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Papa, c'est toi ?!

Chapitre 1

Gay
J’avais 20 ans à l’époque où se passe cette histoire. Je venais à peine de découvrir les plaisirs qu’offraient les orgies en club. C’était un ami, homosexuel lui aussi et avec qui je couchais parfois, qui m’avait invité à une de leurs soirées dans une boîte échangiste à 20 minutes de chez moi. La première fois, j’y suis allé avec lui. Trop timide, je n’avais fait que regarder mais ça m’avait tellement excité qu’en rentrant chez moi, je me suis masturbé 3 fois à la suite. Je comptais y aller une deuxième fois, cette fois avec l’intention de participer, mais mon ami ne pouvant pas venir, nous avons remis ça à la semaine suivante, mais j’en avais tellement envie que j’ai décidé d’y aller sans lui, quitte à être un peu perdu.
J’y suis donc allé ce soir-là et à l’heure où j’arrivais la soirée battait déjà son plein : certains étaient au bar, d’autres faisaient déjà l’amour par terre, à deux, à trois, à quatre... Moi, je m’étais mis en tête d’être le petit chien de la soirée, j’avais pour idée de me balader dans la salle à quatre pattes et de sucer et me faire baiser par quiconque le voudrait. Je suis allé me changer rapidement dans les vestiaires, et je suis revenu pratiquement nu, j’avais juste mon caleçon sur moi. A terre, les gens me regardaient un peu bizarrement au début, mais je savais qu’ils comprendraient vite. J’ai remarqué un homme seul dans un coin en train de se masturber, je me suis donc rapproché de lui, le sourire aux lèvres. Il était chauve et dans une tenue de cuir, un masque sur les yeux. Nous ne nous sommes pas dit un mot, je me suis juste approché. Mais lorsque j’essayai de le mettre en bouche, il retira son sexe à la dernière minute. Au vu de son sourire, je compris rapidement qu’il voulait jouer avec moi. A chaque fois que je tentais de le mettre en bouche, il me refusait ce plaisir. Je me mis à gémir comme un chien en pleurs ; cela le fit encore plus bander.— Renifle, mais rien d’autre, m’ordonna-t-il alors.Je sentis son sexe et me mis à me branler en même temps, mais lorsque je tentai de le sucer, il me gifla.— Tu y auras droit quand je le dirai, me dit-il avec un sourire. Lèche mes pieds en attendant.Et comme un bon petit chien, je me suis abaissé et je me suis exécuté. Je lui suçai son gros orteil et lui léchai la plante des pieds. Ma langue rappeuse contre sa peau. Cela lui faisait un effet fou. C’est étrange : je ne suis pas aussi soumis dans la vie de tous les jours. Mais quand il s’agit de sexe, je suis le parfait petit esclave. Il bascula la tête en arrière pour profiter du plaisir que je lui donnais. Mais déjà la jouissance lui venait :— Tu veux ta ration de sperme, mon toutou ?— Wouaf !Il se mit alors à éjaculer de bons gros jets de sperme par terre ; j’avais pourtant ouvert la bouche pour tout recevoir, mais c’était un énième plaisir qu’il me refusait. A la place, il voulait que je nettoie le sol sale avec ma langue. Et c’est ce que je fis sans rechigner. Une fois bien vidé, il pointa sa queue vers moi, m’offrant finalement son sexe à nettoyer. Tout en le branlant, pour bien faire sortir les dernières gouttes, je mis son gros gland tout de suite en bouche et il put me sentir aspirer et déglutir ce qu’il lui restait de sperme. Notre petit spectacle a dû plaire puisque juste après, j’entendis quelqu’un siffler, comme on siffle un chien. Je me retournai et je pus voir un homme, tout nu, en plein milieu de la salle qui me faisait signe de venir. Je m’approchais de lui à nouveau à quatre pattes, mon petit cul se balançant. Le sexe épais et poilu de l’homme était déjà luisant de salive et dès la mise en bouche, je savais qu’il avait déjà été dans un cul ce soir. Un cul que j’étais en train de goûter ; cette pensée redonna une grande vigueur à mon érection. Rapidement, deux autres hommes se joignirent à nous : j’avais maintenant trois queues à assouvir du mieux que je pouvais.
Je commençais à être très chaud : je suçais goulûment les queues que l’on me présentait. L’un d’eux me mit un sachet en plastique sur la tête, troué à la main pour qu’une bite puisse y passer. Je ne servais alors que de vide-couilles. J’avais l’impression que tout le bar nous regardait et une 4e personne rejoignit notre groupe peu après. Je me mis à le branler, pendant que ma bouche s’attelait à d’autres tâches. Quand je passais finalement au nouveau venu, alors que j’allais poser mes lèvres toutes mouillées sur lui, il me demanda :— Retire ton sac, j’aime bien voir dans qui je me vide.Au son de sa voix, mon estomac se souleva et je retirai le sac en plastique. Mon cœur se mit à battre à la chamade lorsque nos regards se croisèrent : j’avais devant moi mon père entièrement nu, ses grosses boules et son sexe juste en face de moi. Il avait la bouche ouverte tant il était surpris ; nous ne savions rien de l’homosexualité de l’autre. Ce soir-là, j’étais sûrement pris d’une certaine folie, ou était-ce peut-être l’excitation du moment, mais plutôt que de partir, j’ai pris les couilles de mon père en main et je me suis mis à le sucer. Aussi surprenant que le choix que j’avais fait, mon père se mit à gémir bruyamment et décida de ne pas partir non plus. Pour l’occasion, je donnais le meilleur de moi-même : je me régalais avec sa bite en bouche, je branlais doucement son gland, je léchais les couilles qui m’avait mises au monde. Je voulais qu’il jouisse.
Pour mon plus grand plaisir, mon père mit ses mains sur ma tête pour enfoncer sa queue au plus profond de ma gorge. J’avais le nez enfoncé dans ses poils pubiens, je pouvais sentir l’odeur de sa peau. J’adorais qu’il n’y allait pas de mains mortes. J’avais l’impression que ma bite allait exploser. L’un des hommes autour de nous a alors dit :— Vas-y, tourne-toi, mon beau, on va voir si ton cul est aussi bon que ta bouche.Mais au lieu de me retourner vers lui, je me retournai vers mon père, lui présentant mon cul déjà un peu béant et lubrifié par les doigts que m’avaient mis ces messieurs. Je balançais mon cul pour lui donner envie. Il s’abaissa un peu et se planta d’un trait en moi ; nous gémîmes tous les deux longuement. Personne dans le bar ne se rendait compte qu’un père était en train de baiser son fils sous leurs yeux. Tant il était excité, mon père commença doucement ses va-et-vient en moi, il avait sûrement peur de jouir trop vite. J’eus tout le plaisir alors de sentir son gros sexe me transpercer. Je cambrais mon corps pour m’adonner entièrement à lui, puis petit à petit, ses mouvements se sont accélérés jusqu’à atteindre une vitesse de croisière où il me pilonnait le cul. J’adorais sentir ses jambes et ses couilles contre moi ; plus je réalisais par qui j’étais baisé, plus je bandais, mais si je touchais à mon sexe, je savais que j’allais me déverser sur le sol. Mon père prenait aussi un plaisir fou à me ramoner, je pouvais l’entendre à ses gémissements, à sa bite qui gonflait dans mon cul, à son gland qui me raclait les parois.
Malgré le monde autour de nous, pour le coup, nous étions dans notre bulle, il n’y avait plus que nous deux. Cela a dû rendre les autres un peu jaloux puisqu’un des hommes à demander à papa de laisser le tour à un autre. Reprenant ses esprits, il m’a mis deux derniers coups de bite bien profonds, en me malaxant les fesses. Deux hommes se mirent alors à me pénétrer : l’un dans mon cul encore, l’autre dans ma bouche. Mais du coin de l’œil, je ne regardais que mon père, impatient qu’il me revienne. Celui-ci se branlait doucement, avec la mouille de mon cul, en regardant son propre fils se faire prendre en sandwich. Les hommes ont tournés et ce fut bientôt à nouveau le tour de mon père, il était cette fois posté devant moi, sa queue toute luisante devant mes yeux. Je l’ai tout de suite mis en bouche, goûtant ainsi à mon cul. Ses couilles se sont contractées contractées et ne pendaient plus autant ; se retenait-il de jouir ? Je passais ma langue dessus, la faisant glisser aussi le long de sa tige pour redescendre toujours plus bas. Trop bas, car ma langue humide près de son trou avait donné une idée à mon père : il se retourna, écarta les fesses pour m’offrir son trou du cul à manger. Il n’eut rien à dire, je plongeai la tête dedans, le reniflant, le goûtant. Je suçais, léchais, perforais son trou. J’étais comme en trance, tellement que l’un de nos spectateurs se mit à dire :— Wow, il y a de l’alchimie dans l’air !Je branlais mon père en même temps. Tout cela devait bien exciter l’homme qui me prenait car ses coups de reins se firent plus brusques, faisant ainsi basculer ma tête contre le cul de papa.
Puis celui-ci se retourna soudainement, et avec autorité, il dit :— Désolé, les gars, mais il me faut encore de ce petit cul. Je tiens plus là.L’homme derrière moi se retira et mon père me fit mettre sur le dos. Tout le monde nous regardait. Il se planta ensuite en moi et vint s’allonger sur moi. Je n’avais jamais été aussi proche de lui, nos visages étaient à quelques centimètres. Pendant qu’il me baisait, son ventre venait se frotter contre mon sexe ; cela me fait du bien. Dans le sous-sol de ce bar, l’air y était chaud, nous étions donc tous deux tout transpirant, collés l’un contre l’autre. Et nous n’étions pas les seuls à être excités puisque un homme vint alors s’agenouiller au-dessus de ma tête et me dit d’ouvrir la bouche. Je tirai alors la langue et il se mit à jouir dessus, m’envoyant un jet de sperme ou deux au travers du visage. J’étais sur le point d’avaler lorsque mon père décida plutôt d’enfouir sa langue dans ma bouche. J’étais ébahi ; papa me roulait un patin ! Nous mélangions nos langues, tout en goûtant à la semence d’un inconnu ! Ensuite ce fut l’avalanche : plusieurs hommes vinrent se déverser dans ma bouche, on m’ordonna de n’avaler qu’une fois tout le monde vidé. J’étais toujours allongé par terre et mon père me bourrait toujours avec force ; il avait l’air de ne plus vouloir s’arrêter. Les hommes, eux, déchargeaient de bons gros et épais jets de sperme ; l’un d’eux revint même pour une deuxième éjaculation à moins de deux minutes d’intervalle ; son jus de couille était plus liquide qu’épais. J’essayais tant bien que mal de tout garder dans ma bouche, mais cela n’était pas facile sous les violents coups de bite que je recevais. Et puis soudain, mon père se releva en sursaut, s’approcha de moi, m’aida à relever la tête et dans un bruyant râle, il se vida les couilles dans ma bouche. J’en avais tellement envie qu’en voulant lui montrer ma langue je déversais sans le vouloir un peu de sperme sur mon menton.
J’avais maintenant la semence de 6 hommes dans la bouche ; elle était pleine. Mais ce qui m’excitait le plus c’était de savoir que dans ce mélange de jus de couilles, il y avait celui de mon père. Tout en le regardant dans les yeux, j’avalais le tout en une seule déglutition.
— Regardez-moi ça, dit alors un des hommes autour de nous. C’est qu’il n’a pas débandé, le monsieur. Puis, se retournant vers moi : je ne sais pas comment tu fais, mais tu lui fais un effet monstre !— J’ai une idée, lança le premier homme que j’ai sucé de la soirée ; je sais ce qui va les faire jouir tous les deux une bonne fois pour toute. Ils demandèrent à mon papa qui affichait encore une puissante érection de s’allonger sur le dos. Deux autres hommes m’ont alors soulevé et m’ont placé au-dessus de lui. L’un d’eux a aidé à placer le sexe de papa au bord de mon trou, puis les deux autres m’ont abaissé. Je me faisais ainsi à nouveau pénétrer par mon père. Mais cette fois, c’était différent : nous ne contrôlions plus nos mouvements, nous étions soumis au bon vouloir de ces messieurs. Parfois, ils accéléraient mes montées et mes descentes, parfois ils s’assuraient qu’il était bien au fond de moi. Sans le savoir, ils nous aidaient à commettre l’inceste. C’est cette idée – et bien sûr la grosse bite de papa aussi – qui me fit jouir sur son ventre. Il ne tarda pas non plus : il se contracta, essayant de s’agripper au sol, et je pus le sentir se déverser une deuxième fois en moi. Mon cul qui jouissait encore serrait sa bite de partout. Seulement une fois sûrs qu’il se soit bien vidé, les hommes m’ont soulevé et ce fut la fin de ma soirée dans ce club. Papa prétendit qu’il avait quelque chose à faire avant de rentrer à la maison, mais je savais que c’était simplement pour qu’on rentre chacun de notre côté. Il faut dire qu’on était plutôt embarrassés de ce que nous avions fait. Mais au fond de moi, j’espérais que cela allait continuer... FIN ?
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