Il y a des souvenirs qui en se racontent pas à tout va, et même se doivent de rester dans un tiroir tabou de notre conscience.Je brise aujourd’hui le silence en vous narrant, chers lecteurs, un de ces précieux vestiges de mon passé, qui pourtant bien souvent ressurgissent dans mon esprit. Afin de préserver l’anonymat des protagonistes, et surtout le mien, les noms seront modifiés. Ou pas.
DRIIIING DRIIIIIING! Foutu réveil que le mien, pas foutu de s’éteindre quand je martèle ce foutu SNOOZE.. Tout en ouvrant doucement les yeux, je tate à nouveau ce foutu objet de ma main droite. Tais-toi purée! DRIIIING DRR. Ah c’est bon enfin pff. A ce moment précis, la porte s’ouvre brutalement, et ma soeur entre en trombe dans ma chambre: “Bon Vince, tu comptes te lever quand?” s’impatiente Inès. “Ton réveil sonne depuis 3 minutes.” “Purée qu’est-ce que tu fous?! Ma chambre c’est pas un moulin! Et je me lève maintenant que j’ai réussi à lui fermer sa gueule à ce bidule. Merci de t’en soucier” ironise-jePfff cette fille elle a aucun savoir vivre. Et il fallait que ce soit ma soeur ainée.. eh ben. 20 ans tout juste la petite et 20 ans tout juste à être chiante, ça s’apprend pas. Enfin 18 ans, vu que c’est mon âge à moi. “Bon okay..” dit-elle précipitamment pour apaiser la discussion et elle tourne les talons en fixant quelque chose plus bas sur le lit. Curieux, je m’interroge alors sur ce qu’elle regardait avant de s’éclipser. Mon regard rencontre le chapiteau sous ma couette formé par ma gaule matinale qui ne faiblit hélas pas. ET MERDE. Je suis un peu embarrassé, mais je m’active en entendant ma mère gueuler pour le petit déj. Comme on dit, telle mère telle fille hein.
Je me dépêche, entre un furtif petit déj, habituel pour moi, et une douche non moins rapide, je file à pied à l’école. Je rencontre mon pote Gregoire, un an plus âgé que moi. On parle ainsi de tout et de rien. Mais, comme tout garçon hétéro de cet âge qui se respecte: surtout des filles. “Bon Vince, tu te poses derrière Amanda dans l’amphi hein?” et il se met à rire. “Lol, on verra bien coquinou” lui réponds-je. “Je me battrai pour que ce soit ma bizu à moi! Greg et sa petite Amanda, c’est tout vu!” Amanda c’est la fille de la promo, de ma première année de médecine j’entends, que tout le monde voudrait pécho, notamment les 2ème année de médecine comme Grégoire. Elle a des yeux bleus trop cute,des cheveux châtains clairs mi-longs et un sourire ravissant, mais surtout un corps à couper le souffle... “Avec ses courbes elle doit faire pâlir toutes les autres meufs de la promo haha” “Mouais peut-être...” dit-il avant d’ajouter: “Mais ta soeur elle a de bien plus gros lolos connard” “Euh oui...peut-être” dis-je, gêné par la soudaine mention d’Inès. “Non mais c’est carrément sûr ça! Juste qu’elle les cache bien ta soeur, Vince! Tu les as jamais vus, dis?” “Euh..ben..” Non, je ne les avais jamais vu en vrai, jamais. Mais j’ai pu en imaginer les reliefs des tas de fois pendant les étés à la maison, périodes où elle délaisse en général ces soutiens-gorges à cause de la chaleur. J’avais eu alors le loisir d’apprécier ces formes-là, oubliant même que c’était celles de ma propre soeur.
Elle a effectivement une grosse poitrine, bien encadrée par des cheveux bruns très longs et bien raides qui descendent bien bas. Elle était assez mince pourtant, ce qui était surprenant avec une paire pareille en haut, et ses hanches plutôt marquées et son joli petit cul allaient parfaitement avec son joli minois. Pour revenir à ses seins, au détour d’une conversation “vêtements” entre ma mère et Inès dans la chambre de cette dernière, j’avais pu agréablement découvrir que ma mère faisait un bon 95C et surtout que ma soeur portait un 90E. Et donc une taille de bonnet fort bandante, même pour un frère cadet. Grégoire me sort de mes pensées: “...enfin il en a de la chance Jonathan de se taper ta soeur! Ce mec m’horripile avec son air condescendant, mais il est entouré de 2 magnifiques meufs lui, sa copine Inès ta soeur, et sa propre soeur Amanda.. Pff quel saligaud ce Jonathan!” “Haha ça tu l’as dit!” “Bon on se retrouve ce soir Vince, après ton sport” me dit-il. “Nope, ce soir je rentre pas avec toi, car mon cours de volley-ball est annulé pour 2 semaines” “Ah d’acc, c’est bien triste pour toi, tu pourras pas mater la petite Amanda dans son mini short!” “Hélas tu as raison Gregou, tu penseras à faire de même avec cette charmante Gladys à ton cours de handball!” Dis-je en plaisantant. “Plutôt mourir oui!” rétorque t-il, avant d’ajouter “Alors on se voit demain vieux.”
La matinée de cours se passe vite de ma place bénie juste derrière Amanda. Mes yeux n’en perdent pas une miette tout le long. Au début d’aprem, je ne peux pas reprendre ma place élue: une bande de filles ayant posé leurs fesses dessus. Je peste dans mon esprit et prends un siège à 2 place à droite d’Amanda qui vient justement d’arriver. Elle retire sa blouse kimono à fleurs pour en garder que son léger débardeur blanc. Merci ô chaleur étouffante de l’amphi! Je la contemple alors de plus belle, qu’est-ce qu’elle est canon! Elle se penche pour prendre des notes, et sa position alors me permet une vue plongeante de sa poitrine qui de plus, subit la pression de son corps appuyé. Je mate totalement,et sens un début d’excitation poindre dans cette chaleur. Mon regard se perd dans ce décolleté parfait, qui annonce un soutien gorge rouge vif bien rempli. Je me remémore la discussion du matin avec Greg. Elle a de très gros seins c’est sûr, je parierai bien sur du bonnet C ou D ma parole! Peut-être plus du D car ils sont plus petits que ceux de ma soeur, mais pas tant que ça. Cependant, Amanda les met bien en valeur, ce qui n’est pas le cas d’Inès. Elle a très vite était complexée par ces deux proéminences dans sa jeune adolescence, ils sont apparus bien tôt je pense. Purée mais qu’est-ce que je fais? Faut vraiment que j’arrête de penser à la poitrine d’Inès, c’est ma soeur quand même! Et malgré tout, le rouge me monte vite aux joues... et aussi en bas semble t-il! Je sens mon sexe qui frétille sous mon jean alors que je repense à Inès et ses jolies courbes, quand je repense à ce matin encore quand elle a maté mon réveil, ainsi que celui de mon membre sous la couette. Ma verge durcit sous l’épaisseur du vêtement à m’en faire souffrir, mais je me délecte tellement de ces pensées que j’en oublie Amanda. Et merde mais qu’est-ce que ça fait? Je reste un mec et Inès est une fille avec de sacrés atouts, c’est logique d’avoir ce genre de pensées. Et quelques visions perverses de mon passé me reviennent en mémoire. La fois où il y a quelques années, Inès oubliant son maillot de bain avait porté un débardeur tout mouillé à la place, révélant la forme de ses deux globes de chair. Ou encore la fois où elle avait dormi à côté de moi, dans la petite maison des grands-parents, et qu’elle avait tenu ma main à moi comme doudou près de sa poitrine à elle. Ou même cette fois où elle et lui s’étaient affrontés comme au judo juste pour rire et.... DRIIIING DRIIIING. La sonnerie de la fac me sort de mes songes. Je range mes affaires, enfin le peu qu’il y en avait sur ma table et après un dernier coup d’oeil furtif vers Amanda, je file dehors. L’air extérieur me ramène à des pensées plus normales. Je consulte mon téléphone. Il est juste 15h00 et je suis libre. Ah je vais pouvoir être tranquille, surtout que mes parents ne sont pas à la maison avant 18h voire 18h30. Je vais pouvoir faire ce que j’ai à faire et aussi me masturber, hourrah! Un bon mardi aprem quoi...Ah non merde, j’avais oublié, ma soeur rentre à la maison vers 14h le mardi. Zut alors, pas moyen de se donner du plaisir sereinement.. Je devrais lui dire que j’arrive peut-être? Ouais, je l’appelle donc. Aucune réponse. Elle doit surement faire une sieste comme à son habitude, après le déjeuner.
Arrivé chez mes parents, j’ouvre la porte en essayant de faire le minimum de bruit afin de ne pas la réveiller. Elle dort comme un loir en général, je pourrais peut-être me branler dans ma chambre si c’est le cas. Je m’avance dans le couloir à pas de loup vers ma chambre et c’est là que j’entends des petits bruits comme des souffles. Je m’interroge en me tournant vers la source sonore: la chambre de ma soeur. Mon coeur se met à battre plus fort. Et si je la matais pendant son sommeil? Je m’approche toujours aussi calmement et les souffles que j’entends ne ressemblent pas à ma soeur, mais à ceux d’un mec. Au moment où j’entrouve légèrement la porte de la chambre de ma soeur, le souffle est devenu un râle de plaisir et la scène apparait à mes yeux. “Mmmmh allez suce ma puce.. suce-moi bien la queue Nénette..Mmmh.” Je reconnais alors et la voix et le visage de Jonathan, debout dans la chambre d’Inès, le regard posé sur celle-ci à genoux que je reconnais par sa longue chevelure brune. Je ne la vois que de dos et la silhouette aperçue, ainsi que les bretelles noires du soutien gorge et le jean bleu clair plus bas me confirment que c’est bien elle. Inès, ma soeur. Inès ma soeur en train de sucer sous mes yeux ce petit con. Stupéfaction. “Mmmh t’aimes ça me sucer hein... et après tu gobes tout comme d’hab petite perverse..” Et il tire sur ses cheveux et appuie plus fort sur sa tête. La scène, et vous devez bien l’imaginer, finit de nous émouvoir, moi et mon sexe. Jonathan est trop occupé pour remarquer ma présence dans l’entrebaillement de la porte. Je déboutonne mon jean, sors mon membre de son fourreau trop étroit et commence une masturbation fort excitante. Bordel, ma soeur en train de branler et sucer un gars devant moi! Le rêve à portée des yeux! Entre les râles de plaisir de Jonathan, j’entends même les bruits de succion venant de la bouche de ma soeur. Sentant une jouissance soudaine approchée je secoue plus fortement mon sexe mais je suis stoppé net par le gémissement de Jonathan: “Aaaaaaaah.... putain que c’est bon!..” dit-il en se vidant soudainement dans l’orifice buccale d’Inès. “Et maintenant avale bien tout!” Ses spasmes de jouissance s’arrêtant, je vois ma soeur qui s’arrête et....avale tout d’un trait! Purée cette cochonne! Et quel connard ce Jonathan, je n’ai pas pu me atteindre ma propre jouissance! Mais je ne perds pas plus mon temps et remballe mon précieux avant de filer en douce en direction ma chambre, toujours à pas feutré, l’excitation faisant place à la peur d’être pris en flagrant délit. Un dernier coup d’oeil m’offre la vue d’Inès en soutien gorge sexy en dentelle, se relevant et le balancement affreusement provoquant de sa poitrine. Je me réfugie sans bruit dans ma chambre et de la porte entrebaillée, j’écoute le moindre bruit qui me parvient de la chambre coupable d’Inès. “...après deux bonnes pipes, mon estomac réclame son dü..” dit le copain de ma soeur. “Okay Jo, on va sortir prendre un truc dehors de toute façon, car mon frère arrive vers 17h” entends-je enfin de la bouche de ma soeur. “Ouais tu m’as dit déjà, mais on refera ça la semaine prochaine hein?” “Oui mon bébé” Lui répond-elle. Et ils finissent de s’habiller avant de sortir dehors. Pendant ce temps je repense à tout ce que je viens de voir il y a peu. Ma soeur faisant une fellation et puis avalant. Et sa poitrine bien en valeur dans son soutien gorge bien trop étroit. Mon sexe ne débande pas. “L’élément perturbateur provoque une perturbation de l’équilibre de la situation initiale et annonce de multitudes péripéties à suivre” Mon ancienne prof de français n’avait pas tort. A SUIVRE
