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Orlane, l'amour n'est pas que douceur

Chapitre 1

Chapitre 1, début de l'apprentissage

SM / Fétichisme
Orlane était une jeune fille de 21 ans, en études supérieures à Paris. Elle avait des yeux noisette perçants, elle était ronde, mais juste comme il fallait, et avait de longs cheveux roux flamboyant. Elle n’avait eu qu’une seule véritable histoire d’amour qui avait duré 2 ans avec un garçon de son école, qui était bien trop gentil et n’avait pas de personnalité. Il avait beau être respectueux, mais il se laissait marcher sur les pieds.
Orlane était pleine de caractère ; un mauvais caractère. Elle était un peu trop fière et restait campée sur ses opinions. Elle avait besoin d’un homme, d’un vrai avec du caractère et de la ferveur.Elle s’était alors rendue sur un site de rencontre en expliquant bien ce qu’elle voulait :
— Jeune étudiante, pas de relation sérieuse ; un vrai homme, ça existe ?
Au fur et à mesure du temps, elle avait entamé une discussion avec un jeune homme, Tom, à première vue, très bien bâti. Ils parlaient au départ, des choses et d’autres ; puis vint le moment des discussions sérieuses. Elle lui expliqua son ancienne relation et il lui proposa une tout autre relation.Sur le moment, elle fut surprise. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il évoque le mot de « soumise ». Malgré tout, il lui expliqua qu’il avait déjà eu ce type de relation avec une fille, qu’il était prêt à lui apprendre et qu’il ne ferait jamais quelque chose qui pourrait lui faire trop mal ou être trop voyant. Il lui laissa 2 semaines de réflexion.

Après quelques jours, elle se décida enfin ! Que pouvait-il lui arriver finalement ? Que du bien, espérait-elle.Après avoir fait part de son accord avec Tom, il lui donna certaines règles et informations.1. Il faudra que tu m’appelles Maître ou Monsieur, peu importe les circonstances2. Je vais t’envoyer un téléphone par boîte postale, comme cela, tu n’auras pas à me donner ton adresse. Tu l’utiliseras seulement pour discuter avec moi. Je verrais tout ce que tu feras avec ce portable.3. Tu n’as pas le droit de me tromper, si tu veux arrêter la relation, tu me le diras simplement en m’expliquant les motifs au préalable4. Jamais tu ne contesteras mes choix dans ce que je te ferais faire5. Quand on se verra, je veux que tu sois impeccablement lavée, parfumée et maquillée.6. Tu devras toujours avoir des sous-vêtements sexy pour moi.
Ils s’étaient fixé un rendez-vous un vendredi soir pour avoir tout le week-end pour eux. Tom allait faire son éducation et Orlane était partagée entre la crainte et l’excitation.Un jour avant leur entrevue, Orlane était allée chercher son colis à la poste la plus proche, en demandant la boîte postale numéro 5.En l’ouvrant chez elle, elle y trouva un smartphone dernier cri ainsi qu’un collier ras le cou agrémenté d’une sorte de boucle en acier en forme de cœur. Le collier était en cuir, et Orlane se dit alors que son nouveau Maître avait beaucoup d’argent.Le jour était venu, et Orlane s’était bien préparée. Elle portait une robe légère en ce mois de mai ; blanche avec des fleurs jaunes, une paire de sandales à talon, elle avait laissé ses cheveux détachés et s’était maquillée très légèrement, comme cela lui allait si bien. Elle envoya un SMS à Tom quand elle se trouva à l’entrée de l’immeuble du rendez-vous.
— Va à l’accueil et demande le 12e étage ; des personnes t’accompagneront. En rentrant, tu resteras dans l’entrée, tu poseras ton sac, mettras ton collier ; et tu ne bougeras que lorsque je te le dirai. A tout de suite.
Elle se dirigea alors dans le hall d’entrée et demanda le 12e étage, comme Tom n’avait pas précisé le numéro de l’appartement, ce qui n’avait pas l’air de gêner l’intendante. Deux hommes l’accompagnèrent dans l’ascenseur et la laissèrent devant l’unique porte de l’étage.
Elle entra sans frapper, déposa son sac sur le petit meuble de l’entrée, mit son collier et ne bougea pas. Environ 5 minutes plus tard, Tom fit son apparition dans le couloir de l’entrée de l’immense appartement.
— C’est bien, tu sais écouter et tu es ponctuelle, j’aime ça.
Il s’approcha d’elle, lui tourna autour comme s’il admirait une nouvelle acquisition. Elle avait compris même s’il ne le lui avait pas dit qu’elle ne devait parler que lorsqu’il lui en donnait l’autorisation.
— Comment vas-tu, Orlane ?— Bien, je te remercie ! CLAC.— Je ne suis pas ton ami, ma chérie ; je suis ton maître donc quand tu t’adresses à moi, tu me vouvoies et me prénommes comme il se doit ! Recommence ! — Bien Maître. Je vous remercie ; et vous ? dit Orlane, grimaçante.— Je vais très bien ! j’ai quelque chose pour toi...
Il sortit du tiroir du meuble sur lequel la jeune fille avait posé son sac une longue corde en cuir... Une LAISSE ! Il l’accrocha à la boucle sur le collier que portait Orlane et tira vers le bas.
— Première leçon, la prochaine fois que l’on se voit, je te veux en sous-vêtement et à quatre pattes, la laisse, attachée à ton cou. Compris ?— Oui Maître !
Puis après un hochement de la tête, il se hâta de déshabiller la jeune femme. Ses seins, bien fermes, tendaient vers le bas dans cette position bien dégradante et peu confortable pour ses genoux. Son pubis, impeccablement épilé, appelait à tous les vices.
Tom empoigna la laisse en cuir, et tira dessus légèrement, pour indiquer à son nouveau jouet d’avancer. Ils allèrent jusqu’au salon où le jeune maître s’assit dans le fauteuil et laisse Orlane par terre sans indication précise. Elle tenta alors de s’asseoir sur le canapé près d’elle, mais elle reçut une gifle assez violente.
— Tu n’obéis pas Orlane ! Si tu continues, tu auras une punition bien pire que celle-là...
La jeune femme resta alors assise à terre au pied de son maître comme une bonne petite chienne en plein dressage. Tom jouait à un jeu de guerre en ligne avec des amis, il était en pleine partie quand il prit la laisse et tira un coup sec dessus pour amener la soumise à mettre sa tête près de son intimité. Elle sentait, la joue collée à son pantalon, la bosse croître ; et l’odeur de son membre.
Il la regarda intensément pour lui indiquer la marche à suivre. Elle embrassa alors le bas-ventre de son maître et descendait doucement vers la bosse tout en ouvrant la fermeture éclair de son jean. Quand celle-ci fut ouverte entièrement, sa queue se dressa tel un mat, longue et dure.Elle la prit entre ses mains, et fit des mouvements de va-et-vient tout en s’appliquant à lui lécher le gland. Puis, elle ouvrit sa bouche, sortit sa langue et se mit à sucer le membre imposant en alternant la vitesse et la profondeur, bien qu’elle n’osât pas aller trop profond, de peur de s’étouffer.
Soudain, Tom lui appuya la tête pour que son pénis pénètre la gorge de la jeune femme qui se retira immédiatement en toussant.

« Il va falloir apprendre ma chérie, mais je vais le faire. Après tout, tu es là pour ça non ?!
— Oui, Monsieur.— Bien, comme je ne suis pas venu, tu vas me branler avec la bouche ouverte au-dessus de.
ma bite pour ne pas perdre une goutte de ce que tu vas recevoir ! » La jeune fille s’exécuta quelques minutes avant de recevoir une giclée de sperme à moitié sur sa langue et l’autre sur son menton.« Va te nettoyer, tu es dégueulasse comme ça ! Il y a une salle de bain, près de la chambre.
Va et reviens vite ; les choses sérieuses vont commencer. » Après ce rapide passage à la salle de bain, Orlane revint à quatre pattes vers son maître. Il était debout près de la table basse et lui demanda de choisir une main.
— Pourquoi faire Maître ? demanda la jeune fille désorientée.— Tu n’as pas à poser les questions, juste à te laisser faire. C’est d’ailleurs toi qui vas décider de ce qui va t’arriver dans quelques minutes ! Alors ? — G... Droite !— Alors ce sera le plug !
Il sortit de derrière son dos un plug anal en acier orné d’une pierre à l’extrémité voyante. Tom vit la panique dans le regard de sa petite chienne et la releva de terre en l’embrassant, et lui disant de ne pas s’inquiéter. Il l’amena dans la chambre et lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur le lit. Il passa sa main sur sa petite chatte, et s’aperçut qu’elle était humide, bien humide.
— Eh bien Orlane ! Tu aimes être traitée comme une chienne à ce que je vois ! — Non, Maître, ce n’est pas ça. C’est juste que...— Ne me mens pas, petite salope !
Il prit l’objet en acier d’un faible diamètre et le présenta à son cul ; il poussa légèrement pour que le bout rentre.
— Alors voilà les règles, si tu me dis la vérité, j’y vais lentement. Dans le cas contraire, je l’enfonce dans ton cul de soumise d’un coup ! Compris ?— Oui, j’ai compris.
Elle reçut une fessée assez forte !
— Dis, maître ! Bon, alors, qui commande ?— Vous, Monsieur !— Tu aimes être traitée comme une pute ?
La pression devint plus forte.
— Oui, j’aime ça ! J’aime vraiment ça !— Bien bien. Et comment te sens-tu là ? Tu as envie de continuer avec moi ?— Oh oui Maître !
Au fur et à mesure des questions, il avait enfoncé le plug jusqu’au bout, la faisant parler pour que la douleur soit moins intense.Il la retourna alors violemment et lui plaqua les mains contre le lit. Il enfonça son membre, au garde-à-vous, dans son intimité.
— Tu es bien mouillée, j’adore ça. Tu verras dans une seconde, tu penseras plus au plaisir de ma queue dans ta chatte qu’à la douleur du plug dans ton cul de vicieuse.
Orlane ne répondit pas, trop occupée à crier sous les énergiques coups de reins de son maître. Il y allait vite, fort et profond. Il vint en elle sans lui laisser le temps de jouir à son tour.
— Mais... pourquoi vous arrêtez-vous ? Je n’ai pas fini...— Tu n’as pas besoin de venir toi ! C’est moi que tu dois satisfaire, tu es là pour ça ; sale petite chienne en chaleur ! Tu verras avec le temps qu’il n’y aura que ça qui t’importera ! Tu ne le mérites pas encore. » Tom emmena la jeune fille à la douche en regardant ses fesses rougies par les coups se balancer devant lui.
Orlane dormit chez Tom, l’envie au ventre, mais il lui avait formellement interdit de se toucher seule. Elle s’endormit dans la chambre d’ami, nue et exténuée.
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