qui a droit de vie et de mort sur n’importe qui grâce à ses pouvoirs. Elle ne doit le respect qu’on lui accorde qu’à elle-même et non aux forces qu’elle commande.
C’est plus que jamais la peur plus que tout autre sentiment qui me pousse à lui obéir.
Elle nous emmène dans les bas-fonds du château, dans les cachots que je connais hélas que trop bien. Elle nous fait entrer dans une cellule sombre et humide couverte de pailles crasseuses. Là, elle libère son prisonnier de sa magie pour mieux lui attacher les poignets à l’aide de chaînes pendues au plafond. Je suis sidérée par la docilité de l’orc. La terreur qu’elle lui inspire à raison de toute combativité.
— Maîtresse, pitié, implore-t-il. Je vous promets, je ne le ferais plus !— Quoi ? Tu penses qu’avec ce que tu viens de faire, je vais simplement te laisser repartir ? Tu t’es montré indigne de me servir. Tu vas rester ici un bon moment, mais pas avant d’avoir reçu la punition adéquate.
Elle attrape un fouet traînant sur un râtelier dans la pièce et me le tend :
— Vas-y, prends-le, me fait-elle.
Je l’accepte sans comprendre où elle veut en venir.
— Ce n’est pas moi qui suis blessée dans cette histoire, c’est elle, poursuit Yezabel. Il me semble donc juste qu’elle se fasse justice elle-même. Vas-y Xandra. Frappe-le.— Comment ?!— J’ai dit, frappe-le !
Il s’agit clairement d’un ordre qui ne laisse aucune place à la discussion. Je ne sais pas quoi faire. Bien sûr que je hais ce monstre et qu’il ne mérite que ça. Mais je ne suis pas sûre d’être capable de lui infliger son châtiment moi-même.
— Qu’attends-tu Xandra ?! m’exhorte telle face à mon hésitation. Cette « chose » aurait abusé de toi si tu n’étais pas intervenue. Penses-tu vraiment qu’elle mérite la pitié ?! — Non, fais-je les larmes aux yeux en me remémorant ce qui s’est passé. — Alors, vas-y ! Qu’il sache qu’on ne s’en prend pas impunément à mes filles ! — Aaaah ! crie l’orc lorsque je lui donne un premier coup de fouet.
Ce... c’est parti tout seul, sous le coup de la colère. Je me sens mal, sale. Et pourtant, si soulagée.
— Encore, Xandra ! — Aaaaah ! geint-il une nouvelle fois sous ma torture.
Qu’est-ce que je suis en train de faire ?!
— Encore ! insiste ma maîtresse.
Je lui obéis, mais je ne suis pas sûre que ce soit simplement parce qu’elle me le demande.
Je recommence encore sans qu’elle ne me l’ordonne. Puis encore une fois. Puis encore une fois. Yezabel sourit d’un sourire sadique en me regardant faire. Je n’arrive plus à m’arrêter. Cette enflure, comment a-t-il pu ?! Un être aussi abject mérite-t-il seulement de vivre ?! Je m’abandonne pleinement à mes émotions, je laisse ressortir tout ce que j’ai essayé de garder enfoui depuis des mois. Je le fouette de toutes mes forces, non pas parce que je veux me venger de ce qu’il m’a fait, mais pour évacuer toute ma frustration. Je le frappe pour le souvenir de toutes ces semaines passées en prison, je le frappe pour mon mari qui m’a trahie, pour cette vie de servitude qui est en train de me détruire, pour Cubi qui m’a fait découvrir des choses sur moi-même que je n’aurais jamais voulu savoir, pour Yezabel qui m’a poussée à user de ce fouet. Je le frappe simplement parce que je le peux, parce que j’en ai le pouvoir, et parce que j’aime ça. Par les divins, que suis-je devenue ?
L’orc hurle de douleur, mais c’est moi qui suis en train de pleurer par désespoir. Je craque, je n’en peux plus. J’ai besoin de ça, de le faire souffrir, de me venger, même de choses dont il n’est pas coupable.
— Prends... ça... espèce... de... salaud ! m’exclamé-je. — Ça ira, me fait Yezabel, mais c’est à peine si je l’entends.
Je continue de meurtrir sa chair en couvrant son dos de lacérations sanglantes.
— J’ai dit : ça ira ! me stoppe la démone en m’attrapant le bras qui tient l’objet de torture.
Je sors soudain de ma frénésie. Où suis-je ? Qu’est-ce qui s’est passé ? Qu’ai-je fait ?
— Ça suffit, il a eu son compte, ma belle, tente-t-elle de me rassurer de sa voix enfantine.
Je lâche le fouet, honteuse de l’avoir jamais tenu dans la main. J’explose en sanglot en plongeant dans les bras de la démone. Elle me rend étrangement mon étreinte comme une mère bien intentionnée. Comment en suis-je arrivée à pouvoir trouver du réconfort chez celle qui est la cause de tout ce qui m’est arrivé ?! Peu importe, je me sens... mieux, apaisée.
— Là, là, tout va bien, ma belle, ça va aller, me répète-t-elle en me cajolant. —
L’orc est à moitié inconscient, mais personne ne fait attention à lui. Je croise le visage de ma maîtresse. Elle me sourit, mais pas de façon sadique ou vicieuse comme d’habitude. Je la trouve belle tout à coup. Radieuse, charismatique. Elle me prend par surprise en m’embrassant sur la bouche. Je ne sais pas comment réagir. Je n’ai jamais été intéressée par les filles auparavant et encore moins par elle, cependant, dans mon état de détresse, ce geste d’affection a un effet électrique sur moi. J’en veux plus, j’en ai besoin. J’ai besoin qu’on me montre de la tendresse et de la compassion, peu importe d’où cela vient.
— Je suis là pour toi, ma chérie, je vais prendre soin de toi.
Ce sont les mots que je rêve d’entendre depuis des mois, pourquoi faut-il qu’ils viennent d’elle ? Elle me caresse, elle me met la langue, et pour une raison qui m’échappe, je ne trouve pas ça écœurant. Je suis prête à accepter tout l’amour qu’on veut bien me donner.
Une seconde plus tard, sans que je ne sache comment, je me trouve allongée contre un des murs de la cellule. Je suis tellement étourdie que c’est à peine que je réalise que Yezabel relève lentement ma jupe de servante. Je ne comprends ce qui se passe que lorsqu’elle passe une main sous ma culotte. Je frémis, c’est bon. Comment est-ce possible ? Je ne proteste même pas lorsqu’elle m’enfonce deux doigts. Pourquoi elle ? Pourquoi faut-il que ce soit elle ? Je ne sais pas pourquoi, je pense à Manaël tout à coup. Mes pensées s’évaporent bien vite quand elle atteint un point sensible.
— Aaah ! gémis-je.
Je me laisse faire. Pas par peur ni par soumission. Juste... parce que cela me fait du bien. Après ce qui vient de m’arriver, toute cette colère, cette détresse, cette terreur, ce moment de douceur et de bien-être est une libération. Je m’abandonne à elle. J’écarte même les cuisses davantage lorsqu’elle se met à me lécher le clitoris. Yezabel, la maîtresse du mal, est en train de me faire un cunnilingus, et tout ce qu’a quoi je pense, c’est à ce qu’elle continue.
Cette fois, j’ai vraiment perdu l’esprit. J’oublie tout, ma peine et mes doutes. Je pose même une main sur sa tête cornue en guise d’encouragement. Je ne comprends plus ce qui se passe après ça. J’ai un moment de lucidité où je réalise que je suis en plein milieu d’une cellule avec un prisonnier enchaîné à moitié conscient pissant le sang, puis je l’oublie aussitôt lorsque ma maîtresse me fait jouir. La chose suivante dont je me souviens, c’est de me réveiller dans ma chambre. Comment suis-je arrivé là ? Qu’est-ce qui s’est passé ? L’espace d’une seconde, je crois que tout n’a été qu’un mauvais rêve, jusqu’à ce que des bribes me reviennent à l’esprit. Non, tout cela a été bien réel. Par les divins, qu’ai-je fait ? J’ai torturé un homme...
Même si c’était un orc et qu’il a cherché à me faire du mal, je me sens monstrueuse d’avoir fait une chose pareille. Et pourtant, à refaire, je le referais sans doute. J’ai peur, peur de devenir mauvaise. Peut-être le suis-je même déjà. Je me sens plus que jamais perdue.
Je passe les jours suivants à essayer de tout oublier et de faire comme si rien ne s’était jamais produit. Je me sens terriblement mal à l’aise lorsque je croise Yezabel en m’occupant de ses quartiers, surtout lorsqu’elle pose sur moi des regards envieux. Je suis une dame de chambre, rien de plus, je n’ai aucune envie de devenir une sortie d’esclave ou jouet sexuel pour démone. Je me sens presque rassurée lorsqu’elle me harcèle et me critique comme elle le fait d’habitude, cela me donne une sensation de « normalité ». Puis je trouve cela moins pénible maintenant que je réalise qu’être ma maîtresse signifie qu’elle est aussi ma protectrice. Je sais qu’elle ne me fera pas de mal et que je suis en sécurité tant que je la sers bien. Je ne suis pas en train de dire que je commence à l’apprécier, elle reste la garce qui m’a arraché mon mari, mais elle me fait un peu moins peur qu’auparavant.
Qui sait, peut-être un jour, je trouverais le courage de lui demander si je peux retravailler à la taverne.
***
Moi qui espérais que la charge de travail s’amenuise maintenant que les sorcières ont tout ce qu’il leur faut au château, je n’ai jamais été aussi actif et débordé que ces dernières semaines. La nouvelle est encore un secret, mais la guerre va bientôt arriver à nos portes, et Yezabel m’a chargée de préparer nos défenses. J’ai inspecté et fait réparer nos murs, j’ai organisé les troupes, et préparé des protocoles de sièges. Je connais désormais où sont nos points faibles et comment défendre notre forteresse. Ma maîtresse a aussi fait rappeler toutes ses troupes. Chaque jour, de nouveaux renforts arrivent pour faire grossir nos rangs. J’ai également des réunions régulières avec les généraux orcs pour parler stratégie et logistique. Cependant, malgré tout cela, les chances ne sont toujours pas en notre faveur. D’après les rapports des espions, nous sommes en grande infériorité numérique, et je ne suis pas convaincu que nos remparts tiennent longtemps face à une telle armée.
J’essaie du coup de trouver de nouvelles façons de nous défendre. Ça me tue de devoir faire ça, mais cela veut dire que je passe du temps avec Cubi pour voir comment on pourrait utiliser la magie à notre avantage. Les humains du royaume d’Orandia, eux, ne la pratiquent pas, ils en ont peur. S’en servir intelligemment pourrait être notre meilleur atout.
Helena me fait pas mal la gueule en ce moment. Il faut dire que je n’ai plus beaucoup de temps à lui consacrer. Elle est tout le temps en manque avec sa malédiction, et bien que je l’aie mise au courant de notre situation, elle n’est pas capable de comprendre que je ne puisse pas lui donner l’attention qu’elle mérite.
Il est tard, nous dormons tous les deux quand on vient toquer à ma porte. Cela arrive souvent ces derniers temps. Il y a toujours des problèmes urgents qui doivent être réglés sans attendre. Helena me fait encore des reproches, ce n’est pas ma faute si on vient nous réveiller.
— Cubi demande à vous voir, maître, m’annonce une servante lorsque j’ouvre la porte. Elle vous attend dans ses quartiers.
Franchement, ce genre de choses ne pouvaient pas attendre le matin ? C’est bien elle ça, dès qu’elle a une nouvelle idée, il faut qu’elle en parle tout de suite. Les démons n’ont pas besoin de sommeil ?!
Je me rends dans les sous-sols du château. Je n’aime pas venir ici. Je ne comprendrais jamais pourquoi Cubi a voulu s’installer dans une minuscule cellule dans les geôles alors que nous avons de grands appartements luxueux dans l’aile des invités. Je toque trois fois, elle me fait entrer. Je suis pris de stupeur en voyant qu’elle n’est pas seule :
— Xandra ?! m’exclamé-je. — Manaël ?!
Qu’est-ce qu’elle fout là ? Et comment est-ce qu’elles se connaissent toutes les deux ?!
— Cubi ! Qu’est-ce que cela signifie ?!— Rohlala, pourquoi faut-il que tu sois toujours aussi ronchon ? me fait-elle. Détends-toi un peu. — J’ai un peu tendance à être de mauvaise humeur lorsqu’on vient me faire chercher en pleine nuit pour des broutilles. Qu’est-ce que tu veux ?!— Je vous ai fait venir tous les deux, car je veux vous aider.— Nous aider ? Nous aider à quoi ?! — À vous remettre ensemble, bien sûr !
Je passe ma main sur ma figure. Qu’est-ce que c’est encore que ces âneries ?
— Voyons ne faites pas cette tête-là. Je sais qui vous êtes, je connais votre passé commun. Je trouve ça trop mignon, et trop triste aussi. Je vous observe tous les deux depuis suffisamment longtemps pour savoir que vous êtes faits l’un pour l’autre. — Bon, ça suffit, je me casse, je retourne me coucher.
Elle a toujours été bizarre, mais là, en termes de ramassis de conneries, elle explose les records. Je fais demi-tour pour essayer d’ouvrir la porte, mais elle l’a bloquée magiquement :
— Sérieux Cubi ? Ouvre !— Ecoute-moi un peu avant. — Il n’y a rien à discuter. Oui, nous étions ensemble il y a longtemps. Nous nous sommes séparés, et nous avons continué nos vies. Fin de l’histoire. Allez, ouvre ! — Sauf que vous vous manquez tous les deux. Je le sens, vous ne pouvez pas me le cacher.— Cubi, c’est terminé entre lui et moi, soutient Xandra. Je me suis même mariée depuis. — Ooh, petite souris. Pas de ça avec moi. Nous savons toutes les deux que tu as épousé cet homme par dépit. — Comment osez-vous ?! — Cubi, je suis très touché que vous vous souciiez de notre vie sentimentale, fais-je en essayant de garder mon calme, mais ça va aller, d’accord ? Laissez-nous aller dormir maintenant. De toute façon, qu’est-ce que vous voulez y faire ? Vous voyez bien que ni elle ni moi n’avons envie de nous remettre ensemble. Vous ne pouvez pas forcer ces choses-là.— Si, justement. Je peux vous donner un coup de pouce pour vous aider à accepter vos sentiments.
Soudain, Xandra fait un malaise et porte une main à son ventre en se recroquevillant :
— Oh ! Non ! Non ! Non ! Pas encore ! fait-elle. Cubi ! Pas maintenant ! — Siiiiiiiiiiiii... ronronne-t-elle.— Qu’est-ce que vous lui avez fait ? ! m’insurgé-je.
Je cours vers Xandra complètement paniqué pour la prendre dans mes bras et voir ce qui ne va pas, mais cette dernière me repousse violemment avant de s’écrouler à quatre pattes au sol.
— Xandra ?! Cubi ! Arrête ça tout de suite ! Ah... oh !
C’est subitement à mon tour de me sentir bizarre, sauf que moi, je sais exactement ce qui m’arrive. J’ai déjà connu ces sensations auparavant. J’ai tout à coup une énorme érection tout en ayant une furieuse envie de baiser. C’est le sort des succubes ! Fichue sorcière ! Elle a fait la même chose à Xandra ? Mais dans quel but ?!
— Cubi ! — Vous savez qu’il n’y a qu’une seule façon d’y échapper.
Effectivement. J’essaie de résister, mais je sais qu’il n’existe aucune magie pour annuler le sort. Xandra est déjà en train de succomber. Elle relève sa jupe et... Comment ?! Elle a un pénis ! Je suis bien placé pour savoir qu’elle est censée être une fille normalement constituée. D’où est-ce qu’elle tient ça ?!
— Ne t’inquiète pas, lit dans mes pensées Cubi. Ce n’est que temporaire.
Sans même hésiter, elle prend la chose en main et commence à se masturber.
— Aaaah ! gémit-elle de plaisir.
Je suis horrifié en me disant qu’elle fait ça de façon si naturelle que cela ne doit pas être sa première fois. Ma pauvre Xandra... Elle qui était si pure, j’ai essayé de la protéger de tout ça, et j’ai échoué. Cela me fait mal de la voir dans un tel état. Son visage affiche une expression si obscène. Cela ne lui ressemble pas.
Etant moi-même pris à une malédiction, je sors ma propre queue et m’astique également. Cela va passer, il suffit de me faire éjaculer. C’est là que je regrette que mon sac à foutre Eliana ne soit pas là pour me soulager, elle prendrait cher !
— Qu’est-ce que vous êtes pathétiques tous les deux, déclare Cubi en nous regardant l’un après l’autre ! Vous n’allez quand même pas rester là à vous contenter de juste vous branler de votre côté, non ?!
Elle se place derrière Xandra trop occupée pour faire attention à elle et lui remonte sa jupe assez haut pour me montrer ses belles fesses rebondies.
— Regarde cette belle petite fente, Manaël, me tente-t-elle. Elle ne te manque pas ? Viens, prends-là. Elle coule déjà. — Jamais ! — Allons. Tu sais combien on est bien à l’intérieur, n’est-ce pas ? Ose me dire que tu n’en as pas envie. — Non !
Je résisterais. Je refuse de faire ça à Xandra !
Cette dernière frémit lorsque Cubi lui enfonce un doigt.
— Et toi, petite souris. Dis-moi. Tu as envie, n’est-ce pas ? Tu as envie de te faire pénétrer ?— Pitié ! Pitié ! supplie Xandra à l’agonie.— Pitié, quoi ?— Pitié, baisez-moi ! N’importe qui ! Baisez-moi !
Xandra... Je suis choqué... Elle a toujours été une fille ultra-coincée sur la chose. Lorsque nous étions ensemble, il m’a fallu beaucoup de temps pour lui apprendre à ne pas avoir honte du sexe et de ses désirs. Si elle a fait beaucoup de progrès, elle est restée très prude jusqu’à la fin de notre relation. Alors la voir comme ça, parler de façon aussi grossière... je doute que ce soit son mari qui lui ait enseigné ça.
— Tu entends, Manaël ? insiste Cubi. Elle n’attend que ça ! — Non ! fais-je à nouveau.
J’ai envie de défoncer son vagin comme un animal à cause du sortilège, mais il faut que je tienne bon !
— En es-tu sûr ? Parce que laisse-moi mettre les choses au clair, Manaël. On ne peut pas la laisser comme ça, ce serait cruel. Quoiqu’il arrive, quelqu’un va enfoncer son sexe dans cette chatte et la prendre jusqu’à ce qu’elle soit remplie de sperme. Alors si ce n’est pas toi qui le fais, c’est moi qui m’en chargerais.
Elle sort son énorme sexe en érection en le caressant comme on prépare un outil avant de s’en servir. J’ai un sursaut de terreur. Non pas en voyant qu’elle a un pénis, j’étais déjà au courant de cette particularité de sa race de démon, mais de l’idée qu’un autre que moi puisse la souiller. Bien sûr que Xandra me manque ! Bien sûr que je sais à quel point c’est bon de la baiser ! Mais c’est aussi pour ça que je suis parti ! J’avais envie de lui faire des choses si sales dont je sais qu’elle n’accepterait jamais. Non, à vrai dire, c’est faux. J’avais surtout peur qu’elle finisse par accepter. Je ne voulais pas être l’ordure qui aurait perverti sa pureté. La quitter a été la chose la plus difficile que je n’ai jamais faite, mais je l’ai faite parce que je l’aime. Je ne pouvais pas rester, je ne pouvais pas lui faire ça. C’était la meilleure chose pour elle, pour la préserver. Bordel ! Après tout le mal que je me suis donné, me voilà pourtant de nouveau aujourd’hui face à la tentation.
Pire encore. À cause de cette maudite Cubi, quoiqu’il arrive, Xandra y passera. Tant qu’à faire, autant que ce soit par moi.
Je ne résiste plus. Je me positionne derrière elle, ma queue en main. J’essaie de me convaincre que je le fais pour elle, pour son bien. Ce n’est qu’un mensonge. En réalité, je le fais surtout pour moi. Je suis dans un tel état qu’il me serait difficile de résister à l’envie de baiser n’importe quelle chatte, alors celle de Xandra...
Je pousse en avant et la pénètre doucement, elle gémit. Je l’attrape par les hanches et me mets à la limer :
— Oui ! Oui ! m’encourage Cubi. — Aaah ! Oui ! soupire également Xandra.
Je n’en reviens pas de la baiser à nouveau après toutes ces années. Combien de fois n’ai-je pas pensé à elle ? Combien de fois n’ai-je pas rêvé de ce moment ? Cela a été tellement difficile de la revoir, surtout ici, dans un environnement aussi malsain. J’ai honte, mais pas assez pour me faire m’arrêter comparé à combien que je suis excité. Même sans la malédiction, je l’aurais sans doute fait. Comment peut-on résister en la voyant supplier qu’on la saute ?! Elle est belle, elle me fait envie depuis toujours. Qu’est-ce que cela m’a fait enrager quand j’ai appris qu’elle était mariée ! Ce salaud ne la mérite pas. Elle est à moi ! C’est moi qui lui ai fait découvrir le plaisir de la chair ! C’est grâce à moi si elle lui a fait des fellations, où si elle a chevauché sa bite autrement que dans le noir.
Je la démonte comme une chienne comme elle a toujours honteusement aimé ça. Je me régale de ses couinements à chacun de mes coups de reins. Cela me fait bizarre de me dire qu’elle a une bite entre ses jambes, mais je fais fi de ce détail pour me concentrer sur son corps de femme. Je me débarrasse d’ailleurs vite fait de sa robe de dame de chambre pour pouvoir accéder à ses seins nus. Je les presse et en pince les tétons. Ce que sa poitrine m’avait manqué elle aussi. Elle a une vraie paire, contrairement à Eliana ou Helena, sans non plus être énorme, comme Yezabel ou Cubi. Ils sont parfaits, juste la taille qu’il faut.
Cubi nous observe en se branlant. Pourquoi ne suis-je pas étonné que cette perverse aime mater ?
— Hmm, vous êtes si beau quand vous copulez comme des animaux mes chéris, commente-t-elle.
C’est une assez bonne description de ce que nous faisons. Xandra est une jument en chaleur qui a besoin de se faire saillir, et je suis un étalon qui a besoin de la monter. J’adore cette façon qu’elle a de s’abandonner à moi. Elle se laisse faire tant elle a besoin de se faire envahir par une bite. C’est rare de la voir comme ça, assumer pleinement ses désirs de femme, c’est un régal.
— Aaah, Manaël ! Ta queue m’avait tellement manquée ! m’avoue-t-elle.
C’est là que je sens la malédiction agir, la Xandra que je connais n’aurait jamais osé dire une chose pareille à voix haute. Evidemment, cela ne fait que m’exciter davantage :
— Tu lui avais manqué aussi, elle pense à ta chatte tous les jours !— Aaah !
La démone à quatre bras sort de sa cachette pour se placer devant Xandra. J’ai peur de ce qui va arriver lorsque je la vois pointer son engin devant les lèvres de ma rousse. Je n’ai pas le temps de protester que cette dernière le prend instinctivement en bouche :
— Ooooh ! Ouiiiiii ! Suce-moi, petite souris !
Elle l’a fait sans même que Cubi n’ai eu à le lui demander. Il lui a suffi de voir une bite devant son nez pour l’avaler. Je suis tellement sidéré de voir Xandra si salope que je n’arrive pas à être en colère contre notre bourreau. Elle semble vraiment aimer ça en plus, elle la branle furieusement d’une main tout en essayant de la prendre de plus en plus loin dans la gorge. Cela m’encourage à augmenter mon rythme. Je la saute si fort qu’on entend un son de claquement à chacun de mes assauts, elle en gémit de plaisir.
Cubi et moi abusons de notre captive sans aucun scrupule. La pauvresse n’a aucun répit. Je caresse son délicieux corps qui me rend fou. J’adore la pâleur de sa peau si douce. Il ne me faut guère longtemps pour sentir les prémices de ma jouissance. Il faut que je me retienne. Je me rappelle que je ne suis pas là pour ça, je suis là pour elle, pour la soulager et la libérer de son sortilège. Je la lime du mieux que je peux. Heureusement, on dirait que cela lui plaît beaucoup d’être prise des deux côtés en même temps.
— Hmm, Xandra, soupire la démone. Tu me pompes tellement bien. Je suis sûre que c’est Manaël qui t’a appris à sucer aussi bien ! Je ne vais pas tarder à juter si tu continues comme ça !
Je serais horriblement jaloux d’entendre ça si je n’étais pas déjà en train de lui défoncer la chatte ! Non, mais elle n’a vraiment aucune gêne de me narguer comme ça ! Et après elle prétend vouloir « nous aider ». Tu parles !
— Ooh ! Oui ! Ça y est ! Je viens ! C’est magnifique ! Prends tout petite souris !
Déjà ? Je m’imaginais cette terrible sorcière bien plus endurante. Xandra semble tout avaler tandis que Cubi se décharge. J’en suis le premier surpris, elle n’a jamais beaucoup aimé ça de mon temps. J’envie le visage d’extase de la démone, je voudrais connaître le même bonheur de la bouche de mon ancienne bien-aimée. Je sens soudainement sa chatte avoir des soubresauts. Elle jouit ? Elle jouit d’avaler du sperme ?! Mais qui est cette femme que je ne reconnais pas ?! Mes soupçons se confirment en constatant que le sexe qui pend entre ses jambes s’est mis à éjaculer. C’est quand même quelque chose de bizarre de voir la fille que vous aimez gicler du foutre par un pénis de mâle. Il y en a une telle quantité qu’une petite flaque gluante se forme au sol. Je dois être un sacré tordu, mais c’en est trop, je craque, je sens mon propre jus grimper. Ce n’est pas grave, j’ai accompli mon devoir de toute façon, c’est le bon moment pour moi de les rejoindre toutes les deux.
Je me laisse aller et expulse mon sperme au fond de son vagin. Je me fiche tout au fond pour bien la remplir en beuglant. Cela décuple mon plaisir de savoir que je le fais dans Xandra. Que je souille cette femme mariée qui aurait dû être mienne depuis toujours. C’est comme si j’évacuais ma frustration en même temps que ma semence.
Je sors d’elle et reprends mon souffle dans mon coin. Ça y est, c’est fini. Je ne sais pas si je dois dire « enfin » ou « déjà ». Nous sommes tous repus de plaisir. Cela ne me plaît pas d’avoir dû partager Xandra avec Cubi, mais les choses que j’ai vues compensent largement ce « léger » désagrément. Maintenant que la malédiction est levée, nous allons pouvoir tous reprendre notre vie normale et oublier ce qui s’est passé. Il va vraiment falloir mettre les choses au clair avec la démone pour que ce genre de choses ne se reproduise plus. J’ai peut-être pris un pied d’enfer, mais elle est vraiment allée trop loin.
Xandra a l’air heureuse, cela me rassure. J’avais peur que l’expérience ne la traumatise ou pire. Je remarque tout de même quelque chose de bizarre : son sexe est toujours là. Et surtout, elle bande toujours.
— Ma pauvre Xandra, déclare Cubi. Tu as encore envie, n’est-ce pas ? Ta queue doit te démanger. Viens, ma chatte n’attend que ça !
Qu’est-ce qui se passe ? Non, mais je crois rêver ! Cubi s’installe sur le dos sur le bord de son lit en écartant les cuisses. C’est la première fois que je peux observer aussi bien son « organe » si particulier. C’est tout de même assez incroyable de voir une femme avec à la fois un vagin parfaitement normal et une longue bite sans testicules. C’est tellement obscène de voir cette chose bien dure reposer sur son ventre tandis qu’elle expose son trou pour se faire prendre. La terrifiante sorcière s’offre-t-elle vraiment ainsi à mon ex-compagne ou n’est-ce qu’un horrible subterfuge ? Xandra regarde son délicieux orifice avec étrangement beaucoup d’envie. Je n’ose bouger ni parler, trop curieux d’observer ce qui va suivre. C’est de la folie : elle se lève et se place entre les jambes de Cubi, la verge tendue. Je me dis qu’elle va bien finir par renoncer ou faire demi-tour à la dernière seconde, quand au lieu de ça, je la vois enfoncer son dard dans son vagin.
Je n’en reviens pas, ce à quoi j’assiste n’a aucun sens : mon ex-copine est en train de pilonner une démone avec sa queue comme un véritable mec. Il faut le voir pour le croire. Xandra, la prude, la coincée, a un pénis, et ose s’en servir sans honte plutôt que de s’en dégouter !
Je réalise seulement maintenant que moi non plus je n’ai pas débandé. Cette malédiction est bien plus qu’un simple sort de succube. Il ne suffit pas de se décharger une fois pour s’en débarrasser. Je commence à avoir peur. Est-ce la même chose que ce que subit Helena ? Notre luxure va-t-elle seulement avoir une fin ? Je suis bien trop excité pour m’en soucier en ce moment. Je ne peux m’empêcher de me branler en regardant la scène qui se tient devant moi. Sortilège ou non, je trouve ça étonnamment diablement érotique. Elle est incroyablement belle à baiser comme ça, et c’est aussi un plaisir exquis de voir la démone ne pas avoir le dessus pour une fois.
Xandra semble ne pas se soucier que de son propre plaisir, mais aussi du sien. Elle se met à branler le sexe de Cubi d’une main. Elle lui pelote également un sein de l’autre, comme si elle était elle-même attirée par cet attribut féminin. Je me lève afin de mieux les admirer sous tous les angles, elles font comme si je n’étais pas là. Xandra est vraiment perdue dans son nuage, elle a les yeux à demi-clos. On dirait qu’elle pourrait en mourir si elle n’utilisait pas son sexe pour défoncer une chatte.
— Oh, petite souris, vas-y ! Baise-moi ! l’encourage Cubi. Ta queue est tellement bonne ! Tu te débrouilles tellement bien !
L’intéressée ne répond pas. C’est à peine si elle est capable de l’entendre de toute façon vu son état. Il n’empêche, pour quelqu’un qui ne doit pas avoir l’habitude d’avoir une bite, c’est vrai qu’elle s’en sert vachement bien.
Je n’en peux plus d’être passif en les regardant comme ça. Moi aussi, j’ai un besoin viscéral de bourrer un vagin, et je n’ai pas la patience d’attendre qu’elles aient fini pour réclamer mon tour. Je m’approche de Xandra par-derrière et profite qu’elle ne me remarque même pas pour enfiler ma verge au fond de sa chatte. Elle ne s’en révolte pas, au contraire, elle gémit de bonheur tandis que je lui donne des coups de boutoirs. Je n’ose imaginer ce qu’elle doit ressentir en ce moment. Elle baise tandis qu’elle se fait baiser, stimulée à la fois par son sexe de femme et celui d’homme.
— Petit coquin ! me taquine Cubi.
Je la serre contre moi, lui pelote les seins et lui mordille le cou.
— Hmm, Xandra, fais-je dans un long soupir.
Elle me rend tellement fou. Sa peau, sa chaleur, son odeur. Elle est déjà d’ordinaire tellement belle, mais là, je ne tiens plus. Je lui fais tourner le visage afin de l’embrasser. Elle me rend passionnément mon baiser :
— Manaël...— Xandra... — Vous êtes si mignons tous les deux, commente Cubi pour nous rappeler sa présence.
Je la ramone plus fort au point qu’elle perd tout contrôle. Elle ne bouge plus, c’est moi seul qui donne le rythme. À chaque fois que je la pénètre, je la pousse au fond du vagin de Cubi. Je suis responsable de notre plaisir à tous, c’est presque comme si je les baisais toutes les deux en même temps. Je les fais gémir bruyamment. Xandra n’en peut tellement plus qu’elle se laisse tomber en avant sur la démone. Leurs poitrines sont pressées l’une contre l’autre, le sexe de Cubi coincé entre leurs ventres. Cette dernière enlace sa partenaire de ses quatre bras et échange avec elle un baiser. Ma jalousie me fait augmenter la cadence pour essayer de les perturber. Je ne fais que les rendre folles toutes les deux.
— Tu le sens, n’est-ce pas, petite souris ? lance Cubi. Tout ce plaisir au niveau de ta verge et de ta chatte ?— Oui, oui ! halète Xandra.— Tu aimes ? — J’adore !— Dis-le à ton homme. — J’adore Manaël ! Encore, encore ! Prends-moi ! Pitié !
On dirait qu’elle en pleure.
— Tu as envie de jouir ?! poursuit Cubi.— Je n’en peux plus !— Laisse-toi aller, ne te retiens pas. Tu sais combien c’est exquis. — Aaah ! — Vas-y, l’encouragé-je à mon tour. Remplis cette salope de démone de ton sperme. — Aaah ! Oui ! Oui !
Je me surprends moi-même à me prendre à ce jeu pervers. En tout cas, il faut croire que cela marche : elle est prise d’un second orgasme et gicle dans le vagin de la démone. Cette dernière la rejoint presque tout de suite en s’éjaculant dessus, souillant Xandra au passage avec des jets copieux. Je jouis moi aussi, exhorté par leurs délicieux cris de plaisir et me décharge une seconde fois dans la chatte de mon ex. Elle déborde de foutre lorsque je me retire. Elle ne bouge pas, elle reste affalée sur la démone. J’ai de nouveau une pointe de jalouse en les envoyant s’enlacer comme des amoureuses.
— Aaah ! Encore ! Encore ! supplie Xandra à moitié consciente. — Hmm, oui, on va t’en donner encore, déclare Cubi. Mais d’abord, tu vas nous sucer tous les deux. N’est-ce pas Manaël ?
Je n’aime pas coopérer avec elle, mais je ne trouve aucune raison de protester. Xandra se met à genoux tandis que nous la surplombons tous les deux en lui présentant nos verges. C’est trop bizarre de voir les deux femmes avoir leurs torses tâchés de sperme. D’épaisses traînées de Cubi coulent entre leurs seins.
Xandra prend tout de suite nos bites en main et engloutit la mienne. Je soupire de bonheur. Depuis le temps que je rêvais d’une de ses pipes ! Elle me pompe comme une véritable affamée. J’ai le cœur brisé lorsqu’elle s’arrête pour s’occuper de la queue de Cubi. Elle passe aisément de l’une à l’autre en nous branlant tous les deux. Bon sang, on dirait qu’elle a fait sa toute sa vie ! Elle fait tout pour nous faire jouir le plus vite possible. Elle a hâte de passer à la suite. Son sexe atrocement bandé hurle pour de l’attention. En temps normal, je serais ravi de la torturer en me retenant le plus longtemps possible, mais là, je n’en ai pas envie.
— Alors Manaël, tu n’es pas heureux que j’aie dressé la petite Xandra pour toi ? me taquine Cubi. — Putain, si ! ai-je du mal à admettre. — Je comprends pourquoi tu l’aimes autant. Elle suce tellement bien. Moi aussi je voudrais en faire mon familier si j’étais à ta place.
Je ne prends même pas la peine de réagir à ses provocations.
La scène est étrangement obscène. Le sperme de Xandra s’échappe de sa chatte tandis que cette dernière est en train de la pomper. Ses cuisses ruissellent de foutre et de mouille. Elle en ramasse un peu avec ses doigts pour le poser sur son gland avant de le lui faire avaler. Elle a l’air de trouver ça tellement délicieux qu’elle enchaîne en lui faisant un cunni pour récolter le précieux nectar directement à la source.
— Hmm, je sens que je ne vais déjà pas tarder à jouir à nouveau, poursuit Cubi. Tu es prête, petite souris ? Tu as envie de mon sperme. — Oui ! Oui ! Donnez-moi tout ! Donnez-moi tout ! — Hmm oui. Allons-y Manaël. Elle l’a bien mérité, n’est-ce pas ? —
Vu son dévouement, je ne peux que lui donner raison. Je me branle moi-même pour me finir tandis qu’elle est en train de pomper Cubi. Elle se tourne subitement vers moi lorsqu’elle comprend que je suis proche. Elle ouvre la bouche en me présentant son visage pour m’inviter à le souiller. Par les divins, cette vision ! C’en est trop. Je me laisse aller et lui éjacule dessus.
— Aaaah ! Xandra ! fais-je.
Par les divins, j’avais toujours rêvé de la salir de mon foutre de cette façon, mais elle me l’avait toujours refusé, trouvant ça trop dégradant et humiliant. C’est un réel bonheur de la voir aujourd’hui nous supplier comme une petite chienne en chaleur. Je gicle tout ce que je peux en cherchant à l’en couvrir le plus possible. Je lui en mets sur le nez, les joues et le front. Je regrette de ne pouvoir lui en donner plus lorsque mon orgasme se termine. Un peu de mon foutre lui coule sur le menton puis tombe sur ses seins, se mêlant à celui de Cubi. Cette dernière n’est pas loin de jouir non plus et appelle Xandra qui m’abandonne pour la branler à deux mains.
— Oh oui, comme ça. Je vais venir ma belle. Oui ! Oui !
Elle lui jute dessus d’une force qui n’est pas humaine. La quantité de sperme qu’elle lui envoie à la gueule suffit à me rendre jaloux. Elle en a même dans les cheveux, cela coule de partout, elle est obligée de fermer les yeux. Elle continue de l’astiquer pour être certaine de la vider entièrement en prenant soin de garder l’engin pointé sur sa figure :
— Encore ! Encore ! geint-elle, en pleine extase.
Je ne pensais jamais voir Xandra comme ça...
C’est presque déçue que le flot s’arrête enfin. Elle passe ses doigts sur ses paupières afin de pouvoir les rouvrir. La démone comblée lui sourit, la félicitant :
— Ooh, tu as été parfaite petite souris. N’est-ce pas Manaël ?— Personne ne suce comme elle, acquiescé-je.
Cubi l’aide à se relever puis l’embrasse langoureusement. Xandra n’a jamais été portée sur les filles, et pourtant, elle le lui rend avec entrain. Elles s’échangent du sperme avec leurs langues, avalant la moindre goutte quand elles le peuvent. Un long filet les relie lorsqu’elles mettent fin à leur étreinte.
— Tu en voulais encore, petite souris, tu as en avoir. Tu as plus que mérité ta récompense. — Oui, encore, supplie Xandra.— De quoi as-tu envie ? De baiser ? Ou d’être baisée ? — J’ai besoin d’être baisée. — Alors, viens, je vais te donner ce que tu désires.
Je veux protester lorsque je la vois la suivre docilement, mais Cubi bloque mes cordes vocales en levant simplement un doigt.
— Reste sage, Manaël. Tu profiteras d’elle plus tard. C’est à mon tour de m’amuser un peu avec, maintenant.
Non ! Je ne veux pas qu’elle la touche ! Elle est à moi ! Rien qu’à moi ! Je fais mine de crier, mais aucun son n’en sort.
— Je te préviens : si tu continues, je t’attache et je m’occupe d’elle toute seule jusqu’à ce que sa malédiction se dissipe. C’est vraiment ce que tu veux ?
Je baisse les yeux en guise de réponse.
— C’est bien, brave garçon.
Je n’aime pas ça, mais je n’ai pas le choix. Si je veux avoir une chance de pouvoir resauter Xandra, je vois devoir endurer. La démone la fait se mettre à genoux sur le bord du lit puis se pencher en avant, les seins pressés contre le matelas.
— Hmm, je vais me régaler, ronronne Cubi. Cela fait longtemps que j’attends ça.
Je m’attends à ce qu’elle lui pénètre la chatte, quand c’est avec surprise que je la vois s’enfoncer dans son autre orifice. Non, mais quelle salope ! Elle va vraiment trop loin cette fois ! Déjà que Xandra a toujours refusé catégoriquement qu’on s’approche de près ou de loin de son petit trou, mais là, avec ses dimensions hors norme de démone, elle va lui déchirer l’anus !
— Pitié ! Pitié ! hurle sa victime tandis qu’elle lui donne des coups de piston dans le rectum.
Ma pauvre Xandra ! Non ! Il faut que j’intervienne ! Je ne peux pas la laisser lui faire mal comme ça ! J’ai à peine le temps de faire un pas pour lui venir en aide que je l’entends crier :
— Encore ! Encore !
Que... mes oreilles me jouent des tours, ce n’est pas possible ! Ce n’était pas des cris de détresse, mais de plaisir ? Xandra se fait sodomiser par un monstre d’une taille inhumaine, et elle aime tellement ça qu’elle en redemande encore ? Si ce n’était pas déjà le cas à cause de la magie, j’en banderais comme un âne. Ce soir, elle est exactement comme j’ai toujours fantasmé qu’elle soit : une petite pute soumise prête à tout pour recevoir un coup de bite, peu importe le trou. Je l’ai quittée parce que ma conscience refusait de la dégrader à un tel niveau, mais maintenant qu’elle en est là, j’ai envie d’en abuser. Cela me fait mal de voir Cubi lui faire ses choses horribles, mais si je me montre patient, j’aurais mon tour.
Cubi ne prend aucun gant avec elle et l’encule de toutes ses forces. L’expression de son visage trahi à quel point elle prend son pied. Xandra à côté n’arrête pas de gueuler son plaisir. De là où je suis, je peux voir l’énorme sexe de la démone se ficher au fond de son cul. Du pré-sperme s’écoule déjà du pénis qui pend entre ses jambes. Elle s’agrippe farouchement aux draps pour encaisser les coups tandis qu’elle se fait tirer par les cheveux :
— Hmm, petite souris, ton anus est divin. Je pourrais le défourailler pendant des heures !— Aaah ! Ouiii ! Aaah !
Sauf qu’à ce rythme, il ne faudra pas autant de temps à Xandra pour atteindre l’orgasme. Au bout de quelques minutes à peine, sa queue se met à pulser du sperme dans le vide. C’est tellement obscène : elle éjacule de se faire prendre par le cul. J’adore, je m’en masturbe comme un fou. La quantité est anormale pour un être humain, mais ce sexe n’a rien d’humain de toute façon. Cela ne s’arrête jamais, on dirait qu’elle ne cesse de jouir en chaîne. Cette anomalie qui n’a rien à faire là et qui pend comme un appendice étranger continue de gicler du foutre sur le sol tandis que Cubi ne lui laisse aucun répit et la pilonne sans relâche :
— Ooooh ! Aaaah ! Je vais venir aussi, petite souris ! Tu vas voir ce que tu vas prendre !
La démone s’enfonce le plus loin qu’elle peut dans le fion de mon ex puis lui balance son jus en soupirant d’extase :
— Aaaaaaaaaaaaaah ! font-elles de concert.
J’ai l’impression que Xandra a perdu connaissance quand son pénis ne décharge plus rien. Cubi profite entièrement de son orgasme avant de se retirer. Du sperme s’écoule rapidement du cul de sa partenaire. J’ai du mal à croire que celle-ci a vraiment les deux orifices qui débordent.
Xandra reprend peu à peu ses esprits, à mon plus grand soulagement. Je me dis que cela va enfin être mon tour quand Cubi m’arrête pour me faire comprendre qu’elle n’en a pas terminé. Elle fait s’allonger la belle rousse sur son lit puis lui grimpe dessus. Elle prend sa bite et se l’enfonce pour la chevaucher. Je suis étonné de voir Xandra aussi partante malgré ce qu’elle vient de traverser.
Les deux filles baisent passionnément ensemble comme si je n’étais pas là. Elles se caressent le corps l’une de l’autre et jouent avec leurs seins. Je me régale de leurs couinements si érotiques. Cubi a clairement l’avantage avec ses quatre bras, elle lui pince les tétons tout en les pressant. À un moment, elle se penche pour l’embrasser. Leurs poitrines collantes de sperme de leurs précédents ébats se pressent l’une contre l’autre.
Xandra se met à remuer du bassin. Elle veut se servir de sa bite pour la baiser et se faire du bien. La démone en gémit de bonheur :
— Oooh, petite-souris. Oui ! Défonce-moi bien avec ta grosse queue !
Leur danse se fait de plus en plus frénétique. Je n’en peux plus de rester là à ne rien faire. Tant pis, je vais peut-être la mettre en colère, mais je ne suis pas du genre à obéir aveuglément comme un animal docile. Et puis franchement, après tout ce qu’elle m’a fait subir, elle mérite que je me venge. Que je nous venge tous les deux. Je grimpe discrètement sur le lit derrière Cubi trop occupée pour faire attention à moi, et presse ma queue vers sa porte de derrière. Quand elle comprend ce qui se passe, il est trop tard et je m’enfonce au plus profond dans son cul :
— Ah ! Salaud ! geint-elle.
Elle ne prend pourtant aucune mesure contre moi lorsque je commence à la ramoner :
— Ah ! Vas-y ! Oui ! Continue ! ajoute elle-même.
Ce n’était pas censé lui faire plaisir, mais j’imagine que c’est mieux ainsi. Après tout ce temps passer à mater en restant passif, c’est un véritable bonheur de retrouver la chaleur d’un anus serré. La démone ronronne et gémit d’être prise par les deux trous. Xandra et moi prenons notre revanche dans la martelant sans douceur. Ce qui n’est pas pour lui déplaire :
— Aaah ! Mes petites souris ! Oui ! Prenez-moi tous les deux ! Oooh ! Vous êtes formidables !
J’ai un peu honte sachant que c’est elle, mais je dois avouer que je prends un pied d’enfer. Même si je la hais, elle reste tout de même une sacrée belle femme capable de rendre fou n’importe quel homme. J’essaie d’oublier ma rancœur pour me concentrer sur mon plaisir. En vérité, cela faisait longtemps que j’en avais envie. Depuis le temps qu’elle me nargue, qu’elle m’énerve, et même me chauffe, je rêvais de la soumettre avec ma queue.
Elle jouit une première fois en éjaculant sur Xandra qui était déjà toute collante de foutre. Cela ne la distrait pourtant pas. Tout comme elle ne s’était pas arrêtée pour elle, nous ne nous arrêtons pas non plus. Nous prenons simplement ce que nous voulons, et en ce moment, c’est cette putain de démone bleue à quatre bras :
— Vas-y, bourre-là Xandra ! l’encouragé-je. Baise-moi cette salope qui nous torture depuis trop longtemps ! — Ah ! Oui ! Oui ! Son vagin est tellement bon ! — Oooh, mes petites souris ! Mes petites souris !
Je les presse l’une contre l’autre pour pouvoir y aller encore plus fort tandis que son sexe pulse à nouveau. Un jet plus puissant que les autres atteint même le visage de Xandra. Nous ne nous occupons pas d’elle, jusqu’à ce que nous éjaculions à notre tour après nous être retenus aussi longtemps que nous le pouvions. Ensemble, nous nous vidons dans celle qui nous a maudits, remplissant ses orifices de sperme.
Je gicle tout ce que je peux avant de m’apaiser. Je suis tellement épuisé que je m’écroule sur elle. Nous restons ainsi un moment tous les trois sans bouger. Par chance, je remarque que je suis encore dur. Honnêtement, si la malédiction venait de se dissiper, j’aurais utilisé le sort des succubes. J’ai besoin d’un nouveau tour avec Xandra, j’en mourrais s’il le faut.
Le moment que j’attendais avec impatience arrive enfin. La démone rassasiée de plaisir nous laisse enfin un peu d’espace. Ma belle rousse me dit qu’elle en veut encore. Je ne sais pas comment elle fait pour tenir le coup, mais cela me comble de bonheur. Je m’allonge sur le lit et l’invite à me monter dessus. Elle me tourne le dos et attrape ma verge. Elle se la met dans le cul sans que je ne lui demande puis s’empale dessus. Je n’ai rien à faire, elle rebondit toute seule pour se faire du bien. Je grogne d’extase. Ça y est, j’encule enfin Xandra pour la première fois. J’ai réussi ma vie. Je peux mourir demain, maintenant, je m’en moque. Je la guide en la maintenant par les hanches. Elle gémit bruyamment de plaisir. C’est merveilleux, elle se sodomise elle-même avec ma bite et elle aime ça. Je sais que ce n’est hélas que temporaire et que cela lui passera sans doute bientôt, mais qu’est-ce qu’elle est belle ainsi, en femme libérée qui n’a pas honte de ses désirs.
Je ferme les yeux, me laissant aller aux sensations et au doux son de sa voix.
— Aaaaaah ! me réveille-t-elle subitement.— Qu’est-ce qui se passe ?! fais-je inquiet.— Elle me suuuuuuce !
Putain. Cubi n’a pas pu s’empêcher de mettre son grain de sel et de venir nous déranger. Elle pompe la queue de ma dulcinée tout en la branlant tandis qu’elle remue du bassin pour mieux me sentir.
— C’est trop bon ! C’est trop bon ! geint Xandra. Arrête ! Si tu continues comme ça, je vais jouiiiiiiir !
À peine a-t-elle le temps de prononcer ces mots qu’elle gicle dans la bouche de la démone. Cette dernière avale goulûment tout ce qu’elle lui donne :
— Oooh ! Aaah ! Ouiii ! C’est booooon !
Elle se tortille tellement dans tous les sens que je dois faire un effort pour la faire rester en place. Comme elle n’est plus en état de le faire elle-même, je commence à la pilonner. Je ne peux pas en rester là ! J’ai peur que ce fût sa dernière fois, mais je remarque avec soulagement que son pénis bien dur est toujours là :
— Ooh ! Oui ! Manaël ! Encooore !
Elle est complètement folle, et moi aussi.
Je la lime en lui caressant les seins. Ces délicieux seins qui m’ont toujours fait rêver. J’ai toujours regretté qu’elle n’ait jamais voulu les mettre en valeur avec des décolletés. En les pressant fermement, je réalise que j’avais oublié qu’ils étaient gluants de sperme. Mes mains sont toutes collantes. J’en profite pour lui faire me lécher les doigts pour les nettoyer. Elle me les goutte avec délectation.
— Permettez que je me joigne à vous, entends-je soudainement.
Bordel, mais cette salope de Cubi ne veut vraiment pas nous laisser tranquilles ! Je pensais qu’après ce qu’on lui a fait, elle en aurait eu assez, mais voilà qu’elle pointe son engin de nouveau raide vers le vagin de ma bien-aimée. Elle la pénètre sans même demander notre avis. Xandra hurle lorsqu’elle se fiche au fond d’elle. En temps normal, j’aurais fait ou dit quelque chose pour essayer d’empêcher ça, mais je dois admettre que l’idée de la prendre en double me ravit. Voilà donc l’objet de tous mes fantasmes avec une bite dans la chatte et une autre dans le cul. Nous la prenons comme des soudards en manque qui n’aurait pas tiré leur coup depuis des mois :
— Aaah ! Non ! C’est trop bon ! Arrêtez ! Arrêtez ! proteste-t-elle.
Elle dit ça, mais qui va la croire ? Surtout quand elle se remet à s’éjaculer dessus. C’est dingue la quantité anormale de sperme qu’elle tire à chaque fois. Elle en fout partout sur Cubi et sur elle-même.
Elle ne cesse de gueuler pendant qu’on la pilonne, enchaînant les orgasmes. Elle n’a jamais dû prendre un pied comme ça de toute sa vie. Elle ne sait plus ce qu’elle veut. Elle nous supplie tantôt d’arrêter, tantôt de continuer. Au bout d’un moment, elle n’a plus la force de parler. Elle n’est plus qu’une poupée de chair dont on abuse de ses orifices, et comme nous sommes de salauds, nous nous retenons le plus possible pour rallonger son supplice.
— Hmm. Xandra, ma pauvre chérie, ronronne Cubi, tu n’en peux plus, n’est-ce pas ? Qu’est-ce que tu en dis Manaël ? Tu penses qu’elle a mérité un peu de repos ?— La pauvre, oui.— Finissons-en alors. Jouissons, remplissons-la de foutre.
Je n’avais pas envie de jouir le premier pour la laisser seule avec Cubi, mais si cette dernière proposer de faire ça en même temps, je ne peux pas dire non. Nous nous lâchons pour nous achever. Nous la violons avec nos énormes membres. Mes hanches bougent toutes seules jusqu’à ce que je me sente partir. Je me fiche tout au fond de son anus puis grogne en lui envoyant la sauce.
— Aaaah ! Oui ! Prends, petite souris, prends ! s’exclame la démone qui jouit en même temps que moi. Donnons-lui tout Manaël. Donnons-lui tout notre amour, qu’elle sente combien nous l’aimons !
Nos queues pulsent dans les profondeurs de ses entrailles déjà débordantes de sperme. La pauvresse se jute dessus une dernière fois tandis que nous nous vidons. Je ne pensais pas dire ça un jour devant un spectacle aussi obscène que surréaliste, mais c’est vraiment magnifique.
Lorsque nous en avons terminé, Cubi se retire et nous laisse un peu seuls. Je prends Xandra qui s’est écroulée sur moi dans mes bras. Elle est épuisée, la respiration courte. Je la câline de façon étonnement douce après une baise aussi sauvage, et ce même si elle est complètement souillée de foutre. Je la trouve belle comme ça. On dirait qu’un troupeau de mâles lui est passé dessus.
Je me rends compte que je suis en train de devenir flasque. Ma malédiction s’est dissipée, mais pas la sienne manifestement. Je lui laisse quelques minutes de repos avant de lui proposer de passer à la suite :
— Je crois qu’il est temps de nous venger de notre hôte. C’est à son tour de nous sucer tous les deux. Qu’en dis-tu ? Elle nous doit bien ça. — Hmm, oui, j’ai encore envie d’une bonne pipe, me soutient-elle.
Je me refais bander. Ce qui va suivre n’est plus pour me débarrasser d’un sortilège, mais juste pour mon plaisir personnel. J’ai encore envie. Envie d’humilier Cubi. Nous l’attaquons tous les deux et la forçons à se mettre à genoux. Elle ne se débat pas, au contraire, ceci l’amuse follement :
— Suce-nous, salope ! lui fais-je.
Elle est un peu trop heureuse d’obtempérer. Elle nous avale à tour de rôle en nous branlant en même temps. Elle utilise son avantage d’avoir quatre bras pour enfoncer deux doigts dans le vagin gluant de Xandra tout en se masturbant. Cette dernière semble aussi excitée que moi à l’idée d’abuser de la démone après tout ce qu’elle nous a fait. Elle l’oblige même à lui faire quelques gorges profondes. Je l’adore, surtout avec toutes ces traînées de sperme qui glissent le long de son corps. Je passe mon bras autour de sa taille de pour la coller près de moi et l’embrasse tandis que nous nous faisons pomper. Nous sommes comme un couple qui jouons avec une esclave :
— Hmm oui. Ce qu’elle suce bien, soupire Xandra.— Pas autant que toi, fais-je. Tu es vraiment la meilleure.
Elle rougit.
Cubi s’applique comme si sa vie en dépendait. Elle est aussi docile que joueuse. Elle nous lèche le gland, joue avec mes boules. Elle cherche à nous rendre fou, et elle y arrive :
— Manaël, je n’en peux déjà plus. — Moi non plus. Ne nous retenons pas, elle ne le mérite pas. Jutons-lui dessus à cette salope.
Cubi s’apprête à nous recevoir en sortant la langue tandis que nous nous branlons pour nous finir.
— Hmm, oui. Allez-y mes petites souris. Jouissez sur moi ! — Prends ! Salope ! déclare Xandra.
C’est quand même quelque chose de voir son ex s’astiquer la bite comme un vrai mec pour éjaculer sur une autre fille. Sa queue gicle de puissants jets sur le visage bleu de la démone. Je la rejoins presque en même temps, ajoutant mon foutre au sein. Elle était déjà pas mal souillée, mais là, elle a la figure dégoulinante de sperme. Cette pute se l’étale comme un masque tandis que nous essayons de nous remettre de nos émotions. Je la hais et l’adore en même temps.
Xandra s’effondre sur le lit, à bout de force. Son sexe ramollit puis disparaît enfin. Je suis soulagé, c’est terminé, même si je ressens également un peu de tristesse. Je crois que j’ai un peu trop aimé la voir avec cette chose. Je devrais la reconduire chez elle maintenant, sauf que je trouve que Cubi n’a pas encore été assez punie. Cette dernière est abasourdie qu’elle me voie me faire rebander :
— Il est temps que je m’occupe de toi personnellement, lui fais-je. Tu vas prendre cher ! Salope !

Je ne lui laisse pas le temps de réagir. Je la fous à quatre pattes et m’enfonce dans son cul sans attendre. Elle en crie de bonheur. Pour une fois qu’elle se laisse faire, je l’utilise comme si elle était Eliana, comme un vulgaire sac à foutre. Je martèle ses fesses de coups, je lui tire les cheveux. Après tout ce qu’elle nous a fait, les malédictions, les provocations, la jalousie qu’elle a fait naitre en moi en abusant de ma Xandra, je veux soumettre cette démone un peu trop fière à ma queue. Elle fait clairement moins la maligne maintenant, à me supplier pour que je la saute comme une pute soumise. La vérité, c’est que j’en avais envie depuis longtemps. Ça a beau être une vicieuse bleue à quatre bras qui a la manie de m’irriter, c’est surtout une femme très désirable dont le pervers que je suis rêve de souiller. Je sais que la situation ne se reproduira pas de sitôt, j’en profite alors pour lui faire tout ce dont j’ai toujours eu envie.
Peu m’importe que tout son corps soit collant de sperme, je la prends par tous les trous dans de multiples positions, je joue avec ses énormes seins, je la fais jouir plusieurs fois. Je ne me retiens pas moi-même d’éjaculer quand j’en ai envie. Quand je pénètre tout au fond d’un orifice, des filets de foutre de nos précédents ébats s’échappent de l’autre. Je continue ainsi jusqu’à l’en épuiser complètement. Je me décharge une dernière fois dans son cul avant de l’abandonner. Je la laisse traîner au sol comme une loque, son propre sexe enfin ramolli à force d’avoir giclé.

Triomphant, je me rhabille et m’occupe de Xandra. Elle n’a pas bougé du lit depuis tout à l’heure, c’est à peine si elle s’est rendu compte de ce que j’ai fait avec Cubi. Je la porte pour la ramener dans sa chambre. Je me sens un peu coupable. Cette nuit, avec la malédiction, elle a atteint des sommets de plaisir, mais la connaissant, elle risque de se réveiller demain avec une sacrée gueule de bois en regrettant de s’être lâchée autant. J’aimerais tellement qu’elle s’assume et qu’elle soit tout le temps ainsi. J’espère qu’elle ne sera pas trop en colère contre moi.
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