Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 14 J'aime
  • 0 Commentaire

Otokonoko - Kenichi

Chapitre 2

Gay
Bien évidemment, après ça, je suis retourné chez moi le plus vite possible. J’étais un peu honteux, en fait, de m’être laissé avoir ainsi. Promis, on ne m’y reprendra plus !
Je me suis levé tôt et je suis retourné bosser. Les couloirs de l’hôpital étaient bondés, et on nous demandait sans cesse de courir à droite à gauche
Et c’est donc complètement claqué que je rentre chez moi. J’habite dans un petit appartement avec une terrasse. L’immeuble fait 4 étages, et tout le monde a sa petite terrasse. C’est agréable la nuit quand il fait chaud, on ouvre la porte vitrée et...
« Bonsoir, bel homme ! »
C’était quoi ça ?! La voix féminine affreusement sexy (qui est visiblement restée m’attendre sur ma terrasse) sort de l’ombre de la nuit et se révèle enfin à mes yeux, accompagnée de deux hommes baraqués en costard noir (des Yakuzas?!?)
« Vous ne me reconnaissez pas ?_ Euh, attendez... Si ! L’animatr... enfin, vous, là, hier qui, euh..._Ah, ouf ! Je ne me suis pas trompé d’adresse, alors... »
C’est l’animatrice... enfin le gars là... Enfin, bref. Je l’ai reconnu grâce à son visage aux traits parfais. Il est encore habillé en femme, fait un signe de sa main gantée de blanc aux deux gardes du corps qui s’en vont et il s’approche de moi dans sa robe fendue rouge.
« _J’avais peur de ne jamais vous revoir._Comment avez-vous su où j’habite ?!_J’ai demandé à un de mes hommes de te suivre quand tu es parti hier, et il ont relevé l’adresse._Pourquoi faire ?_Je suis tombé amoureux de vous._Euh, je pense que votre réaction est un peu exagérée, je veux dire, on ne se connaît pas et... »
Il me sauta dessus et m’embrassa fougueusement.Il se dégagea de ma bouche pleine de sa salive dans un gémissement sensuel.

« _Ah, mais ça ne va pas !!! On n’agresse pas les gents comme ça !!!_Mais c’est ta faute aussi : tu es si mignon ! C’est comme si tu te baladais avec un écriteau : S.V.P, violez-moi !»
Des lumières s’allument et on entend quelques voisins :
« _ Monsieur Sakamoto ? Est-ce que tout va bien ?_ Veuillez faire moins de bruit s’il vous plaît, monsieur Sakamoto !_ Oui, excusez-nous, nous rentrons ! »
J’entraîne cette personne à l’intérieur de chez moi.
« _ Voila, ici, nous sommes à l’abri des regards. »
A peine était-il entré chez moi qu’il disparu dans la maison. Il avait tout de même laissé ses escarpins noirs sur le pas de la porte. Je le retrouvais dans ma chambre.
« _ Vous fouillez dans mes placards ?!_ Oh, t’as un ensemble Neko-girl ! Cute !_ Eh ! Je ne vous permet pas !_ Tu veux pas le mettre ? Mh ? Pour moi ? »
Ah, qu’il est bandant, on dirait vraiment une jeune femme, et ce regard est désarmant tant il est charmant.
« _ Vous me laisserez tranquille après ?_ Oui !_ Très bien. »
J’ai laissé tombé mon sac à dos par terre et déboutonné mon jean sous le regard intrigué de l’énergumène.
Une fois en sous-vêtements, j’enfile la combinaison short grise avec la capuche de chat, la grosse clochette, les gants gris et les bas d’un rose assorti aux coussinets des gants et à l’intérieur des oreilles. Je surprend son air satisfait, des étoiles dans les yeux.
« _ C’est bon comme ça ?_ Oui, c’est vraiment trop mignon !_ Bien, maintenant s’il vous plait veuillez sort... »
Il s’est jeté sur moi avant même que j’ai pu finir ma phrase et commence à me déshabiller avec ardeur, tire sur mes vêtements, essaie de bloquer mes jambes, j’essaie de résister en lui balançant un coup de pied dans le ventre et, voyant que je tente de les bouger, il appuie ses genoux sur mes cuisses.
« Aïe ! Vous me faites mal ! »
Il m’embrasse fougueusement. Puis il sème des baisers partout sur mon corps, en passant par mon cou, mes épaules... Il me mordille l’oreille et la caresse, et sa peau qui frôle la mienne en cette zone frileuse me fait frémir.
«  Ah ! »
Je lâche un gémissement. Il lève les yeux, me regarde sournoisement.
« Ce n’est pas du tout ce que vous croyez..._ Moi je pense que si... »
On dirait qu’il a décidé de porter son attention sur mes tétons...
« _ Non ! _ Si, tu le veux ! Regarde : tu as les tétons tout durs..._ C’est parce que tu bloque ma circulation sanguine ! Tu t’appuies sur mes bras et mes jambes et tu es trop lourd !_ Moi, je pense que tu as envie que je te baise...»
Il caresse mes tétons durs et les titilles en les tirant... Puis il se penche et les prend en bouche... Sa langue qui les caresses me font un bien fou... Et c’est peut-être le fait qu’il soit déguisé en femme qui m’a donné une érection. Cet homme qui a fait irruption dans ma maison pour y foutre le bordel, qui vient à l’instant de me mettre nu pour m’abuser sexuellement m’a donné une érection.
« _ Non ! »
La chaleur commence à monter en moi. C’est si bon... ! Je ne pensais pas que mes tétons étaient une zone aussi érogène... Il s’est déjà attardé à l’autre, et celui qu’il a léché est plein de sa bave. Il s’arrête soudainement. Me jette un coup d’œil et pouffe de rire :
« _ Tu es adorable ! »
Il laisse tomber sa perruque et je découvre une coupe au bol blonde en bataille absolument excentrique et modernisée qui a dû lui coûter assez cher en coiffeur. Puis, il se lève pour retirer sa robe rouge et ses gants blancs (et même son caleçon) puis je vois sa véritable apparence. Enfin, je l’avais déjà vue un peu la dernière fois, mais là j’en reste bouche bée. Tellement que j’ai laissé passé une occasion de m’enfuir dans la cuisine chercher une poêle afin de l’assommer.
Il se repositionne sur moi et m’écarte les cuisses malgré les coups que j’essaie de lui porter... Devant mon acharnement, il s’empresse de forcer sur mes membres pour me gêner dans mes mouvements, ce qui a eu l’effet souhaité puisque je me fatigue physiquement. Quand je m’arrête de bouger, allongé las sur le sol et l’énergumène au-dessus de moi, nos respirations bercent la pièces. Enfin, surtout la mienne, parce que je suis essoufflé de m’être débattu. J’ai un peu mal au-dessus des paupières à cause de la fatigue et mes paupières peinent à rester ouvertes. Il pousse un peu plus mes jambes contre mon torse et soulève mon caleçon jusqu’aux genoux. Je me sens vraiment dépité... Il bande déjà...
« _ Je ne connais même pas ton prénom... » dis-je en me lamentant.
Il enfoui sa tête contre mon cou et me pénètre doucement là où je n’étais pas encore humide. Ses mains nues caressent mes jambes de nylon. Sa bite est maintenant en moi... Elle fait frissonner chaque partie de moi lorsqu’elle s’enfonce au plus profondément, et la mouille de nos sexes soulage le frottement de sa peau contre mon anus... Je n’avais jamais ressenti cette chaleur profonde avant, qui naît à mon entrejambe et se propage jusque dans mes joues. Je crois que je sue... Chaque secousse fait fourmiller mon ventre, au plus profond de celui-ci... Je crois que je n’ai jamais eu une personne aussi proche de moi.
Ah ! Ah ! Là, c’est... Bon ! Bon, mais tellement embarrassant... Je vois bien que ça te plaît, toi aussi ! Je n’arrive même pas à émettre un son, un gémissement. Je serre les dents et les lèvres, je me dilate, les intestins tourmentés quand lui se contracte et joui en moi, humble, sans un cri, seulement un soupir de satisfaction. J’ai su, en me forçant très fort, faire de même, mais j’avoue que je suis tourmenté de honte et d’un bonheur intense et non voulu !
Pour la deuxième fois, nos respirations sont une musique silencieuse. Il relève un peu la tête et dévoile son visage rougit par... par je sais pas trop quoi ? Je sens son souffle tout contre mon oreille :
«_ Vispeer Kim, c’est mon nom. Mais on m’appelle Kim Tao. »
Il m’a vidé, je suis épuisé. Je me demande si je vais me réveiller demain... Je crois que je ne pourrais pas garder mes paupières ouvertes bien longtemps...
Diffuse en direct !
Regarder son live