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Panne d'ordinateur

Chapitre 6

La première sorie

Travesti / Trans
Après plus d’une heure d’entraînement intensif, les pas devinrent plus aisés. Alice était maintenant beaucoup plus à son aise dans ses nouvelles chaussures. François la regardait en souriant, l’encourageant de la voix et du geste.
— Hum ! Ma belle poupée tu as bien progressé, je te félicite. Continuons nos essayages, enfile donc ça.— Mais je croyais que tu me voulais nue.— Ne joue pas les idiotes !

Pour l’inciter à obéir, une claque retentissante vint au contact de la fesse se trouvant à proximité. François lui tendit des sous-vêtements, Alice s’en saisit et le contact la fit frissonner. La douceur de la matière lui plaisait. Mettre le soutien-gorge ne fut pas aussi facile qu’elle l’avait pensé. François lui indiqua la bonne manière de le faire. Enfiler la culotte Tanga lui fut beaucoup plus facile. L’ensemble coordonné était parfaitement à sa taille.
— Heu ! C’est totalement transparent, c’est comme si je restais nue.— Hahaha ! C’est le but, c’est uniquement pour mettre en valeur ton joli corps, ma belle. Je suis content de voir que je ne me suis pas trompé, c’est la bonne taille. Florence m’a bien conseillé.

D’un geste, il lui demanda de tourner sur elle-même et ensuite de se déplacer devant lui. Le sourire qu’il affichait montrait sa satisfaction. Alice découvrait le contact de ce tissu très léger et cela l’émoustillait. Par curiosité, elle avait poursuivi son déplacement jusque dans l’entrée pour voir son reflet dans le grand miroir. De se découvrir ainsi vêtue la fit frissonner à nouveau et les papillons qu’elles sentaient dans le ventre furent plus présents. François avait raison, ses formes étaient mises en valeur. Le soutien-gorge faisait ressortir les petits seins. Il en était de même pour les fesses.
— Reviens ici, ce n’est pas terminé !

Quand elle entra dans le salon, François lui tendit une robe bleu ciel. Il ne put s’empêcher de l’aider à passer le vêtement et de faire quelques caresses au passage.
— Oui ! Excellent ! Cela te va bien, tes formes sont mises en valeur et cela reste quand même très sage. J’ai hâte que tu aies des cheveux suffisamment longs.— Pourquoi ? Que veux-tu faire faire ? Je ne te suis plus...— Dans la vie, on ne fait pas que baiser, de temps à autre il faut sortir.— Mais, je n’ai pas envie de sortir et surtout dans cette tenue. Je veux bien que nous jouions ensemble, mais je ne veux rien de plus.

François venait de la saisir par les bras, en la tenant fermement, le regard sévère, il la secoua légèrement.
— Ce n’est pas un jeu ! Tu es mienne, tu es ma femme. Tu vas donc te faire à cette idée.

Il fut interrompu par la sonnerie de l’interphone.
— Ha ! Je pense que c’est Florence. Va donc lui ouvrir l’entrée ma petite chérie.

Alice se rendit jusqu’à l’entrée pour répondre dans le combiné. François ne s’était pas trompé, il s’agissait bien de l’incontournable Florence. Après un bref échange, elle déclencha l’ouverture. Quelques minutes plus tard, la visiteuse sonnait à la porte de l’appartement. Au moment d’ouvrir, Alice était un peu nerveuse, c’était la première fois qu’elle allait être vue dans cette tenue. Une fois, la porte ouverte, le regard posé sur elle et le sourire affiché la rassurèrent.
— Ah oui ! François avait raison, tu es magnifique. Tu ne me fais pas entrer.

Pendant une seconde, Alice resta figée bloquant le passage. Il fallut la demande accompagnée d’un geste pour l’inciter à se mettre sur le côté pour laisser entrer la nouvelle venue.
— C’est bien que tu sois venue, je pensais que tu débarquerais plus tôt.

La voix de François provenant du salon fut comme un signal. Alice accompagna Florence dans la pièce. En marchant, elle venait de sentir une caresse sur son fessier, elle se dit que l’amie de François avait un côté tactile. Cependant, cet effleurement n’était pas désagréable, bien au contraire, elle le trouvait agréable.
— Alors, comment la trouves-tu ? N’est-elle pas magnifique ? Dommage pour les cheveux...— Oui, très belle, je la trouve très belle. Les cheveux ? Ils sont bien ses cheveux, ils sont déjà longs. En arrangeant un peu la coiffure, cela ira. Oui ! Je sais, tu aimes les cheveux plus longs. Je te rassure, ils pousseront.— Ha ! Bien ! C’est parfait, j’ai envie d’aller manger au resto.— Pourquoi pas, je vais affiner ses sourcils et lui donner un coup de peigne. Ensuite, elle aura droit à une petite manucure et le tour sera joué. Tu aurais pu m’attendre, j’aurais aimé participer à la séance d’habillage.

Tout en parlant, Florence avait fait asseoir Alice sur une chaise. Le ton professionnel de l’esthéticienne était de retour. Tout en travaillant, elle continuait à parler à François. Alice se pliait de bonnes grâces aux demandes et laissait faire sans intervenir. De sentir la jeune femme la manipuler, ce n’était pas déplaisant du tout. Elle découvrait encore de nouvelles sensations agréables. Les frôlements furtifs de la jeune femme et son parfum cela avait tendance à l’émoustiller. Ces mains douces et chaudes la faisaient frémir. Combien de temps s’était écoulé ? Elle n’en savait rien.
— C’est terminé, ma belle ! Regarde François ! Mieux que ça, je ne saurais faire.— Mais tu as raison, elle est à croquer !

En tournant autour d’Alice, il détailla tout ce qui avait été fait. En souriant, il la regardait satisfait du travail accompli. Les mains manucurées, les ongles peints, le visage maquillé et la coiffure avaient apporté ce qui manquait dans l’apparence de son amie.
— Florence ! Une fois de plus, tu m’as épaté. Tu avais raison, même si ses cheveux sont un peu courts tu as mis en valeur son joli minois. La forme des sourcils change bien son regard.

Pour montrer sa satisfaction, il déposa un baiser sur la bouche de la jeune femme. En réponse, elle lui saisit la tête pour l’embrasser véritablement. Sur sa chaise Alice, assistait à l’échange en se disant qu’il y avait une histoire entre ces deux-là.
— Oui, il y a un lien profond entre eux.— Tu disais ma puce ?— Hein ? Heu, non-rien du tout.— Tss Tss ! Petite menteuse, quand tu mens tu rougis.

Le visage d’Alice était maintenant écarlate. Une fois encore elle s’était laissé aller. Elle ne pouvait se défaire de cette habitude de soliloquer. François la regardait en souriant, visiblement curieux de connaître la réponse.
— Bon ! Je disais que vous êtes très proche.— Ha oui ! Bien sûr que nous sommes proches et il nous arrive de batifoler ensemble.

Florence venait de lui prendre la main pour l’inciter à se lever. Ensuite d’un mouvement rapide elle l’avait attiré contre elle. En la tenant plaquée contre son corps elle regardait Alice en souriant, les feux fixés aux siens.
— Oui ma petite chérie, il nous arrive de faire l’amour comme des bêtes. Tu n’as pas à être jalouse de ça.— Doucement Flo ! Tu vas abîmer le travail que tu viens de finir. Cela serait dommage.— Alors, au lieu de me rabrouer tiens ta promesse. J’ai faim ! Emmène-nous... au fait as-tu réservé dans un bon restaurant ?

Alice sentait la main de la jeune femme lui caresser la fesse en faisant glisser le tissu de la robe. Ce contact la fit frémir et soupirer. Cette réaction ne passa pas inaperçue, en riant Florence lui donna une légère tape sur la rotondité qu’elle venait de flatter.
— Oui, oui, bien sûr, il est temps d’y aller.

En entendant ces paroles, ses pulsations cardiaques venaient de s’accélérer. Elle ressentait une appréhension, elle angoissait d’être en public dans cette tenue. Déjà, Florence la tenant par la main l’entraînait vers la sortie. Comme dans un rêve elle avait entendu François refermer la porte de l’appartement. De se retrouver dans la rue avec cette apparence lui provoqua un léger malaise, elle vacilla sur ses jambes. Heureusement pour elle, une main ferme la retint.
— Alice ne t’en fait pas, tu es méconnaissable. Respire un bon coup ! Tu es parfaite dans cette robe.

Ce petit incident lui avait permis de vérifier que cette jeune femme avait de la poigne et un caractère très affirmé. Dans le même temps qu’elle la rassurait, elle venait de houspiller François parce qu’il ne se pressait pas. Contre toute attente un orage éclata, ce qui contraignit le trio à rester sous l’auvent de l’immeuble. Cette brève ondée venait de rafraîchir l’atmosphère ambiante. Alice qui avait chaud quelques instants auparavant apprécia cette baisse de température soudaine.

Sur l’insistance de Florence, le trajet s’effectua en voiture. Le trajet, très court les avait conduits jusqu’au restaurant où à plusieurs reprises elle était venue. Florence qui l’avait aidée à sortir de la voiture la tenait fermement par la main.
— Je vois que tu as bien appris à te déplacer avec ce genre de chaussures. Ne t’en fais pas, tu es magnifique. Tout va bien se passer.

D’un geste François les avait invitées à entrer les premières. Alice le cœur battant, s’accrochait à la main de la jeune femme qui l’a tirait en avant. Elle était inquiète et appréhendait la suite. À leur entrée, un serveur les accueillit en souriant et s’enquit de leur type de réservation. De voir que le regard de l’homme les avait regardés de la même manière la rassura. Alice le connaissait, il leur était arrivé de discuter à bâtons rompus à plusieurs reprises. François ayant donné les informations désirées l’employé les conduisit à une table un peu à l’écart. La salle de restaurant étant comble le cheminement entre les tables fut relativement long. Alice pourtant finit par se détendre bien qu’elle croisât le regard de plusieurs personnes connues. Tout naturellement, Florence lui avait lâché la main et cette liberté lui fit sentir que ses regards n’étaient pas appuyés. La crainte s’était envolée, elle n’était qu’une femme s’apprêtant à déjeuner entre amis.
François lui avait imposé le siège faisant face à la salle. Était-ce par malice ? D’être assise et de pouvoir vérifier ce qu’elle avait ressenti en passant à côté des autres clients finit de la rassurer. Le serveur ayant pris la commande, elle soupira d’aise.
— Hoho ! Eh bien, jolie dame, je vois que tu te sens mieux. Tes joues sont moins roses. Est-ce que ta culotte est mouillée ?— Chut ! Tais-toi donc ! Oui, je me sens mieux, j’ai pourtant eu très peur.— François arrête de la taquiner. Hihi ! Je pense qu’elle a dû mouiller la culotte.— Vous êtes agaçants tous les deux. Et non, je ne me suis pas salie.

L’arrivée du serveur avec le plateau portant les verres apéritifs arrêta la conversation qui commençait à déraper. Alice sentit une main se glisser sous le tissu de sa robe. François discutant de la suite avec l’employé, il était donc hors de cause. En tournant son regard vers Florence, son sourire enjôleur lui confirma qu’elle était à la manœuvre. La main qui avait progressé rapidement la fit frémir.
— Mmmm !

Elle n’avait pu empêcher le petit bruit, la conversation entre hommes s’arrêta un instant. Pour masquer son trouble, Alice plaça sa main devant sa bouche pour tousser. De sa main libre, elle contraignit la main fureteuse à se retirer.
— Bien, Monsieur, je vous apporte les plats d’ici quelques minutes.

Une fois l’employé parti, François les regarda toutes le deux en riant.
— Florence ! Tu es vraiment incorrigible. Je parie que tu as voulu vérifier la culotte d’Alice. Alors, est-elle sèche ou non ?— Hihi ! Elle n’a pas menti. J’ai voulu jouer un peu avec son clitoris, elle m’en a empêché la vilaine.— Vous êtes gonflés vous deux. J’ai cru un moment que nous étions ici pour un bon repas. En plus, cet endroit ne se prête pas aux cochonneries.

Cette répartie fit rire les deux autres. Alice sentait qu’il y aurait d’autres tentatives du même genre malgré l’endroit exposé aux regards des autres convives. La conversation fut interrompue par l’arrivée inopinée du serveur.
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