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Panne d'essence

Chapitre unique

Inceste
Aujourd’hui, je voudrais partager avec vous une histoire étonnante qui m’est arrivée il y a de nombreuses années, lorsque j’avais tout juste dix-huit ans. A cette époque, j’étais un étudiant puceau et rêveur et j’habitais encore chez mes parents à Lorient. Ma mère, Valérie, était une femme autoritaire qui aimait régner sur la maison. Mon père était quant à lui un homme gentil mais assez maladroit et effacé. C’était clairement elle qui portait la culotte dans le couple.
Maman était à l’époque une jolie femme de trente-huit ans : brune, assez petite mais avec corps très bien proportionné. Je dois dire qu’elle éveillait parfois en moi des sentiments qui n’avaient rien de filiaux. C’était malheureusement une femme assez pudique et j’avais donc rarement la joie de la voir nue ou en sous-vêtement. Pendant longtemps, j’avais pour seul souvenir érotique marquant une fois où, se croyant seule à la maison, elle avait commencé à enlever son jean entraînant sans le savoir sa culotte et révélant la raie de ses fesses à mes yeux éblouis. Mais en dehors de cette vision fugace, je n’avais presque rien eu de marquant visuellement à me mettre sous la dent en près de dix-huit ans.
Les années passant, Valérie était également devenue une femme très frustrée sexuellement. A cette époque, mes parents ne faisaient l’amour qu’une fois par mois environ et, si cela satisfaisait mon père, ma mère était quant à elle très souvent en manque de sexe. Elle se masturbait quasi quotidiennement à la maison. Le mur séparant la chambre de mes parents de la mienne étant très fin, je profitais régulièrement des légers gémissements maternels qui arrivaient jusqu’à mes oreilles aussi perverses qu’attentives pour me masturber frénétiquement en m’imaginant faire des choses avec elle. Ce que j’ignorais à l’époque, c’est que ce manque sexuel allait me donner une opportunité en or de me dépuceler.
Le soir où tout a basculé, nous avions été dîner chez des amis de mes parents qui habitaient dans une grande maison paumée dans les bois, à la frontière entre le Finistère et le Morbihan. Valérie s’était faite très belle pour l’occasion. Elle portait une veste noire, une tunique blanche assez moulante et une jupe noire qui lui arrivait un peu au-dessus des genoux. Elle portait également ce que je croyais être des collants sombres avec des petits points noirs, mais qui étaient en fait, comme je le découvris plus tard, des bas. La soirée fut assez barbante pour moi car j’étais le seul jeune et je fus donc très content quand mon père décréta qu’il était temps de rentrer.
Ce n’était pas un très long trajet jusqu’à chez nous mais, en cette rude nuit d’automne breton, mon père roulait à une allure d’escargot à cause du manque de visibilité et du risque de voir soudain débouler un sanglier au milieu de la route (chose qui lui était déjà arrivé et qui l’avait un peu traumatisé). Le voyage se passait plutôt bien, il devait être à peu près vingt-trois heures lorsque, soudain, la voiture eue des ratés. Très rapidement, mon père comprit que c’était le signe d’une panne d’essence. Quelques minutes plus tard, le moteur s’arrêta et nous dûmes nous garer au bord de la route, au milieu de nul part.
Personnellement, je trouvais cette situation plus ennuyante qu’angoissante. J’avais juste hâte de rentrer chez moi. En revanche, ma mère était extrêmement anxieuse. Elle se mit à crier sur mon père, lui reprochant de toujours être tête en l’air et de nous avoir mis dans une situation périlleuse. J’appris plus tard que la source de ses angoisses venait du fait qu’elle avait entendu parler d’un fait divers ou une femme s’était faite assassiner dans sa voiture sur une aire de repos de la région. Il n’en fallait pas plus à ma mère pour voir des agresseurs partout.
Mon père, de son côté, feignait (assez mal) de prendre les choses à la légère. Il commença à échafauder un plan pour nous sortir de là. Il nous déclara qu’il allait arrêter la première voiture qui passerait par la et qu’il irait chercher un bidon d’essence à la prochaine station-service pour nous dépanner. Pendant son absence, ma mère et moi garderions la voiture. Après vingt bonnes minutes d’attente, une voiture finit par s’arrêter et emmena mon père vers la station-service la plus proche, nous laissant, ma mère et moi, seuls dans notre voiture, seulement éclairée épisodiquement par les flashs réguliers des warnings.
Ma mère, plus angoissée que jamais, observa son mari disparaitre dans la nuit et réalisa que nous nous retrouvions tous les deux seuls au milieu de la forêt. Elle eut alors l’idée d’utiliser un subterfuge pour donner l’illusion qu’elle était avec un mec baraqué dans la voiture et non pas juste avec son jeune fils. Elle me demanda de quitter mon siège arrière pour venir m’asseoir sur le siège conducteur. Il fallait également qu’on ne voit pas mon visage car alors on aurait deviné à mon air juvénile que je n’étais pas de taille pour défendre ma mère en cas d’agression. Elle me dit donc tout simplement, l’air angoissée et autoritaire que si quelqu’un s’approchait de la voiture, elle ferait semblant de m’embrasser, comme cela les inconnus ne verraient pas mon visage. Cette simple évocation, suffit à provoquer un léger remous dans mon caleçon et j’en vins à espérer secrètement qu’un badaud se rapproche vite de notre voiture.
Rapidement, un premier véhicule s’arrêta derrière nous est et un vieux monsieur en sorti pour s’approcher de la vitre conducteur. À l’époque, ni moi ni ma mère ne comprenions ce comportement, mais en fait cette personne voulait tout simplement proposer son aide car il avait vu les warnings clignoter. Pour ma mère, il s’agissait d’un type dangereux qui pouvait profiter de la situation pour nous tuer. Elle attrapa donc l’arrière de ma tête de sa main gauche et l’approcha avec fermeté de la sienne. Au début, elle avait juste rapproché nos visages espérant que cette proximité ferait croire à cet inconnu que nous étions deux amoureux et qu’il fallait donc ne pas nous déranger pendant nos ébats. Furtivement, ma mère jeta un léger coup de tête sur sa gauche et se rendit compte que l’inconnu allait arriver au niveau du siège conducteur et qu’il pouvait donc découvrir son stratagème. D’un coup, elle approcha son visage encore plus près du mien et nos lèvres finirent par se coller.
Je sentis instinctivement que c’était le moment où jamais pour assouvir un vieux fantasme et parfaire mon éducation sexuelle. J’attrapais ma mère par la nuque et insérais autoritairement ma langue dans sa bouche. Valérie fut très surprise de mon audace et eut un mouvement de recul instinctif que je contenais à la force de ma main. Comme pour venir à mon secours, l’inconnu commença à taper à la vitre, sûrement pour nous proposer son aide. Pour ma mère, s’était le signe d’un danger imminent. Elle arrêta subitement de fuir mon baiser et, mieux encore, commença à me le rendre avec passion. Ce fut un premier baiser mémorable, donné par une femme d’expérience avec l’énergie du désespoir. Je profitais de chaque seconde et bandais comme un taureau. Qui peut se targuer ici d’avoir été initié par sa propre mère sous les yeux d’un inconnu ?
Après trente savoureuses secondes à rouler des pelles à maman, je constatais du coin de l’œil que l’inconnu était toujours là. Profitant de cette situation, et de mon excitation sexuelle intense qui me donnait des ailes, je poussais mon audace plus loin et passais ma main sous la jupe de ma mère. J’eus alors deux surprises successives. Premièrement, ma mère ne fit rien pour m’en empêcher. Se sentait-elle obliger de jouer le jeu à cause de la présence de l’automobiliste ou était elle en train de succomber elle aussi à un désir trop longtemps refoulé ? Je n’en savais rien mais j’étais bien décidé de profiter au maximum de la situation. Deuxièmement, je constatais qu’elle ne portait pas de collant mais des bas, ce qui renforça encore plus mon excitation. Je pouvais sentir la peau de sa cuisse sur ma main tandis que je m’approchais dangereusement de son aine. Quand mon index se posa sur sa culotte, ma mère commença à faire des mouvements de bassin très sensuels.
Le type resta perplexe un moment, sa tête collée devant ma vitre à essayer de mieux voir ce qui se passait dans l’habitacle plongée dans l’obscurité. J’étais en transe, je sentais la culotte en dentelle et les lèvres humides de ma mère entre mes doigts. Le type ne comprenant rien à ce qu’il voyait et finit par retourner tout penaud à sa voiture.
Constatant cela, ma mère arrêta aussitôt ses mouvements de bassin, mais sa bouche resta encore collée à la mienne un petit moment. Nos lèvres finirent enfin par se décoller et elle jeta un rapide coup d’œil dans le rétroviseur intérieur pour s’assurer que le type n’était plus là. Elle était tellement morte de trouille qu’elle attendit que sa voiture soit éloignée pour se rassoir normalement sur son siège et enlever ma main de sous sa jupe. Elle tourna alors son visage vers le mien et j’attendis anxieusement sa réaction. Elle avait les traits serrés et je sentais la colère qui exhalait de tout son être mais elle ne dit pas un mot. Je compris plus tard qu’elle avait peur qu’en me gueulant dessus, je n’accepte plus de refaire son scénario si un autre inconnu s’approchait de la voiture. Elle avait surement envie de m’engueuler mais la raison lui disait de me laisser passer cet écart de conduite.

De mon côté j’avais toujours la queue en feu et je ne pouvais m’empêcher de la dévorer des yeux. Nous restâmes donc assis l’un à côté de l’autre à scruter l’arrivée de mon père ou d’un inconnu dans un long silence gênant.
Je ne sais pas combien de temps s’écoula, mais un autre véhicule finit par se garer devant le nôtre. C’était une Golf rouge, occupée par deux jeunes femmes à l’arrière et deux mecs à l’avant. Les deux gars sortirent simultanément de leur voiture et commencèrent à s’approcher de la nôtre. Ils n’avaient même pas fait un mètre que ma mère recommença à m’embrasser sur la bouche. Profitant de l’occasion, je passais ma sous sa jupe, et remontais ma main vers sa chatte. Après quelques caresses sur ses cuisses, j’introduisais mes doigts avides sous sa culotte sans grande difficulté. Ma mère ne disait rien, elle se laissait faire car elle était trop terrorisée par ses inconnus et qu’au final mon comportement devait faire plus réaliste à ses yeux. Les deux hommes s’approchèrent de la voiture et ils découvrirent notre petit scénario. J’entendis distinctement l’un d’eux dire :
— Hey regarde, ils sont en train de se peloter !
J’étais au paradis… du moins, ce qui s’en rapprochait le plus à mes yeux : j’avais la langue de ma mère dans ma bouche et ma main dans sa culotte. Je sentais les poils de sa chatte sur ma paume et je caressais ses lèvres avec mon majeur. Mon bras avait bien remonté sa jupe et les types dehors profitaient du spectacle. Ma mère semblait jouer le jeu à fond, comme si sa vie en dépendait. Ou alors, y prenait-elle aussi beaucoup de plaisir ? Cette question me traversa fortement l’esprit lorsqu’elle posa sa main droite sur ma queue à travers mon jean et commença à me masturber lentement à travers le tissu. Cette nuit-là était pour moi la nuit des grandes premières. La première fois que j’embrassais une femme sur la bouche, la première fois que je touchais une chatte et la première fois qu’une fille me masturbait.
Les types restèrent un moment qui semblait très long à nous regarder et à rigoler du spectacle. J’avais le majeur dans la chatte humide de ma mère qui, de son coté, me branlait de plus en plus vite à travers mon jean. Surement lassés, les types finirent par retourner à leur voiture tout en rigolant beaucoup du spectacle. Aussi étrange que ce puisse paraitre, cette fois-ci nous ne prêtâmes pas la moindre attention à leur départ. Le désir avait eu raison de nous : je continuais à doigter ma mère et elle continua de me branler de plus en plus vite tout en me roulant des pelles.
Après un long moment de pelotage commun, ma mère décolla sa bouche de la mienne et tourna sa tête pour constater qu’il n’y avait plus de témoins. Elle me jeta lors un regard un peu fou et me dit :
— Putain, j’ai bien cru qu’ils n’allaient jamais partir. Sors ta bite, j’en peux plus !

Je ne la reconnaissais plus, elle semblait possédée par le diable. En fils obéissant, je dégainais aussitôt ma queue dure comme l’acier et l’exhibais devant elle sans aucune pudeur. Elle vint immédiatement la mettre dans sa bouche et me suça avec vigueur. Les sensations folles que me procurait sa langue, entourant mon gland dans une caresse sensuelle étaient à la fois inédites et beaucoup trop intenses pour un jeune puceau comme moi. Après à peine une minute de pipe mémorable, elle comprit que j’étais sur le point d’éjaculer et arrêta aussitôt de me sucer.

Elle enleva alors sa culotte sous mes yeux ébahis et vint me rejoindre sur le siège conducteur pour s’asseoir sur moi face à face. Je sentis ses jambes se positionner de chaque côté de mon corps et mon visage s’enfouit presque par réflexe dans son décolleté. Puis tout alla très vite. Elle saisit ma bite dans sa main, la positionna entre ses lèvres et s’assit sur moi pour finalement engloutir ma jeune queue dans sa chatte brulante. Elle commença alors à me baiser sur le siège conducteur dans un mouvement de va et vient exquis qui me propulsa au paradis. J’étais en train de me dépuceler sur le bord de la route avec ma propre mère ! J’étais complètement passif ; assommé par un torrent de sensations délicieuses que je découvrais pour la première fois. De son coté, maman gardait les yeux fermés, car elle n’osait pas regarder son fils en train de la baiser. Mais son visage ravi et ses petits gémissements trahissaient qu’elle profitait intérieurement du plaisir d’avoir enfin une queue dure en elle, et elle finit par se lâcher de plus en plus.
— Oh putain Robin, c’est trop bon ! J’avais trop besoin d’une bite !!!
Il ne me fallut pas longtemps pour arriver au seuil de l’orgasme et cette fois-ci, il me fut impossible de me retenir. J’éjaculais abondement dans sa chatte mais elle continua ses mouvements de plus belle car elle était proche de l’orgasme. Après une telle éjaculation, mon sexe était tellement sensible que les allers-retours de ma mère me faisaient presque mal. J’essayais de ralentir ses mouvements de va-et-vient en encerclant ses hanches dans mes mains mais elle était trop concentrée sur son propre plaisir pour tenir compte de mon inconfort. Elle continua de s’empaler sur ma queue de plus en plus vite jusqu’à exploser dans un orgasme terrible qui dû s’entendre à plusieurs dizaines de mètres de la voiture.
Elle finit par rouvrir les yeux, me sourire et retourner à sa place, laissant tomber sur mon ventre et mon jean des coulées de mon propre sperme. Elle me donna un mouchoir pour nettoyer ma queue et enlever le semence de mon pantalon. Elle en prit également un pour nettoyer les traces de spermes sur la banquette en cuir. Reprenant son souffle, ma mère me lança l’un des plus beaux sourires qu’elle ne m’avait jamais adressé de ma vie et me demanda :
— Ça va mon chéri ? Tu as aimé ce qu’on a fait ?— J’ai adoré maman… est-ce qu’on pourra recommencer ?— Hum… je ne sais pas mon chéri. Une mère et un fils ne devraient pas faire ça. Je m’en veux un peu mais d’un autre coté j’en avais tellement besoin. Enfin, on verra…
Elle était radieuse et prit ma main droite dans sa main gauche, un peu comme deux amants qui viendraient de passer un moment romantique. Nous recommençâmes à scruter la route silencieusement en espérant voir enfin mon père revenir avec un bidon d’essence. Finalement, celui-ci arriva avec un bidon qu’il utilisa prestement pour remplir le réservoir. Sur le chemin du retour, je remarquais que ma mère avait changé du tout au tout : elle semblait sereine et détendue. Ce fut malheureusement ma seule et unique fois avec elle, mais j’en garde encore aujourd’hui un souvenir merveilleux.
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