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Le Papillon, la fée et moi....

Chapitre 1

(histoire presque vrai...)

Erotique
Je sentais la sueur entre ma main droite et son corps, je sentais cette sueur entre son corps et mon ventre, des gouttes perlaient à mon front... les doigts de ma main gauche n’arrivaient plus à glisser... Bref, il ne faisait même pas un temps à jouer de la guitare lors de cette journée caniculaire. Je décidais d’arrêter là, de poser ma chère guitare et de me rafraîchir. En quelques secondes, j’enlevai le peu de vêtements qu’il me restait pour prendre une douche et ainsi faire redescendre, l’espace d’un instant, la température. C’est toujours un bonheur de sentir l’eau couler sur son corps par temps de fortes chaleurs, d’oublier juste un instant les 36°C ambiants, l’absence de vent, les gouttes de sueur sur le front. Après quelques minutes, je m’essuyai sommairement, je pris le boxer laissé là il y a un instant, et je déambulai ainsi dans mon appartement. Réflexe de pudeur peu utile puisque j’étais seul aujourd’hui. L’air surchauffé des pièces paraissait frais sur mon corps légèrement mouillé, je frissonnais quelque peu. Mais très vite cette sensation disparut et l’atmosphère de mon appartement redevint tropicale. Malgré les volets fermés et la pénombre relative, on sentait le soleil, ou du moins sa chaleur, rentrer dans la pièce rendant ainsi chaque geste un peu plus pénible.
Je décidais de rester allongé sur le lit quelques instants, histoire de retrouver cette sensation de fraîcheur perdue. Les yeux fermés, je pensais aux animaux sauvages qui, beaucoup moins bêtes que nous, attendaient la fraîcheur du soir pour vivre. Je me prenais pour une bestiole quelconque, tapi sous un buisson, attendant la nuit...
Mes rêveries furent interrompues, brusquement. Quelque chose venait de me chatouiller le nombril. J’ouvris doucement l’une de mes paupières espérant, naïvement, que cette économie pourrait m’éviter quelques gouttes de sueur. Un joli papillon venait d’utiliser mon ventre comme piste d’atterrissage. De grandes ailes sombres avec un motif beige assez alambiqué, un corps velu et des antennes. Bref rien de plus normal pour un papillon. J’ai une sainte horreur de tuer les petites bêtes, aussi velue et répugnante soient elles, je décidai de laisser là l’intrus et de refermer ma paupière à moitié ouverte. Je ne sais pour quelle raison stupide, mais je crus bon de lui faire part de ma pensée.— « Tu as de la chance, petite bête. Je ne vais pas t’écraser, mais tu attendras cette nuit pour retrouver ta liberté, je ne vais pas ouvrir les fenêtres à cette heure-ci »— « Ca tombe bien, je n’avais pas l’intention de partir tout de suite »Cette fois-ci mes deux yeux étaient bien ouverts, il m’avait semblé avoir entendu quelqu’un me répondre, une voix féminine, douce. La chose est complètement idiote, mon appartement était barricadé contre les rayons solaires et donc, accessoirement, contre quelque intrus que ce soit. Je regardai mon ami le papillon toujours en train de se reposer avant le prochain décollage, j’avais l’impression qu’il me regardait. Prudemment, je refermai mes paupières.— « C’est que le paysage n’est pas mal vu d’ici »Cette fois-ci, le papillon beige et sombre n’était plus là, mais devant moi se tenait une femme. Avec une jupe beige arrivant bien en dessous du genou, un haut sombre mettant en valeur un joli décolleté. Comme une fée qui venait de se poser, elle me regardait avec un petit sourire.« Que faites-vous ici ?» demandai-je.« Je te regarde depuis que tu m’as enfermé ici »« Comment êtes-vous rentré sans que je m’en aperçoive ? »« Par la fenêtre, un soir je passais par là et la lumière m’a attiré » En disant cette phrase, elle me désigna la fenêtre de ma chambre du bout du doigt. Je pus remarquer ses ongles très travaillés sur lesquels était dessiné un petit motif rose ou violet (j’ai toujours eu beaucoup de mal avec certaines couleurs).
Bizarrement je n’avais pas peur de cet intrus, son sourire et son regard n’inspiraient que douceur et calme, et son visage m’était familier. Une personne mauvaise ne pourrait pas dégager tant de douceur. C’est à cet instant que je pris conscience que je n’étais vêtu que du strict minimum, un boxer encore mouillé de ma dernière douche. Je saisis mon jean’s qui était à portée de main, essayant de faire oublier à cette inconnue qu’elle discute depuis quelques minutes avec un homme presque nu. Je vis un sourire timide sur son visage.« C’est que je ne suis pas venu ici pour admirer ta garde-robe »« Je n’ai pas l’habitude de ma montée ainsi à une inconnue, même quand elle se permet d’arriver chez moi à l’improviste. Et qu’êtes-vous venu admirer ? »Elle s’assit sur le lit à côté de moi et me dit avec un sourire un peu coquin :« Je suis venu pour l’homme qui est dans ce lit et qui meurt d’envie de m’embrasser »« Je n’est pas du tout envie de vous embrasser !!! » dis-je avec un aplomb tel, que n’importe qui aurait pu deviner que je pensais exactement le contraire. C’est vrai j’avais une furieuse envie de l’embrasser, non pas de lui faire une bise sur chaque joue, non. Envie de goûter à ces lèvres qui me semblaient douces, de toucher sa peau, sentir son parfum, entendre sa respiration...
L’occasion était trop belle, ma bouche s’approcha timidement de la sienne, nos lèvres se rencontrèrent délicatement, un peu comme pour faire plus ample connaissance avant d’aller plus loin. Ses lèvres étaient douces et me donnaient des petits baisers répétés, ma main rencontra la sienne pour une petite caresse et se posa sur sa cuisse. J’avais envie de sentir son corps sous mes mains. Ma seconde main se glissa dans ses cheveux, j’en profitai pour appuyer un peu plus mon baiser en poussant délicatement la tête de cette charmante inconnue vers la mienne. Nos langues firent rapidement connaissance pour quelques caresses, tout n’était que douceur et sensualité. Je sentis sa main sur ma nuque, caresser mes cheveux courts, et sa bouche se dirigea dans mon cou, derrière mon oreille. Un frisson parcourut tout mon corps, elle a d’ailleurs dû s’en rendre compte. Elle me demanda sobrement :« Tu aimes ? »Je lui répondis avec la même sobriété :« J’adore ça »
Ma main droite décida de partir à la découverte de ce corps inconnu plein de promesses. Mes doigts se glissèrent sous son haut. En une micro seconde, une idée complètement idiote traversa mon esprit. En plus d’avoir les mêmes couleurs que mon papillon de tout à l’heure, j’espérais que cette inconnue n’est pas le corps aussi velu que lui. Je chassai cette pensée rapidement de mon esprit quand mes doigts rencontrèrent la peau douce du bas de son dos. Je caressai tout en douceur cet endroit en remontant petit à petit.
Ses lèvres avaient voyagé tout en douceur sur mon cou et étaient descendues sur mon épaule puis au-dessus de mes pectoraux. C’est à ce moment qu’elle me regarda avec un petit sourire très coquin et j’ai tout de suite compris qu’elle avait remarqué que mon boxer laissait apercevoir tout le plaisir que j’éprouvais. Elle baissa la tête, et reprit ses baisers. Son cou se présentait à moi, son décolleté aussi. D’un doigt, j’effleurai délicatement la courbe de ses seins, sa peau était encore plus douce à cet endroit. Mes doigts partaient de son cou, descendaient entre ses seins et passaient sur ses vêtements. Malgré le tissu, je sentais son téton gonflé de plaisir. Mes lèvres s’approchèrent de son cou pour lui donner un baiser délicat, mais le désire qui montait en moi en a décidé autrement, je la mordis. Elle sursauta de surprise mais ne fut pas choquée pour autant. J’entendais sa respiration dans mon oreille s’accélérer, elle laissait échapper de petits gémissements de plaisir, ses ongles se plantèrent dans mon dos.
Je pris conscience du retard que j’avais sur elle. J’étais à moitié nu et elle complètement habillée. Je lui fis relever la tête pour lui enlever son haut et découvrir un peu plus ce décolleté qui m’attirait depuis le début. Elle en profita pour poser sa main sur ma cuisse et me faire quelques caresses, laissant espérer d’autres caresses. Elle avait la tête toujours penchée vers moi, je glissai une main dans ces cheveux, mes doigts se refermèrent pour saisir cette douce chevelure. Avec fermeté, je lui fis basculer la tête en arrière et ma bouche, affamée, se jeta sur ses seins. Sous mes lèvres je sentais la douceur de sa jolie poitrine, je n’hésitai pas à mordiller cette partie du corps, emblème de la féminité. J’entendais sa respiration se faire plus forte et ses gémissements de moins en moins dissimulés. J’en profitai pour lui enlever ce joli soutien-gorge qui, comme un papier cadeau, aussi beau soit-il, renfermait une chose tellement jolie et tellement désirable, qu’il n’attira à peine mon attention.
Elle me fit sursauter. Sa main venait de se poser à l’endroit qui l’attirait depuis le début. Elle caressait mon boxer du bout des doigts puis avec toute la main, elle sentait mon sous-vêtement humide, elle sentait mon gland gonflé par le plaisir, elle avait envie de ce sexe érigé, rien que pour elle. Je lui repris la main, la remis sur ma cuisse et décida de continuer à explorer le corps de cette fée venue de nulle part. Ma main rencontra son mollet pour remonter sur sa cuisse puis redescendre sur son genou. Nos lèvres se rencontrèrent à nouveau, nos baisers étaient brûlants de désir, la timidité du début était bien loin. Je lui mordillais par moment les lèvres, ce à quoi elle répondait, avec ces jolis ongles dans mon dos. Du bout de ma langue, je parcourus lentement et délicatement ses lèvres, en espérant secrètement, pouvoir parcourir d’autres lèvres d’ici quelques minutes. Ma main continuait son exploration sous la jupe de l’inconnue qui l’était déjà beaucoup moins. Je lui faisais quelques caresses entre les cuisses. De sentir ses formes sous ma main me donnait envie de la mordre délicatement. Je partis à la rencontre de la culotte que j’attendais être en harmonie avec le soutien-gorge trop rapidement éjecté hors de l’histoire. Ce que je sentis sous mes doigts était beaucoup trop doux pour être du tissu, beaucoup trop chaud pour être un sous vêtement, beaucoup trop mouillé. Cette rencontre un peu impromptu ne la fit pas sursauter, au vu de son sourire, elle s’attendait à ce que cette découverte me fasse de l’effet. Je répondis par un sourire en descendant la fermeture de sa jupe.
J’avais pris un peu d’avance dans la découverte de nos corps respectifs, mais tout ceci ne fut que de courte durée puisqu’elle prit ma main pour stopper net ma progression et me poussa délicatement pour me mettre sur le dos. Elle apposa sa bouche sur mon ventre pour me faire quelques baisers et elle descendit sur mon sexe. Je sentis ses mains se glisser de part et d’autre de mon boxer pour le faire descendre doucement. Elle laissa apparaître mon gland mouillé de plaisir, elle l’embrassa avant d’enlever complètement mon sous-vêtement. Elle embrassa mes cuisses, l’intérieure de mes cuisses, elle remonta sur mon pubis, mon ventre. Puis sa langue parcourut mon ventre contourna mon pubis pour arriver à nouveau sur ma cuisse. Je n’en pouvais plus, j’avais trop envie et il me semblait qu’elle aussi. D’une main je pris mon sexe et le redressa en direction de son visage, je passai ma deuxième main derrière sa nuque, je n’ai pas eu besoin de beaucoup insister pour qu’elle engloutisse mon sexe jusqu’à la garde. Elle releva la tête aussitôt, essoufflée par tant de fougue et commença des va-et-vient lents avec sa bouche, je sentais sa langue sur mon gland, sur mon frein. Elle ressortait de temps à autre mon gland pour mieux le faire pénétrer dans sa bouche affamée en le serrant entre ces lèvres/
Elle arrêta net et m’embrassa, ces lèvres sentaient bon le liquide qui perlait au bout de mon gland. Ce changement de position me permit de mettre la main sur son sexe. Je sentais ses lèvres humides et trouvais sans peine son clito gonflé de plaisir. Je m’amusais à caresser du bout des doigts ce petit bouton de plaisir, je n’hésitais pas à appuyer et je sentais son corps se tendre et ces gémissements amplifier. D’un geste brusque, je la retournai sur le dos, j’écartai ses jambes avec fermeté pour venir lécher avec vigueur son minou d’où dégoulinait un liquide signe de plaisir intense. J’insistai avec ma langue sur son clito en appuyant très fermement. Elle passa ses mains sur ma tête et ses doigts se refermèrent violemment sur mes cheveux, son corps était tendu, je senti un spasme au niveau de l’entrée de son vagin et elle laissa éclater haut et fort un gémissement signe de sa jouissance. Elle relâcha mes cheveux de son emprise, ce qui me permit de constater que dans sa fougue elle avait perdu un de ces jolis ongles.
Je la laissai reprendre possession de ses moyens, elle s’approcha de mon oreille et me dit :« J’ai envie de toi, prend moi »Pas la peine de me faire prier, je me mis au-dessus d’elle, je lui saisi les poignets pour les bloquer au-dessus de ça tête et la pénétra avec vigueur. Mon bassin bougeait entre ces cuisses, je lui mordillais le cou, avec ses mains prisonnières, elle ne pouvait que subir mes assauts. Dans cette position, mon sexe la pénétrait très profondément, elle sentait mon gland aller et venir. Je savais par avance que je ne tiendrai pas longtemps, l’excitation était trop intense. J’accélérai le rythme, la douceur du début avait laissé peu à peu place au désir brûlant qui rend, par moment, le sexe bestial. Tout à coup, je ne tenais plus, un spasme, puis mon sexe devint encore plus dur qu’il ne l’était, il grandit de quelques millimètres, imperceptibles, et pourtant, ce changement provoqua en elle un orgasme des plus violent, je senti mon sexe, un instant prisonnier de cette douce caverne. Un râle s’échappa de ma bouche et ma semence remplit son minou déjà si humide. Mon bassin continua son va-et-vient quelques instants, je me délectai de ce plaisir si puissant, de la chaleur que dégageaient nos sexes réunis. Mes mains relâchèrent leurs emprises pour libérer les siennes et je lui donnai quelques doux baisers dans le cou.
Mon cœur fit un looping dans ma cage thoracique lorsque la sonnerie du téléphone retentit. Mes yeux s’ouvrir sur ma chambre déserte, mon boxer toujours sur les hanches. Je bondis hors du lit et décrocha le téléphone.« Bonjour Monsieur, auriez-vous quelques instants à consacrer à notre sondage... »Je raccrochai le téléphone ne laissant pas à mon interlocuteur le temps de finir, j’use, d’habitude, de plus de politesse. J’étais encore entre le sommeil et l’éveil, ne sachant plus où était vraiment la réalité, du rêve. Après quelques instants, je constatais que mon boxer était très tendu et très humide. Assommé par cette sieste impromptue et par la chaleur ambiante, je me laissai tomber lourdement sur mon lit. Je me relevai aussi sec, quelque chose m’avait piqué le dos... un joli ongle orné de rose qui se trouvait là...
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