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J'ai osé

Chapitre 4

le jeune étalon

Orgie / Partouze
Alors que Jean me tend mes vêtements, et que je m’apprête à me rendre aux toilettes, indispensable, car le sperme s’écoule sur mes cuisses, l’homme m’arrête :
— Non, tu restes ainsi jusqu’à la maison, nous te voulons comme tu es, une vraie salope qui vient de se faire remplir.
J’avoue que cela me choque, mais la femme me plaît beaucoup ; alors que nous arrivons sur le parking, un peu à l’écart des regards, suivi par Jean, l’homme me plaque sur le capot de sa voiture et sortant son mandrin, bien bandé, il s’enfonce dans ma chatte, sans aucune difficulté tant je suis dilatée ; je ne suis pas contre ce genre de situation. Finalement, j’y prends beaucoup de plaisir, tant par sa maîtrise que par le fait que Jean assiste à la scène, moi qui refuse toujours de le faire en extérieur. Cela va beaucoup l’exciter et le fait de savoir qu’il ne pourra que supposer ce qui se passe chez eux (il vient d’en avoir un petit exemple) provoque une jouissance bien sonore qu’il ne peut qu’entendre.
Je ne sais si le trajet a été long, car la femme m’a fait monter à l’arrière et à peine la voiture démarrée, elle a relevé sa jupe, dévoilant une chatte vierge de tout poil, et sans slip ; me penchant sur elle, elle me dit
— J’ai aimé te voir avec la fille ; fais-moi jouir maintenant.
Plaquant ma bouche sur sa vulve brûlante, je me suis empressée de lui donner satisfaction, avec comme récompense, plusieurs jets de cyprine sur mon visage.
A notre arrivée, elle entraîne Jean vers, je le pense, la chambre où il va m’attendre. C’est avec un mélange d’envie et d’appréhension que je retrouve le couple dans le salon. Bizarrement, aucun des deux ne se rapproche de moi ; au contraire, ils s’assoient en face sur un canapé et l’homme m’explique ce qu’il attend de moi
— En réalité, ce n’est pas pour nous que nous vous avons choisi, même si votre prestation nous a bien excités, vous avez pu le constater ; nous avons un fils, beau garçon, mais qui a un handicap, non rassurez-vous, ce n’est pas ce que vous pensez.— Lors d’un séjour au Sénégal, ma femme, avec mon accord et ma participation, a eu un amant, un vrai Sénégalais, dans tous les domaines ; très bien membré, il a su non seulement la faire jouir devant moi, de nombreuses fois, mais en plus à chaque fois, il l’a ensemencée, avec pour résultat, un enfant, que nous avons souhaité garder. Très peu métissé, cela n’a pas posé de problème jusqu‘à sa puberté. Maintenant adulte, il a 20 ans, il rencontre beaucoup de difficulté avec les filles, car je dois l’avouer, si son père était bien membré, lui c’est carrément un étalon et aucune fille ne l’accepte ; en vous voyant, nous avons pensé qu’une pro n’aurait pas un tel refus.
Je les arrête aussitôt.
— Je ne suis pas une pute, seulement une femme qui aime se faire prendre, y compris dans les situations comme celle du bar.
Il s’excuse aussitôt et semble très atteint par mes paroles, s’attendant à un refus de ma part ; j’essaye de reprendre le contact.
— Si je comprends bien, vous avez un fils ayant un baobab entre les jambes et vous souhaitez que je lui fasse perdre son pucelage, c’est bien cela.
La femme a un sourire contraint, puis redressant fièrement la tête, elle s’écrie
— Oui c’est cela, s’il vous plaît, mais nous comprendrons si vous refusez de le faire.— Je pense qu’avant tout avis, il serait bon que je puisse juger sur pièce si cela m’est possible ou pas.
Un sourire éclaire son beau visage, elle se lève, revenant avec lui et j’ai un choc, car c’est un très bel homme, mat de peau, un visage aussi fin que celui de sa mère, puis ensuite un deuxième choc quand ses parents étant sortis, il dévoile son engin. En effet, c’est un véritable étalon ; alors qu’il ne bande pas, son gourdin pend entre ses jambes, très certainement plus de 20 centimètres au repos, cela promet quand il va bander, mais surtout très épais, un très gros gland bien décalotté. Il ne tarde pas à bander, car je suis toujours nue et mes cuisses sont largement écartelées, lui dévoilant ma fente bien visible, brillante de cyprine et d’excitation ; je n’ai jamais vu un tel chibre et je me pose la question de savoir si je vais pouvoir l’encaisser. Par saccade, le membre grandit, se redresse pour atteindre largement son nombril, parcouru de puissantes vibrations. Je comprends mieux pourquoi les filles en ont peur. Maintenant il fait au moins 25 centimètres.
Manifestement très à l’aise, j’ignore ce que lui ont dit ses parents, il se rapproche de moi et ses mains s’emparent de mes seins, alors que son chibre vient se frotter sur mon ventre. Sans plus réfléchir, je l’embrasse fougueusement, sa langue répondant à la mienne et je l’allonge sur la moquette ; quitte à me faire défoncer par un tel gourdin, je préfère le faire à ma façon. Quand je me place sur son ventre, je dois relever sa queue pour m’assoir sur elle et frotter son gland sur l’ouverture de mon abricot ; il essaie plusieurs fois de le glisser entre mes petites lèvres, mais je l’en empêche, m’excitant, dilatant un peu plus ma chatte. Lui demandant de me laisser faire, je prends la tige et la présente à l’entrée de ma grotte ; rien que son gland m’écartèle les parois et quand doucement je descends mon bassin, m’empalant lentement sur le pal dressé, je dois plusieurs fois m’arrêter ; il a compris ; il me laisse faire ; pourtant je ne suis qu’à la moitié de la pénétration.
Mais l’envie est trop forte ; j’ai envie de son pieu en moi. M’écroulant sur son ventre, j’enfonce sa tige au plus profond de moi. ; étirée, écartelée, mon vagin puissamment envahi, je ne peux retenir un cri de douleur quand le chibre vient non seulement percuter douloureusement le fond de ma matrice, mais surtout me déchirer les parois, pourtant bien souples de ma cramouille ; empalée, j’ai du mal à reprendre ma respiration tant la pression sur mes parois est grande. Que dire quand je me relève, avant à nouveau de m’écrouler sur son ventre ; cette fois malgré tout ; la douleur est moins importante, mon vagin bien habitué à se faire dévaster, l’accepte plus facilement, de plus en plus avec bonheur.
Son envie est évidente et s’agrippant à mes hanches, il commence à me donner des coups de queue, de plus en plus violents, de plus en plus percutants sur le fond de mon vagin ; je ne sais plus où je suis tellement il me dévaste, de douleur, mais aussi de plaisir, car je sens ma jouissance qui monte, pour brutalement éclater, un terrible cri jaillissant de ma gorge lorsque ses jets viennent se rependre en moi.
Mon cri a sans aucun doute effrayé aussi bien ses parents que mon mari, car ils accourent, et ils me découvrent, jouissant sous les assauts puissants de cet étalon.
Les yeux révulsés, terrassée par le plaisir, je m’écroule sur lui, rayonnant de bonheur. Je ne réalise pas aussitôt que la femme s’est approchée de Jean et qu’elle l’embrasse alors qu’il lui enserre la taille ; finalement quand ils se retirent de la pièce, je comprends qu’il ne sera pas seul cette nuit.
Mon jeunot vient de perdre son pucelage, mais il n’a pas débandé ; je comprends vite que ses envies ne sont pas comblées ; je dois reconnaître que les miennes non plus. Me mettant en levrette, je lui prends la tige et je la place entre mes lèvres encore douloureuses de cette première saillie.
— Vas-y je t’appartiens pour la nuit, alors profite, s’en va doucement, car même pour moi, tu es bien gros, mais j’ai envie que ce soit toi maintenant qui me baises, alors fais-toi plaisir, fais-moi jouir et féconde-moi à nouveau, j’ai trop envie de ta jeune sève.
Finalement une bonne partie de la nuit, il a pris possession de mon corps, parfois maladroitement, mais toujours en me procurant beaucoup de plaisir ; bien sûr, il a voulu me sodomiser, mais je le lui ai refusé. Il a aussi pu découvrir les plaisirs que peut lui procurer une fellation, jusqu’à l’éjaculation, mais aussi l’apprentissage d’un cunni, de plusieurs même, nettoyant avec douceur ma vulve enflammée et pleine de sperme, tant ses éjaculations, nombreuses et fournies m’avaient pleinement ensemencée.
Au petit matin, alors que mon étalon dormait du sommeil des vainqueurs, sa mère est venue me chercher, nue, me remerciant de mon action, non seulement m’embrassant, mais aussi en me rendant le plaisir que je lui avais donné dans la voiture en un long et délicieux cunni, récupérant très certainement un peu du sperme qui m’avait ensemencée. Avant de m’entraîner dans une chambre, où j’ai retrouvé Jean, mais aussi le mari. Manifestement pour lui aussi, la nuit avait dû être chaude. J’en aurais confirmation plus tard.
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