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Origines -

Chapitre 1

Le petit chaperon rouge

Divers
Note : Un amusement ; j’aime détourner.
Tout le monde connaît Le petit chaperon rouge des frères Grimm (version allemande) ou de Charles Perrault (version française), tel que nous le racontons à nos enfants encore aujourd’hui. Mais savez-vous que ce conte, connu dans notre tradition orale, est une version édulcorée, aseptisée au fur et à mesure des différentes retranscriptions moralisatrices au fil des siècles, et qu’elle n’a plus rien à voir avec sa version originelle ?
Un vieil ermite, rencontré lors d’une de mes pérégrinations pédestres, m’a raconté cette histoire sans détournement, opérant ainsi un retour aux sources de la transmission orale et populaire des contes de nos campagnes.
Car tel que vous le connaissez, ce conte a été déformé, adapté pour répondre à la demande de certaines castes de notables et d’ecclésiastiques afin de conserver leur ascendant et pouvoir contrôler ceux qu’ils appelaient "les vilains".
Le contexte historico-social étant précisé, je vais vous rapporter l’histoire originelle du chaperon rouge telle qu’elle m’a été contée.

NB - Soyez cléments ; comme il ne s’agit pas d’un récit historique, il peut donc souffrir de certaines incohérences.

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Il était une fois un juvénile garçon fort charmant réputé pour sa beauté diaphane et sa longue blondeur dorée ; il aimait s’habiller de robes agrémentées de petits jupons et de dessous affriolants.
Sa grand-mère lui avait confectionné un joli bonnet vert orné de fines dentelles, assorti à une capeline, qu’il arborait fièrement. Un beau vert émeraude profond s’accordant à merveille à ses yeux bordés de cils longs et fins. Le mot "chaperon" désigne un vêtement agrémenté d’un petit capuchon, d’où le chaperon... vert (en ces temps plus anciens, la couleur verte représentait la sexualité, alors que de nos jours c’est le rouge).
De stature assez fine et petite pour un garçon de son âge – 1,60 m à peine et quelques 49 kilos à la louche, mais on ne mangeait pas de la viande tous les jours en ces temps reculés – les étrangers au village le prenaient souvent pour une fillette. Il vivait avec sa mère-grand dans une maisonnette entourée d’un parterre de fleurs champêtres, à la lisière de la forêt, non loin d’un village au fond d’une contrée dont on a perdu le nom.
Le chaperon vert, donc, attirait les regards de toutes les jeunes filles des environs, en pâmoison devant son aura étincelante, mais aussi la convoitise de tous les mâles en rut du village, dont les femmes refusaient la couche à leur mari, épuisées par des grossesses successives.
À cet âge-là et en ces temps reculés (et sans Internet, notez bien), ce jeune garçon encore puceau ne vivait que pour porter ses robes et ses froufrous sans aucune manière, et pour discuter fanfreluches entre filles. Il se sentait plus à l’aise qu’engoncé dans des chausses ou des guêtres trop ajustées, et il était loin de remarquer les regards libidineux et concupiscents que certains notables lui portaient.
Pour exemple, un jour, un bel étranger arrivant au village tomba sur son joli minois et ne voulut plus le lâcher, commençant à lui compter fleurette et menuets, une main caressante posée sur sa cuisse fine, tous deux installés sur un muret. Du fait que ce garçon, peu farouche et guilleret lui souriait aimablement, se tortillant et rougissant, flatté de tant d’attentions, l’homme serra de trop près le bel enfant sur son majestueux membre viril, avec pour résultat de beaux filets de sperme sur la jolie tenue que portait le garçonnet ce jour-là, ainsi que sur son doux visage.
Imaginez les regards horrifiés et les propos moralisateurs qui émanaient chaque fois qu’il traversait le village... Se sentant quelque peu rejeté, le petit chaperon vert traîna ses pas et sa peine dans la forêt pour y pleurer toutes les larmes de son corps, ne comprenant pas la cause de ce courroux à son encontre.
Une aussi belle âme n’était pas commune dans ces hauts bois.
Un loup passant par là, surpris, en fut grandement ému, d’autant que ce bel alpha avait perdu sa tendre femme et sa tribu. Devait arriver ce qui arriva : dans les bras tous deux sont tombés, à se câliner et se consoler du malheur de chacun. De tendres caresses et léchages entre eux purent apaiser leur chagrin. Ainsi naquit un ravissant badinage, à leur plus grand étonnement. Le petit chaperon vert découvrit l’amour masculin dans les bras musclés du loup, qui oublia un peu ses déconvenues pour plonger dans la volupté de chaudes profondeurs anales jusque-là insondées.
Pendant ce temps, la grand-mère, esseulée depuis le départ du garçonnet, profitait de cette accalmie pour exprimer son tempérament volcanique. Tous les villageois poilus évitaient de croiser son chemin et prenaient la fuite en l’apercevant ; en effet, cette femme mature, dotée d’un appétit féroce, était friande de mâles vigoureux et n’hésitait à donner de sa personne pour le plaisir (Herbert L., sort de ce corps !). C’est pourquoi le village se trouva rapidement déserté d’hommes virils, au grand dam de la gent féminine.
Vous conviendrez que dans ce contexte particulier puissent naître un antagonisme et certaines frustrations, voire des rancoeurs à l’encontre de nos deux personnages, et c’est pourquoi la grand-mère et le garçonnet vivaient à l’écart des villageois•es puritain•es (oui, je sais pratiquer l’écriture inclusive).
Un jour, la grand-mère, à la recherche de champignons dans l’obscur bois voisin, tomba en arrêt devant un spectacle inattendu qui déclencha ses pulsions incontrôlables à la vue de poils. Là, dans la clairière, sur un tronc d’arbre couché au sol fracassé lors du dernier orage, se tenait assis un loup, les pattes écartées. Un loup formidablement poilu, musclé, taillé pour la chasse, la course, un mâle boosté à la testostérone en train de se palucher, d’astiquer sa magnifique verge agrémentée d’un beau gland en forme de champignon écarlate et suintant déjà. Un sexe immense aux couilles bien remplies et velues. La grand-mère frustrée, n’y tenant plus, s’empara de l’organe convoité et commença une danse buccale baveuse pour honorer ce phallus érigé.
Dans un premier temps, le loup, embarrassé par cet élan soudain, entreprit de jouer de ses babines en enfonçant sa langue dans ce vagin exhibé sans pudeur ; voici comment naquit la position dite "en 69". Mais chut : nous allons nous retirer pour les laisser gentiment se faire du bien.
Ainsi était contée l’histoire du petit chaperon vert – histoire originelle et charnelle – que les bigots et grenouilles de bénitier et autres ont déformée au fil du temps afin de dénigrer de malheureux loups serviables et de dégoûter les jeunes gens des plaisirs de la chair.
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