Après les interrogatoires, vers 8 heures du matin, je retrouve enfin Guillaume et Coralie qui sortent de la boîte à partouze. On ne se dit pas grand-chose, on est tous un peu sonnés, d’abord par les ébats de la nuit, puis par cette descente de police vers 3 ou 4 heures du matin. Il y a encore quelques voitures de police et de gendarmerie sur le parking, on nous regarde de façon bizarre, faut dire qu’on ne la mène pas large non plus, comme ça en plein jour, j’aurais envie de passer incognito. Je sais qu’on est loin de chez nous, mais quand même je n’apprécierais pas de croiser une connaissance ce matin sur ce parking. On monte en voiture, je démarre et on ne dit rien. Je m’arrête à un supermarché, il y a une cafétéria ouverte, on va aller se prendre un petit-déjeuner. Une fois attablés, je lance la discussion : Ca va vous deux ? Guillaume fait une grimace, Coralie bâille et dit que ça va, que la nuit a été longue. Je suis quand même un peu gêné de les avoir embarqués dans cette aventure qui s’est terminée par cette descente de police. Je ne sais pas trop ce qu’ils cherchaient, peut-être de la drogue, en fait c’est possible, mais avec la fouille à l’entrée, je n’aurais pas pris le risque ... Ou alors c’est de la revente dans la boîte, en tout cas s’il y en avait, je n’ai rien vu. Alors de la prostitution ? Franchement, on ne peut pas savoir, les filles à poil tu ne fais pas la différence si c’est une pute ou une bourgeoise, dans le fond. Des mineurs ? Là encore, je n’ai pas tout visité, mais franchement, je n’y crois pas trop ... ou alors dans la cave peut-être, finalement je n’ai pas forcément fait très attention ... Bon c’est vrai que Guillaume et Coralie sont jeunes, mais ils ont l’âge légal, pas de souci, je ne les aurais pas amenés là sinon, évidemment. Bref, on ne s’en sort pas trop mal dans le fond. Vous avez l’air fatigués tous les deux. Mais bon, alors, vous avez aimé, à part les flics bien sûr ? Sincèrement, moi j’ai supé kiffé d’aller avec ces femmes ! J’imaginais pas tout ce qu’elles pouvaient inventer pour se passer des mecs ! J’ai beaucoup appris, et puis j’ai joui, j’ai joui, c’était super ! Merci Paul, vraiment c’est déjà un bon souvenir. Oui ben moi, je vous dis pas ce que j’ai pris dans le cul ! Et détrompe-toi, Paul, le fic qui m’a interrogé, ben il m’a sauté lui aussi ! Noooon ? Tu déconnes ? Ah ben non, je sais bien, je lui ai raconté mon histoire et ce salaud, ça a dû l’exciter, alors il a sorti sa queue, m’a forcé à le sucer et il m’a violé ... Enfin, non, pas vraiment violé, tu vois, mais bon, j’ai pas eu mon mot à dire, alors je peux dire que j’en ai profité jusqu’au bout, ça oui ! La vache, le flic t’a enculé lui aussi ? Et alors ça fait quoi de se faire enculer par un flic ? Bof, tu sais je crois que c’était un flic à petite bite parce qu’après les enculages de la nuit, j’ai presque rien senti. Enfin, je veux dire ça a glissé tout seul quoi. Mais bon, c’est vrai que j’ai aussi aimé ça. Et ce con de flic après, ben il en menait pas large, si j’avais cafeté à ses collègues, ils se seraient bien foutus de sa gueule, sûr. Et alors ? Il a ton nom, ton adresse, ton numéro de téléphone aussi, je parie ... Il va peut-être te relancer, tu sais ? Oh non Coralie, déconne pas, je l’ai pas trouvé super comme mec, et puis si j’aime bien me la faire mettre, j’aime aussi les filles comme toi, avec des gros seins et un beau cul ! Flatteur, il est tout mignon mon Guillaumette ! C’est ça fous-toi de ma gueule, mais tiens, raconte nous un peu ce qui s’est passé avec toutes tes bonnes femmes, là ? Ah ben c’est vrai tiens. Donc vous vous souvenez, je suis tout de suite allée à la table d’à côté où il y avait deux femmes qui se frottaient. Je peux vous dire qu’elles m’ont tout de suite fait de la place entre elles, pas eu de présentation, à peine « salut et hop j’avais la bouche pleine et leurs mains qui me couraient dessus. La vache je ne pensais pas que ça m’arriverait comme ça, mais franchement j’ai été électrisée ! Je sais pas comment vous dire, mais à chaque caresse, j’avais l’impression qu’on me donnait une décharge électrique, leurs mains sur moi c’était comme des tasers ... Oui enfin, en meilleure j’imagine, mais je crois que j’ai pratiquement tout de suite eu un orgasme, et elles s’en sont rendu compte les garces, alors elles ont continué et en un rien de temps, j’étais complètement dans les vapes. Alors elles m’ont laissée un peu et se sont remises à s’occuper entre elles, et quand j’ai repris un peu mes esprits, j’ai vu qu’elles étaient trois du coup, et elles m’ont proposé d’aller à l’étage et je les ai suivies. J’étais TREM-PEE ! Je te jure, je dégoulinais sur mes cuisses, j’avais jamais vu ça à ce point ... Bon vous savez que des fois ... enfin ça coule quoi, hein, mais là ... Trempée ! Et alors à l’étage ? Je n’y suis pas allé moi, et toi Guillaume ? Moi non plus, je suis resté au rez-de-chaussée ... Alors à l’étage c’est une très grande salle, je pense que c’est la même surface qu’en bas, mais pas de cloison, juste j’ai vu des toilettes d’un côté de la salle, et c’est tout, mais alors c’est super beau, tu verrais ça, il y a des petits îlots de coussins, des genres de pouf, des petits canapés, de la moquette sur le sol partout, une ambiance lumineuse rouge, tu vois, comme dans les bordels dans les vieux films, et là, tout le monde est à poil, enfin non, il y a des femmes avec des super dessous vachement sexy, des hommes avec des espèces de harnais ou des slips qui font juste sortir leur bite, mais la plupart c’est à poil ! Et je te dis, je sais pas trop pourquoi, mais j’ai trouvé ça très beau dans cette lumière rouge, il y avait aussi de la musique peut-être, enfin, je crois ... Ou non, c’était en fait des espèces de bandes-son de films pornos, tu vois, des gémissements, des bruits comme ça, sans doute pour faire encore plus érotique.
Et il y avait du monde ? Oh, je dirais bien une vingtaine de personnes, je pense, mais comme par endroit ils étaient déjà les uns sur les autres, pas facile de compter, c’est ce que j’ai dit à la fliquette. Et alors, et toi et tes gouines, tu as fait quoi ? Eh arrête de dire gouine comme ça, comme si tu faisais le dégoûté, je te dis pas tes pédés toi hein ? Bon, elles ont été super gentilles, d’abord on s’est aussi déshabillées, et il y avait des casiers, c’est vachement bien fait quand même. Alors c’est elles qui m’ont déshabillée et elles en ont bien profité pour me lécher de partout et j’ai trouvé que c’était super bon, c’est doux les femmes, je savais pas qu’on pouvait se sentir aussi bien, tu vois ? C’est pas comme les mecs dans le fond, c’est brutal un mec ... Ouais, enfin il me semble me souvenir que la brutalité des mecs, tu as bien aimé aussi hein, tu ne vas pas nous la raconter là ? Bon, c’est vrai, t’as raison, mais quand même, je les ai trouvées super douces et super gentilles avec moi, et c’est tout. Bref, elles m’ont prise par la main et on est allé s’asseoir à un endroit, et là on s’est caressées toutes les quatre. Au début, j’osais pas trop, mais bon, dans le fond c’est pas si compliqué que ça, hein, je sais ce que j’aime, je me doute qu’elles aiment aussi, OK ? Alors on va faire comme les flics ! On veut des détails, mademoiselle Coralie ! Rhooo vous les mecs, hein ... Ah, mais attendez ... je sens que je mouille, rien que d’y penser ... Guillaume, s’il te plaît, tu veux bien me caresser la cuisse ? ... Oh bon sang, je sens que ça revient ... Aaah ... Oups, restons discrets ... Vas-y, continue très gentiment, tu vois, comme une femme ... Petite salope ... OK, je vais te la faire tout doucement en pleine cafétéria ... Hummm ... Alors ... Aaaah, alors après je crois qu’il y a eu une autre femme avec nous, je ne pense pas qu’elles se connaissaient, mais je peux te dire qu’elles ont vite fait connaissance. Et c’est là je crois qu’elles ont sorti leurs petits jouets, elles devaient les avoir dans leur sac, elles étaient plutôt bien outillées ! Des jouets ? Hummmm ... Nigaud, des sex-toys ! ... Aaaah, continue de me caresser s’il te plaît ... Ben oui, des trucs vibrants, des ufs, des bites, des machins que comme ça tu vois pas à quoi ça sert, mais elles elles le savent très bien ! ... Hummmm Guillaume, continue ... C’est bon ... Putain, je commence à ruisseler ... Ho hé, Coralie, alors la suite, elles font quoi avec ces sex-toys ? Oui ... Aaaah ... alors ... par exemple, il y en a un, je sais pas comment le décrire, juste une espèce de petite poignée avec un point blanc ... Hummmm ... alors ... le point blanc ... tu le mets sur ton clitoris ... Aaaah ... Sur « mon » clitoris, tu vois j’ai un doute, mais bon, j’ai compris, allez raconte. Idiot ... Aaaah, Guillaume, ralentis sinon je vais jouir et crier dans toute la salle ... Hummm ... oui alors elle plaque le petit point blanc sur mon clito, et là ... Oh la vache ! J’ai transplané direct au plafond ! ... Guillaume, attends s’il te plaît ... Oh, mais tu bandes toi mon cochon ! Ah ben forcément, j’ai mes doigts dans ta chatte trempée et avec ce que tu nous racontes ... Oooh, putain, tu me prends la bite comme ça en plein resto ? Hé, mais t’as pas de slip ! Ben non, je l’ai pas retrouvé figure-toi, et ça a déjà bien excité mon flic, je peux te le dire. Alors donc les filles elles s’amusaient toutes avec des jouets les unes sur les autres, je sais pas comment te décrire ça, c’est comme si on était agglutinées en tas, tu vois ? Moi je caressais ma voisine de droite, qui caressait sa voisine de droite ... etc., et ma voisine de gauche me caressait aussi, tu vois comme une sorte de ronde de femelles en rut ! ... Aaaah, Guillaume, s’il te plaît ne bouge pas trop tes doigts, s’il te plaît ... Mais bon, à notre endroit il n’y avait que des femmes, j’étais la plus jeune d’ailleurs, mais ailleurs il y avait de tout, des hommes, des femmes, des vieux, des jeunes, mais ... Aaaah, Guillaume, doucement ... mais surtout c’était très ... comment dire ... très feutré, tu vois ? Il y avait pas de gros macho qui tringlait une nana, tu vois, c’était tout calme, doux, sensuel ... Hummm, dou-ce-ment ! ... Bon, il y avait des femmes qui criaient à l’orgasme, forcément, ça se contrôle pas, mais l’ambiance était toute douce, c’était super bien, je trouve ... Aaaah, Guillaume, fais doucement, ... Aaaah, oui, oui, ... AAAAAH ... Mouais, je crois que notre Coralie est partie, là ... Bon, personne ne s’est retourné, ouf. ... Guillaume, c’est bon, s’il te plaît enlève ta main maintenant ... OK, mais toi tu gardes la tienne sur ma bite encore, OK ? Et après Coralie, tu as fait quoi ? Tu as vu d’autres choses ? Non, je suis restée tout le temps à l’étage, et après je t’ai rejoint, là où il y avait cette fille complètement bourrée. Oh putain, on s’est bien amusé avec elle hein ? Guillaume, tu l’aurais vue, bon elle était pas super bien foutue comme fille, et je sais pas ce qu’elle avait pris, mais on peut dire qu’elle planait à 15 mille ! Quand je suis arrivé, j’ai vu que Paul la tripotait, alors je m’y suis mise aussi, putain on lui a fait tout subir et elle a aimé ! Ah ça tu peux le dire ... Guillaume ? Tu nous écoutes ? Oui, oui, c’est juste que ... Coralie, tu me branles trop bien, je crois que je vais pas tenir longtemps, mais j’ai les couilles complètement à sec ... Oooh que c’est bon, ça fait presque mal, mais c’est bon, et puis ce que vous racontez là, ça me fait de l’effet aussi ... Hummm. Okay ! Bon alors donc la fille on lui a mis des doigts dans la chatte, elle coulait bien elle aussi ... Ah, mais attention, hein, moi je lui ai carrément rentré ma main dans la chatte ! Tu imagines ça Guillaume, si la main qui te branle je te la mettais dans le cul, hein ? AAAAHHH ! ... Oh la vache, tu viens de me faire jouir, salope, t’avais bien préparé ton coup là, hein ? Ahaha, le pauvre Guillaume qui jouit quand je lui parle de lui mettre ma main dans le cul ... Mais dis, je crois que la fille, là, sur la table, on lui a carrément mis une bouteille dans le cul aussi non ? En tout cas, c’est ce que j’ai raconté aux flics ... Ah, mais oui, putain, je m’en souvenais pas, mais c’est vrai, je lui ai mis ma main dans la chatte, mais après je lui ai enfilé une bouteille dans le cul, c’est vrai ! Oh putain, et après on s’est endormi comme ça, elle avec sa bouteille dans le cul ... Ahaha, j’imagine la tête des flics qui réveillent la fille et qui lui trouvent une bouteille dans le cul ! Arrête, tu me tues, là, j’imagine, ahahaha, la fille qui se réveille et qui a une bouteille dans le cul, elle sait même plus comment elle est arrivée là ! Elle doit encore se le demander, je parie ... Ahahaha, du genre « merde, qu’est-ce qui s’est passé ? Je suis tombée dessus et elle m’est rentrée dans le cul ? » ahaha ... Bon allez les enfants, on a assez ri comme ça, on a passé une bonne soirée dans le fond, non ? Oui Paul, c’était super, merci de nous avoir emmenés là. Mais la prochaine fois, on appelle d’abord les flics pour savoir s’ils ont l’intention de faire une descente ! »
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
