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Orgie en Italie

Chapitre 1

Une lettre postée d'Italie

Orgie / Partouze
Ce texte est de 2014. Un internaute m’avait mis au défi d’écrire un texte sur un sujet imposé. Le sujet qu’il m’a envoyé, ce sont les quelques mots en gras ci-dessous qui forment la 1ere phrase. J’ai relevé le défi, et écrit ce texte.
Une lettre postée d’Italie... ‘’Nous vous attendons le 07 juillet. Si vous pouvez être sur le port de Venise à 16H00. Maria et Donato’’... C’était il y a un an...
Un an. Déjà ! Maria et Donato... Donato et Maria. Nos Italiens qui parlaient avec les mains. Quelle conversation d’ailleurs ! La peau de charmeuse s’en souvient encore, la mienne aussi. Quand Maria s’exprimait, c’était de l’espéranto. De l’espéranto sensuel, compris par n’importe quel homme. Elle avait dû faire sa ‘’finishing school’’ dans un couvent, il n’y a que le chapelet pour donner autant d’agilité aux doigts, que les psaumes pour délier aussi bien la langue. Et quand elle se mettait à genoux devant moi, entrouvrant les lèvres, faisant légèrement pointer le bout de sa langue, quelle ferveur dans la communion ! Finalement, je n’aurais pas pu être un évêque, je suis trop sensible. Je n’aurais pas pu refuser à ma pénitente ce qu’elle réclamait, et tout ça aurait fini en scandale. Mais je digresse, je digresse...
Nous avions donc reçu cette jolie carte, la place Saint-Marc, je crois, avec les pigeons (les vrais, avec des ailes, pas les touristes... Quoique...) le 07 juillet à 16H00. Ça me rappelait une chanson de Lama, mais lui c’était à 15H00. Mais Maria et Donato, on ne dit pas non à Maria et Donato quand ils vous invitent pour une surprise. Ou alors on prend un risque, celui de rater quelque chose ! On regarde le calendrier, le 07 juillet, c’est un samedi. Pas de soucis. Et même on partira le vendredi, pour être sûr d’être bien là à 16H00 le samedi. Problème, nous ne sommes que le 25 mai, jusqu’au 07 juillet, on va tout imaginer. Ah les cons, les petits salauds, ils vont nous faire bouillir le cerveau. Bon on se calme, l’AVC ça n’a jamais aidé pour bander.
Mais quand même, on en discute avec Charmeuse, ‘’A ton avis, qu’est-ce qu’ils ont imaginé ?’’ Et là c’est le ‘’breine staurminge’’ comme disent les Anglos saxons. On imagine tout, la partie fine avec les gondoliers, sur leurs gondoles, la nuit au milieu de la lagune, naufrage assuré... Peut-être un banquet italo-coquin, tous assis à table, le repas servi par de jolis jeunes gens habillés en laquais, qui après chaque plat, se glissent tout d’abord sous la table et ensuite sous votre serviette pour vous administrer une gâterie qui aide à a digestion. Sympa. Seul problème, je baisse les yeux, je soulève la serviette et je m’aperçois que c’est un mec qui me fait une gâterie. Comment je réagirais ? Bon, on abandonne l’idée !
Finalement, le temps passe, et nous arrivons au 06 juillet, valise bouclée, billet en poche, c’est parti, on va enfin savoir... Voyage agréable, au fur et à mesure que l’on approche, on ne dit rien, mais on voit bien que l’on ressent tous les deux la légère fébrilité qui s’installe, et qui croit avec les kms... On arrive, la gare, l’hôtel, l’installation. On ressort presque immédiatement pour redécouvrir le charme de Venise. Le charme de Venise a toujours charmé Charmeuse. Les couleurs de l’Italie, la douceur des jours, les odeurs de la lagune, l’accent des Italiens, la dolce vita. On fermerait presque les yeux pour écouter le bruit des scooters Piaggo conduit par des gominés souriant avec les moustiques collés aux dents. Mais bon, c’est Venise. Il faudrait que les scoot-man sachent nager en apnée. Petit resto, terrasse, pâtes et vins italiens. Rien à faire, pas pressé, parfait.
Et là, j’en suis à une trentaine de lignes et je n’ai encore rien dit de cochon... Il y en a que ça va énerver... J’adore...
Le lendemain, après un réveil sensuel et pas sans suite dans la matinée, on se prépare. 16h00 tapante, on débarque au port. Maria et Donato sont déjà là, ça fait plaisir de les voir, on s’embrasse, Donato a déjà les mains qui traînent très bas sur les reins de Charmeuse. Je lui souris en lui disant ‘’Ne t’inquiète pas, tout est toujours à sa place, et je t’ai tout amené...’’ Il rigole, et lève les mains en disant ‘’Scuzi, mais l’attirance est irrésistible...’’, tout ça en glissant à Charmeuse un regard plein de promesses. On s’installe en terrasse pour prendre un verre, Maria croise un peu les jambes, légèrement, juste pour nous faire voir qu’elle n’a pas de culotte. On discute, on échange, on questionne, ils ne veulent rien lâcher, ils se regardent en souriant, bon et bien on verra... 17H30, Donato donne le signal du départ, on va chez eux. Un tout petit indice dont on ne fera pas grand-chose...
Chez eux, Donato nous propose un autre verre, ben oui on a été au moins 10mn au soleil, il faut bien ça. Et puis surtout, ça permet à Maria et Charmeuse de se retrouver...
Côte à côte sur le sofa, elles sont belles et désirables, ça doit se voir dans nos yeux parce que Maria a un sourire très... A la fois sensuel, coquin, pervers, provocateur. Un sourire de libertine, de courtisane, qui dit ‘’Ça vous excite un de nous mater... OK matez’’. Elle se redresse un peu, pose son verre sur la table, puis prend celui de Charmeuse auquel elle fait suivre le même chemin, elle caresse la joue de Charmeuse et approche tout doucement son visage du sien pour échanger avec elle un long baiser sensuel. Nous, on se regarde en se disant qu’apparemment, si elles n’ont pas manqué l’une à l’autre, en tout cas, elles n’ont pas perdu de temps...
Maria pose sa main sur le genou de charmeuse et remonte à l’intérieur de sa cuisse, emmenant au passage le bas de la légère robe d’été qu’elle a mise ce jour-là. Charmeuse a passé sa main derrière la tête de Maria et se laisse voluptueusement emmener sur ce chemin de douceur. La main de Maria est posée sur le sexe de Charmeuse, par-dessus sa culotte, et découvre ce que je connais si bien, cette chaleur, cette moiteur. Apparemment, Maria est un peu pressée de s’enivrer de ce parfum qui lui titille les narines. Elle s’agenouille devant charmeuse, et, en la regardant droit dans les yeux, lui enlève sa culotte. Charmeuse soulève un peu ses fesses pour aider à la manœuvre. Maria pose ses mains sur les genoux de Charmeuse et les écarte. Elle nous expose ainsi toute l’intimité de Charmeuse, ce coquillage nacré dont je raffole.
Je guette Donato du coin de l’œil et je devine son envie de se joindre à nos femmes. Ce qui l’en empêche ? Il sait que Maria aime offrir ce spectacle et qu’elle ne tolèrera pas qu’on lui gâche son moment. Maria elle aussi se délecte de la chatte de Charmeuse qui s’ouvre toute seule sous la caresse. Maria plonge donc entre les cuisses de Charmeuse, la langue en avant, et commence à se repaître de ce fruit fendu, détendu et si peu défendu. Charmeuse a posé ses deux mains sur la tête de Maria. Quel spectacle ! Nous ne disons pas un mot, il ne faut surtout pas rompre le charme. Je me demande quand même quelles images Charmeuse a dans la tête à ce moment-là ! Je me pose encore la question quand elle prend un pied terrible en resserrant les cuisses sur la tête de Maria, qui lutte pour ne pas laisser échapper ce joli bouton si parfumé qui laisse couler dans son gosier ce nectar si enivrant. Maria se redresse, embrasse Charmeuse qui me regarde et me sourit. Fin du spectacle...
Quelques minutes plus tard, c’est Maria qui nous fait signe qu’il faut bouger, on se lève et on la suit à l’étage. Là, dans une chambre, nous attendent de jolis costumes, gentilhomme et courtisane vénitien, XVIII -ème je dirais. Avec des loups ! Donc c’est une soirée déguisée, carnaval, pourquoi pas. Maria glisse à Charmeuse ‘’la culotte et le soutien-gorge ne font pas partie du costume’’, et elle ajoute à mon intention ‘’c’est valable aussi pour toi’’ ! OK, message reçu ! On se désape, on se change, Charmeuse est superbe. Et savoir son ventre nu, offert sous cette robe ! Très excitant ! Je ne suis pas mal non plus, j’ai dû être bourgeois dans une autre vie, j’en ai gardé la classe quand je porte le costume. En plus ce rabat boutonné des deux côtés, juste sur le devant, j’en vois tout de suite le côté pratique...
Finalement, on avait peut-être deviné, banquet italo-coquin ! Et un mec sous ma serviette...Bon de toute façon, on y est on verra bien. On rejoint Maria et Donato, elle est superbe aussi, les froufrous, les perles, je sais que la plus belle perle est celle qui se cache sous la coquille, au cœur de son huître. On se complimente, on part, seule indication ‘’soirée privée’’, précision : ‘’Privé de rien, surtout pas de coquines et de coquins’’...
On arrive, grande maison bourgeoise, ancienne de l’extérieur, très contemporaine à l’intérieur. Nous sommes accueillis par les propriétaires, enfin je pense, ils semblent bien connaître nos amis. Un bon point pour eux, ils ont donc de bonnes fréquentations.
Notre hôtesse est une très jolie femme, même avec un loup, grande, fine, les yeux bleus qui transpercent le loup argenté, une robe mousseline avec une dentelle dans la partie haute, on devine sa poitrine qui joue librement sous le tissu. Lui, grand également, se tient très droit, légèrement en retrait d’Elle. Ils parlent français tous les deux et nous accueillent dans notre langue, nous apprécions leur délicatesse, surtout qu’on ne parle pas italien. Escalier, étage, une salle de bal, assez grande, du moins assez grande pour la douzaine de personnes qui se trouvent déjà là. Donato nous entraîne vers le bar, la barmaid est blonde... Vénitien bien entendu, souriante, et masquée également. Un verre, Donato et Maria semblent beaucoup s’amuser à nous voir regarder à droite et à gauche, en essayant de deviner comment va se dérouler la soirée.
Les gens se saluent, échangent quelques mots, les propriétaires remontent, les portes de la salle se referment derrière eux, nous en déduisons que tous les invités sont là. Ils font le tour des groupes, échangeant quelques mots avec certains, quelques plaisanteries avec d’autres. Quatre ou cinq jeunes femmes apparaissent, portant un buffet qu’elles assemblent sur une table. Puis de la musique s’élève et la maîtresse de maison commence à danser, invitée par son mari. Trois ou quatre tours, puis elle change de cavalier et lui de cavalière. Puis il recommence tous les quatre le même manège et en peu de temps, tout le monde se retrouve à danser. Quelques minutes pas plus. La musique s’arrête, la grande porte située au bout du salon s’ouvre, poussée par les maîtres de maison.
Quatre jeunes gens rentrent, portant chacun un grand châssis gainé d’un tissu opaque, ils les assemblent rapidement, pour former au centre de la pièce un carré. L’une des faces est fendue, pour laisser la possibilité de rentrer à l’intérieur, et sur chaque face, dans le tissu, il y a deux trous. Les quatre jeunes gens reviennent, portant des châssis un peu plus grands, et ils entreprennent de former un second carré autour du premier. En deux voyages et trois minutes, ils ont fait ça... Maria et Donato sourient, puis Donato nous dit ‘’ on danse, et quand on a envie, on rentre dans le carré... dans le premier ou dans le deuxième, au choix’’ Maria précise : ‘’Le carré du centre n’est pas réservé exclusivement aux femmes...’’ Ça, nous n’avons jamais fait !
Quelques couples ont recommencé à danser, en tournant autour de la cage de tissus mordorée. Un couple disparaît à nos yeux, passant derrière la cage, lui réapparaît seul. Elle est donc rentrée dans la cage. Le jeu a démarré, Maria prend la main de charmeuse et l’entraîne sur la piste de danse. Elles ne réapparaissent pas, Donato rit de bon cœur et me dit ‘’Bon et bien, il va falloir trouver d’autres cavalières...’’. Ce que nous faisons immédiatement.
Un demi-tour de piste pour nous et hop, la tente... Pour tous les quatre. Nos cavalières nous sourient, nous quittent et rentrent dans le second carré, Donato et moi restons dans le premier. On entend les femmes pouffer de rire à l’intérieur, la situation a l’air de beaucoup les amuser, les exciter même. Nous nous retrouvons dans le ‘’couloir’’, le maître de maison est déjà là, il est collé au tissu, le devant de son pantalon baissé. Et dans un air de béatitude parfaite...
Donato dégrafe son pantalon et se colle à son tour au tissu, je ne peux faire que de même, d’autant que la situation m’excite quand même pas mal ! Alors je fais, et je n’attends pas longtemps. Une main chaude s’empare de moi et commence à me caresser de bas en haut et de haut en bas. Je donnerai cher pour associer un visage, un sourire, la forme d’une bouche, la douceur d’une peau, une odeur à cette main. Mais le tissu est vraiment trop opaque. Je commence à sérieusement bander !
La main tire la peau en arrière, puis survient cette délicieuse sensation, chaude, humide. Ses lèvres qui se resserrent, ses joues qui se creusent, cette impression que l’on essaye de m’aspirer la moelle épinière, cette langue folle qui s’enroule autour de mon gland, qui se déroule, et cette main qui n’arrête pas. Sans savoir qui c’est, uniquement concentré sur mes sensations et sur mon propre plaisir. Je sens mes reins se révolter et j’explose en essayant d’étouffer mon grognement pour ne pas déranger mes voisins (quand même on sait se tenir, même la queue à l’air...).
Donato lui se laisse tranquillement aller. Il rigole, apparemment satisfait que la soirée nous plaise, et il me glisse avec son accent où se mêle les accents du plaisir et de L’Italie : ‘’Tou bois, tou manges, tou danses, tou flirtes... Et tou reviens quand tu veux dans lé carré magique...’’. Je rigole et il ajoute ‘’Et si tou veux, tou montes à l’étage, toutes les chambres elles sont ouvertes... Tout ont choisi oune, tou rentres, tou fermes... Et si tou laisses ouvert, tou auras peut-être dou monde...’’.
là j’arrête et un autre ou une autre prend la suite... Il n’est pas nécessaire d’être littéraire et d’en faire 05 pages... Vous avez forcément une suite à l’esprit... Allez 1 000 mots... Et vous signez d’un pseudo... le nôtre est Venus rouge ...
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