Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 151 J'aime
  • 0 Commentaire

L'orgie

Chapitre 1

La suite avec Guillaume et Coralie

Orgie / Partouze
Avertissement : tous les personnages de ce récit ont l’âge requis pour figurer dans les histoires du site Xstory.

« Non, vraiment ce n’est pas facile ... Il y avait beaucoup de monde vous savez, non je ne peux pas vous dire combien...— D’accord, ce n’est pas grave, on reviendra là-dessus plus tard. On reprend. Quand êtes-vous arrivé, et avec qui exactement ?— OK. Alors moi, je suis arrivé assez tôt, vers 20h30, avec Guillaume et Coralie, des ... hum, des amis, voilà. Bon, il y avait déjà du monde, parce que ça fait aussi restaurant, hein, donc si on veut on peut arriver pour le repas ...— C’est bon, j’ai compris. Vous êtes arrivés à trois vers 20h30. Qu’avez-vous fait ?— Eh bien, je ne sais pas moi, on s’est assis tous les trois dans un box libre, et on a attendu pour commander de quoi boire.— Et autour de vous, il se passait quoi ?— Oh ben rien ... enfin, pas grand-chose ...— S’il vous plaît, ne perdons pas de temps, allons aux faits, que se passait-il autour de vous ?— OK, OK, d’accord, j’ai compris. Eh bien à droite il y avait un couple qui s’embrassait, se touchait, enfin rien de spécial, hein, je veux dire, ils étaient habillés !— Décrivez-les-moi et soyez plus précis, que faisaient-ils ?— Alors lui il était assez grand, blond, un peu maigre et elle brune, je voyais pas bien son visage, ils s’embrassaient et lui, ben, il lui passait la main sous la jupe, il la caressait, mais c’était discret, vous savez, hein, pas méchant quoi. Ah oui, euh, elle, je crois bien qu’elle avait sa ... enfin sa bite dans la main, voilà ... C’est ça elle le branlait quoi.— Et ailleurs ?— Oh, je sais pas ... Ah oui, pardon, je vais aux faits, d’accord. Eh bien à gauche il y avait deux femmes, assez âgées, enfin pas trop non plus, je dirais la quarantaine, voilà.— Et ?— Eh bien, pareil quoi, elles s’embrassaient, se caressaient ... Enfin, elles avaient la poitrine dénudée, voilà, pour être précis. Bon, comme vous voulez tout savoir, un peu plus loin il y avait un petit groupe où c’était plus chaud.— Décrivez, s’il vous plaît, on ne va pas y passer la nuit !— Ah ben ça, oui, je suis d’accord, surtout qu’il fait jour maintenant hein ... Ahahaha ... Oups, pardon, je vois que ça ne vous fait pas rire. Alors ben ils étaient plusieurs hommes, peut-être même une ou deux femmes aussi, et il y avait une fille qui s’était allongée, toute nue sur la table, et ils la caressaient partout ... Je crois qu’il y en a un qui la léchait aussi, et puis d’autres qui versaient leurs verres et buvaient sur elle, enfin, elle avait l’air d’aimer ça en tout cas !— D’accord, et à votre table, que se passait-il ?— Ah ... Euh, eh bien Guillaume et moi on avait Coralie entre nous deux, et on a commencé aussi à la caresser, et on l’embrassait à tour de rôle, elle était bien excitée, je peux vous le dire. Oui, moi aussi forcément ... Enfin, on est restés comme ça environ 10 ou 15 minutes.— D’accord, et après ?— Eh bien, Coralie a eu envie d’aller voir nos voisines, alors elle s’est levée et nous a laissés là, comme deux cons quoi ... Ah oui, alors elle est allée voir les deux lesbiennes d’à côté, qui l’ont accueillie, et elles ont commencé à s’amuser ensemble, à trois. De l’autre côté, il y avait toujours le couple ... Bon, d’accord, l’homme a vu qu’on était seul, alors il nous a fait signe, et on l’a rejoint. Voilà ...— La suite s’il vous plaît, vous savez bien qu’on va tout vous demander.
— C’est vrai, vous avez raison ... Alors donc on y est allé et on a ... sorti nos bites, quoi, et la brune nous a tous sucés, bon sang un vrai aspirateur à bites cette fille ! Enfin, bref, comme ça commençait à chauffer, l’homme nous a proposé d’aller dans une chambre, enfin oui on peut appeler ça comme ça, c’est dans une autre salle, il y a des box plus grands, isolés, avec un matelas, des coussins ... On l’a suivi, on a trouvé un box libre - ils étaient presque tous libres en fait - et là on s’est tous mis à poil (il y a des casiers pour les vêtements), la fille s’est mise à genoux, elle a repris nos bites, et après elle s’est allongée et son mec - enfin je ne sais pas si c’est son mec, hein, je connais pas son nom non plus - nous a demandé de la prendre. C’est Guillaume qui a commencé, pendant ce temps, elle nous suçait encore, et puis je me suis dit que Guillaume pourrait me sucer, vous voyez, pour changer un peu, donc c’est ce que j’ai fait, si bien qu’après l’autre, le mec de la fille, il a fait pareil, enfin je veux dire ... Pour être clair, Guillaume baisait la fille, elle en suçait un de nous deux et l’autre c’est Guillaume qui le suçait, vous comprenez ?— Je comprends, je suis pas con, continuez.— Bon alors Guillaume a éjaculé, il s’est retiré et l’autre mec il s’est alors allongé sur le matelas, la fille est venue sur lui, et le mec m’a demandé de la prendre par derrière. Ah ben j’étais d’accord, vous imaginez, hein ? ... Non, pardon. Donc j’ai enculé la fille, voilà. Et elle continuait de sucer Guillaume quand même, enfin, pas longtemps parce qu’elle a joui elle aussi, forcément, avec deux bites vous savez ... Non, pardon, donc on a continué à la bourrer jusqu’à ce qu’on éjacule nous aussi, le mec en dessous et moi, voilà. Et après, ben, je ne sais pas, on a soufflé un peu quand même !— Et c’est tout ?— Ah ben du coup, là, oui, c’est tout, hein, on avait tous les trois les couilles vidées et la fille, elle, elle était bien remplie ! Mais bon, passons, oui c’est tout. Je suis sorti du box, j’ai dit à Guillaume qu’il continue de s’amuser comme il voulait et qu’on se retrouverait plus tard. Je suis retourné dans la salle pour prendre une consommation - euh, oui, du coup j’étais à poil, mais là presque tout le monde était à poil aussi, alors pas grave - j’ai cherché Coralie, elle était toujours avec les deux femmes, ou une troisième peut-être, j’ai pas bien vu, et ailleurs ben il y avait de la partouze un peu partout, hein, faut dire que c’était le but aussi quand même.— Alors après vous avez fait quoi ?— Ah ben ... fallait que je récupère, moi, je suis plus tout jeune vous savez ce que c’est hein ? ... Euh, non, pardon. Donc j’ai regardé surtout, je suis allé d’un groupe à l’autre comme ça, sans but précis, des fois je participais un peu, pour des caresses, ou me faire sucer, c’est tout.— On va aborder le reste si vous voulez bien. Les sous-sols ?— Ah, bien sûr, les sous-sols ... En vrai, c’est parce que je cherchais les chiottes que je suis arrivé au sous-sol, promis, je ne connaissais pas à l’avance. Donc, ben voilà, là c’était beaucoup plus hard, hein, c’est sûr.— Soy-ez-pré-cis, je ne vous le répéterai pas !— OK, alors il y avait une première cave, je dirais comme ça. Là il y avait une femme, je dirais la trentaine, elle était attachée sur une table, les jambes écartées, les bras au-dessus de la tête - alors je précise qu’entre ses jambes on pouvait passer, hein, vous voyez ? - elle n’avait pas des très gros seins, même assez petits je dirais, elle était blonde les cheveux courts, et ça y allait, elle râlait dans tous les sens. En fait, c’est juste qu’il y avait autour plusieurs personnes - hommes et femmes, hein - qui la caressaient partout partout, ou qui la frappaient pas trop fort, mais vraiment partout, la fille elle se contorsionnait, elle râlait, elle pouvait pas bouger, pas se protéger. A un moment il y a un mec (un autre hein pas celui de tout à l’heure) qui a donné des consignes, et alors les hommes se sont approchés pour se faire sucer par la fille, d’un côté, de l’autre, et pendant ce temps les femmes se sont mises à la sucer elle, partout, les mains, les pieds, la chatte, les seins, le ventre ... la fille elle devait avoir l’impression de se faire bouffer par des limaces ! Pardon, je veux dire que je suppose que ça lui faisait drôle tout d’un coup d’avoir 4 ou 5 bouches qui lui faisaient des suçons et des léchouilles partout pendant qu’elle avait des bites dans la bouche. Bref, elle a joui plusieurs fois, moi, j’avoue, j’ai recommencé à bander, alors je me suis fait aussi sucer un peu ... Voilà, c’est tout pour cette cave-là, enfin, je veux dire je ne sais pas après, je suis parti quand la fille était encore en plein délire, je ne sais pas ce qui s’est passé après.— ... Ne vous arrêtez pas, continuez.— Je suis donc allé plus loin dans une autre cave. Alors là, carrément, du sado-maso, si vous connaissez... Pardon. Donc je vais vous expliquer. Il y avait 4 ou 5 filles à poil, et puis surtout des hommes, mais aussi quelques femmes qui regardaient. Il y avait un, je ne sais pas comment dire, un chef quoi, un maître du jeu, avec un masque en cuir et une espèce de harnais en cuir, enfin vous voyez de quoi je parle, il était à côté d’une grande roue du genre « roue de la Fortune,» et chaque fille y passait à son tour. Alors je vous explique, le chef appelle les filles dans l’ordre, puis il fait tourner la roue, et ça désigne un gage pour la fille. Par exemple : se faire fouetter les seins, ou les cuisses, ou le cul, ou la chatte, enfin en gros partout sauf la figure. Alors après la fille elle doit aller se mettre en position sur une espèce de truc avec des liens, il y a une ou deux personnes qui l’attachent dans la bonne position, et après il y a un ou plusieurs spectateurs qui lui donnent des coups, ça peut être le fouet ou un martinet ou une baguette en roseau ... Mais attention, hein, c’est des vrais coups, c’est pas du chiqué ! La première fille que j’ai vue passer, elle avait déjà bien morflé sur les seins, je peux vous le dire, et là elle prenait sur le bas du dos, du martinet, et je peux vous dire que ça claquait et qu’elle criait ! Ah putain, je peux vous dire que ça m’a bien requinqué, à voir ça j’avais une trique d’enfer, promis. Alors après chaque fille est passée à son tour, et à un moment ça a été à moi de frapper. C’était avec une espèce de cravache qui claquait bien, sur les seins de la fille, putain, j’y suis allé franco je peux vous le dire, 10 coups de cravache sur les seins, la salope, elle a morflé, tiens, ça saignait pas quand même, mais presque, et je vais vous dire, la fille elle était attachée debout devant moi, écartelée, vous voyez, eh bien je peux vous dire qu’elle mouillait la garce, ça coulait sous elle tellement elle aimait ça. Si j’ai bien compris, la fille, elle était volontaire pour se faire torturer, une sorte de concours entre les filles si j’ai bien compris. Faut pas être bien pour jouer à ça, plus facile quand même de juste se faire baiser, vous croyez pas ?— Moi je ne crois rien, je vous écoute, continuez.— OK, OK ... après je suis allé dans la cave à côté où c’était la même chose, mais avec des hommes à la place des filles, c’est tout. Enfin, non il y avait surtout des femmes pour regarder, forcément, hein. Je ne suis pas resté. Et donc je suis allé plus loin. Il y avait encore une cave là.— J’attends, continuez.— Bon, là, il y avait du monde un peu plus je crois. Alors j’ai pas bien vu, simplement ... Enfin je crois que c’était de la belle partouze. Il y avait un ... jeune homme, je dirais, et une jeune femme, je dirais, qui étaient à la disposition de chacun, voilà, bon, ils étaient attachés tous les deux au plafond par des chaînes, l’un face à l’autre, et chacun pouvait leur faire ce qu’il voulait, mais pas des coups, là, juste du sexe, quoi, enfin une belle mise en scène, c’était chaud, ça faisait genre salle de torture du moyen-âge ... Ah ben forcément c’était des volontaires, forcément, on est pas chez des sauvages, là, mais je ne suis pas resté longtemps, il y avait trop de monde et c’était un peu étouffant. Oui, oui, la fille se faisait prendre par tous les trous à la fois, je vous dis c’était la grosse partouze, et le garçon aussi d’ailleurs, même chose, mais je vous le dis, il y avait trop de monde alors je suis revenu dans la grande salle, voilà.— Qu’avez-vous fait ?— Ben ... ça faisait bien deux heures qu’on était là quand même, alors disons que j’avais bien retrouvé mes forces, surtout après avoir fouetté la fille là, putain, c’était super bon. Donc j’ai cherché Coralie, pas trouvée, je suis allé dans les chambres, j’ai trouvé Guillaume qui avait finalement trouvé quelques hommes pour jouer avec lui, faut dire qu’il aime bien ça Guillaume, se la faire mettre, alors je lui ai fait un signe, il était super content, enculé, mais content, et puis il avait de la bite à sucer alors j’ai continué. Je suis tombé sur le groupe dont je vous avais parlé au début, à la table voisine des lesbiennes là, vous vous souvenez, en partouze complète, 3 ou 4filles, une dizaine d’hommes, je me suis mêlé au groupe, j’ai pris mon tour sur une des filles, je suis sûr qu’elle ne savait même pas qui c’était et qu’elle s’en foutait du moment que c’était de la bite ! Ah, mais je crois que le couple avec qui on avait commencé était là aussi, mais je vous dis pas, les filles, complètement défoncées, du sperme sur la gueule, le cul dégoulinant, la vache, ça sentait le stupre là dedans ... Oui, le « stupre », enfin, la fornication quoi, ça sentait la baise si vous préférez.— Je ne préfère rien, juste que j’aimerais tout savoir, continuez.— Alors donc je suis retourné au salon, dans la grande salle. Là, j’ai repéré un box où il y avait juste une fille, pas très âgée, pas vraiment bien foutue, mais vous savez à cette heure-là, on est tous à poil et on devient pas difficile hein ? Elle avait un peu un gros cul, je dirais, mais bon, je me suis assis à côté d’elle, et figurez-vous qu’elle était complètement schlass ! Je ne sais pas ce qu’elle avait pris, mais la pauvre fille complètement dans les vapes, alors bon, ben, j’ai commencé à m’amuser un peu avec elle, voilà, rien de méchant je vous assure, juste ... Euh, la titiller quoi, voilà, les tétons, le clito, des doigts dans la chatte, comme ça, juste pour voir, vous comprenez, passer le temps. Elle ne réagissait pas beaucoup pour tout vous dire, juste de temps en temps elle disait des "Oui, encore, oh oui" mais c’est tout. Et puis Coralie a réapparu et elle m’a rejoint. « Oh purée, les gouines, elles m’ont vidée, c’est des malades ces femmes, mais j’ai joui comme jamais, et toi ? Et Guillaume ? » alors je lui ai raconté un peu, comme ça, et pendant ce temps elle a commencé à jouer aussi avec la fille schlass, là, comme moi. Alors on l’a prise, on l’a allongée sur la table basse, la chatte vers nous, et on s’est amusé, ouais, on peut le dire ... Bon, on lui mettait des doigts, on la léchait, et puis Coralie y est allé plus fort, elle lui a mis toute la main dans la chatte à la fille, je ne sais pas si elle se rendait compte de quelque chose, mais je peux vous dire qu’elle coulait grave, putain, ça s’arrêtait pas ... Je me demande si une femme peut se déshydrater comme ça, tiens, d’ailleurs. Enfin, bref, on lui a fait des trucs déments, et même une bouteille de schweppes dans le cul ! La pauvre, on l’a laissée comme ça avec sa bouteille dans le cul, c’est marrant. Après on s’est un peu lassé, c’est humain, alors Coralie et moi on s’est un peu bécoté, un peu touché, un peu baisé, et après on s’est endormi l’un contre l’autre.— Et ?— Ah ben après, c’est vous qui nous avez réveillés ... Voilà, c’est tout ce que je sais. »

Daté et signé par l’intéressé.
Diffuse en direct !
Regarder son live