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Chapitre 2

Inceste
C’est d’un pas décidé que Marjorie quitte la salle de bain. L’Homme a tenu parole et ne l’a pas obligé à faire quoique ce soit d’irrémédiable. Certes, elle a du la masturber et à présent elle doit rester nue devant lui, mais c’est bien moins grave que ce qu’il aurait pu lui faire subir. Elle ne pense plus qu’aux bras de son père et à leurs bienfaits. Et lorsque l’Homme ouvre la porte de la buanderie, Marjorie se précipite à l’intérieur.Pierre a juste le temps de réagir pour écarter les bras et la recevoir contre lui."Oh mon Papou..."Choqué de voir sa fille le rejoindre totalement nue, il s’adresse à leur geôlier avec véhémence:"Salaud! Que lui avez vous fait?""Du calme Meyer! T’inquiète pas, je lui ai rien fait à ta gamine. Et si tu veux tout savoir, elle a toujours sa petite fleur. Et si elle est aussi légèrement vêtue c’est juste par goût de la beauté. Un plaisir d’esthéte en quelque sorte." répond l’Homme avant de refermer la porte derrière lui et de laisser Marjorie et son père seuls.La jeune fille se doute bien que son père hésite à refermer ses bras sur elle. Elle comprend que sa nudité en est la cause."S’il te plait, serre moi fort..." demande-t-elle.Les bras paternels enveloppent ses reins, et l’étreignent pour son plus grand soulagement. Toutefois, si elle trouve dans ce geste le même réconfort, si les gestes de son père sont aussi affectueux et chastes que toutes les nombreuses fois où cela a eu lieu, Marjorie éprouve, à cet instant précis, un trouble particulier. Être nue contre lui. Plaquer ses seins libres contre son torse. Sentir le contact des mains de son père sur sa peau, au creux de ses reins. Tout cela lui procure un trouble délectable .Si seulement les circonstances pouvaient être différentes... "Qu’est ce que ce monstre t’as fait?" l’interroge son père, avec une douceur qui peine à masquer son inquiétude."Rien. Il ne m’a pas touché. J’ai juste du le laver et le... masturber.""Oh non! Ma pauvre chérie." "Ne t’inquiète pas. C’est pas si grave. J’ai fermé les yeux et je n’ai plus pensé à lui. Ok, il avait ma main, mais il n’a rien pris d’autre. Pas même mon esprit."Lorsque l’étreinte se relâche, Pierre retire son t-shirt et le tend à sa fille pour qu’elle se couvre avec. Puis les minutes se mettent à défiler sans que l’Homme ne vienne les chercher. Des heures peut-être. De temps à autre, son pas se fait entendre. Un claquement de porte. Un raclement de gorge. Suffisamment pour que Marjorie n’oublie pas cette présence intrusive dans le cocon familial.Durant toute l’attente, elle reste collée à son père. Sans qu’elle ne puisse le maîtriser, elle se remémore le trouble qu’elle a ressenti lorsqu’elle était nue contre lui. Elle s’interroge sur les pensées qui lui sont venues quand, sous la douche, elle masturbait l’Homme. Et que dire de son attirance pour le sexe de son père? Si, jusqu’à aujourd’hui, elle ne s’est jamais posée de question sur la signification de ce désir, la confrontation au danger paraît lui faire prendre conscience que son attachement pour son père dépasse le simple lien filiale. Tout s’emboite dans son esprit: ces garçons qui ne l’attirent pas trop, ce besoin d’être avec son père aussi souvent et aussi près que possible, ces fantasmes où il n’est que le seul homme à intervenir... Mais avant qu’elle ne finisse par s’avouer l’indiscutable vérité, le bruit de la clé dans la serrure la rappelle à la réalité de la situation."Allez! Dans le... Eh mais c’est quoi ça? Qui t’as autorisé à te couvrir?" gronde l’Homme en levant son arme."C’est moi qui lui ait donné mon t-shirt pour qu’elle ne reste pas nue."L’Homme pointe alors son arme en direction de Pierre et le regarde avec intensité. Comme s’il était en train de réfléchir au sort qu’il allait lui réserver. Marjorie prend peur. Sans attendre, elle retire le vêtement et le jette aux pieds de l’Homme."Regardez, je n’ai plus rien maintenant. Ne lui faites pas de mal, je vous en supplie!"L’Homme baisse son revolver, puis d’une voix sèche et décidée annonce:"Meyer c’est la dernière fois que tu prends des initiatives de la sorte. Encore une erreur et je t’envois faire un séjour au Boulevard des Allongés. Je ne te préviendrai plus. En attendant, puisque je ne veux pas que tu lui donnes également ton pantalon dès que j’aurai le dos tourné, tu vas te foutre à poil toi aussi. Illico!"Comprenant qu’il n’est guère utile de négocier, Pierre se déshabille. L’Homme leur ordonne ensuite d’aller dans le salon.
Sur la table basse, devant le canapé, se trouvent quelques sandwiches sur une assiette."J’ai pas envie que la gamine meurt de faim, alors je me suis permis de réquisitionner les provisions que vous aviez prévues pour votre petite virée. Mangez."Bien qu’elle ait l’estomac noué, Marjorie avale sa part sans rien dire. L’atmosphère est pesante. L’Homme les dévisage à tour de rôle. L’air bonhomme qu’il affichait au sortir de la salle de bain, il y a presque trois heures de cela, s’est envolé. Quand il ne reste plus rien à manger, il ordonne au père de Marjorie de ramener l’assiette dans la cuisine et de leur apporter à boire."Que voulez vous que je vous ramène? Je dois avoir des bières dans le réfrigérateur."Le visage de l’Homme s’éclaire."T’es vraiment un petit malin Meyer... Tu t’es dit quand m’offrant quelques mousses pour m’hydrater l’oesophage, j’allais peut-être me piquer la ruche et t’en aurais profité pour prendre le dessus... Bah tu vois, quand je suis en cavale, je suis aussi sobre qu’un chameau en plein désert. Rapporte nous de l’eau. Ça sera suffisant. Ensuite tu poseras sur la table basse les deux cartons à chaussures que j’ai laissé sur la table de la cuisine."Marjorie demande la permission d’aller aux toilettes. "Ok, dès que ton paternel est de retour. Mais attention! T’endors pas sur le trône, Princesse! Sinon je vais te chercher..."
Lorsque la jeune fille retourne dans le salon, son sang se glace. Elle reconnaît ce que contiennent les deux boites que l’Homme a fait mettre sur la table basse: ses journaux intimes.Ce goût d’écrire sa vie sur des carnets à spirale lui est venu à l’adolescence. Comme beaucoup de filles. Mais si la plupart d’entre elles abandonnent rapidement cette activité, Marjorie, pour sa part, ne s’en est jamais lassée."Allez ma jolie, vient t’assoir."L’Homme sourit. Entre ses mains, la jeune fille reconnaît l’un de ses carnets les plus récents. Une vague de honte la submerge. À bien y réfléchir, elle préfère être nue devant lui plutôt que laisser cet Homme lire ses secrets. Tous ses secrets..."S’il vous plait, ne lisez pas mes carnets..."L’Homme éclate de rire."Vu les quelques passages sur lesquels je suis tombé, je comprend pourquoi... Mais bon, après la petite douche de tout à l’heure, nous sommes presque devenus des intimes tous les deux."Puis il se replonge dans sa lecture, qu’il ponctue de temps à autre par un rire, un oh moqueur, ou simplement par un regard appuyé vers Marjorie.Pour une fois, la main de son père, qui vient de se poser sur sa jambe, ne lui apporte aucun réconfort. Jamais elle n’a eu autant envie de disparaitre.Après quelques minutes de lecture, l’Homme relève le visage pour s’adresser à sa jeune victime."Tu fais de la danse depuis longtemps?""Depuis mes 5 ans.""Et tu continues encore?""Oui. De la danse classique, et un peu de modern jazz.""Hmm... Je sais pas si c’est vrai, mais j’ai entendu dire que chez les filles qui font de la danse, c’est comme celles qui font l’équitation: leur berlingot cède avant l’heure... C’est vrai?""Je ne sais pas. Ça doit dépendre des filles..." répond timidement Marjorie."Mouais... En tout cas, quand je te vois, et quand je lis ce que tu écris, ça me donne envie d’aller vérifier par moi même."La jeune fille perçoit la crispation qui vient de parcourir son père. Elle cherche discrètement à le calmer, de peur que la situation dégénère."Dis moi Meyer, tu savais que le petit abricot de ta gamine était toujours intacte? C’est pas banal pour une donzelle de son âge. Mais en lisant son journal, on découvre qu’elle n’est pas si innocente que ça ta gamine! Il semblerait que tout à l’heure je n’ai pas été le premier homme qu’elle ait vu dans toute sa vigueur, et que les plaisirs solitaires ne lui soient pas inconnus...""Ça ne regarde qu’elle." rétorque le père de Marjorie.Mais sans se soucier de ce qu’il vient d’entendre, l’Homme feuillette le carnet qu’il a entre les mains, cherchant apparemment un passage précis."Ah là! Ce passage, j’adore... Tiens ma jolie, lis nous le à voix haute..."La jeune fille saisit le carnet à la page en question, et commence à lire en silence. Un sentiment proche de la panique prend possession de tout son être. Elle jette un regard implorant à son bourreau. Mais celui ci semble se délecter de la situation."Allez, allez ma jolie! Je suis sûr que ton «Papou» va se régaler en découvrant cet aspect là de sa petite fille chérie."Marjorie se tourne vers son père et s’excuse avant de commencer la lecture à voix haute.
"Vendredi soir, le sommeil n’a pas voulu de moi. Je me suis tournée et retournée sans cesse dans mon lit. Et, comme cela s’est si souvent produit, je me suis mise à penser à son sexe. Je m’imaginai le prendre entre mes mains. Je l’imaginai en train de grandir grâce à mes caresses, ou mieux encore: grâce à mes baisers. Cela fait si longtemps que j’ai envie de jouer avec. Il n’aurait plus besoin de le faire tout seul, en cachette. Il m’aurait moi. Mes mains. Ma bouche. Et s’il le demandait, il m’aurait toute entière. Pour notre plus grand plaisir à tous les deux... Penser au sexe de Papou, le revoir en mémoire, me rappeler les fois où je l’ai vu se caresser suffit à me donner envie. Et ce soir là, j’ai eu très envie. De mon sexe, naissait cette chaleur qui s’écoule toujours en moi et qui me rend fiévreuse quand je suis excitée. Ce feu qui rend mon corps si demandeur de caresses. C’était tellement fort, que contrairement à d’habitude, je n’ai pas pris le temps de me toucher les seins, ou de palper mes fesses, ni même d’effleurer les autres endroits qui me font de l’effet. Vendredi soir, j’ai simplement relevé ma nuisette et je me suis mise à caliner mon clitoris, tout en glissant deux doigts en moi. J’étais déjà toute mouillée avant même de commencer. Il faut dire que cela faisait plus d’une semaine que je n’étais pas faite jouir. Je crois que mon corps était comme en manque. Combien de temps a-t-il fallut pour que mon orgasme m’extirpe un râle de plaisir? Je n’en sais rien, mais ce fut très rapide et très intense. Trop rapide même. Alors je n’ai pas cessé de faire jouer mes doigts, jusqu’à ce que je jouisse une seconde fois.Mon corps était alors apaisé. Je me suis endormie presque aussitôt.Je sais que fantasmer sur mon père n’est peut-être pas très normal. Mais je meurs d’envie de partager de tels moments avec lui. Mais à qui en parler? Mes amies? Trop risqué. À Papou? S’il me rejette, j’en mourrai de honte. Et s’il acceptait, comment pourrai-je être à la hauteur puisque je n’ai aucune expérience. Comment est ce que je vais faire pour gérer ces drôles d’envies?"
Marjorie cesse sa lecture. Les yeux fermés, elle cherche à canaliser la honte qui la frappe. Son secret le plus intime vient d’être livré en pâture. À présent, c’est certain, son père va la rejeter. Il doit sûrement éprouver du dégoût à son égard.Elle s’isole si intensément en elle même, qu’elle n’entend pas l’échange entre son père et l’Homme."Alors Meyer! Je suppose que tu ne te doutais pas de ça... Ta fille qui fantasme sur toi. C’est pas banal!""Je n’ai rien à vous dire. Ça ne vous regarde pas!""En tout cas, tu devrais être plus discret quand tu te fais du bien. Car la gamine, elle est jamais bien loin pour se rincer l’oeil. À moins que tu t’en sois déjà rendu compte et que cela augmente ton plaisir... La prochaine fois, demande lui de t’aider. J’ai pu en juger sur pièce: elle a la main douce."Le rire tonitruant de l’Homme explose, envahit la pièce, abat les barrières que Marjorie cherche à installer entre ses émotions et le monde extérieur.Lorsqu’elle ose enfin relever la tête, ses yeux se tourne vers l’intrus. Celui-ci est de nouveau plongé dans la lecture des carnets, un rictus de satisfaction aux lèvres. Puis la jeune fille dépasse sa crainte et se tourne vers son père. Immédiatement, il lui adresse un sourire, dont elle perçoit toutefois le petit air gêné, tout en lui prenant la main. D’ailleurs, il la porte à sa bouche pour l’embrasser."Ne t’inquiète pas ma chérie, tout ira bien." lui murmure-t-il.À moitié rassurée, Marjorie se replie une nouvelle fois derrière ses paupières closes. Petit à petit, grâce au contact de la main de son père sur la sienne, elle retrouve ce bienfait que cela lui a toujours apporté. Elle finit presque par être soulagée que son père connaisse enfin le désir qu’il lui inspire.Dans son fauteuil l’Homme lit chacun des carnets. Il alterne les réflexions moqueuses, les allusions salaces ou les longs moments de silence. Le temps semble s’étirer à n’en plus finir. Marjorie, comme son père, sont emportés par une sorte de léthargie. Si bien qu’à un moment, la jeune fille finit par s’assoupir quelques minutes sur l’épaule paternelle.
Lorsqu’elle refait surface, elle se rend compte que son père parcourt discrètement son corps du regard. Elle sent son regard errer sur ses jambes, son ventre puis ses seins. Surpris en flagrant délit, il rougit instantanément. Marjorie ne peut s’empêcher de lui adresser un large sourire et d’éprouver une certaine satisfaction à susciter l’intérêt de celui qui l’attire tant."Si seulement ce type pouvait partir et nous laisser tous les deux..." se dit-elle.
Le dernier carnet achevé, l’Homme s’étire avant de regarder l’heure."Bon, il va être l’heure de faire dormir nos yeux. Vous deux, vous allez passer la nuit dans le camping-car. N’ayez crainte, j’ai fait en sorte que vous ne puissiez pas me fosser compagnie en sécurisant le garage. Et les gars de mon espèce ont le sommeil léger... C’est vital. Alors si vous tentez quoique ce soit, je serai toujours plus rapide que vous."L’Homme se relève et leur fait signe de prendre la direction de la cuisine, où se trouve la porte du garage.Au moment de laisser Marjorie et son père entrer dans le camping-car, l’Homme saisit la jeune fille par le bras."Prends des forces ma belle, car demain ton petit abricot sera mon dessert... Allez, bonne nuit les Meyer! Et pas de mauvaise blague sinon... Couic!"
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