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Papa trans

Chapitre 2

Préparations pour la soirée de princesse

Travesti / Trans
Précédemment : moi Hugo, 23 ans, je vis avec mon père trans qui, après m’avoir surpris dans mes petits plaisirs, s’est occupé de moi.
— Je sais que tu te plais dans notre petite routine secrète, mais je crois que tu es prête pour essayer de nouvelles choses. Ça te dirait que j’invite des amis à la maison ?— Je ne sais pas ce que tu as comme idée maman, mais je t’aime et je suis prête à tout pour toi.— C’est bien ma fille, répond ma mère en me caressant le visage. Dans ce cas, il va falloir qu’on t’entraîne un peu, viens, je vais te montrer ma collection personnelle.
Je suis ma mère dans sa chambre, me vois dans la glace mise en face du lit, et je me trouve sexy dans la lingerie de ma mère. Cette pensée fait perler quelques gouttes de sperme.
— Je ne t’ai rien encore montré et tu taches déjà ta culotte. Voilà, dit-elle en ouvrant une valise.
A l’intérieur, il y a plusieurs godes, certains assez gros, dont un ressemblant à une queue-de-cheval qui était longue, mais surtout large, avec son énorme gland en forme champignon.
— Je vois que ton regard se porte sur mon étalon. Je ne pense pas que tu sois prête pour ça encore, on va commencer par ce modèle.
Ma mère sort un gode très long avec un gland à chaque bout, large d’au moins cinq centimètres.
— Assis-toi en face de moi et écarte bien les jambes.
Je m’exécute, et ma mère fait de même. Elle libère sa queue qui ne demandait qu’à sortir de sa petite culotte aux motifs léopard. Elle commence à se branler et à lécher les deux embouts du sex-toy, puis elle écarte sa culotte et enfile avec une facilité déconcertante une dizaine de centimètres.J’ai envie de me toucher aussi, mais alors que j’approche ma main, ma mère m’arrête.
— Non bébé, tu vas en mettre partout sans ta couche. Je vais te faire du bien autrement ma chérie, tu vas voir.
Ma mère retire le plug de mes fesses, et je sens son sperme de ce matin qui commence à sortir.
— Ton anus reste ouvert, c’est tellement beau, et ça va bien glisser avec tout ce jus.
Je suis surprise, comment j’accepte facilement ce gode en moi, j’ai même envie qu’il aille plus loin, plus profond. Comme si elle lisait dans mes pensées, ma mère commence à bouger le gode rapidement d’une main tout en se branlant de l’autre à la même cadence. Lorsque je vois ma mère éjaculer, je sens à mon tour l’orgasme venir. La dernière pression du gode sur ma prostate me fait décharger.Après s’être remise, elle décide de m’offrir un de ses godes pour que je m’entraîne toute la semaine. Ce modèle était plus large que le précédent, dans les 6 centimètres. Le premier soir, j’ai du mal à le faire rentrer, mais j’insiste, car je suis excitée et curieuse de voir ce que ma mère me réserve avec ses amis. A la fin de la semaine, je montre les résultats à ma mère en m’empalant devant elle.
— Tu es prête pour la dernière étape, m’annonce-t-elle en sortant son gode qui imitait en tout point la queue d’un cheval.
Je ne sais pas si je suis prête à pouvoir m’enfiler un gode aussi gros, et ma mère lit l’inquiétude sur mon visage.
— Ca va aller, allonge-toi et prends ton biberon que j’ai mis de côté.
Le biberon est presque entièrement rempli de sperme, et pour une telle quantité, je sais que tout ne vient pas uniquement d’elle et moi. Je m’allonge et commence à boire, ce qui me rassure et m’apaise. Après quelques instants compliqués, j’entends un cri de joie venant de ma mère.
— La tête est entièrement rentrée, c’est le plus dur, c’est bien ma chérie. Maintenant, je n’ai plus qu’à jouer avec.
Et là pendant cinq bonnes minutes, je suis pilonnée par cette énorme queue, je ne sais plus où donner de la tête et je continue de boire le contenu du biberon de plus en plus avidement.Lorsque ma mère arrête, je découvre que j’ai dû jouir deux ou trois fois, vu comment les draps sont souillés. Une fois le gode sorti, je ressens un vide. Ma mère essaye de me remettre le plug mais il ne tient plus en place tellement je suis dilatée.
— Je vais pouvoir organiser notre petite soirée, mes amis vont t’adorer ma chérie, ils vont bien prendre soin de toi.
Le grand soir est arrivé ! Pour l’occasion, maman m’a fait choisir un déguisement de princesse, et voilà que je me retrouve en tenue de Raiponce, une longue robe violette, perruque blonde, maquillée, à attendre que les invités arrivent.Lorsque ma mère ouvre la porte, je vois rentrer deux hommes. Le premier n’est pas très grand. Il est chauve, trapu, avec un énorme ventre qui dépasse de son pantalon. Le deuxième, d’origine arabe, semble-t-il, a une barbe et porte une djellaba.
— Louis, Mohamed, je vous présente ma petite princesse, introduit ma mère.— Elle est adorable, répondit Louis en me souriant.
Timide, je baisse le regard.
— Et bien éduquée, je le sens, ajoute Mohamed.— Mettez-vous à l’aise, reprit ma mère.
Louis enlève tous ses vêtements, je peux voir maintenant sa queue en érection qui semble de petite taille comparée à son gros ventre. Mohamed lui sort son sexe d’une poche de sa djellaba. Ma mère remonte sa minijupe, sa queue déjà dégagée sur le côté de son string noir. Elle s’allonge sur le lit et me fait signe de grimper sur elle. Telle une amazone, je m’empale sur la queue de ma mère pendant que les deux hommes se masturbent à vive allure. Louis décide enfin de nous rejoindre et se dresse devant, colle son ventre sur mon visage, rapprochant ainsi sa queue qui effleure mes lèvres. Comme par instinct, je me saisis du membre et le mets en bouche.
— C’est bien, tu es une gentille princesse, me dit l’homme.
Louis me prend alors la tête des deux mains, et commence à baiser ma bouche, enfilant toute la longueur à l’intérieur, m’écrasant le visage contre son ventre, ses couilles contre mon menton. Je finis par trouver le rythme pour respirer en suivant ses coups de bassin. Alors que je savoure la grossièreté de cette scène tout en me faisant ramoner par ma mère, je sens une paire de mains se poser sur mes fesses. Mohamed vient de se mettre derrière moi. Ma mère arrête de bouger, et je sens la queue de Mohamed guider son chemin vers mon anus déjà pris. Il insiste un peu, crache sur sa bite, puis essaye de rentrer à nouveau. Le miracle finit par arriver, et Mohamed me pénètre enfin, sa queue serrée à l’intérieur de moi contre celle de mon père. Les deux se mettent à bouger, chacun à son rythme, et me voilà en train de faire enculer par ma mère et Mohamed, pendant que je me fais baiser la bouche par Louis.
Tout le monde est très excité par cette scène. Ma mère éjacule en premier, mais reste en moi sans bouger, pendant que Mohamed continue à me limer. Il finit par jouir lui aussi, et se retire.
— A mon tour de jouer avec elle, exige Louis.
Le gros homme cesse de me baiser la bouche et me soulève comme si j’étais une simple poupée pour me mettre à quatre pattes. Il pose son énorme ventre sur mes fesses et me pénètre. Je vois dans le miroir de la chambre la scène, Louis a une expression ahurissante, et surexcité, il m’agrippe les fesses et bouge à grande vitesse. Dans un râle, il libère à son tour son foutre en moi. Ma mère arrive et me met mon plug pour ne pas que le jus sorte.
— Et si on passait maintenant à table, dit-elle tout enjouée.
La table n’est dressée que pour trois personnes. J’ai à peine le temps de me demander pourquoi que ma mère m’explique.
— Chérie, ce soir tu boiras ton lait directement à la source pendant que les grands mangent à table.
Je vais donc sous la table, et je vois les trois queues qui s’offrent à moi. Elles luisent toutes du sperme de la séance précédente. Pendant que tous les trois mangent à table et parlent comme si de rien n’était, je passe de bite en bite pour les faire bander dans un premier temps, puis au second tour, j’insiste jusqu’à ce que ma récompense arrive et que le bon lait vienne dans ma bouche.Une fois de plus, je vis un rêve éveillé, et je me demande ce que me réserve la suite.
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