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La panne des sens

Chapitre 1

Lesbienne
Manaus – Au cœur de la jungle brésilienne.Nous sommes au début du printemps austral dans la troisième ville du Brésil.En cette fin de journée, John et Joyce sont assis dans le salon de leur villa située dans la banlieue chic de la grande ville amazonienne. L’ambiance est plutôt morose et pour cause, le couple traverse une crise inattendue.John est un citoyen américain de 45 ans, originaire de San Francisco. Il est ingénieur en agronomie, diplômé de l’université de Stanford, et il travaille pour une grosse entreprise agricole américaine active, entre autres, au Brésil. Il dirige la branche « Développements » et c’est précisément l’évolution actuelle de son département qui est la source du problème.
En effet, depuis l’avènement de Donald Trump aux Etats-Unis, la pression s’est faite très forte sur ses épaules pour étendre encore plus les plantations au détriment de la nature sauvage, ce qui va à l’encontre de ses principes. Et, maintenant qu’un nouveau président d’extrême droite vient d’être élu au Brésil, il craint de n’avoir bientôt plus aucune excuse pour pouvoir freiner cette extension anarchique.Tous ces soucis ont eu un effet pervers sur son moral au point de perturber son état physique. C’est ainsi que, depuis plusieurs semaines, John est en panne totale d’érection. C’est même toute sa libido qui est en panne au grand dam de Joyce.Joyce est l’épouse de John. Ils se sont connus il y a dix ans lorsque John est venu donner des conférences à Berckeley où elle terminait ses études de droit. Depuis, ils se sont mariés et ne se sont plus jamais quittés. Joyce est aussi de nationalité américaine mais d’origine chinoise comme il y en a beaucoup à Frisco. Elle tient de cette filiation son physique assez typé : elle est plutôt petite et mince là où son mari est grand et costaud.Elle a dix ans de moins que lui et a abandonné sa carrière débutante d’avocate lorsque, il y a cinq ans, John a eu l’occasion de faire une sérieuse promotion en acceptant ce poste de direction au Brésil. Elle s’est donc reconvertie en secrétaire particulière de son homme et passe sa vie à ses côtés.Absorbés par leurs activités, ils n’ont pas vu le temps passer et, tout à coup, Joyce a entendu le tic-tac de son horloge biologique retentir. Elle a 35 ans et l’envie de fonder une famille la taraude de plus en plus. Et paf, c’est la que son étalon tombe en panne !
Ils en ont discuté, bien sûr, et John n’est pas contre cette idée, mais encore faut-il pour cela qu’il arrive à honorer sa femme. Or il en est actuellement incapable et n’en ressent même pas l’envie.
— Chéri, je pense que, pour la survie de notre couple, il est grand temps de consulter afin de trouver une solution à ton problème. J’ai fait quelques recherches sur Internet et j’ai découvert qu’il y a, ici à Manaus, un urologue/sexologue américain qui consulte à l’hôpital Santa Júlia. Veux-tu que je prenne un rendez-vous ?— Tu as raison, Joyce. Je t’aime trop pour prendre le moindre risque et je m’en voudrais pour le restant de mes jours si tu m’abandonnais. Prends donc ce rendez-vous le plus rapidement possible et allons-y ensemble.
Aussitôt dit, aussi tôt fait et, trois jours plus tard, ils se trouvent face au médecin spécialiste. Ils exposent sans fausse pudeur le pourquoi de leur visite et le médecin paraît étonné.
— Je suis fort surpris de ce que vous me racontez. Quand je regarde votre femme, ma première pensée est qu’il faut être un saint pour résister à son charme. Que vous ayez une panne d’érection passagère, ça peut arriver. Mais que vous n’en ayez même pas envie, ça, ça prouve que le mal est profond.
Joyce, peu habituée à un langage aussi direct, pique un fard, ce qui la rend encore plus attirante !
— Déshabillez-vous et mettez-vous sur la table d’examen dans la pièce à côté, que je vous ausculte. Vous pouvez nous accompagner, Madame, vous avez déjà vu votre mari tout nu !

Le médecin entame alors une visite complète de John sans lui découvrir le moindre problème physique.
— Je vais vous faire des analyses de sang et d’urine pour compléter le processus mais, à première vue, vous avez l’air en bonne santé. Vos problèmes sont sûrement dus au stress. Il faut donc vous détendre mais il faut le faire d’une manière naturelle, sans médicament. Car, si je vous prescris un tranquillisant, votre panne ne fera que s’aggraver. Vous n’avez pas un sauna, un jacuzzi ou un truc dans le genre chez vous ?— Oui, nous avons un jacuzzi sur la terrasse.— Eh bien, profitez-en. Les beaux jours sont là, prenez du bon temps. Mais attention, pas n’importe comment. Il faut favoriser un climat érotique. Vous devez vous baigner en couple, tous les deux nus et Madame doit jouer la geisha pour rallumer votre flamme. Elle a d’ailleurs le physique idéal pour ce rôle et un strip-tease préalable sera le bienvenu.
A cette pensée, le médecin se dit qu’il viendrait bien aussi dans le jacuzzi car Joyce, même sagement vêtue comme maintenant, est rudement bandante. Malheureusement, il n’est pas invité !
— Et n’oubliez pas de revenir me voir dans une dizaine de jour pour les résultats des analyses. Vous me direz alors où vous en êtes.
Joyce et John rentrent donc chez eux avec ce diagnostic qui n’en est pas vraiment un, mais ils décident quand même de suivre les conseils. Ils prendront un peu de vacances, ce qui ne leur arrive pas souvent.Joyce profite du premier jour de congé pour descendre en ville faire du shopping pendant que son mari tente de rattraper son manque de sommeil en faisant une maxi sieste. Elle a décidé de se procurer quelques tenues sexy pour se conformer aux directives du sexologue.Après avoir visité toutes les boutiques qu’elle fréquente d’habitude sans trouver ce qu’elle voulait, elle se fait violence et pénètre dans le quartier chaud de la ville. Aussitôt, elle remarque les regards en coin qui se posent sur elle. Ils se demandent ce que cette « bourgeoise » vient faire là. Elle pénètre donc dans le premier sex-shop qu’elle rencontre et ferme la porte derrière elle.Immédiatement, une très jeune femme métisse, à peine couverte d’un tanga et d’un soutien-gorge pigeonnant offrant ses seins comme sur un plateau, s’approche et lui demande :
— Bonjour beauté, je m’appelle Lola. Qu’est-ce que je peux faire pour toi ?
Sans entrer dans les détails, Joyce lui dit qu’elle cherche des tenues pour séduire un homme.
— Tu veux juste le séduire ou lui faire lever la queue ?
Décontenancée, Joyce qui n’a jamais fréquenté ce genre d’endroit, ne sait quoi répondre !
— Allons, ne sois pas timide, dis-moi tout. Jolie comme tu es, tu pourrais faire bander un âne en t’habillant avec un sac de pomme de terre ! Donc, si tu as besoin de tenues sexy, c’est que ton mec a un solide souci. Je vais te montrer de quoi le faire grimper aux rideaux à toute allure.
Et elle entraîne Joyce dans l’arrière boutique, là ou se trouvent des rayonnages entièrement garnis de sex-toys et de tenues plus coquines les unes que les autres. Sans aucun complexe, la jeune métisse retire son soutien-gorge et son tanga et enfile différentes tenues pour les présenter à Joyce qui commence à transpirer dans cette ambiance chargée d’érotisme.La vendeuse s’en aperçoit et en rajoute une couche :
— Tu ne veux pas en essayer l’une ou l’autre pour t’aider à choisir ?— Euh ... Oui, bien sûr, ... c’est pour ça que je suis venue.— Alors, ma belle, fous-toi à poil si tu veux vraiment voir l’effet que ça donne.
Surprise par une invitation aussi directe, Joyce, qui n’a rien d’une exhibitionniste, hésite un peu. Puis, elle se dit que, si elle veut vraiment arriver à ses fins avec John, il faut y mettre un peu du sien. Après tout, c’est une autre femme en face d’elle, elle ne risque rien à se déshabiller devant elle.Elle enlève donc ses vêtements un à un, ce qui prend peu de temps vu qu’elle est légèrement vêtue à cause du climat local.Lorsqu’elle n’a plus rien sur elle, la vendeuse lui présente plusieurs tenues qu’elle essaie successivement. Guidée par la fille qui lui pose des questions bien précises, elle finit par jeter son dévolu sur plusieurs ensembles, robes, chaussures, lingerie, tout ce qu’il faut pour la rendre irrésistible.C’est seulement quand elle retire le dernier vêtement essayé qu’elle s’aperçoit, sans y porter beaucoup d’attention, que, pendant toute la séance, la jolie métisse est restée dans le plus simple appareil, c’est-à-dire intégralement nue.Au moment où Joyce lui tourne le dos pour se rhabiller, elle sent les deux mains de la fille se poser sur ses seins.
— Je vois que tu es cruellement en manque et je ne peux pas te laisser partir comme ça. C’est un péché de ne pas faire jouir une jolie fille comme toi. Laisses-toi aller, je vais te soulager du poids qui t’étreint.
Tout en parlant, elle a descendu une main vers le pubis soyeux de Joyce et lui titille le clitoris.Tétanisée, l’américaine ne bouge pas d’un millimètre et Lola, interprétant cette immobilité comme un consentement, introduit lentement son majeur dans la fente de Joyce.Celle-ci n’ayant plus connu le moindre contact érotique depuis des semaines, hormis quelques séances de masturbation libératoires, ressent cette pénétration comme une délivrance. Elle s’amollit dans les bras de Lola, bascule la tête vers l’arrière et écarte les jambes pour faciliter les gestes de la métisse.Celle-ci a compris, dès lors, qu’elle a partie gagnée et se positionne pour bien en profiter. Elle pousse son avantage en introduisant un deuxième doigt dans le vagin de Joyce qui coule comme une rivière et commence à la branler sans vergogne. Dans le même geste, elle se frotte de haut en bas contre le dos de Joyce et lui dépose des baisers dans le cou. Elle lui caresse les seins de sa main libre et la fait gémir de plaisir. Retirant furtivement ses doigts de la chatte de Joyce, elle les porte à sa bouche et se délecte du jus de l’américaine puis reprend sa caresse.
Son propre clitoris, dilaté et trempé d’excitation, laisse des coulées de cyprine sur les fesses de sa conquête. Elle s’apprête à prendre un double dong sur un rayonnage pour s’offrir une bonne partie de baise avec cette jolie chinoise mais Joyce, affamée de caresses jamais reçues, ne résiste pas longtemps au traitement prodigué par la métisse et explose dans un orgasme trop longtemps attendu.Lola, un peu déçue quand même de n’avoir pas pu aller plus loin, retrouve rapidement ses esprits et son sens commercial :
— Tu vois comme ces tenues font de l’effet ! Même moi je n’ai pas pu résister. Alors, imagines un homme, ... Il va ramper derrière toi en bavant pour pouvoir t’embrocher ! Et si je peux te donner un petit conseil supplémentaire, tu devrais t’épiler la chatte, ça les fait bander encore plus. Si tu veux, je peux te renseigner un salon d’esthétique haut de gamme où ils te feront ça très bien (et où elle a une commission, mais ça, elle ne le dit pas !). L’idéal, c’est une épilation définitive au laser mais c’est plus cher et ça dure plusieurs semaines. Or, je pense que ton cas est ... disons ... urgent ! Alors, dans un premier temps, contentes-toi d’un rasage, c’est rapide et efficace !
Joyce, émergeant de son vertige, se demande ce qui lui arrive. Déjà, oser fréquenter ce quartier et entrer dans un sex-shop lui paraît inimaginable. Mais se laisser aller dans les bras de cette fille qu’elle ne connaissait pas il y a une heure, et ce jusqu’à l’orgasme, dépasse largement tout ce dont elle se croyait capable. Et pourtant, elle l’a fait et, surtout, elle ne regrette rien. Elle ramasse ses vêtements et se rhabille prestement, craignant qu’un éventuel client ne rentre et la trouve à poil, autant dire prête à l’emploi !Entre temps, Lola qui a ré enfilé son tanga et son soutif, est retournée dans la boutique. Elle emballe les achats de Joyce et y joint une petite carte avec les coordonnées du salon d’esthétique (il n’y a pas de petit profit !). Elle met le tout dans un grand sac anonyme et le tends à Joyce.
— Tu reviens quand tu veux ma belle, ce sera toujours avec grand plaisir. J’ai adoré le goût de ta chatte et j’en reprendrai volontiers ! Mais, au fait, tu as coulé de plaisir dans mes mains et je ne connais même pas ton nom.— Euh, ... je m’appelle Joyce mais ne dis à personne que je suis venue ici. — Ne t’inquiète pas, j’ai l’habitude ! A entendre les gens, personne ne fréquente les sex-shops et pourtant les affaires sont florissantes ... !
Joyce sort du magasin et s’empresse de quitter le quartier. Elle récupère sa voiture et rentre chez elle au moment où son mari se réveille. Elle lui donne un petit bisou et file cacher ses achats dans sa penderie.
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