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Le papy de mon immeuble

Chapitre 2

Gay
Quelques jours après cette rencontre et ma première expérience avec un homme, qui plus est âgé, je reçois un appel venant de lui. Il prenait des nouvelles et voulait savoir si je pouvais passer chez lui. Je lui réponds que je suis disponible le lendemain dans l’après-midi, et nous convenons d’un rendez-vous à quatorze heures.Le lendemain, la chaleur est étouffante, mais je me présente à l’appartement de mon voisin de soixante-douze ans. Je toque fermement et il m’ouvre, je remarque alors qu’il est en peignoir. Il me propose à boire, et nous commençons à discuter autour d’un café puis il me demande :
— Si tu es revenu, c’est que tu as encore envie de me sucer, c’est ce pas ?— Oui bien sûr, lui répliquais-je, enthousiaste.— Eh bien, ne te fais pas prier ! Et puis j’ai un cadeau pour toi, baisse ton pantalon et ta culotte !

J’étais surpris et excité, je retirais mon jean et pendant ce temps, je le vis sortir un objet en plastique de son placard. J’étais presque nu, avec seulement mon tee-shirt et je commençais à ouvrir son peignoir. Il me proposa d’aller dans sa chambre. Une fois devant son lit, assis, il me demanda de me retourner. Une fois dedans l’autre sens, je sentis ses mains contre mes fesses, se rapprochant de mon anus. Il commença alors à m’insérer son cadeau, un plus noir, en forme de cône, six centimètres de long pour trois de larges.
— Tu vas adorer, tu verras, mets-toi à quatre pattes. Me dit-il.

Je commençais à me mettre à quatre pattes, il le lubrifia avec sa salive et lui à l’enfoncer en moi. Je gémis d’une légère douleur et de plaisir. Il le maintient bien en place, afin de le laisser jusqu’au bout. Il me demande de m’assoir afin de maintenir l’objet en moi. Il reprit de plus belle.
— Désormais, je vais t’éduquer, donc tu feras comme je te dis.— D’accord. Répondis-je avec plaisir.— Bien papy, je ferais ce que vous voulez.— Alors, mets-toi au travail, ma bite ne va pas se sucer toute seule. Me dit-il avec autorité.

Je commençais à saisir son sexe avec ma main, puis à le lécher.
— Lèche-moi les couilles puis prends-les en bouche. Continua-t-il.

Je m’exécutais, je léchais alors ces bourses poilues puis après quelques instants, me commençais à me mettre dans ma bouche ces couilles velues. Je gobais pour la première fois et je passais ma langue blottie contre ces deux boules. Il prenait du plaisir, pas seulement parce que je gobais sa bourse, mais aussi, car il avait le contrôle, je lui obéissais. Son envie changeait :
— Maintenant, tu vas me sucer, nettoie bien avec ta langue.— Oui papy, je fais faire de mon mieux. Rétorquais-je.— C’est bien cochonne !

Sur le coup, je n’ai pas relevé le mot employé, j’étais bien trop occupé à m’occuper de ces désirs, mais c’est à ce moment-là que j’ai compris, j’étais son jouet, sa propriété. Mon plug commençait à descendre de mon anus, je le remis en place. Je suçais son sexe du mieux que je pouvais, faisais des va-et-vient en tentant d’enlacer avec ma langue sa bite en train de durcir. Il gémissait de plaisir, jusqu’à ce que son liquide pré-séminal arrive. Il m’ordonna de m’arrêter, je retirais alors ma bouche de son sexe plein de salive.
— Maintenant, on va dans ma salle de bain, où tu retiras ton plug anal ! m’ordonna-t-il.

Nous nous déplacions vers sa salle de bain, il ouvrit le robinet d’eau sur tiède, et je commençais à retirer mon plug, sali. Il me remit à quatre pattes et sortit une seringue alimentaire, qu’il remplit d’eau. Il m’inséra plusieurs fois le contenu de la seringue puis me fit me vider dans ces toilettes, dans la même salle, jusqu’à ce que mon rectum soit parfaitement propre. Il reprit alors de plus belle :
— Tu es enfin prêt, tu vas recevoir la quéquette de papy, tu es heureux ?— Oui papy, j’en ai très envie. Dis-je avec envie.— Parfait, je savais que tu étais une salope quand je t’ai vu, maintenant retire ton tee-shirt et mets-toi en position de femelle !

Je fis selon ses ordres et me mis à quatre pattes. J’étais tellement excité que je ne pouvais plus réfléchir. Son sexe avait débandé depuis, il le masturba puis ouvrit grand mes fesses. Son gland commençait à forcer l’entrée de mon cul, mais rentrait petit à petit, non sans douleur. Je savais que sa bite était plutôt imposante avec ces dix-huit centimètres de long pour 5 de diamètre et que je risquais de souffrir. Lorsque l’extrémité de son sexe fut entièrement et brusquement rentée, je commençais à couiner, lui continuait à rentrer le reste à sa bite. Commença alors un bal de va-et-vient dans mon rectum.
— Tu aimes ça hein ! hurla-t-il.— Oui papy j’adore, c’est si bon !— Continue de gémir, ça me plaît.

À ce moment-là, je n’étais plus rien, juste la catin d’un vieil homme, et cela me plaisait. La douleur s’effaçait vite au profit du plaisir, à tel point que je ne pus me retenir de jouir sur le carrelage de la salle de bain. Lui-même était au bout, quelques instants après, il se mit à jouir dans mon anus. Un jet puissant et direct jusqu’au plus profond de moi. Une partie du sperme commençait à dégouliner hors de moi lorsqu’il retira sa bite. Je me sentais sale.
— Je continuerais de venir juter en toi salope ! s’exclama-t-il.— Bien papy, je suis à ta disposition.— Tu comprends où est ta place, désormais je passerais au niveau supérieur.

Il me proposa de me laver dans sa douche. Une fois propre, je sentais que je n’étais plus le même, mon anus immaculé était maintenant un trou prêt à recevoir.
— Je ferais appel à toi régulièrement, ne me déçois pas, quand es-tu seul ?— Le week-end prochain, mes parents partent.— Parfait, alors réserve ton week-end.

Je ne savais pas encore ce qui allait se passer ni ce que passer au niveau supérieur signifiait à ce moment-là. J’allais bientôt le découvrir.
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