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Le palace des plaisirs

Chapitre 1

Divers
Depuis maintenant quelques semaines, Léo prenait soin de scruter ses mails chaque jour. Le jeune homme attendait avec impatience un mail de la plus haute importance. Lui et son amie d’enfance, Leila, s’étaient inscrits à un concours. Un concours pour obtenir une place dans un impressionnant palace. Le stress monta en lui quand il lut "Palace Luxury" dans ses mails. Les battements de son coeur s’accentuèrent, l’anxiété monta en flèche. Il l’ouvrit et un grand sourire s’afficha sur son visage."Léo Dubois,Comme des dizaines d’autres jeunes, vous avez rempli le formulaire d’inscription au Palace Luxury. Nous avons aussi pris connaissances de vos réponses au questionnaire.Après un mois d’attente, nous avons le plaisir de vous annoncer que vous gagnez votre place au Palace Luxury. Vous rejoindrez les treize autres participants dans une semaine. Nous vous attendons à l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle le 4 juillet à 10h.Bien que vous resterez un mois dans notre établissement, nous vous demandons de ne prendre qu’une valise. Des affaires seront fournies par nos majordomes. "Léo sauta de joie, renversant son siège au passage. Il avait découvert ce jeu il y a quelques temps et s’y était inscrit. Aucune récompense à la clé juste la possibilité d’obtenir des vacances de rêve. Sa mère entra à ce moment. Elle rit en le voyant pleurer de joie, ne comprenant pas.— Maman, je suis pris ! Je vais au Palace !— Oh mon dieu ! Sa mère plaqua ses mains sur sa bouche. Elle était heureuse pour son fils mais l’idée de se séparer de lui pendant un mois lui fit un pincement au coeur. Elle était toujours mal à l’aise quand Léo ou ses frères partaient longtemps.— Leila est prise aussi ?Léo empoigna son téléphone. Il ouvrit le message de son amie et tout de suite, le bonheur se lut dans ses yeux bruns.— Oui ! On doit se rendre à l’aéroport Charles de Gaulle le 4 juillet.— C’est loin ! s’exclama sa mère. Vous n’aurez qu’à partir le weekend. Tu feras attention à avoir toutes tes affaires, tu prendras aussi des médicaments et...— Maman, c’est bon ! J’ai vingt-trois ans, je suis plus un enfant ! — Tu restes mon fils et même quand tu auras quarante ans, je continuerai de m’inquiéter pour toi !Sa mère ébouriffa ses boucles blondes, chose qu’il n’appréciait pas. Elle sourit en le voyant râler.

*Le grand jour arrivait. Léo ne le croyait toujours pas, il allait participer à une aventure totalement folle. Leila était arrivée chez lui juste avant leur départ pour la gare de Bruxelles. Heureusement, il partait en pleines vacances scolaires et heureusement, ses résultats étaient bons. Ses parents l’avaient averti, s’il ratait, il ne partait pas.Et s’il ne partait pas, Leila allait lui en vouloir. Tous deux se connaissaient depuis dix ans maintenant et il craignait toujours de la voir en colère. Elle était jolie : petite, longs cheveux noirs tombant dans le creux de son dos, ni trop maigre ni trop grosse, visage fin et souriant. Elle avait son charme auprès des garçons surtout avec ses deux yeux verts. Mais une fois énervée, elle devenait une vraie démone. Elle n’avait plus rien de timide lâchait plus de jurons qu’il en existait.Fort heureusement, elle s’énervait rarement et n’était pas rancunière. Léo eut de la chance sur ce point car dans son adolescence, il fut plus d’une fois très taquin. Le temps l’a assagit mais il garda sa bonne humeur et sa grande sociabilité.— Je n’ai toujours pas compris le principe de ce palace, lança le père du garçon.— C’est un peu comme de la télé-réalité. On va côtoyer plusieurs personnes durant un mois et on devra réaliser des épreuves pour rester dans l’aventure, expliqua Léo.
— Quelles épreuves ? — On ne sait pas encore, ajouta Leila. Tu as donné ton numéro, Léo ?— Où as-tu donné ton numéro ? s’emporta sa mère. Je t’ai pourtant appris l’importance de la vie privée ! — Ne vous en faites pas madame, le défendit Leila. — Le palace proposait à ceux qui le voulaient de parler avec les participants à l’avance.Sa mère souffla et hocha la tête non sans continuer de le fixer. Léo et Leila sourirent avant de remettre leur nez dans leur téléphone.Attentivement, le garçon se plonge dans le règlement des discussions du Palace. Pour préserver l’anonymat, interdiction de donner son nom ou une quelconque photo de soi. Il trouva cette règle normale en revanche, la suivante l’embêta. En effet, une équipe de modération surveillait chaque message envoyé."Salut, ça va ? Difficile de faire original quand on ne peut pas parler de soi."Ce message le fit sourire. Il comprenait cette personne, il n’avait même pas le droit de connaitre son prénom."Salut ! Oui et toi ? C’est sûr ! Je suis excité à l’idée de partir en voyage comme ça. Je me rends déjà sur Paris.""Tranquille. Pareil, ma petite soeur était triste, elle m’a fait pleurer... On se verra peut-être sans le savoir, qui sait. Je pense que je suis autorisé(e) à dire que je viens de Belgique.""Oh pareil ! ça nous fait un point commun, on sera peut-être les seul(e)s.""AH ! On va donc se croiser dans le train.""Je vais scruter chaque passager comme un idiot !"Léo avait déjà le sourire aux lèvres et Leila ne quitta pas un instant cette discussion. Il lâcha un juron en recevant le prochain message."Oh, je n’aurai qu’à observer chaque garçon."Le message était accompagné d’un smiley clin d’oeil. Léo espérait que cette erreur ne le pénalise pas. Il prit toutes les précautions possibles pour garder son identité secrète."J’ai peut-être juste fait une faute d’orthographe !"La discussion touchait à sa fin. Le Palace ne laissait que dix minutes à chaque personne pour discuter empêchant toute amitié avant le début de l’aventure.— Cette personne a l’air sympa, lança Leila. Il y en a une autre qui t’a envoyé un message, regarde.Léo ouvrit le second message. "Bonjour à tous mes compagnons ! Partager cette aventure avec vous m’émoustille. Je suis joie. J’espère que la bouffe sera bonne par contre. Afin de préserver la bonne entente entre nous tous, on va mettre les choses au clair. Le matin c’est ta gu*ule."Les deux amis se mirent à rire. Puis ils arrivèrent enfin. Après plusieurs embrassades avec les parents de Léo, ils se dirigèrent vers le TGV. Très vite, l’excitation laissa place à l’anxiété. Léo était nerveux et Leila le remarqua bien vite même si elle était occupée à lire.— Qu’est-ce que t’as ?— Je stresse. Ce palace, c’est super mais, c’est particulier.— Je vois ce que tu veux dire. On va passer un mois avec des inconnus et on va devoir s’affronter dans une série d’épreuves...— Stop ! la coupa Léo. S’il te plait.Leila se mit à rire avant de retourner à sa lecture. Léo écoutait sa musique alors que le temps passait. La route était longue, même en TGV. Au bout d’une bonne heure, il se leva et se dirigea vers le fond du wagon, vers les toilettes. Les trains n’étaient pas les endroits les plus propres mais ces quatre heures de trajet, il les sentait peser sur sa vessie. Il ne put s’empêcher d’observer les passagers, tentant de chercher cette personne. Soudain, alors qu’il était aux toilettes, la porte s’ouvrit brusquement. Fort heureusement, il venait de se rhabiller.— Oh pardon ! s’excusa une petite blonde. Léo bredouilla avant de plonger son regard dans son décolleté plongeant. Cette fille avait du charme et il n’était pas seulement question de sa forte poitrine qu’elle mettait généreusement en avant. — Je sais que je suis petite mais mes yeux ne sont pas si bas.Léo releva le regard aussitôt. Le rouge lui monta aux joues, il bredouilla quelques excuses ce qui fit rire cette fille. — Ce n’est rien.Léo n’arrivait pas à détacher son regard de ses deux grands yeux bleus. Ils étaient magnifiques.— Je peux entrer ?— Ah... Euh...oui bien sûr ! s’excusa Léo avant de sortir. La fille rit avant d’entrer. Une fois dehors, Léo n’avait fait que quelques pas quand il se rendit compte que son téléphone était resté dans la cabine. Il y accourut aussitôt de peur de se le faire voler.— Eh bien, tu aimes bien cet endroit, le taquina l’inconnue en sortant.— J’ai oublié mon téléphone.— Tiens, j’allais le donner aux contrôleurs. Tu vas aussi à Paris ? — En effet ! Comme bon nombre de passagers de ce train, j’imagine, sourit Léo.— Ton regard.Léo rougit aussitôt, gêné à nouveau. Visiblement, cette fille aimait se faire reluquer. Elle ne disait rien, cela l’amusait même. — Tu n’as jamais vu de poitrine ? se moqua-t-elle.La gêne empêcha Léo de parler normalement, il ne cessait de bredouiller ce qui fit rire sa nouvelle rencontre. — Il y a un truc que j’ai toujours voulu faire.Elle affichait un sourire intrigant, empli de malice. Léo ne comprenait pas. La fille observa attentivement, personne ne les regardait. Elle baissa légèrement son haut, dévoilant la dentelle de son soutien-gorge. — Arrête de faire cette tête, rit-elle. Tu es intéressé ? Léo n’en revenait pas. Une parfaite inconnue lui proposait du sexe dans un train. Il déglutit. Il devait avouer qu’elle lui plaisait, elle l’attirait même beaucoup.— Oui.— Viens.Elle l’attrapa par le bras et l’attira dans les toilettes. Elle referma la porte, s’agenouilla et déboutonna son pantalon. Léo écarquilla les yeux, toujours frappé de stupeur.— Ton fantasme c’est sucer un inconnu ?— Oui, sourit-elle. Dans un lieu public.Sans attendre, elle attrapa son membre dur. Léo frémit en sentant ses doigts délicats l’entourer. Cette blonde se mit à le caresser lentement, de haut en bas en serrant son sexe. Le garçon frémit. Tout en lui lançant un regard incroyablement sexy, elle le masturbait. Léo gémissait, il adorait ça. Il sursauta en sentant ses lèvres enrouler son sexe. Sa langue caressa son gland puis, elle laissa son sexe entrer petit à petit. Sa bouche enveloppa désormais plusieurs centimètres de son sexe qui glissait sur sa langue.Il n’arrivait pas à le croire. Se faire sucer dans le train par une inconnue, jamais il n’aurait cru cela possible. Cette blonde le pompait avec gourmandise lui provoquant des sensations indescriptibles. D’une main, elle malaxait amoureusement ses couilles et de l’autre, elle le masturbait avec délicatesse. Léo savourait ce plaisir intense, cette bouche chaude et humide le pompant. Les yeux fermés, il la laissait faire, il la laissait lui procurer mille sensation. La blonde exécutait de légers va-et-vient, sa langue s’enroulait autour de ce membre délicieux. Léo adorait sentir son sexe s’enfoncer au fond de sa bouche, glisser sur sa langue. Elle lâcha son pénis pour mieux l’engloutir. Léo frémit, il était à présent au fond de sa gorge. Ses va-et-vient devinrent plus rapides. Léo plaça ses mains sur sa tête et baisa sa bouche. La blonde étouffait en sentant ce membre coulisser en elle mais elle le laissa faire. Elle ne voulait qu’une chose : son sperme. Et elle l’aurait. Léo trembla, au bord de l’orgasme. Il sentit de picotements parcourir son corps puis, dans un râle de plaisir, il éjacula. La blonde avala bruyamment avant de se relever.— Merci ! lâcha-t-elle.— C’est à moi de te remercier ! C’était...Woaw !La blonde rit légèrement et lui claqua les fesses avant de resortir. — Heureuse de t’avoir rencontré !Léo retourna à sa place, sourire aux lèvres. Il venait de se faire sucer. Par une inconnue. Dans un train. Il regarda ses mains, elles étaient normales pas comme dans un rêve. Tout était réel. Il ne revivrait sans doute jamais un tel moment. Il se rassit aux côtés de Leila, son amie avait presque fini sa lecture.— Je me suis fait sucé, confia-t-il.D’un bond, elle releva la tête, les yeux grands ouverts. — Quoi ?! s’écria-t-elle attirant quelques regards.— J’ai pas compris non plus. J’avais oublié mon tel, je suis retourné aux toilettes puis on a discuté. Elle a remarqué que je fixais ses seins alors elle m’a sucé.— Tu te fous de ma gueule ? ricana son amie.— Non !Léo fut pris d’un rire nerveux, toujours choqué de cette expérience incroyable. — T’as pris ton pied dans le train, eh bah...Tous deux discutèrent le reste du trajet et bientôt, ils arrivèrent.
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