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LE PAPILLON

Chapitre 1

Hétéro
Je regarde par le hublot, la mer s’étend à perte de vue. On loin on aperçoit une plage de sable blanc et de la végétation.Nous arriverons d’ici quelques minutes comme nous l’a annoncé le commandant de bord. Le soleil tape fort dehors. J’attache ma ceinture pour me préparer à l’atterrissage. A côté de moi, mon épouse fait de même. La classe affaire de cet avion s’éveille alors que s’allume le voyant nous indiquant de boucler nos attaches. Tandis que l’avion amorce sa descente, je me laisse aller à une rêverie. Quelques années plus tôt nous étions enfermés moi et mon épouse dans ces minuscules toilettes étouffants nos cris pour ne pas éveiller les soupçons des hôtesses. Nos positions étaient inconfortables mais l’excitation à son summum. Un début d’érection saisie ma queue alors que je me remémore ces moments, nostalgique d’une époque où nous étions fougueux et insouciants. D’aussi loin que je puisse m’en souvenir j’ai toujours été un fou de sexe.
J’ai bizarrement été puceau jusqu’à très tard, mon physique n’étant pas particulièrement en cause.Je suis brun, des yeux bleus, une taille standard et un physique assez sportif. C’est surtout dû à mon éducation. Ayant été dans un internat pour Garçon jusqu’à mes 18 ans j’ai dû attendre 19 ans avant de rencontrer ma première petite copine sérieuse, qui par la suite est devenu mon épouse. Nous sommes très vite tombés très amoureux et nous avons expérimenté notre première fois ensemble. Pas fou ai-je envie de vous dire. Pas ce à quoi je m’attendais. Mais avec la pratique vient le plaisir. On découvre ce qu’on aime, on explore ses plaisirs, on apprend à mieux se maitriser et à mieux maitriser ses mouvements, et très vite on comprend que la branlette n’est rien comparé au plaisir qu’on peut ressentir quand sa bite est emprisonnée voire étouffée par une chatte trempée au comble de l’extase et de l’orgasme. Pour expliquer nos rapports il faut savoir que toute nouveauté sera expérimentée après moultes négociations et dans un état d’excitation extrême. Elle n’est pas particulièrement portée sur la chose. Elle est très fidèle, jamais elle n’envisagerait de se taper un autre homme et jamais elle ne me tromperait. Elle a le contact aisé et ne se prive pas de papoter pendant des heures avec des hommes ou des femmes de n’importe quels sujets.
Elle aime le sexe quand on en fait mais n’est pas forcement très demandeuse. Par contre elle jouit.Elle aime ça et ça se voit.Je lui ai acheté un vibro pour nos ébats. Je voulais surtout ne pas la brusquer avec un gadget qui effraie. Quelque chose de sobre et d’épuré mais qui soit d’une redoutable efficacité.Elle aime l’utiliser quand je la prends et alterner les différents modes à pleine puissance.J’ai même réussi à la convaincre de la laisser se faire enculer. Au départ ce fut douloureux mais par la suite je l’ai prise à plusieurs reprises par derrière et je peux dire qu’elle aime ça. Je vous passe les 15 premières années, mariage, vie d’insouciance, amour fou, les enfants…
(en colonie pendant 1 mois)………monotonie, première tromperie, première séparation, puis deuxième tromperie plus discrète avec la collègue de travail puis reprise des folles galipettes avec madame.18 années que je connais ma femme. Combien de positions, combien de nouveauté peut-on expérimenter avec la même personne.J’ai toujours quant à moi mon cerveau de 15 ans. Ce qui m’excite par-dessus tout ce n’est pas le voyeurisme, ce n’est pas le candaulisme, mais c’est un peu des deux.Dans mes rêves les plus fous je vois ma femme se faire prendre par deux hommes que je connais. Elle ne me voit pas, mais moi je la vois prendre son pied comme jamais. Une bite dans la bouche lui déformant les joues et l’autre dans son cul allant et venant au plus profond de son trou. Je suis loin mais je sens l’odeur du foutre, j’entends le bruit des couilles qui claquent sur ses fesses. Je vois les bites entrer et sortir de ses trous parfois en simultané parfois en décalé. Quand enfin j’imagine son visage un peu rougi par l’effort, brulant sous l’excitation, recevoir deux gros jets collants sur ses lèvres et sur son front. Une goutte de sperme restant en suspens sur le coin de ses lèvres, La bouche entrouverte à la recherche d’air.
J’ai souvent fait ce rêve.
Il m’est arrivé de lui glisser un mot à ce sujet, sur le ton de la rigolade, parfois pendant qu’on baise. Je lui glisse à l’oreille la possibilité qu’un autre l’homme la prenne par le cul, pendant que je la pilonne avec ma queue bien plantée au fond de sa chatte. Je n’ai pas osé passer à l’action, j’ai trop peur qu’elle me quitte, maintenant, je tiens à elle, j’aime ma femme, elle est indispensable à ma survie.La vie bat son plein. Ma carrière professionnelle décolle, j’ai beaucoup de boulot. J’ai appris à ranger ma queue dans mon caleçon. J’ai pris de l’assurance et de l’importance et ma famille aussi. La maturité dirons-nous. Je ne me laisse plus tenter par la secrétaire qui a volontairement mis une jupe un peu trop courte pour une soirée boulot, ni par ta comptable qui mâchouille la branche de ses lunettes en te jetant un regard lubrique. Rien n’est plus efficace pour rendre un homme fidèle que la peur de perdre l’être aimé. Elle m’a pardonné mes écarts, m’a soutenu dans mes projets, m’a accompagné depuis tout ce temps main dans la main, sans jamais fléchir.Elle, n’a jamais été aussi belle. Elle est de plus en plus à l’écoute de son corps pendant nos rares ébats et il lui arrive même de laisser le vibro sur son clitoris bien après avoir joui pour la première voire pour la seconde fois.Parfois je me retire et la regarde se faire du bien pendant de longues minutes. Les joues empourprées, la bouche entrouverte, les yeux mi-clos et les jambes légèrement relevées.Ma libido n’a pas baissé, mes fantasmes non plus, mais c’est l’Energie que je dois mettre dans la persuasion qui ont eu raisons de nos fréquences de baise.
Nous sommes devenus un couple modèle, belle réussite, le combo belle maison belle voiture.Mais putain le désir s’envole.Lorsque nous faisons l’amour 3 fois dans la semaine j’ai le sentiment d’avoir accompli un exploit. Je me sens comme l’alpiniste qui plante son drapeau au somment de l’Everest. Ce dont je rêve et ce que je veux c’est de l’excitation, de la frustration et du désir tellement fort qu’on en jouit dans son froc comme le premier puceau devant une danseuse exotique.Je veux de la passion, je veux du danger, je veux avoir le sentiment de tout perdre en gardant le contrôle. Illusoire je me dis….tu ferais mieux de continuer à te branler sur internet si tu veux du fantasme. L’avion, n’est plus qu’à quelques mètres du sol. Je me cramponne aux accoudoirs. Le choc se fait sentir et le crissement des roues se fait entendre. De dehors je vois le sol défiler à une vitesse incroyable. L’avions s’immobilise et nous défaisons notre ceinture. Ma femme porte un jean gris, déchiré au niveau des genoux. Elle a mis un t-shirt ample F***k me i’am famous, qui laisse entrevoir sur le côté la couleur de son soutien-gorge….
(noir en dentelle)…..….et sa peau légèrement mate. Elle se coiffe d’une casquette, me tend ses levres et me gratifie d’un petit baiser. Elle est rayonnante, le visage vierge de tous maquillage. C’est au naturel que je la préfère.Quelques heures plus tard, nous sommes dans notre salon. Le valet me tend la main, paume vers le haut, et j’y dépose un billet de 1000 francs pacifiques. Il se retire et nous laisse découvrir notre nouvelle maison pour les deux semaines à venir. Le cabanon donne sur la plage, une vue à couper le souffle, du sable si fin qu’il glisse même à travers les fentes d’un poing fermé…. et du soleil, beaucoup de soleil.Il est tard dans la journée, le voyage ayant été rude, et nous sommes extenués. San même nous consulter, nous nous dirigeons ensemble vers la chambre, et fermons les volets. Quand tu passes 18 années de ta vie avec la même personne, tu es comme connecté à elle. Les envies jaillissent en même temps….
(pas toute les envies)….…..et c’est souvent même que tu en viens à penser à la même chose au même moment. Un souvenir, une odeur. Tu partages tellement de choses ensemble, que telle couleur ta rappelle tel moment, et telle odeur telle destination. Nous ouvrons la couverture et nous écroulons comme des masses, le son des vagues berçant nos oreilles, plus efficace que compter ces foutus moutons. Le lendemain matin je me sens requinqué. Je me lève et commande notre petit déjeuner. Ma femme dort, encore, je ne la réveillerais que quand tout sera prêt.Il dispose les plats sur la table de la terrasse à l’abri d’un gigantesque palmier. Quelques rayons transpercent les branches et réchauffent ma peau. J’ai enfilé un pantalon en toile blanche. Des œufs brouillés, une baguette, du jus d’orange, des fruits frais et du café. J’en emplit un verre et l’apporte prêt du lit. Elle ouvre ses magnifiques yeux noisette et me jette un regard endormi.
Nous petit déjeuner longuement, elle un livre à la main, moi ma tablette vérifiant mes mails, flânant sur le web. Nous trainons, seules les vacances nous le permettent. Midi approchant, je me décide à aller faire un peu de sport. Footing probablement. Pour moi les vacances ne se résument pas qu’à lézarder sur un transat, il me faut un peu de fatigue physique, de l’activité, du mouvement. Cela est loin de déranger madame, pour elle c’est effort minimum et farniente maximale.J’enfile mes baskets, un short, un t-shirt et une casquette. Haute sur mon bras, une pochette en plastique transparent garde mon téléphone, l’empêchant de s’enfuir. Sur mes oreilles mes écouteurs diffusent une playlist que j’ai concocté, un mélange de musique de motivation et des tubes du moment.J’aime découvrir les paysages en courant, sentir le pays. J’embrasse ma femme, qui en a elle aussi profité pour se changer. Cette année la mode est au maillot de bain une pièce, et je dois dire que celui qu’elle s’est choisie lui va à ravir. Il est blanc, serre ses seins et son cul les mettant divinement en valeur. Au-dessus de sa poitrine, deux bandes de Licra se croisent pour venir se rejoindre dans le haut de son dos. Elle est bandante, classe et majestueuse.
Je me penche vers elle et lui roule une pelle. Ma langue fouille sa bouche, mais je ne la sens pas joueuse. J’attrape une bouteille d’eau et m’en vais en trottinant. Me voilà parti. La chaleur est écrasante, mes jambes sont lourdes mais je me force à continuer. Petit à petit je trouve mon rythme, la musique dans mes oreilles. Il fait chaud, mais le vent marin caresse mon visage. Autour de moi, des vacanciers se dirigent vers la plage, une serviette sous un bras, une bouée sous l’autre. Mon parcours m’emmené au loin, j’ai surement parcouru 7 ou 8 km lorsque je fais demi tout. Presque arrivé à destination, je m’arrête à un bar de plage et commande un café. Aucune obligation, rien ne presse, je profite du temps qui m’est accordé pour me détendre.
Il est 15h quand je décide de rentrer. Ce circuit m’a ouvert l’appétit.Je décide de rejoindre la maison, en passant par la plage, A l’approche de celle-ci je constate que nous avons des voisins, je vois à une vingtaine de mètre un autre cabanon, en tout point similaire au notre. Alors que je m’apprête à rejoindre notre maison, je surprends la voix de mon épouse. Elle semble en pleine discussion. Je l’imagine au téléphone avec sa meilleure ami, à qui elle doit raconter son voyage, la magnifique villa dans laquelle nous séjournons et la météo splendide.A ma grande surprise, c’est avec un homme qui se tient debout lui faisant face. Mon instinct m’ordonne de me cacher, je plonge derrière un arbre.Je suis à une 30aine de mètres, je ne capte que quelques sons, incapables de déchiffrer leurs phrases.
Jouer aux espions réveille en moi des fantasmes de longues dates. Je les observe au loin, tentant de lire sur leurs lèvres. Mon regard tombe sur l’homme qui accapare l’attention de ma chérie. Il semble beau de dos. Je ne suis pas Bi mais je sais reconnaitre un spécimen au-dessus du lot.Il mesure 1.85, un dos en forme de V. des cheveux longs mais pas trop tombent avec élégance sur sa nuque. Ses fesses sont de l’acier, je le parierai. Ses mollets galbés supportent sa masse.Il a les bras croisés sur son torse et fait face à mon épouseLe tableau est splendide. Derrière eux la mer est bleue, transparente, cristalline. Mon cerveau me projette des images obscènes
Ma femme est à genoux, en train de sucer la bite du type. Il a son short, baissé sur ses genoux, allant à la rencontre de cette bouche accueillante. Les mains derrière le crane de ma femme, il imprime un rythme d’enfer, cognant sa queue au fond de la gorge de sa suceuse. Je secoue mon visage, faisant disparaitre ce que j’imagine.J’aimerai les surprendre, afin alimenter mes fantasmes. Parfois un simple geste, un regard, la caresse d’une main dans des cheveux, une lèvre qu’on mordille suffit à élaborer le scénario le plus invraisemblable qui soit. J’ai du mal à saisir le sujet de leurs discussions mais j’observe mon épouse agiter les mains et l’homme rire. Elle retire son grand chapeau de paille et se recoiffe.Ce geste en apparence si insignifiant m’électrise. Je me rends compte de l’absurdité de ce que je ressens mais c’est plus fort que moi. Elle semble tellement insensible aux autres hommes habituellement que peut être ce geste, aussi anodin soit il est le signe de son attirance physique vis-à-vis de ce mâle qui respire la puissance et l’assurance. Je l’observe se recoiffer et poser son chapeau sur le transat. Sa main se fait caresse sur son bras et vient se poser sur sa taille. J’assiste alors à une sorte de ballet entre elle et lui. Il décroise ses bras et vient lui aussi les poser sur sa taille.
Ils semblent absorbés dans leurs discussions, dans un environnement insonorisé. Mon cerveau est en ébullition et mon imaginaire fonctionne à plein tube. Je suis décidemment trop loin pour entendre quoi que ce soit mais je l’imagine la complimenter sur sa silhouette, sur le fuselage de ses jambes, la douceur de sa peau ou l’odeur de sa chatte. La je divague complètement…(la chaleur sans doute)……mais comme écho à mes propres pensées elle rejette sa tête en arrière et éclate d’un rire franc et sonore tout en posant une main sur l’avant-bras de son interlocuteur. Je suis estomaqué, elle qui habituellement déteste le contact la voilà qui initie le contact. L’homme n’y semble pas insensible et je le vois se rapprocher délicatement tel un animal sauvage à l’affut de sa proie. S’ensuit une dizaine de minutes ou rien ne se passe. Je la vois ramasser son chapeau et ils semblent se dire au revoir. J’espère les voir s’effleurer et résister à la tentation de se jeter l’un sur l’autre mais en même temps j’espère que rien n’arrivera car cette idée m’excite et me rend malade en même temps. Aucun contact. Peut-être ai-je imaginé cette main sur l’avant-bras, peut-être ai-je imaginé que l’homme se rapprochait, peut être suis-je fou et tellement obsédé par la vision de ma femme prise par un autre homme que j’en viens à surinterpréter tous ces faits et gestes.
Elle s’éloigne à reculons et semble continuer à parler et à rire en simultané. Ils semblent tous les deux avoir beaucoup de mal à se quitter des yeux ou de corps d’ailleurs. Je vois l’homme s’éloigner et décide de prendre mon temps pour revenir chez moi. Si j’arrivais maintenant ce serait une trop grosse coïncidence. Je n’ai pas besoin de faire en sorte de transpirer à nouveau, leur petit manège m’a mis en ébullition. Je prévois d’aller me soulager sous la douche en me remémorant ce que j’ai pu observer. A mon arrivée je fais comme si de rien n’était, un coucou rapide et direction la cuisine pour une bière bien fraiche. Je ferme la porte du frigo et m’assied sur le bord de l’ilot de la cuisine pensif. Je n’ai pas totalement bandé mais on peut dire que ce petit espionnage m’a quelque peu émoustillé. J’entends ma femme se lever et se rapprocher de la cuisine.Je crois qu’elle va elle aussi se diriger vers le frigo pour prendre une bière mais c’est vers moi qu’elle vient. Elle se saisit de la mienne et la porte à ses lèvres. Une petite succion sur le goulot, je vois le liquide brun glisser entre ses lèvres et je l’imagine couler dans sa gorge. Un petit pop se fait entendre lorsqu’elle la retire de sa bouche.
Une autre gorgée, mais cette fois ci elle garde le précieux nectar au lieu de l’avaler. Elle dirige ses lèvres vers les miennes et je sens le liquide passer de sa bouche à la mienne. Je souris, elle aussi. Le contraste entre la fraicheur du breuvage et la chaleur de ses lèvres est saisissant. Elles me semblent anormalement gonflée et pulpeuse. Son baiser se fait de plus en plus pressant, je sens également ses mains remonter le long de mes mollets. Je pose mes mains de chaque côté de mes jambes alors que les siennes arrivent au niveau de mes cuisses.Elles remontent par-dessous mon short à la lisière de mon caleçon. Tout doucement elle repasse par-dessus le short et se chargent de masser la zone. Elles explorent la zone de façon méthodique jusqu’à effleurer par moment ma bite à demi gonflée. Je bande dans mon esprit plus que dans mon short. Sa soudaine excitation n’est pas anodine. Elle qui préfère le confort de son lit, me saute dessus subitement en pleine cuisine. Le bellâtre n’y est pas pour rien j’en suis presque sur. Sa paume masse mon sexe à travers le tissu.
Ma bite gonfle, je bande dur, très dur.C’est presque dans un feulement qu’elle me dit qu’elle a envie de ma queue.Qu’elle est belle, ses pupilles sont dilatées comme si elle était stone. Elle baisse mon short avec précipitation. Je surélève mon bassin pour la laisser faire et m’allonge sur le lit improvisé en marbre blanc et froid. Ma queue est dressée, fière et droite, pas une demi molle, une gaule de compétition. J’attends le contact de ses lèvres chaudes et humides, replie mes mains à l’arrière de mon crane et y pose ma tête.Surpris, je la vois escalader l’ilot elle aussi. Elle se retourne et me fait dos. Elle se positionne pile poil au-dessus de ma bite une main écartant son maillot de bain pour laisser entrevoir sa fente. Elle est trempée, luisante de mouille
J’en étais sûr elle est bouillante. Elle veut que je la baise et elle n’a pas l’intention de s’embarrasser de préliminaires.J’attrape l’arrière de son maillot et le tient écarté moi aussi. Son cul m’apparait, magnifique, lisse, plissé et imberbe. Elle attrape ma queue de sa main droite et se tient en équilibre sur sa main gauche les jambes repliées. D’une flexion elle s’enfonce. Ma bite coulisse comme une tige de forage. Elle s’introduis telle une sonde dans une terre à explorer. Un gémissement se fait entendre. Ma bite est lubrifiée au maximum elle mouille comme chienne en chaleur. Elle se laisse retomber jusqu’à mes couilles et s’assoit presque sur mon chibre. Je la sens remuer d’avant en arrière alors que sa main vient relever les cheveux qui tombaient sur son visage.Le mouvement reprend, je vois les muscles de ses mollets se contracter en même temps que je vois ma queue réapparaitre, luisante de son jus. Il se fait régulier, elle monte puis redescend dans un rythme de plus en plus rapide.L’excitation est à son comble. On pourrait presque la sentir dans l’air. Ma queue palpite comme une bombe à retardement. Ma main se dirige vers son clitoris. Il est gonflé et elle tressaute dès que je commence à agiter mes doigts. Mon majeur et mon annulaire font un mouvement circulaire. Son souffle se fait bruyant et de plus en plus court. Je la sens au bord de l’orgasme. Elle a rejeté sa tête en arrière et ses cheveux caressent mon t-shirt plein de sueur. Je décide alors de prendre les choses en main. Je relève mon torse tout en laissant mon sexe au fond du sien.
Je la porte à bout de bras et la retourne afin de poser son buste sur l’ilot central. D’une main je laisse glisser les bretelles de son maillot et je fais jaillir ses seins gonflés. Ses tétons sont tendus tels deux bites en érection. J’en pince un et elle laisse échapper un petit couinement. Je me retire de sa chatte et continue à la déshabiller. J’en profite pour retirer moi aussi mon t-shirt nous retrouvant tous les deux complètements nus. Elle se retourne et me lance :« Baise moi s’il te plait, fais-le maintenant, j’ai trop envie de ta queue au fond de moi…maintenant… s’il te plait »Elle me supplie presque je ne l’ai jamais vu comme ça. Je l’allonge par terre et la pilonne de toute mes forces.Le sol est froid et dur. Mes genoux sont en contact avec ce carrelage gelé mais au fond de moi un volcan fait rage. Ma femme m’excite comme un fou. Elle semble être quelqu’un d’autre, la même personne mais une dose de perversion en plus. Elle allait jouir sous ma queue au milieu de cette cuisine, sa voix raisonnante, emplissant la pièce de ces cris de plaisir.
J’accentue mon coup de reins. Ma femme grogne, les yeux fermés, la bouche ouverte comme un poisson hors de l’eau à la recherche désespérée d’un peu d’air pour continuer à vivre. Alors que ma queue claque contre sa chatte, la remplissant de mon membre de chair et de sang, je sens ses jambes se replier, je vous ses doigts se tordent et se saisir de son maillot de bain. Elle l’empoigne avec force alors que mon gland cogne le fond de son vagin.Ma bite est en feu, je la fait aller et venir à une allure frénétique, repoussant les parois interne, frottant de toute ma queue l’intérieur de son minou. Soudain elle se cambre dans un mouvement rapide.Son visage me montre son orgasme comme figé dans le temps et l’espace. Un rictus de douleur mêlé a un plaisir hors norme.
Je sens le plaisir monter de mes couilles. Il n’est plus qu’à l’entrée de mon gland. Je retire ma queue de sa chatte alors qu’elle est secouée par le plaisir. Elle est trempée de mouille, la rendant luisante et gluante.En deux mouvements de poignets je libère le sperme qui s’éjecte de ma bite, lancé à pleine puissance en direction du visage de ma petite chienne.La dose de foutre est impressionnante.Le premier jet s’écrase sur toute la hauteur du visage. Sa bouche ouverte fait disparaitre quelques gouttes. Le deuxième jet macule ses yeux et son front, puis les suivant s’écrasent mollement sur ses joues et son menton.Amon corps est parcouru de convulsions. Je la regarde les yeux fermés, le visage plein de mon jus. Ma main s’active toujours sur mon membre pour extraire les dernières gouttes de mon sperme. J’ai à nouveau à l’esprit le tableau que j’ai surpris un peu plus tôt. Au fond de moi une petite voix me glisse que le bellâtre n’est pas étranger à notre séance de baise mais j’écarte rapidement cette idée.
Elle ouvre les yeux et me regarde avec amour.« Putain c’était bon mon cœur » me dit-elle. Elle qui aime les caresses après le sexe, se relève péniblement, attrape un sopalin, se nettoie le visage me laissant allongé à même le sol la bite pendant lamentablement. « Je vais me doucher ».Je l’entends s’éloigner, fermer une porte et déclencher le jet d’eau. Je suis ébahit.Jamais je n’ai servi de bite, c’est la première fois que ça m’arrive et je me sens bizarre. J’ai ressenti une excitation intense, mais maintenant je ressens une angoisse tout aussi forte.
J’entends l’eau couler pendant que je médite sur la question. S’est-elle soulagée comme je l’aurais fait si j’avais été excité par une autre femme. Est-elle excitée par cet homme ou est-ce un hasard si 10 minutes après lui avoir parlé elle m’a sauté dessus comme une affamée ? Ma petite voix intérieure se fait plus forte. Je repose la tête au sol et contemple le plafond d’un blanc d’hôpital. Alors que mes pensées vagabondent sans relâches et que les questions se bousculent au fond de mon crâne, je m’endors à même le sol….
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