Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 1 J'aime
  • 0 Commentaire

LE PAPILLON

Chapitre 6

Hétéro
Chapitre 6.Je suis en nage.Mon bras doit se tend, avec précision et doigté. Dans ma main le manche long et dur écarte mes phalanges m’empêchant de les refermer. L’air est étouffant et la chaleur déjà écrasante. Une goutte de sueur, glisse de mon front et pointe sur le haut de mon nez, en équilibre, retenant sa chute.Mon cœur cogne dans ma poitrine, il s’accélère même.Mon pouls me martèle les tympans, mes mains sont moites, la transpiration forme une pellicule sur tous mon corps.
Dans un mouvement fluide, je viens frapper la balle de toutes mes forces, évitant mon adversaire qui se tient de l’autre côté du filet, dans un passing précis et rapide. Un coup impitoyable….(game set et match)……qui me fait gagner le match.Je serre la main de mon partenaire du jour et range ma raquette.Le terrain est splendide, en extérieur, des palmiers le borde. Le soleil cogne fort pour 9h du matin. Je ramasse mon sac et ma bouteille puis me dirige vers l’extérieur. Du monde parcourt déjà les allées du domaine. Mon sac sur les épaules je marche avec assurance.Je crois avoir rêvé du bellâtre cette nuit, il se penchait à l’oreille de ma femme et lui murmurait quelque chose…l’image s’échappe de mon esprit. Je continue ma route sans repenser à lui.
Elle dort encore. En silence je commande le petit déjeuner. Avant que le serveur ne sonne à la porte je suis douché et habillé. Dans la chambre, le bruissement des draps se fait entendre. Deux bras sortent de sous la couette et s’étirent dans une mimique de chatte.Ma femme est belle, c’est au réveil que je la préfère. Ses cheveux sont emmêlés sur son visage, ses yeux papillonnes dans l’espoir d’apprivoiser la lumière, sa bouche fait un cul de poule alors qu’elle étend ses bras le plus loin possible.Elle me sourit dans un songe endormit. Je l’embrasse du bout des lèvre, lui soufflant au passage mon haleine mentholée dans les narines. Nous nous chamaillons comme deux enfants, je l’enlace, la couvre de baisers, la pince. Nous roulons ensemble, elle me monte dessus.Elle m’embrasse langoureusement.« Merci pour hier » me dit-elle. « je t’aime mon amour »Je suis comblé. Dieu qu’elle est belle. Elle semble plus belle qu’avant, plus épanouie. Je retrouve la jeune fille qui me faisait bander en permanence. Que je ne pouvais m’empêcher de peloter pendant des heures. Elle bascule sur le côté, dans un mouvement de gymnaste, et atterrit sur ses pieds.
Ses deux mains claquent son cul dans un bruit assourdissant, et elle me jette un coup d’œil coquin.Alors que nous petit déjeunons, je me remémore les images lubriques de notre baise torride. Elle semble y penser elle aussi car elle me jette un coup d’œil…(elle cache un secret)….….en souriant. Notre repas ingéré elle se change pendant que ma main s’active négligemment sur la télécommande. Du sport, de la musique. Rien de spécial.Mon épouse passe devant moi. Elle a sélectionné un maillot de bain dont les motifs sont des triangles. Du noir, du blanc, du gris colorent les formes géométriques en question. Deux pompons pendent des bretelles et caressent ses omoplates. Ses seins sont serrés dans leur étaux, prêts à jaillir…splendides je me dis.
Dans un demi-tour elle me fait admirer son cul, galbé, moulé, en un mot parfait. La culotte a l’air de résister à l’envie de s’enfoncer dans sa raie, à la limite du précipice.
Je me souviens subitement que nos amis d’hier soir nous attendent sur la plage. J’en touche un mot à mon épouse qui fouille dans son armoire à la recherche d’un paréo. Elle se coiffe également d’un grand chapeau de paille. Elle n’a pas réagi à ma remarque, peut-être ne m’a-t-elle pas entendu. J’attrape mes lunettes, et nous partons. L’air est chaud, ma femme est belle, je me dirige tel une superstar, à mon bras la plus belle femme du monde m’accompagne.La plage n’est pas remplie, les piscines occupant l’attention des vacanciers. Sur deux chaises longues matelassées, Adam et Andréa nous apparaissent.Elle a mis un maillot blanc deux pièces, contrastant sa rousseur, la mettant en valeur. Adam quant à lui est vêtu d’un short de bain bleu marine. Son corps est beau. Six abdominaux décorent son ventre. Ses pectoraux sont ronds et apaisé, ses mollets musclés. Il est absorbé par la lecture d’un journal…(les pages Finance surement)….…déplié devant lui. Andréa sirote un verre surmonté d’une ombrelle. Le jus a l’air frais, gôutu et rafraichissant.
Du coin de l’œil, Adam nous aperçoit. Son regard est immédiatement attiré par ma femme. Je le fixe mais ses yeux sont cachés par des lunettes noires, m’empêchant d’accrocher son regard. Qui regarde t’il je me le demande.Andréa nous sourit également, je les vois se lever à notre arrivée. Deux baisers pour Andréa, une poigne de main viril pour Adam. Deux transats sont vacants, l’un à côté d’Adam, l’autre collé à celui d’Andréa. Sans même nous consulter, je m’installe prêt du bellâtre alors que mon épouse investit le second. Je ne décèle aucun signe de frustration du coté de mon épouse. Mon esprit s’emmêle, j’imagine sans cesse.Je me demande ce qui réel et ce qui ne l’est plus. Mes fantasmes se superposent à la réalité m’empêchant de démêler le vrai du faux. Nous papotons de tout et de rien, exposant nos corps au soleil. On se raconte des anecdotes de la vie courante, nos vacances passées, les futures. Je décris notre prochaine maison, 3 étages, une grand salon, un sauna….. Je surprends sur le visage d’Adam un léger sourire.Instinctivement je me tourne vers mon épouse. Elle n’a pas bougé d’un pouce, son magnifique corps toujours à la merci de cette boule de feu lointaine de milliards de km.Nous parlons tennis et poker avec Adam. Nous sommes sur la même longueur d’onde. Il prétend avoir tapé la balle avec une star du tennis, alors que je m’étends sur une main à 2000 euros jouée avec une légende du poker.
Nous rions ensemble et commençons à tisser une sorte de lien. Je lève le bras pour commander à boire. Personne ne venant à mon aide, je me lève et me dirige vers le bar, Andréa m’emboite le pas.Alors que nous attendons notre commande, je détaille la femme de mon ami/ennemi qui se tient debout près de moi. Elle se tient sur la plante de ses pieds, observant la carte de l’autre côté du bar. Son cul tendu vers l’extérieur, ses jambes longues et fines. Ses cheveux roux….(J’aimerai plonger ma langue sur sa toison rousse)….….tombent sur ces épaules. Elle est belle c’est indéniable. Elle me jette un rapide regard et repars dans l’étude de la carte. Mes yeux reviennent vers nos transats, ils sont de dos, immobiles, une seule chaise longue les sépare. Je n’aperçois pas leurs visages, incapable de savoir si l’un adresse la parole à l’autre.Soudain, ma femme se lève et se dirige dans ma direction. Elle s’approche de moi et m’informe qu’elle a oublié de prendre avec elle son livre. Elle m’embrasse du bout des lèvres, elles sont chauffées à blanc par le soleil. Je la vois s’éloigner alors qu’elle retourne à notre bungalow. Son cul se balance sous le paréo, ses fesses sont parfaites.Nous revenons avec nos verres dans les mains.
Adam bondit et nous informe qu’il doit faire un détour aux toilettes. Je m’installe et commence à siroter mon verre. Je le vois s’éloigner et dépasser la cabane de bois qui sert de latrines.« il va pisser dans les bois ? »dis-je à Andréa de façon amusée.« Il déteste se soulager la ou tout le monde le fait » me répond -elle.Soudain je prends conscience de ce qu’il se passe. Il est donc rentré lui aussi. J’imagine ses mains puissantes arracher le haut de ma femme, écarter son bas de maillot, la pénétrer à la va vite pour commettre leur méfait.Mon cœur palpite, je panique. Une douce excitation s’empare de mon entrejambe alors que je les imagine forniquer comme des bêtes. Une boule d’angoisse me saisit les tripes. Je ne sais plus quoi penser. Alors même que j’avais écarté cette idée de mon esprit, la voilà qui ressurgit.J’informe Andréa que je ressens moi aussi une pressente envie de me soulager…
(il me semble surprendre un regard d’envie dans ses yeux)…. …et me précipite rapidement vers notre bungalow. Je cours à toute vitesse, des images de plus en plus chaudes dans mon esprit. Elle a relevé sa jambe sur la table du salon, et il la pilonne par derrière, une main écartant son maillot pour faciliter la pénétration.Mon angoisse s’accentue alors que j’arrive devant notre cabanon. Je m’approche à pas de loups.Je colle l’oreille à la porte. Aucun son. J’attends un moment et pénètre dans la maison, je l’inspecte. Rien, personne.Je me précipite alors vers la maison de nos voisins. De l’extérieur je me colle à la vitre du salon, aucun son ne me parvient non plus. Leur chambre est vide également.
Un soulagement s’empare de moi, ma femme a dû prendre son livre et emprunter un autre chemin. Je dois vraiment canaliser mon esprit, mes fantasmes me jouent des tours. La boule d’acide dans mon ventre s’estompe légèrement.Je retourne vers la plage le plus vite possible. Je les vois tous les trois en grande discussion. Adam et mon épouse ont repris leurs places et conversent avec Andrea.Je reprends ma place dans un « pfiouu ça fait du bien » qui fait marrer Andrea.« Je l’ai oublié à la maison » me dit mon épouse alors que je lui fais remarquer l’absence du livre. Elle me dit l’avoir cherché un moment avant de finalement revenir à la plage.Adam est aussi revenu lui aussi, il sirote son verre le regard perdu vers l’océan. La boule d’acide dans mon estomac a complètement mis les voiles, je ne sais plus ce qui me prend.
Finalement la journée passe rapidement. Nous nous baignons, mangeons, buvons. Nous sommes en bonne compagnie et c’est très agréable. Adam est intelligent, a de l’esprit. Nous nous découvrons peu à peu. Je ressens un mélange teinté d’admiration et de compétition, je suis sûr qu’il ressent la même chose à mon égard. J’ai aussi très bien réussi dans la vie. Ma femme est belle, je suis moi-même très séduisant.J’entretiens mon corps tous les jours pendant une heure, et mes abdos n’ont rien à envier au sien. Nous convenons de nous affronter un jour prochain sur un court de tennis.Notre déjeuner est succulent, crabe, poisson grillé au barbecue, et vin blanc glacé.Les liquides accumulés grondent dans mes couilles, j’ai une furieuse envie de pisser. Je me lève et surprend la bouche d’Andréa me gratifier d’un « encore ? » amusé. Nous rions à cette blague et je me dirige vers les toilettes des hommes.Je ferme la porte, relève la cuvette, baisse mon short et sors ma queue. La chaleur la rend gonflée. Un jet de pisse part en direction des toilettes. Mes yeux étudient cet endroit. Epuré, en bois marron. A mesure que ma vessie se vide, je ressens un soulagement, un poids me quitte.
J’évacue mon stress .Ma besogne presque assouvie, je jette un œil vers la cuvette alors qu’un détail attire mon attention.Ma vue se concentre sur l’objet …Je range mon sexe dans mon maillot et me penche pour me saisir de la chose, mes doigts s’écartent et ma main se dirige telle un tentacule vers ce que je crois deviner. Au sol je saisis les morceaux de tissus noirs réunis les uns aux autres. J’attrape cette multitude de fils de soie, coincés par une bande de soie plus large. Les fils sont noirs, la matière légère, glissant hors de mes doigts.J’observe le pompon que je tiens au creux de ma paume. Je suis frappé par le choc, un tremblement secoue ma main.C’est le pompon de ma femme, dans les toilettes des hommes.
Mon poing se ferme et enserre l’objet de décoration qui ornait le maillot de mon épouse ce matin même. Je revois la cuvette fermée à mon entrée dans la cabine, j’imagine ma femme assise sur celle-ci, Adam lui faisant face. Le maillot baissé, il a pris la bouche de mon épouse. Sa queue cogne au fond de la gorge, clapotant, repoussant la glotte, étouffant mon amour.Mon poing est contracté au maximum, et mon bras tremble. Une vague de chaleur s’empare de mon visage, je me sens humilié.Des flashs m’éblouissent, sa queue luisante est étouffée par les seins de ma femme, elle coulisse dans cette vallée accueillante, augmentant son plaisir, l’éjectant sur le menton de ma chérie.Je reviens à la réalité. L’humiliation est forte, très forte. Mon dos s’est trempé instantanément. J’ai très chaud, de la sueur coule dans mon cou.
Mes yeux fouillent la pièce, cherchant de quoi confirmer mes soupçons, une goutte de sperme peut être, un cheveu, n’importe quoi. J’essaie de humer l’odeur mais elle est couverte par ces putains de produits d’entretien. La folie s’empare de moi, je suis à genoux, inspectant le sol tel un expert dans ces séries américaines.Un autre flash voile ma vision. Elle est sur le dossier des toilettes, le maillot repoussé sur le côté. Une bande de poil surmonte sa fente humide.Il a inséré deux doigts don son cul, juste au-dessus des phalanges, et aspire son clito, le faisant rouler entre sa langue et son palais. Ma femme tient sa tête dans ses mains, appuyant plus fort, l’empêchant de s’arrêter.Ma bite gonfle, mon angoisse gronde dans mes entrailles. La coulée d’acide reprend son périple vers mes bourses les gonflant d’excitation et de frustration.Ma salope de femme a sucé notre voisin de vacances dans les toilettes du restaurant ou nous déjeunons….ma salope de femme a sucé notre voisin de vacances dans les toilettes du restaurant ou nous déjeunons ……. ma salope de femme a sucé notre voisin de vacances dans les toilettes du restaurant ou nous déjeunons
Je me répète cette phrase encore et encore alors que la sueur imbibe mon tshirt.L’angoisse s’atténue enfin. Je reprends mon calme alors que l’excitation est parvenue au premier plan.Tandis que je me répète encore cette phrase, ma queue est bandée dans mon maillot. Je prends enfin la mesure de mes paroles. Ma femme baise un autre homme que moi. L’angoisse a totalement disparue alors que les images obscènes m’excitent. Je jette le pompon au fond des toilettes et pendant sa chute j’élabore la suite de mon plan. La frustration m’a saisi comme une crampe, incapable de la contrôler au départ, puis moins douloureuse maintenant. A présent que mon fantasme est en passe de se réaliser, je dois canaliser mes sensations.
Je m’assure que celle-ci a bien absorbé le tissu et l’a fait disparaitre. J’ouvre le loquet et sors calmement. Je me rince les mains et plonge mes yeux au fond des miens, alors que le miroir me renvoie mon reflet.Mon cerveau bouillonne, une goutte de sueur coule le long de ma tempe.J’ai trop imaginé, fantasmé, mais maintenant les choses se décantent, la réalité est devenue mon fantasme. Me voici engagé dans une partie qui a déjà commencé sans moi.J’envisage une seconde de débouler dans le restaurant, attraper une bouteille en verre vide et la fracasser sur la tête de ce bellâtre qui se tape ma femme.Mais cependant mon esprit ne cesse de me montrer des images obscènes, lubriques, de cette queue, de sa bouche, de son cul ou sa chatte. Je suis incapable d’écarter de ma vision ces fantasmes que me projette mon inconscient.Je m’asperge le visage d’une grande giclée d’eau. La fraicheur calme mon cerveau, mon cœur ralentit.
J’observe mes yeux une dernière fois alors qu’une goutte perle sur mon sourcil.Je sors des toilettes.Je me dirige vers la table.Je me tourne vers ma femme et l’embrasse fougueusement. Elle me regarde au fond des yeux, l’air…( juste l’air alors, cette salope est forte, elle cache bien son jeu)……amoureuse comme au premier jour.
Sa main caresse ma joue avec tendresse. Du coin de l’œil j’observe le bellâtre qui dorénavant est la moitié de mon fantasme.Ma main caresse le dos de ma chérie. Elle démarre sur son épaule et se dirige vers la zone de ses omoplates. Elle frisonne.Dans un dernier mouvement, je la ramène sur la table effaçant toute trace de doutes….Il manque un pompon…..
Diffuse en direct !
Regarder son live