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Otages des mutins

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Alain, je suis surveillant-chef à la prison de Saint-Quentin dans l’Isère. Une prison modèle qui « héberge » des criminels très dangereux. Aujourd’hui est un jour particulier car nous accueillons la Commission d’enquête parlementaire nommée par l’Assemblée Nationale et chargée de se rendre compte sur place des conditions de détentions dans les prisons française... Curieusement, cette Commission est composée de femmes. Elles sont arrivées accompagné par la Directrice de la Maison d’arrêt, Edith Mercier. Ma patronne. Elle a la cinquantaine, blonde, plutôt pas mal.Ses longues jambes gainées de bas noir émergent de sa jupe anthracite classique. Les talons de ces dames résonnent dans les couloirs de la prison.Nous passons devant les détenues qui hurlent des injures à travers la porte de leurs cellules.Ce qui met mal à l’aise les membres de la Commission.— Ne pourrait-on les faire taire, lance, agacée, Madame la députée Chantal Maraud. Blonde également, veste blanche, jupe noire, bas clairs et talons aiguilles blancs, elle est plutôt sexy et je mate ses jambes pendant qu’elle avance dans le couloir. — C’est vrai, c’est intolérable, renchérit Laurence Petit, juge d’instruction à la Cour d’Appel. Moins sexy que la Députée, pensai-je. Petite, brune, jupe longue qui s’arrête aux mollets, chaussures à petits talons. La troisième, une psychologue, Séverine, jupe courte sur des bottes à talons ne dis rien visiblement impressionnée par l’univers carcéral qui l’entoure.
Nous arrivons dans le quartier réservé aux délinquants sexuels et autres proxénètes.Edith présente à ces dames de la Commission, les deux autres membres du personnel pénitentiaire. Carlos et Franck, mes collègues. Madame la Députée demande à interroger des détenues. J’ouvre la porte d’une cellule au hasard. Il s’agit de Radovan et Stefan, deux proxénètes Albanais, tombé après que les flics aient démantelé leur réseau. Je reste bouche bée devant le spectacle qui s’offre a moi. Les membres de la Commission poussent des cris offusqués.Radovan et Stefan, debout, sexe sortie de leur pantalon, se font tailler une pipe par des filles, a genoux entre leurs cuisses.Je comprends immédiatement ce qui c’est passée.Il est fréquent qu’en échange de bakchich, on fournisse des filles, des putes donc, aux prisonniers qui le demande pour qu’ils puissent se soulager les couilles.C’est de la corruption, d’accord mais il faut bien vivre.Suite a un très mauvais concours de circonstances, certains de mes collègues n’ont pas du être prévenue de la visite de la Commission.Je jette un regard noir a mes collègues, je suis sur que ce sont eux les coupables.Dans le couloir, c’est le délire complet. Radovan et Stefan, aussi surpris que nous, reste les bras ballant et surtout la bite à l’air tandis que les deux putes que je connais bien, Douchka et Anouchka, des russes, se relèvent un peu énervées.C’est vrai quoi, on peut plus bosser tranquille ? Le ton monte et ca dérape.Edith me foudroie du regard :— Qui est responsable de CA, hurle t’elle, toute rouge.— J’exige des explications, hurle encore plus fort la Députée.Les deux putes s’en mêlent.— Ca va, arrêter de hurler les pétasses mal baisées.Cris du coté des dames de la Commission, outrées.Un mot malheureux sort.— Vous les deux putains, on vous a rien demandées !Les deux putes sortent immédiatement et s’approchent de la Juge.La tension monte d’un cran.Les trois femmes se font face et la juge regarde Anouchka avec dédain.Elles s’injures et soudain la juge gifle Anouchka !La réplique ne tarde pas.Anouchka s’empare d’un sein a travers l’étoffe de sa robe grise et le lui tord méchamment ce qui arrache un cri à Madame la juge.Je me précipite avec Carlos pour les séparer. Laurence et Anouchka se crêpe le chignon comme dans une cour de récré.Laurence tombe a terre et Anouchka, folle de rage, arrive à lui retrousser sa jupe longue découvrant des jambes magnifiques gainées de bas blanc accrochées un porte-jarretelles.Je reste un instant déstabilisé par cette vision et Carlos s’arrête net aussi. Qui aurait pu se douter que Mme la juge sous sa jupe longue si austère était vêtue d’un attirail aussi affriolant ? Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux apparences.

J’entends crier.Edith est au prise avec Douchka qui lui a arraché son chemisier en satin découvrant sa poitrine difficilement contenue dans un soutien-gorge en dentelle.Les deux proxénètes sifflent et faisant le tour derrière elle, s’empare de ses seins commençant a les malaxer.Edith rue, gesticule, se décoiffant. Radovan triture ses grosses loches en soufflant comme un bouf pendant que Douchka s’agenouille et retrousse la jupe. Des bas noirs auto-fixant apparaissent.D’un geste preste, elle écarta le string et plongea ses doigts dans la vulve de Mme la Directrice qui ouvrit la bouche sur un cri muet.

Toujours a terre, Anouchka et Laurence continue de se battre.J’ai renoncé à les séparer.Mme la juge se retrouve à quatre pattes, jupe troussée et Anouchka lui claquent violemment les fesses qui deviennent rouge et Laurence crie puis gémit. La situation semble changer d’un coup. D’ailleurs, aucun de nous ne songe plus à intervenir. Edith pusse un cri étouffés, un grognement plutôt.Douchka lui lèche la vulve avec entrain tout en la traitant de salope pervers.

La psy n’est pas en reste.Stefan la coincée contre la porte de la cellule et il lui force les lèvres avec sa langue pour l’embrasser tous en tentant de lui remonter sa jupe.On entend plus maintenant que des cris, des gémissements, des supplications.J’ai une trique d’enfer et rien qu’a regarder Carlos et Franck, je comprends qu’ils sont aussi excité que moi par cette situation et nous pensons tous les trois la même chose.Pourquoi ne pas en profiter ?
Stefan a réussit à relever la jupe.Il s’énerve sur le collant de la psy qu’il déchire d’un coup.Elle ne porte rien en dessous !!!Le proxénète la traite de grosse cochonne et il s’empare de son clito commençant à la branler.Bientôt les gémissements de Séverine rejoignent ceux de Laurence, toujours à quatre pattes furieusement branlé par Anouchka qui lui enfonce ses doigts dans sa chatte dégoulinante.

J’en peux plus, fébrilement, je me défais libérant ma bite et m’approche de la bouche pulpeuse de la Juge qui me regarde, échevelée.J’agrippe ses cheveux et m’enfonce brutalement dans sa bouche.Elle me regarde par en dessous et derrière elle, Anouchka lui lance :— Suce-le salope ! Suce-le .Madame la juge obtempère et sa langue commence à me titiller le gland..

Edith aussi se retrouve agenouiller devant Radovan.Sa tête monte et descend sur le membre dressé.Il donne des coups de reins pour s’enfoncer totalement dans la bouche de la Directrice de la prison...Quel pied il doit prendre a avilir cette femme si prétentieuse avec les détenues habituellement.
Mme la Députée se débat dans les bras de Franck qui lui retrousse sa jupe en ricanant.Chantal se retrouve en bas clairs, il écarte le string, plongeant ses doigts dans la chatte de la députée.Il plongea sa main dans l’échancrure de la veste de son tailleur malaxant ses seins.

Je m’enfonce avec régularité dans la bouche de la juge.Qui s’active sur ma bite avec entrain maintenant.Elle me lèche les couilles, replonge sur ma bite, m’aspire comme une furie.Sous le regard mauvais d’Anouchka qui lui pince le clito lui arrachant des gémissements.Carlos s’est approché d’Edith toujours en train de pomper Radovan et lui présente sa bite qu’elle empoigne.Elle commence à le branler furieusement de sa main manucurée. Séverine, elle, se retrouve à quatre pattes sur le sol et elle gémit sourdement sous les coups de boutoir de Stefan tout en suçant Franck.

J’ai allongé Laurence sur le sol, je lui relève les jambes a la verticale et la pénètre d’une brusque poussée.Je commence à la besogner pendant qu’Anouchka lui suce les seins ou la contraint à l’embrasser sur la bouche.Les cri se joignent aux halètements.Edith, empalé sur la bite de Radovan monte et descend rapidement faisant balloter ses gros seins dans tous les sens.Ses cris sont étouffés par la bite de Carlos qu’elle continue de pomper.

Les autres prisonniers pousses des hurlements a travers la porte de leurs cellules...Radovan me demande de les libérer mais j’ai peur d’être débordé...Je crains une évasion.Radovan qui a de l’imagination.Il a positionné Edith a quatre pattes et Chantal a du l’enjamber légèrement courbée en avant.Il s’enfonce un coup dans le con de Chantal un autre dans la chatte d’Edith, alternant les coups de bites.Carlos s’est allongé devant Edith et celle ci le suce pendant que Franck, debout, enfonce sa queue dans la bouche de Chantal dans un concert de gémissements.Voyant cela, je relève Mme la juge et la mettant a quatre pattes, je pointe mon gland vers l’ouverture de ses reins.elle me supplia d’y renoncer mais fou de désir, je m’enfonçait dans son trou du cul lui arrachant un cri de douleur.Agrippant ses hanches, je lui donnais des coups de queues de plus en plus violent.Elle ne crie plus maintenant, elle gémit.Anouchka c’est allongée devant elle et écartant ses cuises, elle força Laurence à lui sucer la chatte.
Séverine se fait prendre en levrette par Franck, son ventre va claquer contre les fesses de la psy qui pousse des petits cris à chaque coup de piston.

Edith gueule de plaisir sous les coups de bites de Radovan qui lui claque les fesses par moment.Carlos se branle au dessus du visage de Mme la Directrice. Il éjacula lançant des trainées de sperme sur son visage.Les filaments coulèrent jusqu’à son menton.Radovan se retira et força son anus tout comme je le faisais pour Mme la juge qui, le visage souillé par la cyprine d’Anouchka, est affalé sur le sol.

Radovan se retira et lâcha des trainées de sperme sur le dos de Mme la Directrice.Je retournais Laurence et ma semence gicla allant s’écraser sur le front et les seins de Mme la juge.
Séverine et Chantal cote à cote beuglent en prenant des coups de pines dans leur con, leurs seins gigotent, elles sont en sueur.Franck et Carlos les bourrent en haletant, les défonçant comme des brutes.Ils se dégagèrent et éjaculèrent sur leurs visages les souillant de leur semence.

Ce ne fut pas terminée pour autant.Radovan et Stefan parvinrent a me convaincre que les autres prisonniers devaient en profiter.J’ouvris donc les cellules.Malgré les protestations et les supplications de ces dames de la Commission et de la Directrice qui s’imaginaient bien ce qui le attendait.Ce fut l’horreur, une véritable orgie.On poussa chaque femme dans une cellule.Elle durent sucer, pomper.Salivant sur les bites avec entrain pour que cela aille plus vite.Edith fut prise en levrette sur le lit d’une cellule qui abritaient deux hommes qui était la depuis 10 ans.ils la besognèrent pendant des heures...Pendant ce temps Mme la juge fut livrer a 3 jeunes qui avait commis des tournantes.Elle fut baisée comme une chienne et ses hurlements quand elle jouit sous les coups de queues de ces délinquants résonna entre les murs de la prison.Chantal fut accaparée un temps par Anouchka et Douchka et ils la gouinère devant les autres détenues qui se branlaient comme des fous.Ils l’arrosèrent de leur foutre.Séverine fut jetée en pâture a un obese qui lui défonça le cul la faisant hurler.Elle gueula encore plus quand un papy bien pervers lui lécha la cramouille pendant de longues minutes la faisant jouir un nombre incalculable de fois.

Le GIGN donna l’assaut et nous enfuma avec du gaz lacrymogène. Le calme revint assez vite et les prisonniers rejoignirent leurs cellules.Evidemment, Il fallu expliquer aux gendarmes du groupe d’intervention, un commando de quinze hommes, pourquoi les otages étaient à moitié déshabillés.Les hommes lorgnaient sur les appâts avantageux de ces dames dévoilés par leurs vêtements déchirés.Chantal et Edith, uniquement vêtue de leurs bas et de leurs talons aiguilles.Laurence, un de ces bas filés, l’autre tirebouchonnées sur sa cheville.Séverine, elle, attire le regard avec ses bottes et son collant en lambeaux.Mais surtout c’était le sperme qui les souillaient toutes les quatre qui détonnaient un peu, il faut bien le reconnaitre...Les quatre femmes supplièrent les hommes du GIGN de ne rien dire à personne.le scandale serait énorme.Les quinze hommes se regardèrent et sans un mot sortirent leurs bites déjà en érection de leurs uniformes.
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