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Panne d'ordinateur

Chapitre 7

Une sortie qui va changer la vie

Travesti / Trans
Tout en riant, François venait de faire signe au serveur. L’homme s’approcha puis se pencha pour entendre ce que le client voulait. Alice le vit hocher de la tête d’un air entendu avant de faire apparaître une cloison mobile coulissante. Ils étaient maintenant dans une petite pièce hors de la vue des autres convives. Après avoir reçu les dernières consignes, l’homme quitta la grande alcôve. Avant que cette manœuvre ne soit terminée, Alice sentit la main de Florence qui lui caressait le sexe tout en la regardant dans les yeux en souriant.
— Hum ! Petite cochonne, je sens que tu mouilles déjà.— Arrête, on nous regarde !— Hihi ! Cela t’excite, mais tu rouspètes parce que l’on nous regarde. Maintenant, tu n’as plus d’excuse.
Tout en parlant, la jeune femme s’était laissé glisser hors de son siège et venait de disparaître sous la nappe. Le rire de François lui fit tourner la tête.
— Hoho ! Ma belle, tu en ouvres des yeux bien ronds. Je constate que notre amie est passée à l’offensive.
Alice sentit que sa culotte lui était retirée et que son sexe subissait un premier assaut. Elle devait reconnaître qu’être dans un restaurant ajoutait du piquant à l’aventure. Les sensations qui parcouraient son ventre en étaient la preuve. François lui caressa la joue et elle ne put s’empêcher de le regarder en souriant.
— Ouf ! Mmmm ! Je ne savais... pas que cette pièce... pièce existait... haaa !
La bouche et les mains de Florence s’activaient sur le bas de son corps. La jeune femme avait tiré sur son bassin pour mieux atteindre le sexe et l’anus. Alice avait ses fesses au bord du siège et les jambes totalement ouvertes. Une bouche goulue lui aspirait le sexe pendant que des doigts fureteurs prenaient possession de sa rosette. Elle se tenait agrippée à la table sous les yeux de François complètement hilare.
— Héhé ! Si j’en crois ton regard, tu n’es pas loin de jouir.
Étrangement, la peur d’être surprise dans cette position par le serveur augmentait encore le plaisir qu’elle ressentait. Florence dissimulée par la nappe la conduisit rapidement jusqu’à l’orgasme. Une vague de plaisir très forte la submergea brusquement. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier et être entendue, la cloison mobile les séparant de la salle étant très fine. Ses gémissements étaient relativement forts et très perceptibles.
— Haa ! Je jouis..., elle va me faire mourir. Mon Dieu que c’est bon ! Ouiii...
Elle venait de projeter son bassin en avant vers la bouche gourmande. Elle avait dû se cramponner à la table pour ne pas glisser complètement hors du siège. Elle se sentait complètement vidée, elle était épuisée. Florence venait de réapparaître, elle souriait tout en s’essuyant le visage avec la serviette.
— Hé bien ! Quand elle jouit, ce n’est pas de la simulation. Sa chatte m’a écrasé les doigts pendant que je tétais son clitoris. Je n’ai pas perdu une goutte de son précieux nectar.
— Hoho ! Je vois, tu ne t’es pas privée là-dessous, tu en as encore un peu sur ton nez, il brille.
Alice en reprenant son souffle venait de se rasseoir correctement. Sa robe était relevée et elle avait les fesses à l’air. La conversation fut interrompue par l’entrée du serveur qui ne s’attarda que le temps nécessaire pour déposer ce qu’il amenait. François en avait profité pour lui donner les dernières instructions.
— Bien ! À partir de maintenant, nous ne serons plus dérangés. Le gars a tout posé sur la desserte.— Hihi ! Donc je vais pouvoir faire comme j’en ai envie.— Oui ma belle, tu vas pouvoir t’occuper d’Alice et de son joli petit cul. Et moi je vais aussi participer à la fête.
En voyant Florence faire de la place, Alice se rendit compte que les dimensions généreuses de la pièce avaient leur raison d’être. Assise avec sa robe remontée, elle offrait maintenant la vue sur le bas de son corps dénudé. François qui venait de passer derrière elle lui mit les bras en l’air pour lui retirer la robe.
— Houa ! j’adore tes petits seins, ce soutien-gorge les met bien en valeur. Tu es craquante ainsi vêtue.
Il lui souriait, mais elle était intriguée par ce que faisait Florence. Elle venait de la voir fouiller dans son sac à main. En quittant l’appartement, elle avait trouvé le sac un peu volumineux. François s’étant penché pour l’embrasser sur la bouche, elle ne put voir ce que la jeune femme préparait. D’un geste rapide il venait de mettre à l’air son sexe à demi mou. Alice n’avait pas besoin d’explication supplémentaire pour savoir ce qu’il attendait. Elle plaça ses mains sur les hanches de son partenaire et entreprit de lui lécher et sucer le sexe déjà imposant qu’il lui offrait. Il venait de lui prendre la tête entre ses mains. Tout en la laissant faire la fellation, il la contraignit à quitter son siège en faisant une rotation. Penchée en avant sur le sexe offert, elle sentait maintenant la présence de Florence derrière elle. Dès qu’elle fut à portée de mains, Florence lui administra une fessée sévère. Les coups reçus la firent gémir et le mélange du plaisir et de la douleur augmenta son excitation. Alice sentait les mains de sa partenaire tantôt douce et tantôt brutale. Sa peau picotait au niveau des fesses et elle brûlait par moments. Elle ne pouvait s’empêcher de gémir, elle sentait une nouvelle vague de plaisir augmenter par palier. Pendant qu’elle avalait complètement le gros sexe lisse, une langue venait de lui humecter la rosette brune. Alice se sentait écartelée par deux mains fermes sur son fessier. Sentir le souffle chaud sur son petit trou la fit frémir. Florence venait de cracher sur l’orifice fermé. Un doigt venait de pénétrer sans effort, cette intrusion la fit frémir et gémir à nouveau.
— Hum ! Ma chérie, ta chatte est douce et accueillante.
Florence tout en parlant venait d’introduire dans son anus deux doigts supplémentaires. Son autre main libre malaxait doucement le petit sexe mou et pendant. Pendant ce temps, François faisait littéralement l’amour à sa bouche. Ce qui obligeait Alice à adapter sa respiration aux va-et-vient du gros membre en érection. Sous ses doigts, elle sentait les fesses dures et bien galbées de son amant. C’est au moment où François venait de coller son pubis contre sa bouche qu’elle sentit une pénétration brutale.

— Hihi ! Ta chatte est vraiment souple, elle vient de se refermer sur mon poignet.
Alice se sentit envahie, bien remplie, cette sensation la fit vibrer à nouveau. Elle était prise des deux côtés, ils la possédaient. Le plaisir était là, elle jouit une fois encore. Dans le même temps, elle sentit les fesses de François se contracter avec force, lui aussi jouissait dans sa gorge.
— Haaa ! Oui ! Putain que c’est bon ! Ma petite chérie, je t’aime.
Au moment de la double jouissance Florence avait placé sa bouche sur le petit sexe pour le sucer.
— Ha oui ! C’est excellent, j’aime ton jus et j’adore te sentir jouir. Ta chatte m’a fait un joli bracelet bien ferme. J’ai senti toutes tes contractions. Tu jouis bien du cul ma belle. Ton puits d’amour est vraiment accueillant.
Florence venait d’extraire sa main et Alice ressentit le vide laissé par la main. En riant, Florence souffla dans l’ouverture. De sentir ce courant d’air à l’intérieur d’elle fit frissonner et gémir de plaisir Alice.
— Houa ! tu es vraiment coquine ma chérie. À vous deux vous m’avez épuisée. Chaque fois, j’ai l’impression que mon cœur va exploser.— Hihi ! Ce n’est pas terminé ma toute belle. Nous allons continuer à jouer ensemble. Il fait que ta première sortie en fille reste gravé dans ton souvenir.— Mais ! Et le...— Non, non, ne t’en fais pas, personne ne viendra nous déranger. Vu l’heure, je pense que la salle du resto est vide.— Oui, Flo a entièrement raison, tu peux maintenant te laisser aller complètement.
Tout en parlant, François venait de débarrasser la table, quelques taches supplémentaires sur la nappe allaient donc apparaître. Alice le regardait en souriant, elle le trouvait beau et bien musclé. Il lui rendit son sourire avant de la saisir à bras le corps et ensuite la déposer sur le meuble. Totalement docile et détendue, elle se laissait faire. Allongée sur le dos, elle regardait tantôt l’un et tantôt l’autre. Florence et François maintenant complètement nus tournaient autour d’elle en lui prodiguant des caresses et quelques petits sévices qui la faisaient frémir ou sursauter. D’un geste brusque François venait de lui arracher son soutien-gorge.

— Ha ! Décidément, c’est comme ça que je préfère te voir. Oui, totalement nue et offerte pour satisfaire le moindre de mes caprices. Je vais commencer par te manger la nouille et tes petites cacahuètes.
En joignant le geste à la parole, il venait de lui écarter sans ménagement les jambes. Dans le même temps Florence qui venait de lui saisir les bras, pour les ramener au-dessus de sa tête. Alice frémit, elle ressentait un mélange de plaisir et de crainte, mais elle ne résista pas. François qui lui tenait fermement les jambes les ramena sur son ventre. Maintenant, Alice avait son sexe et son anus bien exposé, elle était à la merci de son amant.
— Hihi, je la sens frémir. Regarde, elle mouille déjà et pas seulement du clito. Regarde, la rosette brille.
Alice voyait le sourire de François et elle lui trouva un petit côté carnassier qu’elle ne lui connaissait pas. Elle le vit se pencher sur son ventre. Dans la seconde qui suivit, elle se sentit totalement aspirée par cette bouche avide. Elle s’abandonna à cette caresse buccale, pourtant rapidement les choses évoluèrent. La bouche qui enserrait les parties génitales se faisait de plus en plus sentir.
— Aïe ! Tu me fais mal !
La succion augmentait et les dents se faisaient sentir. Alice se dit qu’elle resterait marquée à cet endroit. C’était douloureux, elle sentait le tiraillement sur les conduits. Pourtant, en même temps le plaisir était là, il grandissait. Malgré sa plainte, François avait encore augmenté la succion accompagnée par cette traction. C’était comme s’il voulait lui trancher ces appendices et les avaler. Cette idée d’être dévorée par son amant déclencha une forte vague de plaisir. Instinctivement, elle projeta son bassin vers cette bouche affamée. Criant et gémissant, elle fut secouée par les spasmes du plaisir.
— Aaaah ! Oui ! Je jouis !
François qui la maintenant dans la position continuait à lui sucer son petit sexe. Il ne relâcha son étreinte qu’au moment où il sentit le corps vaincu s’abandonner.
— Hum ! Ma petite salope, j’avais très envie de te dévorer le clitoris et tes petites cacahuètes. Putain ! De te voir jouir ainsi, j’ai éjaculé sur le carrelage et sans avoir besoin de me toucher.
Pendant qu’il parlait, Florence s’était déplacée pour lui suçoter les seins. Alice épuisée se laissait faire, elle avait le sentiment d’être un jouet entre les mains des deux compères.
— Hihi ! Depuis que nous sommes ici, cette cochonne a déjà joui au moins trois fois. Je suis ravie que tu me l’aies présentée. Elle vaut le détour, merci, mon François. Je dois dire que j’ai joui moi aussi. Je suis trempée, ma mouille dégouline le long de mes cuisses.
Florence venait de s’installer sur la table en plaçant sa vulve au-dessus de la tête d’Alice. Le message n’avait pas besoin de traduction. Alice entreprit de lécher le sexe offert et luisant des sécrétions intimes. C’était la première fois qu’elle y goûtait. Une fois passé le frisson provoqué par ce premier contact légèrement désagréable, elle aima le goût. Florence remuait son bassin pour accentuer la caresse. L’amplitude du mouvement fit que la langue d’Alice entra en contact avec l’anus de son amante. Cette fois encore, une odeur et un goût inconnu lui provoquèrent des frissons. Son corps réagissait avant que ses sens n’acceptent l’évidence, elle aimait cela. Pour se faciliter les choses, elle avait placé ses mains sur les cuisses de sa partenaire. Déjà, le plaisir revenait par vague successive. Florence s’était baissée pour téter son clitoris, Alice aimait bien cette image employée par son amante. Toutes les deux gémissaient sous les assauts mutuellement prodigués. Presque simultanément, Alice sentit une pénétration brutale. François venait d’entrer sans ménagement. Le gros sexe s’était enfoncé jusqu’à la garde. Le pubis de son amant venait de heurter son périnée. De se sentir remplie de la sorte augmenta le plaisir ressenti.
— Oui ! C’est bon ! Rempli moi ! Féconde-moi ! Je veux te sentir !
Ce fut comme un signal, son partenaire commença ses va-et-vient sans ménagement. Elle sentait le dard durci la fouiller au plus profond. Le trio s’activait, les cris et les gémissements se répondaient. Le temps passait et la jouissance était proche. À moitié étouffée par la pression exercée sur son visage, Alice sentit les éjaculations dans ses entrailles. Au même instant qu’elle jouissait. Florence venait d’inonder son visage de cyprine. Elle était complètement épuisée, elle rit en se souvenant des paroles de son amante, oui, cette journée était mémorable. L’alcôve avait résonné de leurs cris de jouissances.
— Hoho ! Je pense que le patron du restaurant me fera des difficultés pour me louer cet endroit à l’avenir. Allez ! Mesdames, il est temps de plier bagage.

Trois mois s’étaient écoulés depuis la sortie au restaurant. Alice s’était installée dans sa nouvelle vie. Avec l’aide de Florence, son apparence était différente de ce qu’elle était auparavant. D’avoir subi une épilation définitive avait fini de la pousser vers ce qu’elle était aujourd’hui. Sur les conseils de ses deux amants, Alice avait quitté son emploi. Dans la foulée, Florence lui avait trouvé une occupation lui correspondant parfaitement. Il y avait eu ainsi une rupture totale avec son ancienne vie. Elle se sentait épanouie et ses deux amants ne lui laissaient pas le temps de respirer. De fait, un trio s’était formé et Alice aimait autant l’une que l’autre. Dans les deux cas, elle était une épouse soumisse, cela la satisfaisait entièrement. Elle se sentait heureuse et la vie lui souriait.
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