Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 58 J'aime
  • 2 Commentaires

La panne des sens

Chapitre 3

Erotique
Chapitre 3La secrétaire médicale les introduit dans le cabinet du médecin puis s’esquive discrètement.
— Bonjour Madame, bonjour Monsieur. Installez-vous, je suis à vous dans un instant.
Manipulant son ordinateur, il recherche les résultats des analyses et les compulse. Apparemment rien de spécial.
— Bien, je peux déjà vous dire que, comme je m’y attendais, vos analyses sont bonnes. Aucune carence, aucune infection, tout est parfaitement normal. Et vous, de votre côté, comment se sont passées les séances de relaxation ? Vous ont-elles aidés à surmonter vos ennuis ?
Et le couple de raconter, sans rien cacher, toutes leur tentatives et d’avouer l’échec complet de celles-ci.
— Je vois. Le problème va être compliqué à surmonter. Peut-être que, tout en étant certainement à même d’exciter n’importe quel homme (à commencer par lui-même se dit-il !), vos manœuvres de séduction n’ont pas réussi chez Monsieur car il vous connaît trop bien. Depuis combien de temps êtes-vous ensemble ?— Environ dix ans.— Donc, après autant de temps, encore surprendre votre mari peut s’avérer difficile.— Et pourtant, Docteur, je vous assure que des surprises, j’en ai eues beaucoup ! Joyce s’est surpassée pour se rendre sexy, jusqu’à m’offrir des spectacles dignes de films porno. Mais sans résultat.— Parce que vous connaissez son corps par cœur ! Je vous propose de vous rendre chez une kiné avec qui je travaille épisodiquement lorsque je rencontre des cas difficiles comme le vôtre. Elle pratique des massages relaxants allant du simple massage musculaire jusqu’au body massage. Généralement, aucun homme ne lui résiste ! Mais attention : pas question d’aller plus loin avec elle, c’est une véritable kiné. D’ailleurs, je vais vous faire un mot à lui remettre dans lequel j’expliquerai votre problème. Elle exigera probablement que Madame soit présente pendant qu’elle s’occupe de vous afin d’éviter tout malentendu.
A ces mots, Joyce ne peut s’empêcher de tiquer. L’idée de partager son mari avec une autre femme ne lui plaît guère, même si celle-ci fait partie du corps médical. D’un autre côté, elle doit reconnaître qu’elle a utilisé toutes ses cartouches et ne voit pas ce qu’elle pourrait faire de plus.Elle se sent obligée de faire contre mauvaise fortune bon cœur si elle veut en finir avec l’apathie sexuelle de son homme et, donc, elle accepte, avec cependant une certaine réticence, la proposition du médecin.
— Si vous pensez que cela peut marcher, pourquoi pas ? Tentons au moins l’expérience.
Le sexologue prend une feuille de papier à son entête et rédige le mot d’introduction pour la kiné. Il le place dans une enveloppe qu’il scelle machinalement et le tend à Joyce.
— Voila. Je vous ai mis son nom, son adresse et son numéro de téléphone sur l’enveloppe, il ne vous reste plus qu’à prendre rendez-vous. Et ne vous étonnez pas d’arriver dans un call center. Comme elle travaille seule, elle ne répond pas au téléphone et passe par le secrétariat de l’hôpital. Elle fait d’ailleurs partie du personnel médical et pratique, en quelque sorte, du home working. Tout son matériel thérapeutique appartient à l’établissement, il n’y a donc pas d’honoraires à lui régler, cela sera facturé par l’hôpital en même temps que les miens. Et n’oubliez surtout pas de lui remettre cette enveloppe !

John et Joyce quittent l’hôpital et rentrent chez eux. Immédiatement, elle empoigne le téléphone et appelle le numéro du call center. Et, effectivement, elle tombe sur une secrétaire à qui elle formule sa demande.
— Si ça vous arrange, je vois qu’elle a encore une place libre demain en fin d’après-midi. Vous serez son dernier patient de la journée … Ça vous va ?— D’accord, on prend. On est quand même en congé, donc ça nous arrange n’importe quand!
Et le lendemain vers 18h, ils se présentent à l’adresse indiquée. Au premier coup de sonnette, l’ouvre porte se déclenche et ils pénètrent dans l’immeuble. Ils suivent le parcourt fléché jusqu’à la salle d’attente qui est vide et s’installent sur des chaises.Après un petit quart d’heure d’attente, une porte s’ouvre. Un quidam sort du cabinet et referme la porte derrière lui. Il est à peine parti, qu’une voix féminine retentit par un haut-parleur :
— Au patient suivant !
Vu qu’ils sont seuls, il n’y a pas d’hésitation possible. Ils entrent donc dans la pièce qui s’avère être un classique cabinet de kiné, bien éclairé, avec tous les appareils de revalidation habituels, une large table de massage et un petit bureau au fond de la pièce.Deux fauteuils font face au bureau et, derrière celui-ci, la kiné pianote sur un clavier d’ordinateur. La thérapeute est une sculpturale fille noire d’une trentaine d’années, aux longs cheveux lisses rassemblés en un chignon strict. Elle est vêtue d’une veste et d’un pantalon blancs et chaussée d’une paire de baskets. Son prénom est brodé sur la poche de sa veste : Belinda. Hormis sa silhouette, rien de particulièrement affriolant. D’un geste elle leur indique les fauteuils et leur adresse la parole :
— Bonjour. Je ne pense pas vous connaître donc qu’est-ce que je peux faire pour vous ?
Plutôt que de se lancer dans de longues explications un peu embarrassantes, Joyce lui tend la lettre du sexologue et s’installe dans un des sièges, aussitôt imitée par John.
— Tout est là dedans.
La fille prend l’enveloppe et, voyant de qui elle vient, elle ne peut s’empêcher de sourire. Elle sait déjà à l’avance ce qu’elle va lire mais fait quand même l’effort de la parcourir entièrement. Et, de fait, la demande du médecin est explicite et sans détour : il faut faire bander le bel homme qui est en face d’elle. Elle le toise du regard et se dit que, cette fois-ci, le toubib lui a envoyé un beau mec. Au moins, la mission sera agréable.
— Je vois. Veuillez patienter un moment. Pendant ce temps, monsieur peut se déshabiller et prendre place sur la table de massage. Vous pouvez garder le slip et vous mettre sur le ventre. Et vous, madame, restez dans votre fauteuil. Vous pouvez regarder mais pas interférer dans le traitement. Si j’ai besoin de vous, je vous le dirai.
Puis, se dirigeant vers une porte sur laquelle est posé un panneau « Privé » elle ajoute :
— Je reviens dans un instant.
Elle est à peine sortie qu’une douce musique envahit la pièce et que des diffuseurs laissent échapper des vapeurs parfumées, chargées en phéromones. Clairement, ces compléments ont étés enclenchés depuis l’appartement privé et sont sans doute réservés aux « traitements spéciaux ».Au bout de cinq minutes, la kiné revient. Et là, tout a changé. Elle ne porte plus qu’une blouse blanche simplement croisée à la taille et nouée par un cordon. Le vêtement lui descend à peine à mi-cuisses et met en valeur ses longues jambes juchées sur des escarpins à hauts talons, sans lanières. Elle a défait son chignon et ses cheveux de jais pendent librement sur ses épaules, descendant jusqu’au milieu de son dos. Ainsi attifée, elle ressemble plus à Vénus qu’à une paramédicale et Joyce commence à comprendre pourquoi le médecin les a envoyés ici. Alors que rien ne s’est encore passé, l’américaine se sent déjà elle-même émoustillée à la vue de cette superbe apparition.Telle une panthère noire, d’un pas félin elle s’approche de la table de massage où John l’attend, couché sur le ventre et seulement vêtu de son boxer.
Un récipient en bois est posé sur un guéridon, à côté de la table. Il contient une huile de massage chauffante, comestible et parfumée à la vanille et à la cannelle. Belinda y plonge les deux mains et les referme en forme de coupe. Elle déverse le liquide sur le dos de John et entame sa séance de massage.Elle commence par les épaules et le cou puis descend le long du dos musclé jusqu’au creux des reins. Elle répète lentement ces allers et retours plusieurs fois en palpant bien chaque centimètre carré de peau. La seule réaction de John jusque là, c’est une timide chair de poule sur ses bras.Elle retourne vers le récipient en bois et verse de l’huile sur l’arrière des jambes de son patient. Cette fois, elle commence par le bas, lui massant d’abord les pieds, puis les mollets, le creux des genoux et les cuisses. Comme pour le dos, elle répète ces mouvements plusieurs fois avec douceur.Arrivée à ce stade et en l’absence de toute réaction, elle démarre la première phase plus intime du traitement. Elle glisse ses mains sous le boxer de John et le pousse vers le bas. Comprenant l’intention, il soulève légèrement les reins pour en permettre le passage. Belinda descend le sous vêtement jusqu’à ses chevilles et le retire complètement puis le jette au sol. Elle empoigne les fesses puissantes et les masse vigoureusement. Elle les écarte et laisse courir ses mains dans la raie jusqu’à la base de son pénis sans le toucher. Elle reprend inlassablement ce massage sans obtenir de réaction. Il est temps de passer au stade suivant.
— Tournez-vous.
John se met sur le dos et révèle son intimité aux yeux des deux femmes. Joyce remarque avec tristesse que, malgré les efforts de la masseuse, le membre de son homme est toujours au repos. La kiné fait le même constat mais ne peut s’empêcher d’admirer le magnifique corps d’athlète couché devant elle. Ce serait effectivement un gâchis de laisser un tel Apollon sans érection.Elle reprend donc son massage sur l’avant comme elle l’a fait pour l’arrière : d’abord le cou et le torse, en s’attardant sur ses mamelons. Puis c’est au tour du ventre jusqu’au pubis, sans toucher à son sexe. Elle recommence ensuite au niveau des pieds, remonte vers les cuisses en passant par les mollets et répète tous ces mouvement inlassablement mais toujours sans résultat.
— Bon, se dit-elle, c’est le moment de sortir le grand jeu.
S’écartant légèrement de la table pour que John puisse la voir entièrement, elle défait lentement le cordon de sa blouse et retire celle-ci qui file rejoindre le boxer de John. Elle apparaît alors aux yeux de John et Joyce seulement vêtue d’un string et d’un soutien gorge couvrant à peine ses magnifiques seins, gros et fermes, et dont les tétons durcis pointent à travers le fin voile. Le jaune éclatant de sa tenue fait ressortir sa peau sombre, luisante de sueur après l’effort déjà consenti.Revenant jusqu’au bord de la table, elle replonge ses mains dans l’huile et, sans hésitation, la déverse sur le pubis de John, empoigne son paquet et se met à le malaxer. Elle lui pétrit la queue et les couilles, monte et descend sa main sur la verge molle et fait tout ce qu’elle peut pour qu’il démarre. Normalement, c’est à ce moment-ci qu’il devrait passer la main sous son string et lui rendre la caresse. Mais hélas toujours rien.
— Bon, je n’ai pas le choix, se dit-elle. Il faut passer à la vitesse supérieure.

Diffuse en direct !
Regarder son live