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Un papa bi. Et une maman complice...

Chapitre 1

Inceste
Voici une histoire que j’ai hésité à publier, car elle est très personnelle. Elle concerne quelqu’un de proche, qui de plus est du même sexe que moi : mon propre père. 
Mais vous allez le voir, ma mère sera aussi mêlée à cette histoire... De quoi bouleverser la vie du jeune homme sage que je fus.
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Je m’appelle donc Mathieu, j’ai 20 ans. J’habite avec mon père Laurent et ma mère Nathalie, pas loin de 50 ans tous les deux, encore bien en forme, sportifs. Mon père est un ancien skieur de haut niveau, et ma mère fut une gymnaste plutôt douée mais dont la carrière n’a pas dépassé le niveau régional à cause d’une trop grosse poitrine qui la gênait en compétition. Elle avait néanmoins conservé une souplesse très utile dans certaines situation, vous le constaterez...
Un jour de début d’été, alors que la chaleur s’était déjà bien installée, en rentrant à la maison, j’ai ouvert la porte fenêtre qui donne sur notre terrasse, là où mon père avait fait construire une petite piscine l’été précédent. Il adorait nager. C’est là, à deux mètres tout juste de moi, que je l’ai vu allongé à poil dans une chaise longue au bord de la piscine. Il avait les jambes écartées, sa queue bien raide dans la main droite. Il se masturbait tranquillement.
Trouver un membre de sa famille, son père, ou sa mère, dans ce genre de situation, c’est le genre d’événement possible. Disons que la probabilité n’est pas nulle, ça vous est peut être déjà arrivé. Le plus souvent on s’éclipse rapidement et discrètement, on fait comme si on avait rien vu. Et on en reparle plus.
Mais dans mon cas les choses se sont passées différemment. Je suis resté planté là, à deux mètres de lui, à le regarder, littéralement fasciné, en mode "arrêt sur image". Mon père est vraiment un beau mec, bien foutu, grand, musclé. Mais ce qui m’impressionnait le plus était sa queue. Elle était splendide. Droite, dure, énorme, dressée comme une sorte de mat de bateau, imposante.
Ma mère était au boulot, et mon père se pensant seul s’était laissé aller à ce plaisir solitaire. Il n’avait bien sûr pas imaginé que je puisse le surprendre. Il avait les yeux fermés, tout au bonheur de son activité. Il avait un casque de musique sur les oreilles et ne m’avait visiblement pas entendu ouvrir la porte fenêtre. Quoi qu’il en soit l’opération avait l’air délicieuse : il affichait un air parfaitement détendu. Et une érection tout aussi parfaite.Même si pour ma part je n’avais jamais eu de relation avec un mec, j’étais à ce moment là étrangement troublé par la beauté de l’engin. 
Au bout d’une longue minute, il ouvrit les yeux et me vit. Il sursauta, surpris de me trouver là, en face de lui. Il enleva son casque de musique.— Mathieu, qu’est ce que tu fais là ?— Je... J’avais pas cours cet après midi...— Ha mince, j’avais oublié...
Dans un premier temps il sembla très embarrassé (ce qui est assez normal). Il eut le réflexe d’attraper une serviette de bain pour dissimuler son sexe. Mais il sembla réfléchir. Finalement il se ravisa, reposa la serviette à côté de lui, me laissant à nouveau admirer son pénis. Il me regarda avec un petit sourire malin, et recommença même à caresser sa queue doucement.— Mais dis moi, ça fait longtemps que tu me regardes ?
Je ne répondis pas, pétrifié sur place, comme si j’avais été anesthésié. — Hé bien Mathieu, tu ne réponds pas ? J’en déduis donc que ça fait un moment que tu es là ? Ca te fait quoi de voir ton père se masturber ?
Toujours pas de réponse de ma part, juste un silence gêné. Et pourtant je restais là, face à lui, le regard posé sur son sexe dont il entretenait l’érection. Il me regarda d’un air interrogateur. Que penser de ce fils trop curieux ? Il eu alors envie de poursuivre l’expérience, pousser le bouchon plus loin.— Tu la trouves comment ma queue ? Jolie ?
Objectivement c’était en effet un beau pénis. Bien proportionné, long, épais. Mais je restai silencieux. Mon trouble était cependant évident. Mon père fit alors le choix de poursuivre.— Tu aimerais la toucher ? Tu sais fiston, c’est pas grave d’avoir cette curiosité là. Allez, on ne va pas se gêner, entre mecs, non ? Viens, approche toi.
Il s’agissait là évidemment d’une proposition peu banale, carrément transgressive même, surtout venant d’un papa. Comme je ne bougeais toujours pas, il se redressa, prit ma main dans la sienne, me tira vers lui. Ses gestes étaient doux, aucunement brusques, mais fermes. Il accompagna alors ma main jusqu’à son pénis.Jamais il n’aurait pensé que je me serais laissé faire, moi le garçon un peu timide qu’il pensait coincé. Mais contre toute attente je n’ai pas retiré ma main, je l’ai laissée posée sur son sexe. Ce contact était très surprenant. La peau très douce.
Je n’allais pas l’avouer bien sûr, mais depuis quelques temps je fantasmais parfois de faire des trucs avec des mecs, voir ce que ça faisait d’en toucher une, voire la sucer, ou plus. Je n’avais jamais imaginé passer à l’acte réellement (je préférais les vulves des filles), mais la tentation était forte d’aller voir ailleurs.— Tu vois, c’est pas si terrible, non ? Ca ne mord pas ! Tu peux la caresser si tu veux.
Non seulement ça n’était "pas si terrible", mais je devais avouer que j’aimais bien. La peau était fine, délicate, très douce. Oui, toucher la queue de mon père m’était agréable. Quelle surprise ! Alors, suivant ses instructions j’ai commencé à le caresser avec précaution, d’abord avec deux doigt, puis la main entière. Mon père n’en revenait pas que j’ose faire ça, moi le petit garçon sage, trop poli, trop obéissant. Ce n’était pas juste une caresse, mais une véritable masturbation. Malgré son étonnement, il me laissa faire à bander encore plus dur.
Pour ma part j’aimais assez la sensation de sa bite chaude dans ma main. Je me mis à faire des va et vient assez lents, reproduisant au mieux les mouvements qui me faisaient du bien lorsque moi même je me masturbais. Je descendis jusqu’en bas, à la base, tenant la queue à pleine main, en serrant bien, en tirant bien sur la peau, puis je remontai jusqu’à l’extrémité, jusqu’au gland, avec fermeté mais le plus de douceur possible. Mon père adorait. Et moi j’étais heureux de lui faire plaisir.
— Putain, fiston, tu fais ça bien. Je savais pas que tu aimais ça ! Tu l’as déjà fait ?— Heu... Non...— Merde, là je suis scotché ! ... En tous cas tu caresses vachement bien...
En effet son érection était devenue énorme. J’eu peut être alors le tort de me mordre les lèvres, laisser sortir ma langue. Mon père prit cela pour l’expression d’un autre désir.— Tu veux essayer de me sucer aussi ?
Encore une fois je restai sans répondre, bouche bée. Sucer mon propre père ? Voilà une proposition qui m’aurait certainement scandalisé, voire dégoûté, il n’y avait pas si longtemps de ça. Mais là je devais reconnaître que oui, j’avais cette curiosité.J’ai avancé mon visage. Sa queue toujours dans la main, je l’ai regardée de près. Elle était si grosse ! Allais je pouvoir prendre ça dans ma bouche ? Comment allais je m’y prendre ? J’hésitais mais j’avançai finalement mes lèvres et j’entourai juste le bout du gland. Le contact était très agréable. Je commençai alors à le sucer doucement, avec précaution. En même temps je continuai de le masturber. Mon père ne put retenir des gémissements de satisfaction.
— Ha merde, Mathieu, c’est pas mal pour l’instant ! Tu aimes ça aussi ?— Voui p’pa, j’aime bien, répondis je en sortant le gland de ma bouche.— Alors continue mon fils... Tu veux essayer d’avaler toute ma queue ? Je te laisse faire.
Suivant les instructions de mon père, je descendis mon visage, laissant sa queue glisser au plus profond de ma bouche, jusque dans ma gorge. C’était surprenant de sentir ce membre si gros, si chaud, aller si profondément. Et très bon.— Haaa Mathieu c’est délicieux ! Vas y, suce moi encore ! Tu es vraiment doué !
J’avais en effet l’impression d’être assez bon dans la manœuvre. J’aimais bien faire ça en tous cas. Et mon père semblait aux anges. Je faisais aller et venir sa grosse queue dans ma gorge, avec une efficacité qui semblait le ravir. Je le suçai ainsi pendant de longues et bonnes minutes, m’appliquant au mieux, atteignant les limites de sa résistance.Tout en le masturbant j’eu l’idée d’humidifier avec de la salive un doigt de ma main gauche et je l’ai posé à l’orifice de son anus. Alors j’ai poussé un peu, introduisant une phalange dans son cul.— Haaaa ! C’est bon Mathieu ça. Où t’as inventé ça ? C’est délicieux ce que tu fais... Continue !... Haaa ! Petit salop, tu vas me faire jouir !
Encore quelques mouvements bien appuyés de va et vient, encore plus profondément dans ma bouche. Et mon père tressaillit, se cambra en arrière. Sa bite remonta au fond de ma gorge. Il lâcha alors un dernier râle puis je sentis une giclée de jus chaud : son sperme jaillit dans ma bouche. Il y eu plusieurs décharges, d’un liquide abondant. Je le gardai ainsi en bouche jusqu’au dernier tressaillement, la dernière goutte de son jus. Je restai ensuite immobile au dessus de lui, laissant la pression redescendre.
Les yeux fermés mon père mit une bonne minute pour se ressaisir.— Putain fiston, c’était génial ! Je suis stupéfait. Moi qui pensais que tu étais super coincé ! En fait tu es un petit coquin ! ... Mais au fait, mon sperme t’en as fait quoi ? Tu l’as avalé ?— Ben oui....— Ca alors ! Et alors ? Ton impression ?— Ca va... Un peu salé.— Merde... Bravo en tous cas. Pour une première tu fais fort ! Ceci dit tu veux que je te le fasse aussi ?— Je sais pas, papa...— Allez arrête d’hésiter sans arrêt ! Dans la vie il faut y aller, faire preuve d’audace. Laisse toi faire.
Mon père avança ses mains vers mon pantalon. Il ouvrit ma braguette et baissa alors mon short, entraînant avec lui mon caleçon. Lorsqu’il vit ma queue il ne put s’empêcher de lâcher un soupir d’administration.— Waou, fiston, t’as une belle bite toi aussi dis donc ! Tel père tel fils, n’est ce pas ?
En toute modestie j’avais en effet été bien doté par la nature. Mes parents m’avaient bien réussi de ce côté là. Mon père prit mon sexe dans la main et se mit à le caresser. Évidemment je bandais déjà.Il me masturba lentement, regardant ma queue grossir encore. Il semblait vraiment ravi de me voir aussi bien monté. Et je dois dire que pour ma part j’étais heureux de lui faire ce plaisir. Comme tous les gamins j’aimais que mon père soit fier de moi. Il mit alors sans attendre mon sexe dans sa bouche et à son tour il commença à me sucer, avec délice. En l’occurrence il savait y faire, signe que lui n’en était pas à son coup d’essai. Les mouvements de sa bouche étaient si bons, si habiles, que je fus rapidement amené au bord de la jouissance moi aussi.
Mon père dû sentir que j’allais jouir car il ralentit et lâcha ma queue. Il voulait faire durer le plaisir, le salop ! Il me caressa un instant les couilles, l’occasion pour lui de regarder à nouveau combien ma queue était belle. Puis lorsqu’il jugea que j’étais un peu calmé, il se remit à me sucer. Il recommença l’opération plusieurs fois. C’était une véritable torture. J’avais une envie folle de jouir moi aussi, et je priais pour qu’il ne s’arrête pas.
Puis lorsqu’il jugea que c’était bon. Il augmenta le rythme de sa fellation, sans s’arrêter cette fois... Et j’explosai...Je me déchargeai alors à grand renfort de contractions et spasmes impossibles à contrôler, lâchant tout mon jus dans la bouche de mon géniteur. C’était absolument délicieux.
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Évidemment après ce genre d’expérience on pourrait s’attendre à un certain flottement. Je n’avais jamais vraiment eu la curiosité de prendre du plaisir avec un mec. Et encore moins imaginé le faire avec mon propre père. Mais à mon corps défendant j’avais trouvé ça très bon.Après avoir joui, je m’étais assis sur une chaise longue à côté de mon père, et j’avais pudiquement attrapé une serviette qui traînait là pour dissimuler ma nudité. C’était idiot, bien sûr après ce qui s’était passé. Mon père lui, n’avait pas ce genre de pudeur, et laissait son sexe alangui profiter encore de la chaleur du soleil.
— Ca t’a plu ? demanda mon père, mi inquiet mi amusé par mon air gêné.— Heu... Oui, ça va.— Juste "Ca va" ? Ou c’était bon ?— C’était bon. Vraiment.— Tant mieux.— J’avais jamais fait ça papa.— Je m’en doute Mathieu ! Moi par contre je dois t’avouer que c’est pas ma première fois.— J’avais bien compris, papa... Tu l’as fait souvent ?— Ca dépend. Pas souvent. De temps en temps.— Avec qui ?— Des rencontres avec des mecs sur internet. Sinon j’ai quelques copains qui aiment bien ça aussi.— Mais ça fait longtemps que tu le fais ?— Pas mal, oui. J’avais ton âge la première fois.
Evidemment pour moi qui avais toujours pensé que mon père était un hétéro pur et dur, tout ceci était un peu perturbant.
— Et maman ?— Comment ça ?— Elle est au courant ?— Oui. Je lui ai tout de suite avoué quand je l’ai rencontrée. Mais elle est très ouverte sur la question. Je lui dis tout.— Ha ? Tu lui dis quoi ?— Je lui raconte avec qui j’ai fait ça, comment ça s’est passé. Je lui donne même des détails.— Mais ça ne la gêne pas ?— Non pas du tout Ce n’est que du sexe, après tout. En plus je crois que ça l’excite pas mal que je m’amuse un peu avec des bites.— Ha bon ?— Oui. Tu sais c’est un fantasme pour beaucoup de femmes, voir deux mecs ensemble. Parfois même ça lui arrive de participer aussi...
Je ne pus m’empêcher d’imaginer mon père avec un autre mec, en train de se caresser, se sucer, et ma mère les regarder. Je trouvais cette idée très excitante. Si elle avait déjà participé elle aussi, peut être qu’elle se faisait baiser même après par mon père et l’autre homme en même temps ? Je n’osai poser la question.
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Les jours qui suivirent furent assez spéciaux. C’était le début de mes vacances d’été et je restais à la maison. Avec mon père nous passions beaucoup de temps autour de la piscine. On se baignait à poil, c’était très agréable.En sortant de l’eau mon père attrapait une serviette de bain et il commençait à me sécher. Mais ses mains étaient vite baladeuses. Très rapidement on se retrouvait à se caresser la bite. Mon père semblait s’être découvert une vraie passion pour mon organe viril. Lorsqu’il se mettait à le faire grossir, il semblait fasciné. Une fois bien excités on s’installait sur une serviette au sol, sur la pelouse, et on commençait à se caresser mutuellement. J’adorais tenir son gros sexe dans la main. Mais j’aimais le prendre dans la bouche aussi.
Nous passions ainsi beaucoup de temps en 69 à se délecter de nos membres respectifs. La queue de mon père m’enchantait et j’adorais la prendre tout au fond de ma gorge. Nous faisions quelques incursions anales, mais juste avec les doigts. Ce qui était néanmoins délicieux.
Ces échanges firent naître une grande complicité entre nous. Lorsque j’étais gamin, et même adolescent, lui et moi ne parlions pas trop, nous n’avions jamais de discussion intime entre père et fils. Il était trop occupé entre son sport et son boulot. Mais là nous devenions les meilleurs copains de monde. Ce n’était pas que du sexe entre nous, mais une véritable bonne entente. On parlait de tout, de la vie, des filles, de nos aventures respectives.
Un après midi nous étions tranquillement allongés au bord de la piscine, à poil, lorsqu’on s’est mis à parler.
— Je me rappelle encore quand tu étais gamin, dit il ému. Tu n’étais pas très costaud. Et là je te vois avec cette queue énorme... Ça me fait bizarre de te voir si grand, avec une si belle bite, j’adore. Si ta mère savait ça...— Si elle savait quoi ?— Que tu es si bien membré. Elle t’a jamais vu en érection, non ?— Ben non. Je crois pas.— Quel dommage ! Dis moi, Martin, je peux te demander un truc ? Tu as déjà imaginé faire des trucs avec elle ?— Avec maman ?— Oui. Elle est plutôt sexy et tu ne serais pas le premier jeune mec à fantasmer sur sa mère. Peut être même que tu as rêvé un jour de faire l’amour avec elle. Tu n’as jamais récupéré ses petites culottes pour te donner du plaisir ?— Je ne sais pas, papa.— Allez, pas de gêne entre nous. Je suis sûr que ses gros seins t’excitent. Et ses belles fesses aussi. Tu y as déjà pensé en te masturbant ?— Ca m’est arrivé, oui.— Ha j’en étais sûr. Vas y, ferme les yeux.— Pourquoi ?— Imagine ta mère à poil, jambes écartées.— A poil ?— Oui. Elle a une très jolie fête. Sa vulve est charnue, les lèvres de son sexe, bien gonflées. Imagine les, un peu ouvertes, avec de la cyprine.qui suinte au milieu lorsqu’elle est excitée... Excitée par ta bite. 
Qu’un père demande à son fils ce genre de chose était fou. Mais nous n’étions plus à une excentricité près. En même temps il avait mis sa main sur ma queue et avait commencé à me masturber. Suivant ses instructions j’ai fermé les yeux et imaginé ma mère nue, jambes écartées.
En effet rien que le fait de me représenter sa chatte suffit à m’exciter. Je n’allais pas l’avouer à mon père, mais depuis que j’étais adolescent ma mère faisait largement partie de mes objets de fantasme. Ancienne gymnaste elle était encore très souple et il lui arrivait encore de faire des exercices en tenue moulante, des grands écarts très suggestifs.
— Putain fiston, t’es vraiment excité ! Visiblement ça te fait de l’effet, de penser à elle ! Vas y continue, pendant que je m’occupe de toi.
En un rien de temps je bandais dur. Et lorsque mon père se mit à me sucer, j’imaginai que c’était ma mère qui me faisait ça. J’imaginai ensuite rentrer ma queue dans le chaud vagin... J’imaginai la prendre doucement, laisser ma queue aller et venir en elle... Le résultat ne se fit pas attendre. Je fus pris par un impérieux désir de jouissance.
— Haaa, papa, je vais jouir !— C’est bien ! Laisse toi aller fiston !
Mon père accéléra ses mouvements de bouche, et je me lâchai bientôt dans sa bouche. Ravi, il avala tout mon sperme, se léchant même les babines pour n’en rien perdre.
— Hé bien fiston, tu étais encore plus excité que d’habitude !— Tu avais raison papa, ça m’a vachement excité de penser à maman.— Petit salop, tu n’as pas honte ? Je suis son mari, je te signale !— Heu je suis désolé papa.— Ha ha ! Non je rigole ! Pas de soucis. Au contraire c’est bien d’assumer tes fantasmes. 
Il fit une pause, sembla réfléchir.— En fait je crois que je vais changer d’avis et je vais même lui en parler, à ta mère.— De quoi ?— Ben de tout ça. De ce qu’on fait, et de ton attirance pour elle.— Non, s’il te plaît !— Allez, ne t’en fais pas. Ça ira bien.— Tu crois ? Ça ne va pas la choquer ?— Je suis sûr que non. Au contraire. Pour tout t’avouer je pense que ça va même lui faire plaisir. Elle sera flattée.— Papa, ça me fait un peu peur quand même !— Peur de quoi ? Du plaisir ? Allez décontracte toi, ça va bien se passer.
Je n’osai imaginer ce que cette promesse impliquait : s’il parlait de tout ça à ma mère, soit elle serait irrémédiablement choquée, soit au contraire elle choisirait de rentrer dans le jeu... Qu’allait il se passer ?
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Le lendemain c’était un samedi, nous avions déjeuné en famille sur la terrasse, au bord de la piscine. Il faisait chaud, la journée était belle. Mon père et ma mère semblaient détendus, discutaient agréablement, en prenant le café. J’étais un peu plus nerveux pour ma part. Dès le matin j’avais remarqué que ma mère était vêtue de façon très sexy, avec une toute petite jupe très courte et un chemisier en soie rouge parfaitement décolleté sur sa grosse poitrine. OK il faisait chaud. Mais tout de même !... Et en me faisant une bise le matin, sa bouche passa très près de la mienne. Était ce là aussi involontaire ? 
— Papa, tu as parlé à maman ? avais je demandé discrètement. Elle est bizarre aujourd’hui. — Hé hé, mystère... Attends un peu, tu verras. 
Après son café mon père se tourna vers nous, jovial. — Ça vous dit une baignade ? — Très volontiers, répondit ma mère gaiement. 
Mon père se leva, se rapprocha de la piscine et commença à se déshabiler. A ma grande surprise il enleva aussi son caleçon, exhibant face à nous une lqueue aux dimensions plus qu’honorables.  — On se baigne à poil aujourd’hui ? proposa t-il de façon enjouée. — Oui, pourquoi pas, répondit ma mère. 
J’étais sidéré. Jamais le naturisme n’avait été une activité familiale. Et encore moins dans les circonstances qui allaient suivre... Mon père se dirigea vers la piscine et sauta à l’eau. 
— Ha, elle est délicieuse ! Vous venez ? — J’arrive, répliqua ma mère. 
A ma grande surprise je vis donc ma mère se diriger vers la piscine et elle aussi commencer à se deshabiller. Elle retira sa petite jupe, son chemisier, qu’elle plia avec précaution et rangea sur une chaise. Puis sous mes yeux médusés, et sans l’ombre d’une quelconque pudeur, elle enleva aussi son soutien gorge et sa petite culotte. 
Elle était nue, magnifique, son corps sculpté par des années de gymnastique, superbement conservé. Ses seins étaient parfaits, ses fesses, plutôt menues, musclées, rondes à souhait. Elle me tournait le dos, et je ne voyais pas vraiment sa fente. Mais je devinais quelles promesses voluptueuses était cachées làLentement elle descendit les marches de l’échelle de la piscine, et se laissa couler dans l’eau. 
— Mathieu, tu viens toi aussi ? s’écria mon père. — Heu, oui j’arrive. 
Quel autre choix avais-je que me dévêtir à mon tour pour les rejoindre à l’eau ? Je ne voulais pas paraître ni rabat joie, ni coincé. Alors que j’enlevai mon caleçon. Je n’osais regarder ma mère, mais je sentais son regard. Elle était visiblement curieuse. Puis je les rejoignis dans l’eau. 
Mon père semblait ravi. — L’eau est délicieuse aujourd’hui. Quelle belle journée ! Et c’est super d’être là en famille. Je suis vraiment content. — Tu as raison, confirma ma mère. Un vrai régal. 
Mon père me fit un petit clin d’œil, nagea un peu puis s’approcha de moi. Sous l’eau je sentis sa main baladeuse se poser sur mes hanches, mes fesses, puis s’orienter vers ma bite. En même temps qu’il commença à me caresser, il discutait l’air de rien avec ma mère, juste à côté de nous. — J’ai bien eu raison d’insister pour qu’on fasse construire cette piscine. C’est vraiment trop agréable. — Je reconnais, oui, sourit ma mère. 
Sous l’eau il était difficile de voir ce qui se passait. Ma mère réalisait-elle que mon père était en train de me masturber ? En tous cas sa présence ne semblait pas trop déranger mon père dans ses attouchements, de plus en plus excitants. Je ne tardais à être pris d’une bonne érection. 
Mon père prit alors le bras de ma mère et l’amena à se rapprocher de nous. Elle était maintenant collée à nous. Sous l’eau, outre la main baladeuse de mon père, je sentis une autre main de poser sur mes hanches. Celle de ma mère ? Mon érection était maintenant complète. Impossible à nier. Mon père aussi bandait. Ma mère était tout contre nous, il était évident qu’elle aussi sentait nos sexes qui l’effleuraient, se pressaient contre ses cuisses. Elle se colla encore plus contre nous. De toute évidence c’était bien sa main que je sentais sur mon sexe dur. A son tour elle commença à me masturber.Moi même, ne sachant que faire de mes mains, je les avais posées sur les fesses de mes deux parents. En même temps que je caressair la bite de mon père, j’essayais de trouver la vulve de ma mère. Passant la main entre ses jambes, je sentis les lèvres de sa chatte. 
— C’est excitant tout ça, lança mon père. Venez, on sort de l’eau, on sera mieux. 
Mon père rejoignit l’échelle qui permettait de sortir de la piscine, faisant attention de ne pas accrocher les barreaux avec son sexe en érection. Ma mère fit de même, grimpa l’échelle, me livrant au passage une fantastique vue sur son entre jambe, par derrière. Mon père n’avait pas menti : sa vulve était splendide, les lèvres de son sexe charnues à souhait.
À mon tour je sortis de l’eau, suivant ma mère de près. 
Elle s’installa sur une serviette étalée dans l’herbe à côté de mon père, et commenca à l’embrasser, le caresser. C’était très impressionnant de voir mes deux parents lancés dans ces jeux amoureux. Il bandait dur. Sans l’ombre d’une hésitation, absolument pas gênée par ma prèsence, ma mère se mit à le sucer. 
— Viens, approche toi ! me fit signe mon père. 
Lorsque je fus à côté de lui, tout en se faisant sucer par ma mère, mon père saisit ma queue et se mit alors à me masturber doucement, comme il savait si bien faire. Malgré (ou à cause) de la présence de ma mère, je me mis à bander très dur. Elle suçait la bite de mon père mais de temps en temps jetait des petits coups d’œil vers moi, ne perdant pas une miette du spectacle. 
Mon père prit alors mon sexe dans sa bouche. Il se mit à son tour à me sucer lentement, montant et descendant le long de mon membre de plus en plus dur et long. Sa fellation était délicieuse, comme d’habitude, et peu à peu je me laissai emporter par le plaisir. 
— Elle est tellement bonne, cette queue, lança mon père. Veux tu en profiter un peu, ma chérie ?— Je ne sais pas si je vais oser ! — Bien sûr que si, vas y, tu en as envie, je le sais !— C’est vrai... 
J’arrêtai de respirer lorsqu’elle se pencha sur ma queue. Elle déposa un délicat baiser sur le bout du gland, puis doucement elle mit mon organe dans la bouche. Elle se lança dans une délicieuse fellation, comme s’il s’agissait d’un long et délicieux sucre d’orge. Elle s’appliqua à sa tâche avec une douceur et un savoir faire incroyable. 
— Alors ma chérie, ton verdict ?— Hmmmh, je reconnais qu’elle est bonne, délicieuse même, lança t-elle en souriant.  — Bien ! Tu me comprends maintenant d’avoir commencé tout seul ? Je n’ai pas pu résister. 
Ma mère recommença à me sucer, de plus en plus goulument, amoureusement, puis elle laissa mon père alterner avec elle. Comment décrire ce spectacle de mes deux parents en train de s’occuper de moi ? Il me suçaient à tour de rôle avec autant d’appétit l’un que l’autre. Ma mère était folle. 
— J’adore cette queue ! lâcha t-elle, ivre de plaisir. — Tu en as envie ? demanda mon père. — Oui, je dois avouer que ça me tente. — Allez, ne te prive pas ! 
Ma mère n’hésita pas longtemps. Bien installée sur une large serviette de bain étalée dans l’herbe, elle écarta les jambes, m’offrant le spectacle de sa vulve fantastique. Elle fit mine de faire quelques assouplissements, histoire de me laisser l’admirer mieux encore. Je devais avouer que sa souplesse était impressionnante. Je me redressai et m’installai entre ses jambes écartées. Sa chatte était prête à me recevoir. J’orientai alors ma bite en direction de la vulve. Je poussai un peu et mon gland pénétra entre les deux lèvres. Je poussai encore....et comme par miracle ma queue pénétra d’un coup. En quelques secondes j’étais au fond. Quelle incroyable sensation de pénétrer sa mère ! 
J’entâmai ainsi de délicieux va et vient à l’intérieur de la matrice de ma génitrice. Je regardai ma queue aller et venir, assez stupéfait, toute dégoulinante de cyprine blanche. 
— Ho c’est bon ! s’exclama ma mère. — Oui, elle est bonne ta chatte maman. — Ho oui ! — T’aimes ça, hein, fiston ? lança mon père. — Ho oui j’aime ça !  — Alors vas y baise la fort. Défonce la ! 
Mon père était à côté de moi et se masturbait en nous regardant, tout excité. C’était vraiment un drôle de gars. Comment pouvait il prendre autant de plaisir à voir son fils baiser sa propre femme ? Quoi qu’il en soit je n’allais pas cracher dans la soupe. J’étais moi aussi trop excité. 
Je n’avais pas l’intention de laisser mon père tout seul dans son coin. En même temps que je baisais ma mère, je me mis à le masturber. Il était extraordinairement excité. Visiblement le fait de m’avoir vu pénétrer ma mère lui avait beaucoup plu... C’était fou ! 
Il me laissa baiser ma mère jusqu’au bout, jusqu’à ce que j’arrive au bout de ma résistance. J’avais une envie folle de jouir. — Vas y fiston, libère toi. 
Et j’explosai à l’intérieur de ma mère... 

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