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Pacte avec le diable

Chapitre 1

Divers
Que feriez-vous si quelqu’un vous proposait de réaliser tous vos souhaits ? Beaucoup d’entre vous demanderait la fortune, le pouvoir, …. C’est vrai que tout cela est tentant mais avez-vous pensez aux conséquences ?
Retrouvons Gérard. Cet homme, quinquagénaire rondouillard viens de passer un mois difficile. Tout d’abord, sa femme l’a quittée. Ça faisait un moment que ce responsable d’équipe dans une grande entreprise du bâtiment préparait le concours interne pour devenir directeur d’agence de la nouvelle succursale qui allait se monter dans la région. Buchant comme un fou pour y arriver, il en avait délaissé sa femme qui avait fini par partir. Malheureusement, au résultat du concours, celui qui a eu le poste n’était autre que le neveu du grand PDG. Gérard, lui, il n’était arrivé que second. Criant au scandale, pistonnage et  à la tricherie, il écopa d’une mise à pied après avoir insulté tout le monde. C’est durant ces jours de congés forcés qu’il fit une rencontre qui allait tout changer.
Un jour où il chinait dans les stands d’un vide grenier, il tomba sur un gars habillé style SDF qui vendait des objets en métal forgé, assis sur un tapis. Ce type lui faisait pitié avec sa pancarte « sil vou plé tou ta 10 € » et il accepta de lui en acheter un après beaucoup d’instance de la part du marchand : une magnifique lampe à huile. Une fois chez lui, voyant qu’elle était sale, il commença à la briquer quand soudain la lampe se mit à trembler et une fumée opaque s’échappa du bout pour former un nuage qui finit par laisser apparaître un homme bizarre habillé à la manière des perses d’autrefois.
— Bordel de merde c’est quoi ce truc ?— Bonjour ! Etes-vous mon nouveau maitre ?— Vous êtes quoi ? Une sorte de génie ?— On me donne de nombreux noms, génie en est un.— Ça alors …. Je n’arrive pas à y croire.— Il va bien falloir. Après tout vous m’avez réveillé.— Donc si vous êtes un génie comme dans les histoires, vous accordez trois vœux à celui qui vous a réveillé ?— Exactement.— Je peux vous demander tout ce que je veux ?— Tout ce qui vous fait envie.— Wahou ! Faut que je réfléchisse
Il se mit alors à réfléchir. Faire revenir sa femme ? Même pas en rêve ! Quand elle s’est barrée, elle est allée se réfugier chez un de ses collègues de boulot. Un collègue qui, d’après son entourage, la sautait déjà avant qu’elle ne parte du domicile conjugal. Non ce qu’il voulait c’était surtout obtenir ce pourquoi il avait tant travaillé. Il se retourna alors vers le génie.
— Je veux ma promotion. — Votre promotion ?— Je veux le poste de directeur d’agence pour lequel j’ai tant bossé. Je le mérite et pourtant c’est ce petit con arriviste de neveu du patron qui l’a eu. — D’accord …. Bon par contre ça va prendre un peu de temps.— Comment ça ?
— Je ne peux pas claquer des doigts comme ça et te mettre dans tes nouvelles fonctions dans la seconde. Je ne suis pas Joséphine non plus. Et puis avec le monde moderne, la technologie complique tout.— Je vois …. Tu veux que tout soit fait dans les règles ? Ok je te laisse carte blanche.— Parfait « Que cela soit dit et accompli ! » prononça-t-il avant de disparaitre et de retourner dans la lampe.
C’est une semaine plus tard, alors qu’il avait commencé un chantier avec son équipe, qu’un coup de téléphone du PDG en personne lui est parvenu. Dans cette conversation, le PDG lui indiquait que son neveu ne s’était pas présenté à son poste. Ne parvenant pas à le joindre, il a alors décidé de rappeler Gérard avec ses plus plates excuses car visiblement son neveu n’avait pas les épaules pour une telle responsabilité.
Gérard était ravi. Le génie avait réalisé son premier vœu. Il savait que les locaux de la nouvelle agence n’étaient pas encore totalement terminés mais il devait quand même prendre ses fonctions d’ici quelques jours.
C’était le matin de sa prise de fonction. Devant la glace, Gérard était tout fier, rasé de près et coiffé impeccable dans son costume qui lui donnait vraiment le profil de l’emploi. Il prit sa voiture et partit de suite vers son nouveau lieu de travail. Une fois arrivé, il constata que seul des travaux de finition restaient à terminer. Son bureau personnel étant prêt, il s’y installa.et se mit dans le bain de suite. Durant cette première journée, l’hôtesse d’accueil arriva pour lui demander son avis sur un sujet : Le texte de l’annonce pour recruter sa future secrétaire. Il n’était pas au courant qu’une secrétaire allait être embauchée et c’est après que le texte fut validé et que l’hôtesse soit parti qu’une idée salasse lui vint à l’esprit. C’est après cette première journée de travail qu’il rentra très vite chez lui pour se jeter sur la lampe du génie. Il la frotta et le génie réapparu dans son nuage.
— Bonjour maitre— Bonjour Génie, j’ai mon deuxième vœux.— Je vous écoute.— On va bientôt embaucher une secrétaire pour moi. Alors je la veux compétente et dans un état de santé parfait bien sûr mais surtout je la veux jeune, belle, blonde, avec des gros seins, une bouche pulpeuse, de grands yeux clairs, un petit cul bien ferme et surtout, je veux qu’elle soit toujours sexuellement disponible pour moi et uniquement pour moi.— On dirait que le maître a envie de s’amuser ?— Exactement.— Très bien ! Dans ce cas, « Que cela soit dit et accompli ! » prononça-t-il avant de disparaitre et de retourner dans la lampe.
Dès le lendemain, une annonce fut publiée, ne comportant pas les exigences de Gérard bien sûr. Au bout de quinze jours, estimant avoir obtenu suffisamment de candidature, une sélection fut faite sur cinq personnes qui furent convoqués à une date précise. Le jour des entretiens, une à une, les candidates se sont succédées dans le bureau de Gérard. A chaque entrée, il espérait voir celle qu’il avait demandée au génie mais rien. C’est quand la dernière est entrée qu’il a retrouvé le sourire car c’était une superbe blonde à la poitrine généreuse et en minijupe qui entra. Gérard était comme le loup de Tex Avery avec la langue qui pendouille. Enfin il avait sa commande de Noël. Toutefois il se devait, pour les apparences, de rester stoïque.
Durant tout le début de l’entretien, Alors que la candidate se présentait, détaillait son parcours et répondait aux questions de base, Gérard observait plus en détail la jeune fille devant lui. En voyant ses lèvres pulpeuses, il se disait « on doit être bien dedans. J’y mettrai bien ma bite ». Devant son décolleté, il se retenait de ne pouvoir y mettre les mains. Depuis son bureau qui avait une vue sur le parking, il voyait qu’il était presque vide. Il ne restait plus que l’hôtesse d’accueil sensée faire la fermeture. C’est quand il l’a vu partir qu’il s’est dit « Enfin ! On est seul. Mon petit Gégé, c’est à toi de jouer ! ».
— Bien ! Ecoutez mademoiselle, tout cela m’a l’air très bon.— Merci— Vous avez tout ce qu’il faut pour le poste. Ça va être dur de faire un choix. Toutefois, j’aimerais éclaircir un point avec vous.— Je vous écoute.— Voilà, je cherche une secrétaire, c’est entendu mais ce que je cherche c’est surtout une secrétaire … un peu particulière. Ça vous dérange ou pas ?— Tout dépend de ce que vous entendez par particulière.— Disons par exemple que je vous demande : « Montrez-moi vos seins ». C’est quelque chose qui vous dérange ?— Non ça ne me dérange pas.— C’est vrai, ça ne vous dérange pas ? Bah montrez-les-moi alors.— Maintenant là ? … Bon si vous insistez
Au moment où elle fit tomber le haut, Gérard fut pris d’une bouffée de chaleur. Elle avait une de ces paire de meule … 95 D facile.
— Alors ? Vous êtes satisfait ?— C’est très joli. Mettez-vous debout pour voir. Tournez sur vous-même, marchez un peu, la tête bien droite.
Cette charmante jeune fille, qui répondait au prénom de Jennifer, obtempéra. Pendant ce temps-là, Gérard s’était levé pour verrouiller la porte de son bureau et se placer dans le dos de la candidate pour lui mettre la main aux fesses.
— Que faites-vous monsieur ?— Ecoutez, vous vous doutez bien que si je vous demande ça c’est que ce n’est pas juste pour regarder. — Oui mais vous ne l’aviez pas dit ça.— Vous n’allez pas jouer la naïve quand même. Pas avec une tenue aussi provocante. Après si vous n’êtes pas d’accord, très bien, je vous laisse. Par contre si une autre des candidates est d’accord, il est évident que c’est elle qui aura le poste.— Je n’ai jamais dit que je n’étais pas d’accord.— Je vois bien que quelque chose vous gêne pourtant. Si c’est de l’argent que vous voulez, on peut surement trouver un accord.— C’est-à-dire ? — Je ne sais pas moi … Que diriez-vous d’une prime équivalente à votre salaire en échange de vos faveurs ?— Ça m’intéresse— Bien, rasseyez-vous … Dites donc, je m’aperçois que vous êtes pile à la bonne hauteur.— La bonne hauteur pour ?— Pour un test de compétences buccales— Je vois …. Dans ce cas laissez-moi faire <Ziiip>
Gérard observait avec attention sa future secrétaire en train de défaire son pantalon, baisser son caleçon et enfourner sa queue dans sa bouche soyeuse. Il savourait ce moment car malgré sa jeunesse, elle savait y faire la petite. Visiblement le génie avait bien fait son boulot. Elle était belle comme il l’avait demandé et surtout elle semblait parfaitement disposée à le laisser profiter d’elle.
— Ah oui ! Tu suces très bien. Lui dit-il en lui caressant la tête d’une main.— Merci.— Ne t’arrête que quand je te le dirais. J’étais loin d’imaginer que tu pouvais être aussi doué à ton âge.— Rassures toi. Je sais faire plein d’autre chose.— On va voir ça. Par contre il y a une chose à laquelle je tiens. C’est le vouvoiement. Même si je m’accorde le luxe de te tutoyer, pour toi ce sera toujours « Vous » et « Monsieur le directeur » en toute circonstance et jusqu’à nouvel ordre.— Bien monsieur le directeur.— Parfait ….. Bon allonge toi sur le bureau et retire ta jupe et ta culotte. Lui dit-il alors qu’il coiffait paupole avec un capuchon.
Une fois allongée et complètement nue, elle écarta les cuisses. Gérard retira alors le reste de ses fringues pour être plus à l’aise. Il plaça ses mains à la jonction du bassin et des cuisses de sa secrétaire et la pénétra. Il commença à la limer doucement d’abord puis plus rapide ensuite. La jeune et jolie Jennifer ne cessait de pousser des « oh oui monsieur le directeur » à chaque coup de reins. Pour Gérard c’était un fantasme devenu réalité : Celui du patron ayant tout pouvoir sur sa secrétaire sexuellement soumise à sa volonté et à ses envies.
— T’as l’air …. Très à l’aise …. Dans tes ... nouvelles fonctions ? lui demanda-t-il en continuant de la prendre.— Oui Monsieur … C’est si bon … N’arrêtez pas …. Répondit-elle limite en transe avec un de ses seins qui ballotait et l’autre qui était fermement empoigné par Gérard. — Oh mais je n’en ai …. pas l’intention .... J’ai vu que …. Tu as …. un autre … petit trou. …. Je crois ….qu’il est temps … de passer ….. au test …. d’aptitude anale. …..tu ne crois pas ?— C’est vous .... qui décidez …. Monsieur le directeur ….. Mais je n’ai pas…. l’habitude …… par là.— Ne t’en fait pas …. Ma jolie …. J’ai tout prévu. ….. Retourne-toi.
Gérard ressorti son engin de la grotte intime de la demoiselle qui se mit à plat ventre sur le bureau. Gérard sorti de son tiroir un flacon de gel dont il étala un peu du contenu sur la rondelle de la demoiselle avant de commencer à en forcer l’entrée.
— Alors ma jolie, ça va ? T’as pas trop mal ?— Un peu quand même— T’en fais pas, tu vas t’y faire. Après tout, un cul c’est comme une paire de chaussure faut le mettre pour qu’il se fasse. Et puis, autant que tu t’y habitues. Quand tu seras indisposé j’aurais besoin d’une solution de secours. Bon bah c’est parti.
Gérard était en train d’enculer Jennifer et elle semblait progressivement y prendre goût. Au bout d’un moment, les petits cris de douleurs ont laissé place à des gémissements de plaisirs, poussant Gérard à y aller encore plus fort jusqu’à la jouissance.
Pour Gérard, cet entrevu était la promesse de nombreuses saillies avec cette petite minette. Fini pour lui les soirées à s’essuyer avec du Sopalin devant le film du premier samedi du mois sur une chaine payante. Tous deux se rhabillèrent et c’est une fois prête à partir que Jennifer lui demanda quel était le résultat.
— Alors, monsieur, Avez-vous été satisfait de mes compétences ?— Plus que satisfait. C’est bon tu commences Lundi, le temps pour moi d’établir ton contrat.— Parfait ! ….. Une tenue vestimentaire de rigueur ?— Oui : des talons, des jupes, un haut qui s’enlève facilement …. Ah oui, autre chose, pas de culotte. Ça ne servira pas à grand-chose et ça nous fera gagner du temps.— D’accord. Dans ce cas à Lundi.— A lundi !
Ça y était ! Gérard était patron et avait la secrétaire-esclave sexuelle qu’il avait commandé au Génie. « Que demander de plus ? » se demanda-t-il. Il lui restait encore un vœu à exaucer et il décida de se le garder pour plus tard, pour un cas d’urgence. Durant un an, il a vécu une folle passion sexuelle avec sa secrétaire. Dès qu’il en avait envie, elle rappliquait pour le satisfaire. Déjà, il y avait le matin. Arrivant tous les deux une demi-heure avant tout le monde, elle lui livrait un café et son journal. Il le lisait en dégustant son café pendant ce temps mademoiselle était sous le bureau à lui faire du bien. Il n’était pas rare non plus qu’il la convoque dans son bureau durant la journée, en général le soir.
Naturellement ce type de relation n’a pas échappé aux autres membres de l’agence. Certains n’ont pas manqué de remarquer que quand elle sortait du bureau du patron pour aller au toilettes, sa jupe était un peu de travers. Une fois l’hôtesse d’accueil a cru remarquer une goutte de sperme perler de la commissure des lèvres de la demoiselle. Plusieurs fois, au travers de l’embrasure de la porte avant qu’elle ne se referme, l’hôtesse d’accueil trop curieuse voyait le patron parfois avec la braguette ouverte, un teint rougeau ou encore une trace de rouge à lèvre sur le col.
Pendant longtemps, même si Gérard leur répondait sèchement « mêlez-vous de vos affaires », Ce sujet faisait débat à la machine à café. Même les ouvriers en parlaient avant de partir pour les chantiers où ils étaient affectés. C’est le jeune assistant comptable qui a levé le voile. Un jour où le patron s’était absenté, il avait réussi à placer une mini caméra dernière génération qui enregistrait et qui pouvait transmettre les images et les enregistrements stockés par une liaison sans fil sur un smartphone. Quand il entendait, dans le bureau de la secrétaire, qui était juste à côté du sien, « Mademoiselle, j’aimerais avoir certains éclaircissements sur un dossier avec vous », il savait que la jolie Jennifer allait rejoindre son amant. Il lançait l’enregistrement, le copiait quand il voyait sa voisine réintégrer son bureau et se le matait le soir.
Au moment du visionnage, il voyait son gros vicieux de patron profiter de cette jeune fille qui visiblement se laissait faire avec le sourire. Il le voyait la prendre violement sur son bureau et elle qui ne semblait pas le repousser au contraire. Il était évident pour lui qu’elle ne subissait aucun chantage et qu’elle y allait de son plein gré. Certains se demandaient si le patron la forçait et il n’en était rien. Ils voulaient protéger cette jeune que tous imaginaient abusée par le patron.
Un soir, alors que tout le monde s’en allait, Jennifer se préparait à rejoindre son amant. Comme chaque soir tous ceux qui la voyaient se préparer savaient qu’elle allait encore une fois avoir son petit coup dans le cornet. Ce soir allait être spécial car cette fois, elle lui réservait une surprise. Une fois tout le monde partie, Jennifer se leva et entra dans le bureau du patron qui l’attendait avec un large sourire. Gérard se leva pour venir à la rencontre de sa maitresse. Il la prit dans ses bras et l’embrassa fougueusement.
— Ah mon dieu ce que t’es belle. — Merci— Je n’en reviens pas qu’une belle fille comme toi accepte de coucher avec un bonhomme comme moi. Ça fait quand même un an que tu écartes aussi facilement les cuisses. Lui dit-il en lui plotant les fesses— C’est que j’aime ça et que ce n’est pas désagréable.— Il y a aussi le pognon.— J’aime aussi l’homme.— Dans ce cas tu ne trouveras pas d’inconvénient à me le prouver un énième fois ?— Non bien sûr.— Viens on va sur le canapé …. Voilà Maintenant suce moi.— A vos ordres monsieur le directeur. Lui répondit-elle avec un sourire coquin.
Comme chaque soir, Gérard a bien profité des formes de sa secrétaire. Il s’est fait sucer, il l’a léché au niveau des seins, de l’anus et de son petit minou principalement. Il a tour à tour alterné les pénétrations anales et vaginales, bref la totale. C’est quand ils étaient en train de se rhabiller qu’elle lui envoya un missile en pleine tête : elle était enceinte.
— Quoi ? Tu déconnes j’espère ?— Non. Ça n’a pas l’air de te faire plaisir ?— Et comment ! Je croyais que tu prenais la pilule. C’est ce que tu m’avais dit.— Oui mais lors de notre séjour professionnel à Paris où tu m’as demandé de t’accompagner tu m’as dit que tu m’aimais et …..— Je l’ai dit, oui, si on veut mais je ne le pensais qu’à moitié.— Ok Je vois …. Donc depuis tout ce temps, je ne suis qu’un plan cul alors ?— Il ne faut pas exagérer. Comprend moi j’ai passé l’âge de torcher un môme. J’en ai déjà trois ils sont grands maintenant et …. Tu ne saurais pas combien ça coute un avortement par hasard ?— Non mais tu plaisante j’espère ?— Non pourquoi ?— Parce que je le garde. Compte sur moi pour t’obliger à prendre tes responsabilités.— Prouve le déjà que c’est le mien.— Facile, tu as été mon seul amant durant les douze derniers mois et si j’emploi le passé c’est que tant que tu ne me diras pas que tu t’excuses et tant que tu refuseras d’assumer ce que tu m’as fait, pour toi le sexe c’est fini.— Et tu comptes m’y obliger comment ?— En allant voir la police pour porter plainte pour incitation d’avortement sur femme non consentante, viol répété sur ma personne, ….— Viol ? Mais t’as toujours dit Oui.— C’est vrai mais les flics ne sont pas obligé de le savoir et avec ce que j’ai dans le ventre …..— Espèce de sale petite trainée— Et si ça ne suffit pas, je leur parlerai de la manière dont tu as eu ta place.— Hein comment ça ? Demanda t’il inquiet si elle savait quelque chose sur le génie.— Tu ne te souviens pas ? Il y a cinq mois, ils avaient trouvé le corps du neveu du PDG, mort noyé. Et curieusement c’est lui qui devait être à ta place. Coïncidence ?— Tu ne vas pas imaginer que j’ai quoi que ce soit à voir avec ça quand même ?— Moi non mais c’est bizarre que personne n’ait fait le rapprochement. Je te laisse réfléchir. A demain.
Elle laissa alors Gérard seul, dans son bureau. Gérard pensa alors « Oh elle ne va pas me chier longtemps cette connasse. Si elle croit qu’elle va me faire chanter, elle rêve toute éveillée ». Il prit alors ses affaires, monta dans sa voiture et fila à toute vitesse pour rentrer chez lui. A peine était-il entré qu’il se précipita sur la lampe du génie qui avait un peu pris la poussière. Il la frotta et le génie apparu.
— Ah Maître, Bonjour. J’ai cru un instant que vous aviez oublié votre troisième vœux.— Non je ne l’ai pas oublié. D’ailleurs je viens pour ça.— Je vous écoute.— Je veux que tu me débarrasses de cette salope.— Qui ? — Ma secrétaire. Elle m’a menacé et je ne veux pas que ça aboutisse. Et puis je commence à me lasser d’elle alors, je ne veux pas savoir comment tu fais mais tu la fais disparaitre.— Très bien « Que cela soit dit et accompli ! ».— ….. Je pourrais avoir une remplaçante à la place ? — Désolé mais c’est trop tard. Ça ferait un quatrième vœu et c’est interdit.— Mince ….. Fais déjà ce que je demande et ce sera parfait.— Bien ! Dit-il avant de disparaître dans un nuage de fumée
Le lendemain, Jennifer n’est pas venue. Gérard s’est dit « Whāh ! Il n’a pas perdu de temps le génie ». Puis durant la journée, il reçut un SMS de Jennifer disant « STP G besoin de te parler. Viens chez moi pour parler et je te fou la paix après ». Le soir même, il s’est rendu chez elle et curieusement la porte était ouverte. Il poussa la porte et il trouva Jennifer avec un couteau dans le ventre, allongée dans une mare de sang. Il se précipita pour voir si elle était encore vivante et elle bougeait encore. Il envisagea alors de retirer le couteau mais il se ravisa ne voulant pas causer une hémorragie plus importante. C’est là qu’une voisine, une petite vieille, aperçu la scène et cria de terreur « Ahhh ! A l’assassin ! » Les cris répétés de la petite vieille rameutèrent tout l’étage et les voisins trop curieux sortirent de chez eux pour comprendre. L’un d’eux immobilisa Gérard au sol, en voyant la scène, le temps que la police arrive. La vieille a alors raconté qu’elle l’avait vu, penché sur elle le couteau à la main. Gérard ne pouvait se défendre. Comment le pouvait-il ? En racontant l’histoire du génie ? Impossible personne ne l’aurait cru. En plus, il avait déjà eu ses trois vœux et le génie ne ressortirait plus de sa lampe. Tout était contre lui et personne ne semblait le croire. Il fut condamné et envoyé en prison pour homicide.
Dès son arrivé dans sa cellule, ses codétenus se sont montrés un peu trop affectueux. Il faut dire qu’à leurs yeux, il n’était que de la viande fraiche. Avec son surplus de graisse, sa poitrine laissait apparaitre comme un début de poitrine féminine. C’est comme ça qu’il a dû se soumettre à satisfaire ses « nouveaux amis » et bien sûr sans se plaindre à qui que ce soit sous peine de se faire battre.
Une semaine plus tard. Gérard était à genou devant celui qui faisait office de chef de bande. Sa tête montait et descendait sur le gros membre veineux de ce colosse tatoué. Le long des joues de Gérard coulait quelques larmes. C’est alors qu’un surveillant arriva dans la cellule.
— Désolé les amoureux ! je vous empreinte votre femme.— Tu nous la ramène quand ? — Ça je n’en sais rien. Son avocat veut le voir. Ça dépend de lui.— Reviens vite chérie ! Faut que tu finisses ce que t’as commencé.
C’est tête basse que Gérard suivi le maton qui le conduisit dans une pièce dans laquelle se tenait un homme qui lui tournait le dos. C’est une fois seul que l’homme se retourna et Gérard reconnu de suite le génie de la lampe, rasé de près et en costume mais c’était bien lui.
— Génie C’est bien vous ? Bon sang ce que je suis content de vous voir. Je sais que j’ai déjà eu mes vœux mais s’il vous plait sortez-moi de là. Je vous en supplie. Je suis innocent et je ne supporterais pas une minute de plus de subir ce que je vis au quotidien. S’il vous plait je suis prêt à tout ….— Hola du calme. Ça ne sert à rien de pleurer. Vous voulez sortir ? Dans une certaine mesure je suis là pour ça.— C’est vrai ? Oh merci, merci infiniment. Je ….. mais pourquoi vous riez ?— Ah les humains ….. Toujours aussi naïfs et stupides.— Comment ça ?— Vous vous bercez de jolies histoires avec des génies gentils. Vous les faites trimer comme des esclaves sans vous poser de questions.— J’ai du mal à comprendre.— Tout d’abord je ne suis pas un Génie mais un Djinn, rien à voir avec le pantalon.— …..— Les Djinns ne sont pas ce que vous croyez. Personnellement, devoir exhausser les désirs du premier bouseux qui frotte ma lampe me fait vomir. Alors quand j’en ai la possibilité je m’amuse.— Vous voulez dire quoi là ?— Que les Djinns sont tous sauf sympas. Si nous réalisons vos souhaits c’est uniquement parce que nous n’avons pas le choix. Nous sommes des esclaves.— J’en suis navré pour vous mais je ne vois ….— Garde ta compassion pour les autres. Mon maitre précédent au moins a eu l’intelligence de se débarrasser de la lampe avant son troisième vœu. Tu la lui a acheté, tu t’en souviens ?— Je comprends mieux pourquoi il était si pressé de me vendre la lampe. Mais vous entendez quoi par vous amuser ?— Et bien que tous tes ennuis viennent de moi. Tu as voulu la place de l’autre pisseux ? Je l’ai noyé dans la seine. Tu as voulu une belle femme ? Tu l’as eu mais j’ai fait en sorte qu’elle devienne hystérique à la moindre contrariété ….— Et t’était aussi obliger de la mettre enceinte ?— Ah non, là j’y suis pour rien. T’as fait ça tout seul.— Et je suppose que c’est aussi toi qui l’a tué et fait en sorte que je me retrouve là ?— Tout juste, Auguste. C’est juste dommage pour elle, encore une victime collatérale. Quand je pense au temps qu’il m’a fallu pour lui laver le cerveau …. Enfin bon, passons.— ESPECE DE SALOPARD ! Cria t’il avant de tenter d’agresser le Génie.— Molo, du calme ! si tu m’agresse tu resteras là. C’est ce que tu veux ? Non ? Bon, alors coucouche panier.— Et du coup t’es là pour admirer ton œuvre c’est ça ? Tu veux me torturer encore plus ? Tu as voulu te foutre de moi et voir mon visage en me promettant de me libérer ? demanda-t-il fou de rage— Non si je suis là c’est pour la facture.— La quoi ?— Tu ne croyais pas que tous ces vœux étaient gratuits quand même ?— …..— Vois-tu pour gagner sa liberté, Le Djinn doit collecter les âmes des ceux dont il réalise le troisième vœu. Quand il en a collecté suffisamment, il peut se libérer.— Non, je ne veux pas.— Tu n’as pas le choix. Je te rassure tu ne sentiras rien. Dit-alors le génie en sortant sa lampe.— A l’aide ! Gardien ! Sortez-moi de là !— Inutile de crier personne ne nous entend. Tu devrais être content. Car en te prenant ton âme, je vais, en quelque sorte, te faire sortir. C’est ce que tu voulais non ?— Au secours ! Au sec …… Commença-t-il à dire avant que son corps se fasse aspirer dans la lampe.— Bon voilà une bonne chose de faite. Encore quelques âmes de cette qualité et je pourrais bientôt briser ma lampe. C’est clair que ça me change des clodos qui me demandent des litrons rouge ou une pute pas chère. Bon il ne me reste plus qu’à attendre le prochain pigeon. Aller, je vais me faire une sieste.
En voilà un qui n’a pas réfléchi. Il faut toujours se méfier de tout ce qui parait trop beau car rien n’est jamais gratuit. Parfois dans la vie, il est préférable de se contenter de ce qu’on a et de ne pas succombé au chant des sirènes.
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