Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 29 J'aime
  • 0 Commentaire

Orlane, l'amour n'est pas que douceur

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Le lendemain matin, Orlane se réveilla dans un lit, couverte d’un plaid, mais nue. Elle se leva pour aller se servir un verre d’eau à la cuisine quand elle croisa Tom dans le couloir. Il lui adressa un sourire, et lui demanda si elle avait bien dormi.
— Oui, Maître, je vous remercie, et vous ?— Bien bien, mais...
Il retourna violemment la jeune femme en la faisant se cambrer en avant.
— Tu aimes ce bijou on dirait, lui dit-il en ayant remarqué que sa chienne avait gardé le plug de la veille bien enfoncé dans son trou.— J’aime de plus en plus la sensation, oui. Elle avait un sourire en coin.— Tu m’impressionnes chérie, la dernière a eu un mal de chien à l’accepter... Il lui mit une claque sur le cul. Va me faire le petit-déj ! Et nue, je veux profiter du spectacle.
Orlane s’exécuta rapidement puis une fois le déjeuner prêt, son maître lui dit de venir déjeuner avec lui. Ensuite, il lui ordonna d’aller se laver et de mettre les vêtements qui étaient sur le lit, puis de venir dans le salon.
En entrant dans la chambre après la douche, elle découvrit un corset en dentelle noir et en soie rose avec le string assorti et des escarpins assez hauts pour que la jeune femme se sente fébrile à les mettre de peur de tomber.
Elle arriva enfin dans le salon, à quatre pattes comme Tom lui avait demandé la veille. Elle se dirigea vers lui et se posta devant lui, à genoux, attendant ses ordres.
— Je vais imposer une nouvelle règle ! Chaque fois que je rentre dans l’appartement ou que tu rentres, tu viens directement comme une bonne petite chienne et tu me lèches les couilles ! Compris ? Allez !
Sans se faire prier, Orlane se mit à branler son maître en lui léchant langoureusement les couilles.
Elle avait compris que si elle voulait avoir l’honneur de jouir à son tour aujourd’hui, il fallait qu’elle s’applique à bien écouter les ordres.
Puis d’un coup, Tom prit sa longue queue des mains et la lui enfonça bien profond dans sa gorge.
— Avale bien ! C’est un honneur de recevoir mon sperme pour une pute comme toi !
Orlane le regarda avant d’avaler le liquide épais sans le lâcher des yeux.
Tom lui attacha sa laisse et l’emmena dans sa chambre. Il la menotta au lit sur le ventre, les fesses en l’air. Il lui donna plusieurs claques bien fortes avant de lui caresser les fesses avec douceur. Orlane tourna la tête autant qu’elle le put, étonnée de le voir s’arrêter si vite, mais ne vit rien ni personne.
Puis, elle entendit un bruit de porte claquer, et des bribes de conversation : «... ça va et toi mec ? Bon, tu fais quoi en ce moment ? T’as une nouvelle copine, c’est pour ça qu’on te voit plus ? »
Orlane fut prise de panique, mais ne fit aucun bruit, en vue de sa position, les mains attachées et le dos cambré qui offrait une vue imprenable sur ses fesses. Elle attendit patiemment que Tom revienne la détacher ou que l’homme qui était entré s’en aille.
Elle ne put s’empêcher d’avoir des idées perverses en tête, elle n’avait jamais essayé le sexe à plusieurs et le fait de savoir que deux hommes pouvaient la voir dans cette position l’excitait autant que lui faisait peur.
Une dizaine de minutes plus tard, ce qui avait paru une heure à la jeune fille, Tom revint dans la chambre en lui lançant d’un ton amusé :
— Tu as eu peur, chérie ?!— Oui, Maître...
Il s’approcha d’elle par-derrière, au-dessus d’elle, et elle sentit son corps sur son dos, la main de son maître se plaquait sur sa gorge avec une faible pression.
— Et tu as imaginé des choses, je me trompe ma petite salope ?— Non, je n’ai pensé à ri...
Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que l’imposante intimité de Tom entra d’un coup sec en elle.
— Tu mens, Orlane. Je connais les filles comme toi : visage angélique, mais tellement vicieuse en dessous.
Il lui parlait en même temps qu’il faisait des va-et-vient en elle. Dans cette position, le cul tendu, les jambes écartées, la main de Tom sur son cou et avec la puissance des coups de reins qu’il lui mettait, elle ne put que balbutier :
— Oui... J’a... J’avoue, c’est vrai... J’ai pens... Pensée que je ne l’avais ja... Jamais fait avec deux hommes. Ses mots s’entremêlaient de gémissement de plaisir.— Sache que c’est moi qui choisis ce qui t’arrivera, si je dis : pas d’autre homme, il n’y aura que moi, mais si tu écoutes bien, je pourrais consentir à te partager avec des gens que je connais. Mais pour ça, il faudrait déjà que tu écoutes ! Et que tu arrêtes de me mentir et de te mentir à toi-même. Tu es une chienne Orlane et tu en seras une bonne si tu écoutes bien ton maître. Qui est ton maître salope ?— C’est vous ! C’est vous, maître !
Elle était au bord de l’extase, Tom avait le doigt sur son clitoris et jouait avec ceci pendant qu’il lui parlait.
Elle n’écoutait plus rien, elle était sur le point de venir !! Tom lui administra une claque sur les fesses, puis deux, non pour la punir, mais il voyait bien que sa petite soumise allait enfin jouir et il voulait la récompenser pour la motiver. Il se retira alors un peu et lui donna un coup de reins puissant qui fit jouir la jeune fille et lui avec.
Une fois leurs esprits repris, il détacha Orlane, la porta jusqu’à la salle de bain, l’embrassa à pleine bouche et lui fit couler un bain.
La jeune fille se dit que malgré leur relation, il était gentil et prenait soin d’elle. Elle prit son bain, puis
Tom lui amena une robe légère noire, toute simple, des sandales et lui demanda de s’apprêter un peu, car ils sortaient faire des courses. Elle enfila la robe, qui lui allait parfaitement, et alla remercier Tom pour le cadeau.
— Tu as été sage, tu dois être récompensée et puis ma chienne ne manquera jamais de rien ; maintenant, va te maquiller et te coiffer, je t’attends dans l’entrée !
Il lui claqua gentiment les fesses, Orlane était aux anges.
Ils montèrent dans la voiture de Tom, une belle voiture de collection américaine, type années 50. Ils roulèrent pendant une vingtaine de minutes en discutant des études d’Orlane, du travail de Tom, rien que des banalités. Soudain, Orlane sentit une vague de plaisir l’envahir. L’objet que son maître lui avait inséré dans son intimité dans l’entrée avant de partir s’était mis à vibrer.
Tom pouvait le contrôler depuis son téléphone, une technologie que la jeune chienne ne connaissait pas. Elle comprit très vite le but de cette sortie improvisée.
Tom se gara, fit arrêter la vibration du jouet puis ils entrèrent dans un magasin de vêtements luxueux ; Tom, toujours la main dans la poche sur son téléphone, était prêt à la faire gémir à tout moment.
Cet après-midi promettait d’être déstabilisant pour Orlane.
Diffuse en direct !
Regarder son live