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L’ostéopathe

Chapitre 1

Gay
Lors d’un entraînement à la gym, à cause d’une inattention causée par le passage d’un gars aux fesses d’enfer, je me ramassai avec une épaule meurtrie. J’eus beau consulter mon médecin et celui-ci me prescrire de fort analgésique, le soulagement tant souhaité ne venait jamais. Un ami me proposa alors d’aller rencontrer son ostéopathe, me disant que celui-ci avait un don pour soulager les blessures de sportif. J’appelai à la clinique et obtins un rendez-vous dans l’après-midi même, gracieuseté d’une cliente qui avait annulé son rendez-vous.
Assis à la salle d’attente, en train de remplir le périlleux questionnaire de santé, je vis passer un homme dans la jeune trentaine d’allure soigné. Vêtu du t-shirt aux couleurs de la clinique, je le soupçonnais d’avoir volontairement choisi son chandail une taille plus petite. Ses pectoraux bien moulés et ses biceps bien en évidence eurent pour effet de me faire bander. Instinctivement, je croisais les jambes afin de dissimuler mon érection.
Je patientai un moment dans la salle d’attente, cherchant du regard ce bel apollon, mais je ne le revis qu’au bout d’un moment. Il se pointa dans la salle d’attente et dit mon nom à voix haute. Je ne pouvais pas croire que cet homme allait être celui qui me traiterait. Je masquai mon trouble sous une fausse assurance et me dirigeai vers lui. Il me fit entrer dans une petite salle et referma la porte derrière moi.
C’était ma première fois en ostéopathie, j’étais très mal à l’aise de me trouver en boxer devant ce beau mâle. Il prit le temps de m’examiner sous toutes mes coutures, je disais n’importe quelle niaiserie pour ne pas bander. Quel con je faisais ! J’eus l’impression qu’il passa plus de temps nécessaire à l’évaluation de mon bassin en laissant sa main sur mon cul. Il me fit coucher ensuite sur sa table de traitement.
La proximité des deux corps est assez rapprochée durant le traitement, ce qui continua de me perturber. Si seulement j’avais pris le temps de me masturber avant de venir ici, je n’aurais pas eu autant de testostérone pour enfler mon désir. Il travailla d’abord mon bassin. Il me mit la jambe sur son épaule et se rapprocha de moi autant que le permis ma flexibilité. Belle position pour se la faire mettre dans le cul, pensai-je.
— Est-ce que tu as besoin d’aller à la toilette ? me demanda-t-il.— Heuuu... non ça va merci.— C’est que ton boxer a un rond humide à la hauteur de ton pénis. J’ai cru que tu avais peut-être envie d’uriner.
Je n’avais pas réalisé que j’étais autant bandé et comble de malheur, ma queue avait laissé couler quelques preuves de mon désir. Je me sentis rougir et j’eus comme l’envie d’être ailleurs. Je devais absolument me changer les idées pour retrouver un semblant de dignité et penser à autre chose ; un chat, un chien, un oiseau... Ma tante Germaine !!! Il dut sentir mon malaise et me dit :
— T’inquiète, ça arrive tout le temps.
J’étais sceptique que de nombreux hommes eurent été en érection durant leurs traitements. Il laissa ma jambe pour me faire tourner sur le côté et il vint m’étirer le bras. J’avais sa fourche directe devant mon visage. Il effectua de légers, presque imperceptibles mouvements de bassin en ma direction. J’eus l’impression qu’il me narguait. La bosse dans son pantalon me sembla grossir.
— C’est une position parfaite pour...
Je ne finis pas ma phrase et de ma main libre, j’allais descendre sa braguette. Il ne résista pas. Je glissai mes doigts à l’intérieur pour caresser sa queue qui était effectivement en train de bander. Sa queue me sembla très grosse et très longue. D’une main malhabile, je défis son bouton et ouvris plus grand sa braguette me permettant ainsi de libérer la bête. L’engin devait faire dans le 10 et même 11 pouces, il n’était pas circoncis et son prépuce se rétractait juste assez pour libérer le bout de son gland. Quant à sa grosseur, j’eus un doute que ma bouche serait assez grande pour l’engloutir. Je sortis également sa bourse de son caleçon, deux belles grosses couilles qui pendaient sans un poil. Pendant que j’admirai son énorme bite, il continua son traitement, l’air de rien.
Il n’eut pas à s’avancer tellement pour que le bout de sa queue vienne me toucher les lèvres. Il avait une goutte de précum qui perlait le bout de son gland, je sortis la langue pour la lécher. Un long fil de précum reliait ma bouche à son gland. Il fit un léger mouvement de bassin vers l’avant et le bout de sa bite s’enfonça dans ma bouche. Seulement son gland me donnait l’impression d’avoir une queue complète en bouche. Je regardai le reste de sa queue et me dis qu’il serait impossible de toute la prendre.

Je tournais ma langue autour de son gland, la glissant sous son prépuce où je pouvais goûter encore plus le jus de son excitation. Sans lâcher mon bras en position d’étirement, il mit son autre main sur ma fourche et commença à me caresser la queue. Il avait la main chaude, ce qui me donnait une sensation des plus agréables comme si ma queue s’était enfilée dans un cul chaud et humide. Il finit par me lâcher le bras que j’empressais d’aller descendre, son pantalon pour pouvoir caresser ses belles fesses, tout en continuant à lui dévorer le gland. De mes lèvres, je repoussais le prépuce et m’appliquai à lui sucer le gland.
Il me demanda de me retourner sur le dos et d’en profiter pour retirer mes sous-vêtements. Lorsque je fus étendu, la queue bien dure perpendiculaire à mon corps, il s’assit à califourchon sur moi. Il appuya ses fesses sur ma queue et fit un mouvement de bassin afin que son cul se frotte sur ma queue et que sa queue se frotte contre le bas de mon abdomen. Il empoigna mes pectoraux et entreprit de les masser. Il effleura mes mamelons du bout du doigt et s’amusa à décrire des ronds autour. L’effet qu’il espérait arriva bien vite, mes mamelons durcirent. Dès qu’ils furent à son goût, il commença à me les pincer, c’était à la fois douloureux et tellement bon.
— Je vais venir, lui dis-je.
Le mouvement de son cul sur ma queue jumelé à la sensation qu’il appliquait sur mes mamelons eut vite raison de ma résistance et je sentais que ma queue était prête à décharger. Il regarda l’heure et dit :
— Pas maintenant, il te reste 30 minutes à ton traitement.
Je ne me sentais pas capable de tenir ce rythme encore 30 minutes. Comme s’il avait compris, il se releva de sur moi et me retourna sur le ventre afin de permettre à ma queue de prendre un peu de repos. Il ouvrit mes fesses de ses chaudes mains et exposa mon trou à son regard. Aussitôt, je l’entendis cracher et sentis sa chaude salive me mouiller le cul. Il se mit à me lécher le cul comme s’il avait voulu nettoyer son crachat. Plus il crachait, plus il léchait mon cul. J’eus vite le cul chaud et humide. Avec sa langue, il appliqua des pressions sur mon trou pour le dilater. Il se releva et s’appuya sur moi, je pouvais sentir sa lourde massue appuyer contre mon anus. J’eus peur qu’il ne me l’enfonce dans le cul. Je n’étais pas prêt, en fait, je n’étais pas sûr de pouvoir recevoir un tel engin dans mon cul. Mais au lieu de ça, il se pencha vers moi et me glissant deux doigts dans ma bouche et me demanda de lui sucer les doigts.
Lorsque ses doigts furent bien recouverts de ma salive, il retourna à mon cul et je sentis un doigt s’enfoncer au plus profond de ma chair.
Je ne pus retenir un cri. Aussitôt, on cogna à la porte. Et j’entendis la voix de la réceptionniste demander si tout allait bien, mon cri avait dû l’alerter. Il lui répondit que oui, décoincer un nerf, c’est toujours un peu douloureux. J’avais peur de voir la porte s’ouvrir et de me faire surprendre nu avec le doigt de mon ostéopathe dans le cul. Par l’effet du stress, mon anus se contracta sur son doigt.
— Y as pas de danger, relaxe-moi ce petit cul-là.
Puis peu à peu, il réussit à insérer son deuxième doigt dans mon cul. Il commença à me piner le cul avec ses doigts en les enfonçant le plus profond possible. Le temps qu’il passa à me jouer dans le cul avait permis à ma queue de se reprendre et de retarder l’éjaculation. Mais les pressions qu’il appliquait dans mes profondeurs faisaient couler ma queue de précum.
Il retira ses doigts de mon cul et je l’entendis cracher de nouveau, pourtant je ne sentais pas la chaleur de sa bave sur moi. Puis, son gros gland vint s’appuyer contre mon anus. Il faisait une légère pression pour l’enfoncer en moi. C’était donc pour se lubrifier la queue qu’il avait craché. Je sentis mon anus se décontracter, je prenais de profondes respirations afin d’aider mes muscles à se détendre au maximum pour permettre à sa massue de me pénétrer. Son gland entra complètement en moi. J’avais l’impression que mon anus allait se déchirer d’être aussi dilaté. La douleur et la jouissance se mêlaient en moi. Il continua à pousser et je sentais de plus en plus son gros bat s’enfoncer en moi. La sensation était divine même si j’avais mal. Ce n’était pas la première fois qu’on s’enfonçait ainsi en moi, mais c’était la première fois que la queue était aussi immense.
Plus il faisait de va-et-vient dans mon cul plus la douleur diminuait et le plaisir augmentait. De même que mon anus qui se détendait de plus en plus, ce qui lui permit de prendre de la vitesse et de me labourer le cul sans ménagement. Il se retira complètement de moi et empoigna ma taille pour me remettre sur le dos. Du coup, je vis qu’il ne restait que 15 minutes à notre séance. Il me prit les deux jambes qu’il appuya sur ses épaules et releva mon cul dans les airs. Il me cracha dans le cul et y enfonça ses doigts pour s’assurer que le passage était toujours ouvert avant de nouveau m’enfoncer sa bite dans le cul. Cette fois, je ne ressentis aucune douleur que du plaisir. Et il me pénétra sans ménagement. Chaque fois que son gland arrivait au plus profond de mon être, je sentais ses deux énormes couilles se frapper contre moi. Il se cracha dans la main et agrippa ma verge en érection, tout en continuant de me défoncer l’arrière, il commença à me masturber.
Peu de temps après, j’explosai et éjaculais, mettant ainsi plein de sperme sur mon torse.
Il ne cessa pas de me pénétrer ni de me masturber tant et aussi longtemps que ma queue déversait son jus. Lorsqu’il sentit les derniers spasmes de l’éjaculation dans ma queue, il se retira de moi, retira sa capote et m’installa à genoux.Il me fourra aussitôt sa queue en pleine bouche en tenant ma tête pour m’empêcher de résister. Sa queue n’était rentrée qu’à demi ou un peu plus qu’elle s’appuyait sur le fond de ma gorge. Il commença à me défoncer la bouche au même rythme qu’il l’avait fait pour mon cul. Alors que je commençai à m’habituer à la présence de sa massue dans ma bouche, il me prit la tête et donna un grand coup de bassin. Je sentis ses grosses couilles frapper mon menton. Sans ménagement, je venais de recevoir au complet sa queue dans ma gueule. Il ressortit de ma bouche aussitôt et recommença de nouveau à m’enfoncer sa queue dans ma gueule jusqu’à ce que je sente ses couilles sur mon visage. De nouveau, il ne resta pas en place et ressortit.
— Attention, j’y retourne un dernier coup, me dit-il en me regardant.
À nouveau, je sentis ses couilles contre mon menton, mais cette fois, il resta en place quelques secondes. Je suffoquais et crus que j’allais manquer d’air. Lorsqu’il se retira et dès que son gland quitta le fond de ma gorge pour arriver à ma bouche, je sentis de forte giclée de sperme dans ma bouche, sur me lèvres et il termina d’éjaculer sur mon visage. La séance était terminée.Il me donna une serviette que je puisse m’habiller. Il s’habilla et me donna sa carte d’affaires avec un numéro inscrit à la main au verso. « Je pourrais te faire des séances à domicile. » Je quittai la clinique après avoir payé ma séance avec mon reçu pour le réclamer à mes assurances. Comme mon problème de blessure ne fut pas réglé, je repris rendez-vous dans une autre clinique, m’assurant cette fois que j’aurais une femme comme thérapeute. Et à l’occasion, j’appelle mon ostéopathe pour des séances plus poussées dans l’intimité de mon foyer !
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