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La panne

Chapitre unique

Inceste
La panne
Marie et Patrick sont un couple de quarantenaires sans histoires, ils sont heureux avec leurs deux enfants, Nicolas, dix neuf ans et Alice, dix huit ans.
Ils vivent dans une maison ancienne mais confortable, le seul souci c’est le chauffage central qui est déjà ancien et justement, il vient de rendre l’âme ce samedi.
Ils ont beau appeler le dépanneur, ça ne répond pas. Le problème c’est que la température extérieure baisse rapidement, il commence à geler et la température intérieure baisse aussi rapidement.
Ils enfilent tous des pulls pour le repas du soir qui est vite expédié. Marie se lève et dit :
— Bon, pour mon cas, je vais me mettre au chaud dans le lit.— Votre mère a raison, et je vais faire pareil ; dit Patrick.— Bonne nuit tous les deux ; répondent Alice et Nicolas.
Les jeunes tentent de rester un peu devant la télé, mais finalement abandonnent, la qualité des programmes ne méritant pas de supporter le froid.
— Je vais me coucher, salut frangin.— Moi aussi, bonne nuit Alice.
Tout le monde se met sous les couvertures et essaie de se réchauffer, Marie et Patrick dans leur lit de cent soixante, mais Alice et Nicolas n’ont chacun qu’un lit de quatre vingt dix.
Les parents dont le lit est muni d’une bonne couette, commencent à avoir chaud, surtout qu’ils ont commencé à se faire un câlin.
Alice est frileuse, elle ne se réchauffe pas dans son lit qui n’est pas très garni de couvertures, au bout d’un quart d’heure, elle se décide, elle se lève et va vers la chambre des parents.Elle se rappelle qu’elle venait souvent quand elle était petite et elle se pelotonnait entre eux deux.

— J’ai trop froid, je peux avoir une petite place ?— Tu ne peux pas rester dans ton lit ? Tu es trop grande maintenant.— Mon lit manque de couvertures, on gèle.— Bon, enfin, installe toi.
Les parents ne l’accueillent pas avec enthousiasme, vu leur activité, mais finalement ils lui font une place entre eux. Elle enjambe sa mère pour se mettre entre eux deux, ne leur laissant rien ignorer de son entrecuisse garnie d’une fine culotte.
Elle se couche en chien de fusil contre son papa, son dos contre son torse, il l’enveloppe de ses deux bras.
— Mmmm ! Tu as les mains chaudes, papa.— Papa va te réchauffer.
Ils se serrent et ne bougent plus.
— ça va comme ça ? Tu as plus chaud ?— Oui, mon papa, je suis bien avec toi.— Tu as vu, maman, comme papa me tient bien au chaud.— Oui, tu as plus de chance que moi, je n’ai plus personne pour me tenir chaud.
Marie soupire tandis que sa fille rit doucement.
— Tu n’as qu’à aller chercher Nicolas. Dit Patrick sur le mode de la plaisanterie.— Oui, je vais y réfléchir.
Alice se réchauffe tout doucement dans les bras de son papa en posant ses mains sur celles de son géniteur.
— Oh puis oui, je vais le chercher. Dit Marie en se levant.
Marie va vite vers la chambre de Nicolas. Ils arrivent tous les deux, Alice et son papa se reculent pour leur faire de le place.
— On aura moins froid tous les quatre ensemble.— Oui maman, c’est vrai, je n’avais pas chaud tout seul dans mon lit.— Mets toi contre moi, mon grand.
Elle l’enlace après avoir remonté la couette et Nicolas se colle contre elle.Ils sont bien l’un contre l’autre et ce qui trouble Nicolas, c’est la sensation des seins de sa maman contre son torse.
Au bout d’un moment, Alice sent les mains de son papa commencer à se promener lentement sur son corps, ses épaules, son torse, elle le laisse faire, c’est si agréable, elle appuie sur ses mains pour l’encourager.
De son côté, Marie caresse le dos de son fils, il est bien bâti et elle sent sa musculature, Nicolas lui caresse aussi le dos, par dessus la nuisette, il se dit que c’est un instant unique pour lui.
Son papa continue de la caresser, à un moment sa main se glisse sous la nuisette qui a remonté, elle remonte sur son torse et elle vient empaumer un sein. Alice est surprise mais ne dit rien, elle sent ses tétons durcir, surtout que son papa lui fait des petits bisous dans son cou, c’est délicieux.
Marie regarde son fils en lui souriant.
— Tu es bien, mon fils ?— Oh oui, maman, je me réchauffe. Et toi, maman chérie ?— Oui, je suis bien, tu me donnes chaud.
Elle lui fait des bisous sur les joues et il lui rend. Ils se serrent bien l’un contre l’autre, ventre contre ventre et Nicolas la caresse jusqu’à la limite de sa culotte et elle le laisse faire.
Alice se sent bien contre son papa, li lui caresse les seins doucement et il fait rouler les tétons qui se dressent entre ses doigts. Puis elle sent quelque chose qui prend du volume contre ses fesses et qui devient dur.
— Tu es en forme, dis donc, mon papa chéri.— C’est parce que je t’aime, ma chérie.— Je t’aime aussi, mon papa.
A force de se faire tous les deux des bisous, fatalement les lèvres de Marie et de Nicolas se rencontrent, et fatalement elles ne se quittent plus, elles s’entrouvrent et laissent passer les langues qui commencent à jouer ensemble. Nicolas est aux anges de pouvoir enfin embrasser sa maman et il semble bien qu’elle l’apprécie aussi. Ses mains descendent sur les fesses de sa maman qui ne les repousse pas.
Alice glisse sa main derrière elle, elle prend la mesure de l’objet en le parcourant de ses doigts, enfin elle le saisit à travers le pyjama, son papa soupire fort, sa main descend et vient visiter son entrejambe. Alice ouvre un peu ses cuisses pour lui donner un meilleur accès.
Nicolas pétrit les fesses rondes de sa maman, ses mains se glissent sous la culotte, s’approchent doucement du sillon qui les sépare. Les doigts frôlent l’oeillet plissé qui frémit sous la caresse puis continuent leur progression vers le but ultime, le lieu ou Nicolas a vu le jour.
Alice essaie de baisser le pyjama de son papa, il l’aide en se soulevant et le vêtement se retrouve au fond du lit, puis il en va de même avec la culotte d’Alice. Elle le branle doucement en frottant le gland contre ses fesses, il gémit de plaisir. Il la fait gémir aussi avec ses doigts fureteurs.
Soudain, Marie cesse son baiser et essaie de repousser son fils.
— Mon dieu, qu’est ce qu’on est en train de faire ! Patrick, il faut arrêter ça !— Laisse toi aller, chérie, je sais tu en as envie.— ça ne te dérange pas que je te trompe avec ton fils ?— Tu ne me trompe pas puisque je suis d’accord. Et je crois que ton fils n’attend que ça, n’est ce pas, Nicolas ?— Oh oui, papa, il y a longtemps que je désire maman, je l’aime.— Et moi j’ai envie de mon papa que j’aime aussi. Fait Alice.
Nicolas se resserre contre sa maman, ils s’embrassent de nouveau tandis qu’il glisse ses doigts dans la fente pleine de cyprine, elle gémit et ouvre ses cuisses sous la caresse. Il glisse un doigt dans son vagin et la branle un peu avant de déplacer ses doigts pour lui titiller et pincer le clitoris. Elle fait des bonds en poussant des cris.
Alice se retourne et colle son ventre sur celui de son papa, elle le prend par le cou et elle l’embrasse, ils échangent leurs salives et leurs langues, elle branle son papa contre son ventre, il lui caresse les fesses d’une main et de l’autre il lui explore la fente.
Nicolas enlève son boxer et prend la main de sa maman, il la pose sur sa bite, elle hésite un peu, mais finalement elle la serre et commence à l’astiquer, Nicolas remonte sa nuisette au dessus des seins pour les sucer, les bouts se dressent et durcissent dans la bouche de son fils.
— Oh ! Mon fils, elle est grosse ta bite, elle est plus grosse que celle de ton papa ! Viens sur moi, mon chéri.
Elle fait glisser sa culotte à ses pieds et elle l’accueille entre ses cuisses, elle guide la queue de son fils vers sa fente inondée.
— Vas y, mon chéri, mais vas doucement, elle est grosse ta bite.
Enfin Nicolas accomplit son rêve, pénétrer le vagin qui l’a vu sortir. Il pousse, la bite fait son chemin dans la gaine brûlante. Sa maman gémit de bonheur, elle aussi désirait son fils depuis longtemps et la voilà comblée.
C’est au tour de Patrick de se placer entre les cuisses de Alice, elle ouvre sa chatte de ses doigts pour accueillir son papa, il promène son gland le long de la fente et il le frotte sur son clitoris, Alice tressaillit en gémissant, puis le gland commence à pénétrer doucement le vagin de sa fille, Alice se sent remplir par le membre paternel qui arrive en butée sur l’utérus.
— Oh, oui, papa, c’est bon, ta bite dans moi, je t’aime.
Nicolas commence à faire des petits va et vient dans le vagin maternel, et par instant il donne un coup plus fort, les pubis se cognent, Marie pousse des cris à chaque fois, elle jouit, elle le cramponne par les fesses pour qu’il s’enfonce encore plus loin.
Patrick reste un moment sans bouger, savourant la première fois qu’il a pu mettre sa bite dans sa petite fille chérie puis il commence à faire des aller retours lentement de toute la longueur de sa queue. Alice le serre contre elle en ronronnant de plaisir.
Puis les deux mâles commencent à faire coulisser leurs sexes dans les gaines lubrifiées de cyprine plus fort et plus vite. Marie et Alice gémissent de plus en plus fort.
Patrick et Nicolas les besognent plus durement, Marie et Alice poussent toutes les deux des cris de jouissance, le lit qui n’a jamais subi cet assaut, grince et craque. La couette qui les couvre commence à glisser mais pour le moment ils ne ressentent pas le froid.
C’est Nicolas qui éjacule le premier, tapissant en nombreuses giclées le vagin maternel de son sperme abondant, déclenchant une nouvelle jouissance de sa maman qui tremble de plaisir.
Patrick essaie de durer longtemps, il voudrait continuer toujours de baiser sa fille adorée en ralentissant sa cadence, mais Alice lui masse la bite de son vagin serré et il ne peut plus durer longtemps, il finit par se lâcher, injectant son foutre paternel au fond du vagin juvénile.
Autant Nicolas que Patrick essaient de rester le plus longtemps possible enfoncés dans leurs amantes mais le froid les contraint à bouger.Ils replacent la couette sur eux avant de se serrer ensemble pour enfin s’endormir.
Ils ont enfin tous les quatre réalisé leurs fantasmes et songent que la panne a été un bon motif, mais ils savent que la vie de la famille ne sera plus jamais comme avant.
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