Après avoir lu une grande quantité d’histoires sur ce site, j’ai été surpris par le grand nombre de membres ou de personnages présents dans les histoires qui possèdent un sexe plutôt hors norme : vingt-cinq voire trente centimètres, ce qui est bien au-dessus de la moyenne. À contrario, j’ai vu peu de personnages qui se plaignent d’avoir, comme c’est mon cas, un sexe plutôt hors norme, mais dans l’autre sens. Le mien, au mieux de sa forme mesure à peine quatorze centimètres, par contre avec un bon diamètre. Voyez le tableau, petite longueur, mais gros diamètre. J’ai toujours été très timide et réservé et forcément ce « petit » défaut contribua à me renfermer encore un peu plus sur moi-même et de pratiquer, comme on pratique une religion, la masturbation à forte dose. Mais le hasard se mêla de l’affaire et me fit connaître autre chose. A cette époque, mes parents avaient une petite chienne caniche et ma sœur en avait une également, la fille de la première. Je restais souvent seul avec ces deux adorables petites bêtes qui n’avaient pas un sou de méchanceté. Pour m’amuser, parfois, en jouant avec elles, je passais un doigt sur leurs petites fentes en passant doucement le bout de mon doigt de bas en haut. Elles semblaient y prendre un peu de plaisir, car elles se laissaient faire, couchées sur le ventre les pattes écartées. J’essayai bien de rentrer mon petit doigt dans cette fente qui devenait toute rouge après une bonne séance de va-et-vient, mais je n’osais pas forcer de peur de leur faire mal. Un après-midi alors que j’étais allongé sur mon lit et que je venais de me faire une bonne séance de masturbation, l’une d’elles monta près de moi et se mit à me lécher le gland. Quelle étrange sensation, très agréable, elle semblait trouver le liquide à son goût, car elle passa sa langue dans tous les recoins de bas en haut de mon gland. J’étais aux anges, je n’aurais jamais pensé à ce genre de chose. Elle me lécha tellement bien qu’au bout d’un moment, je lâchais encore une fois une bonne giclée dans sa gueule qu’elle avala de bonne grâce. Après cette bonne partie, je me dépêchais de remettre tout en ordre avant l’arrivée de ma sœur et de ma mère. Mais à la prochaine occasion, je me promettais de faire encore mieux. L’occasion se présenta deux semaines plus tard, ma mère et ma sœur partant faire les soldes en centre-ville. J’allais donc être tranquille pour un bon moment avec mes deux copines. Je voulais essayer d’aller un peu plus loin. Je quittais donc mon pantalon et mon slip pour me retrouver les fesses à l’air sur mon lit. Avec quelques friandises, j’attirais mes deux copines près de moi. Après avoir mis un peu de confiture sur le bout de ma queue, je la présentais à la plus jeune qui attirée par la bonne odeur de confiture ne se fit pas prier pour y glisser sa langue. Instantanément, mon petit « kiki » comme je l’appelais se mit au garde-à-vous. Pour ne laisser perdre aucune miette du précieux nectar qu’elle léchait, la petite chienne s’appliquait consciencieusement en tournant la langue dans tous les coins et recoins. Sa mère qui nous regardait essaya de s’approcher pour avoir elle aussi sa part de gâteau. Une idée surgit soudain dans mon esprit. Puisque le devant était pris, pourquoi ne pas utiliser le derrière ? J’enduisis mon doigt de la même substance et l’étalai sur ma pastille. Je me mis un peu sur le côté afin que mes deux copines puissent travailler en même temps. La chienne attirée par le sucre fourra sa langue jusqu’au fond avec de nombreux va-et-vient, alors là ce fut le paradis. La plus jeune continuait à me lécher le gland et la plus vieille m’enfonçait la langue de plusieurs centimètres dans le derrière. C’était tellement bon que j’ai recommencé la même opération plusieurs fois, d’un seul coup j’ai envoyé une giclée dans la gueule de la petite chienne tellement forte qu’elle en lâcha mon gland, ce qui fit que les autres giclées de mon foutre se retrouvèrent sur le papier peint de ma chambre. J’en restais complètement pantois, les jambes tremblantes, à bout de souffle. Quelle jouissance, mais il fallait vite que je fasse disparaître les traces du délit avant le retour des deux femmes. Pour remercier mes deux amies, elles eurent droit chacune à plusieurs carrés de chocolat. A chaque fois que l’occasion se présentait, le même scénario se mettait en place, mais j’ai voulu apporter un peu de piment avec quelques variantes. J’avais essayé plusieurs fois de prendre mon pied en m’enfonçant différentes choses dans le cul dont un concombre, cette pratique m’apportait également pas mal de sensations. Je m’étais rendu compte que quand je ressortais le long légume, il était parfois plein de traînées de merde qui devaient rester au fond de mon fondement. Une fois la plus vieille des chiennes s’en était aperçu et après l’avoir reniflé elle l’avait léché comme une folle, cette odeur de merde devait lui plaire. Un éclair de génie me traversa l’esprit et je fis un essai. Avant de présenter mon trou du cul à la chienne je me suis enfilé le concombre en faisant un bon nombre d’aller-retour. Et là en l’enlevant, la chienne prit le relais, toute excitée par l’odeur et les traces de merde qui restaient dans mon fondement, elle était complètement déchaînée. Elle enfila sa langue de nombreuses fois en tournant la tête pour trouver le meilleur angle de pénétration possible. En voyant sa mère s’agiter de la sorte, la plus jeune s’approcha et tenta elle aussi d’y glisser sa langue. J’étais merveilleusement bien avec ses deux langues qui me rentraient dans le cul. Sentant la jouissance arriver, j’eus juste le temps de replacer la plus jeune sur ma queue après avoir remis dessus un peu de confiture, quelques secondes plus tard je déchargeais comme un fou en lui envoyant de longues giclées dans la gueule. J’ai profité quelques années de mes copines avant qu’elles ne deviennent malheureusement trop vieilles et quittent cette terre. Mais j’ai toujours une petite pensée pour elles quand je me branle ou quand j’utilise un concombre.
