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Paradise Inn

Chapitre 1

Inceste
Ma mère a une drôle de façon de gérer ses vacances qu’elle place toujours sous le triple signe de la surprise, du hasard et de la réduction.Surprise parce qu’on ne sait jamais à l’avance quand elle va décider qu’il est temps de mettre les voiles. Vacances scolaires, emploi du temps de mon père n’ont qu’à s’adapter à son désir soudain d’ailleurs.Hasard parce qu’elle se laisse porter par les réductions du moment. Inutile de dire : « tiens, j’aimerai bien aller au Canada cet été », car vous pouvez parfaitement vous retrouver à l’automne au Maroc ou au Kazakhstan.Sa façon de choisir sa destination est exclusivement basée sur les bonnes affaires, souvent plus supposées que réelles, d’ailleurs. Elle choisit d’abord un aller-retour correspondant aux dates qu’elle a choisies, et pour lequel elle pourra bénéficier d’une remise optimale. C’est cette recherche de la réduction qui détermine la destination. Une fois le vol réservé, elle optimise le coût du séjour, notamment dans le choix de l’hôtel, sans toutefois jamais descendre en dessous d’un certain standing. Le comparateur de vol avait donné son verdict : ce serait les Bahamas. Et ma mère avait choisi l’hôtel : le « Paradise Inn ». Sauf que le reste du scénario ne s’était pas déroulé comme d’habitude. Mon père se montra inflexible et le ton était monté :― Ce n’est PAS POSSIBLE, Christelle. Pas à cette période. J’ai plusieurs dossiers qui vont se dénouer dans les jours qui viennent, et je ne peux pas m’absenter… Non ! Je te dis que JE-NE-PEUX-PAS !Mon père est avocat d’affaires. ― Si tu te retrouves contraint de plaider devant un tribunal ou un arbitre, c’est que tu as foiré quelque chose. La négociation, il n’y a que ça de vrai. Tant que l’issue ne te convient pas, tu continues à discuter. Devant un tiers, tu perds la main. Tu es contraint de faire avec son choix, pas le tien, m’avait-il expliqué une fois.Moi, je m’appelle Chris (Christopher pour l’état-civil), et je suis une victime collatérale dans cette affaire. J’ai 20 ans et suis étudiant en deuxième année de droit.Contrairement à ce qui se passait les autres fois, mon père ne céda pas et je me vis contraint d’accompagner ma mère pour éviter que la situation déjà tendue entre eux ne dégénère en guerre ouverte. Ma mère ne travaille pas, ou plus à peu près depuis son mariage. Mais malgré cette disponibilité qui semblerait évidente à tous, elle était très stricte sur ses choix de date et ne permettait pas qu’elles soient remises en cause.Voilà pourquoi j’étais assis à côté de Christelle dans cet avion, à contempler l’île de New Providence et sa capitale Nassau, où nous n’allions pas tarder à atterrir. La chambre était immense et on aurait pu y caser plusieurs lits, sauf qu’il n’y en avait qu’un. Forcément, ce n’était pas moi qui était censé être là mais mon père.Nous déjeunâmes dans un des cinq restaurants du Resort et ma mère décida de s’accorder une sieste avant une petite visite à la piscine. J’en profitai pour partir à la découverte de notre lieu de vacances pour une petite semaine.Il régnait une drôle d’ambiance dans cet hôtel, que je ne sus pas définir, du moins pas au début de mon exploration. Tout le monde souriait (on n’est plus habitué…), était décontracté. Les tenues aussi l’étaient. Je côtoyais des vacanciers en maillot de bain, bien loin des plans d’eau, ce qui n’est pas autorisé dans tous les établissements. Puis je croisai même quelques dames topless.Je ne me plaignais pas de cette singularité, je profitai de la vue. Puis je trouvai sur ma route ce qui me sembla être des techniciens, armés de micros au bout d’une longue perche ou d’une caméra lourdement armée d’objectifs qui devaient permettre de faire tous les plans rapprochés qu’on voulait. Je remontais le flux de ces fourmis laborieuses et finit par tomber sur un tournage.Je repérai facilement le metteur en scène, vautré sur une chaise floquée à son nom (« Jones »,) trois ou quatre chaises du même type, pareillement imprimées (« Wanda », « Betty », « Chris »…) Toute l’attention était focalisée sur la scène qui était en train d’être gravée dans le silicium, puisque plus personne n’utilise de pellicule. Une femme (Betty ou Wanda sans doute,) à quatre pattes, léchait le sexe d’une autre (Wanda ou Betty,) allongée sur la pelouse, tandis qu’un acteur mâle (sans doute Chris,) la pénétrait avec conviction en levrette. Tous trois étaient intégralement nus. Bref, ils tournaient un porno.Je n’étais pas le seul badaud à contempler le spectacle. Nous étions plusieurs dizaines, que le service d’ordre ne chassait pas. Il se contentait de faire respecter le silence et de veiller à ce qu’aucun spectateur n’entre par maladresse dans le champ des caméras.J’étais sans doute le plus vêtu des observateurs. Les femmes étaient presque toutes les seins à l’air et se les caressaient, se pinçant parfois le téton pour le faire durcir. Un homme avait baissé son short et se masturbait avec vigueur. Cela ne semblait gêner personne. Il tenait son smartphone dans la main gauche et filmait alternativement les trois acteurs sur la pelouse et sa propre bite.Une femme s’approcha de moi par derrière. Je sentis le contact de sa poitrine au travers de ma chemisette avant de la voir.― Bonjour, je vous ai croisés dans le hall avec votre compagne, et je sais que vous êtes français, tout comme moi. Je m’appelle Noémie. Vous aimez ?Je me tournai vers elle. Elle ne portait qu’un bas de maillot qui s’avéra n’être qu’un string, ce que je ne devinai pas à ce moment là puisque nous nous faisions face. Elle devait faire pas loin d’un mètre soixante-quinze, très mince, avec une poitrine généreuse qui s’évasait sur son torse. Je dirai qu’elle dépassait facilement  la cinquantaine.― Vous allez vous aussi essayer de vous insérer dans un casting ? J’aimerai bien tourner avec Chris Montana, mais Jones est assez sélectif sur les amateurs qu’il accepte. J’aurai peut-être plus de chance sur un des trois autres tournages. Mon problème, c’est que je ne me suis jamais fait refaire les seins. J’essayai d’assimiler ce qu’elle venait de me dire. Ainsi, l’hôtel accueillait en même temps plusieurs tournages de films pornographiques dont les metteurs en scène ne refusaient pas d’intégrer des amateurs, sans doute au compte-goutte. Puis je posai mon regard sur les seins de mon interlocutrice. Ça n’aurait pas été poli de ne pas le faire.― Je ne vois pas pourquoi vous vous les seriez refaits.
Elle souleva ses mamelles et me les présenta, pour que je les voies mieux, ou, qui sait, pour que je les touche. Mais je n’osai pas.― Le problème, c’est que dans les pornos américains, votre talent supposé est proportionnel à votre tour de poitrine. Elles se sont toutes fait refaire les nibards, me confia-t-elle et désignant les deux actrices toujours au travail. C’est trop tard pour moi. En plus, je n’en ai pas vraiment envie.― Et vous avez tout à fait raison. Ils sont très bien comme ça. Je veux dire très bandants.― Merci, murmura-t-elle en frôlant mon bermuda, ce qui activa un peu plus la raideur de mon membre, déjà bien mis à contribution par la scène à laquelle j’assistai. « Alors, vous êtes venus pour faire de la figuration ou seulement pour regarder ?Ni l’un, ni l’autre, aurai-je pu lui répondre. Moi, je suis un casque bleu en mission, venu passer une semaine de farniente avec ma mère, par procuration. Mais je gardai la vérité pour moi.― Je ne sais pas encore. Pourquoi ?― Ecoutez, je ne vais pas tourner autour du pot. J’écris des scénarios et j’ai du plutôt bon matos numérique. Je me disais qu’on pourrait se faire un petit film amateur à trois, avec votre compagne et vous. J’ai justement une histoire qui s’adapterait parfaitement à cette configuration.J’étais estomaqué. Elle me proposait de tourner un porno amateur avec elle et ma mère. Je faillis répondre un « non » sec et définitif, mais optai au dernier moment pour le louvoiement.― Faut voir. Je peux vous contacter comment ?Elle me donna son numéro de chambre et ajouta :― Mais on risque de se croiser sur les lieux de tournage.Pas sûr. Pas sûr du tout. Je voyais mal ma mère s’éterniser devant la scène d’amour physique mécanique que j’avais sous les yeux depuis un bon quart d’heure, au milieu de pseudo actrices à la carrière contrariée et de vrais pervers plus qu’à moitié exhibitionnistes.― Vous vous appelez comment ? Me demanda-t-elle.― Chris. Mais pas Montana…― C’est un signe. En venant ici, je rêvai de me taper un Chris. C’est sans doute vous…Et elle déposa un baiser sur mes lèvres avant de faire demi-tour, me laissant admirer ses fesses encore fermes dont le string que je découvrais, si j’ose dire, ne cachait absolument rien. En fait, c’était les fesses qui dissimulaient la ficelle.J’abandonnai Chris, Wanda et Betty à leur chef d’œuvre et poursuivis mon exploration. J’entraperçus de loin Noémie à plusieurs reprises, toujours fesses et seins à l’air, mais je l’évitais. Je tombai ainsi par hasard sur deux autres lieux de tournage, dont le budget était manifestement plus réduit que sur celui de Jones. Il y avait un peu moins de monde autour, mais pas beaucoup moins. Les spectateurs étaient aussi bien tolérés. Sur le deuxième site, j’arrivai au moment où le metteur en scène triait parmi les volontaires pour composer sans doute une scène d’amour collective. Noémie aurait dû se trouver là, elle aurait enfin eu sa chance. Mais je ne la vis pas.Une femme d’une trentaine d’année déjà entièrement nue se jeta sur moi, s’efforçant de baisser mon bermuda et de m’entraîner sur la pelouse, tandis qu’un homme que je soupçonnai être son mari la filmait en riant. Je la repoussai gentiment, après tout, elle ne me voulait que du bien. Je l’embrassai sur la bouche en lui caressant les seins, ce qui sembla beaucoup plaire au mari, particulièrement excité et qui immortalisa ce moment inoubliable, celui où sa femme proposait à un inconnu de baiser avec elle.Puis je l’abandonnai là et repartis vers notre chambre.

* * *

Je retrouvai Christelle allongée sur le lit mais réveillée, seulement vêtue d’une culotte et d’un soutien-gorge. Une tenue un peu stricte selon les normes de cet hôtel un peu spécial. J’hésitai à lui faire part de mes découvertes, mais ne savais pas comment aborder le sujet. Je n’avais jamais eu l’intention de lui relayer les propositions de Noémie. Alors, lâchement je me tus. Elle découvrirait bien la vérité toute seule. Après tout, j’aurais très bien pu ne rien remarquer. Enfin, si j’avais été aveugle.― On va à la piscine ? Me proposa-t-elle.Elle n’attendit pas ma réponse qui ne pouvait selon elle qu’être positive, et disparut dans la salle de bains passer un maillot deux pièces. Elle agrafa un paréo et m’interrogea :― Tu penses que je peux sortir comme ça ?J’avais envie de lui répondre : tu es un peu trop couverte, mais ça ira. Au lieu de quoi, je me contentai de la rassurer :― Oui, ils ne me semblent pas trop guindés dans cet hôtel.L’ambiance de la piscine me parut plus familiale que celle des jardins ou des allées du complexe touristique. Non pas qu’il y ait des enfants dans ou autour de l’eau, je n’en vis aucun, mais je ne ressentais pas la tension sexuelle qui émanait de presque tous les résidents. J’aperçus quelques femmes qui avaient conservé le haut de leur maillot. Et même une ou deux avec un maillot une pièce. ― Ça te gêne si j’enlève mon haut ? Avant que je n’aie eu le temps de répondre, il avait disparu dans son cabas. Ma mère est comme ça. Ses questions ne sont que de pure forme. A peine a-t-elle émis une interrogation qu’elle a déjà entamé l’action découlant de la réponse qu’elle attendait. Discuter avec elle est très facile : on peut se contenter de ne jamais rien dire.J’en profitai pour détailler son anatomie. Elle mesure un mètre soixante-huit, elle est blonde, les cheveux mi-longs. Ses seins sont fermes et de taille respectable. Mais ils n’ont rien à voir avec ceux de Wanda ou de Betty : les siens sont naturels. Ils ne piquent pas encore vers le sol comme ceux de Noémie. Ma mère n’a pas encore cinquante ans, même si elle s’en approche plus vite sans doute qu’elle ne le souhaiterait. Elle possède quelques rondeurs plutôt sympathiques, sans pouvoir être qualifiée d’enveloppée. Ses jambes ne révèlent pas de trace de cellulite.En deux mots, c’était encore une belle femme. Nous passâmes une bonne heure à plonger, nous sécher, nous protéger du soleil, replonger, etc.― On se ballade un peu dans l’hôtel ? Me proposa-t-elle.Et je n’eus plus qu’à la suivre.― Tu as visité, tout à l’heure ? ― Heu… Pas vraiment.Et naturellement, nos pas nous menèrent tout droit sur un attroupement de cinéphiles et de spectateurs peu vêtus. ― Qu’est-ce que c’est que ça ? Maugréa-t-elle, interloquée.Un homme debout, les reins cambrés, pilonnait une starlette penchée en avant, les jambes écartées. Son sexe sortait intégralement d’entre les cuisses de sa partenaire avant que ses couilles n’aillent à nouveau buter contre ses fesses.― Non, mais tu as vu son engin ?L’acteur qui œuvrait sous nos yeux émargeait à la catégorie des « pompe à essence », avec un tuyau suffisamment long pour aller chercher l’entrée du réservoir, même si elle se situait du côté opposé aux pompes. Je fus surpris que ma mère soit tombée sous le charme du vigoureux organe viril de l’acteur.Le metteur en scène qui n’était pas Jones interpella alors la foule en anglais. En gros, ceux qui étaient sélectionnés pouvaient se joindre aux deux acteurs principaux. Les femmes qui qui ne l’avaient pas encore fait se déshabillèrent. Les hommes baissèrent leurs shorts. Deux assistantes aux formes généreuses passaient parmi nous et disaient « yes » ou « sorry… », tâtant parfois le service trois-pièces des mâles pour éviter tout risque d’erreur de casting.Tandis que j’admirai leur professionnalisme, je sentis les doigts d’une des fées se refermer sur mon entrejambe, et entendis un joyeux « yes ! » Une carrière cinématographique prometteuse s’ouvrait à moi. ― Tu crois que je peux y aller ? Demanda ma mère. Une alarme se mit à retentir dans un coin de ma tête. C’était une question de pure forme. Elle ALLAIT y aller. Elle ne demandait l’aval de personne. Elle prévenait, c’est tout. Son paréo chuta à ses pieds. Je ne pouvais pas la laisser faire. Elle allait baiser des inconnus sous mes yeux. Peut-être avait-elle déjà trompé mon père, je n’en savais rien, et ce n’était pas mes oignons. Mais je n’acceptai pas qu’elle le fasse en public, qui plus est devant son propre fils. Je ramassai le carré de coton, entourai fermement sa taille de mon bras et la tirai en arrière, l’éloignant peu à peu de la scène qu’avaient rejoint les heureux élus et tous ceux qui avaient pu s’y glisser malgré l’avis négatif des deux fées. J’entendis des sifflets réprobateurs. Sans doute quelques mâles avaient-ils repéré Christelle, et n’appréciaient pas mon intervention. Je ne la lâchai pas, même lorsque nous fûmes dans le hall de l’hôtel puis dans l’ascenseur. Je la jetai sur le lit.― Non mais ça va pas ? Tu veux participer au tournage d’un porno ? Je te rappelle que tu es mariée !― Et alors ? Ça n’empêche pas une femme d’avoir des désirs. Qu’est-ce que ça peut te faire à toi ? Je ne t’oblige pas à me rejoindre !Il n’aurait manqué plus que ça ! ― Si tu es en manque, tu n’as qu’à te masturber !― Sauf que ce n’est pas pareil. Et puis, le faire devant des caméras, ça doit être le super pied !Je réfléchissais. Je ne me voyais pas passer la semaine à la chaperonner à chaque instant, à la kidnapper comme tout à l’heure pour l’empêcher d’aller baiser avec un inconnu. Mais je ne voulais pas non plus la laisser trahir mon père sous mes yeux, ni prendre le risque qu’elle figure dans la distribution d’un film qui pourrait se retrouver en libre-service sur Internet. N’importe quel voisin pourrait alors l’identifier… Quelles étaient mes autres options ?Je m’allongeais à ses côtés et fis glisser deux doigts sous son haut de maillot, jusqu’à ce qu’ils arrivent au contact de ses tétons. Elle me regarda, plus curieuse de connaître la suite que choquée par mon audace. ― Tu as vraiment envie de tourner dans un porno ?― Pourquoi pas ?Je défis le nœud de son maillot dans sa nuque pour rabattre son soutien-gorge. Elle le retira complètement. Je titillai ses tétons. Et je lui racontai ma rencontre avec Noémie.― Elle nous a repéré et nous a pris pour un couple.― Nous deux ?― Ben tu sais, depuis que le président de la république a épousé sa mère, ou une femme qui aurait pu l’être, ça ne choque plus personne, c’est même devenu tendance. Elle est aussi scénariste, dit avoir de quoi filmer et nous propose de tourner avec elle. ― Et ce serait toi le personnage masculin ?― Heu… Ben oui. Ça te gêne ? Comme ça, ça ne sortirait pas de la famille…Elle aurait pu s’offusquer. Elle n’en fit rien. Elle se contenta d’esquisser un demi-sourire. Je continuai à lui caresser les seins. Ses pointes étaient dures. Elle changea de sujet :― Ta copine, comment elle est ?― Un peu plus âgée que toi, mais encore bien conservée. Baisable, si c’est ta question. Alors si tu as vraiment envie de tourner un porno, je préfèrerai que ce soit dans ce cadre.Elle se tut un moment, comme si elle sondait ses envies ou cherchait ses mots pour exprimer son point de vue.― Nous avons mis les pieds dans un studio pour films pour adultes ouvert à tous. Je crois que c’est un signe. Ça te choquera peut-être mais j’ai toujours eu envie de tourner dans ce genre de film. Et dans vingt ans ce sera trop tard pour moi. J’ai envie de le faire en public, devant des caméras. Je ne partirai pas d’ici sans qu’on m’ait filmée en train de baiser.― D’accord. Je pars à sa recherche. Tu m’attends ici, d’accord ?― Quoi ? Tu as peur que j’aille me jeter sur une bite, la chatte la première ? Ne t’inquiètes pas, je t’attends…Et c’est sur cette réponse qui pouvait être interprétée de plusieurs façons (elle attendait mon retour pour poursuivre la discussion ou elle attendait que je revienne pour se jeter sur une bite la chatte la première ?) que je sortis de notre logement pour trouver Noémie.Elle n’était pas dans sa chambre. Il ne me restait plus qu’à arpenter les allées, passant d’un lieu de tournage à un autre. Je la repérai sur celui de Jones. Elle était habillée comme le matin, même si le mot « habillée » pouvait sembler un peu exagéré, vu le peu qu’elle portait.Je l’enlaçai par derrière, mes bras remontant un peu ses seins et lui glissai à l’oreille.― Cessez de fantasmer sur Chris Dakota, il va falloir vous contenter d’un autre Chris…Elle parut ravie.― Montana, pas Dakota. Vous avez donc réfléchi ? Vous êtes d’accord ?― Plus ou moins, sous certaines conditions, bien sûr. Y a-t-il un endroit tranquille où on peut discuter ?― Bien sûr. Allons dans ma suite. Sa suite. J’en déduisis que l’espace dont elle disposait était encore plus vaste que le nôtre. Elle enfila un débardeur pour pouvoir traverser le hall sans trop se faire remarquer et nous prîmes la direction de l’hôtel. Une fois arrivés à destination, elle retira son tricot alibi et s’enfonça lascivement dans un canapé.― Qu’est-ce qui vous a décidé, vous et… Comment s’appelle-t-elle ?― Christelle. L’atmosphère du lieu. Si on ne le fait pas ici, où le fera-t-on ?― Vous n’avez jamais baisé sous le regard de quelqu’un d’autre ?Non, puisque nous n’avons même jamais couché ensemble, ma mère et moi. Mais je n’allais pas le lui avouer.― Non, mais ça nous fait envie. Mais il y a deux conditions.― Ouh là ! Je sens qu’on ne va pas tomber d’accord. C’est toujours mauvais quand il y a des conditions. Pour commencer, non, je ne vous paierai pas !― Ce n’est pas ce que je demande. Premièrement, nous voulons jeter un œil sur le scénario avant de commencer.― C’est rare qu’un acteur de ce type de films s’intéresse à l’histoire. Ça ne peut pas faire de mal, on sera plus vite dans l’action. Accepté ! Quelle est l’autre demande ?― Je veux savoir qui vous êtes, voir votre passeport. Et que vous me garantissiez que ce film ne se retrouvera jamais sur Internet. Ce sera une vidéo à usage privé uniquement.― D’habitude, les hommes veulent voir ma chatte, mais vous, tout ce qui vous intéresse, ce sont mes papiers. Mais vous avez raison de vous méfier. Soyez tranquille, je n’ai absolument pas l’intention de diffuser ce film. Je suis professeur agrégé de français dans un lycée. Vous imaginez si un de mes élèves me reconnaissait à poil, les jambes écartées ? J’écris aussi des romans érotiques qui sont publiés sous un pseudo, bien sûr, et personne ne le sait. Je sais garder des secrets. Cette vidéo ne sera qu’un souvenir, pour vous et pour moi. Elle sortit son passeport et le posa sur la table basse. Je le feuilletai et le pris en photo. Elle s’appelait bien Noémie et avait 55 ans. Je lui rendis le précieux petit carnet.― Pour le scénar, je ne l’ai qu’au format digital. Vous avez un ordi ?― Dans la chambre oui. ― Alors, je vous le mets sur une clef USB.Puis elle me tendit le petit bout de plastique et de métal que je glissai dans la poche.― Donc, je crois que nous sommes désormais d’accord sur tout. Il ne reste plus qu’à sceller notre accord…Elle s’accrocha à mon cou et m’embrassa sur la bouche. Je lui rendis la politesse, glissant une main entre ses fesses, à la recherche de la ficelle du string sur laquelle je finis par butter.― Je crois que je prendrai bien un petit acompte, me murmura-t-elle à l’oreille.― J’en ai très envie moi aussi, Noémie, mais là, je n’ai pas le temps. J’ai un scénario à découvrir.― Tu ne perds rien pour attendre. Demain, ici, à partir de onze heures ?― D’accord.Et je glissai un de ses seins dans ma bouche, le mordillant à belle dents, tandis que mes doigts agiles contournaient le fin cordon de tissu et partait à l’abordage de son anus.― Mmh ! Je sens que je vais adorer notre collaboration !

* * *

Je retrouvai Christelle à peu près dans la position ou je l’avais laissée, allongée sur le lit, toujours vêtue seulement du bas de son maillot. Je pris mon ordinateur portable et m’allongeais à ses côtés, et ouvrit le fichier sur la clef.― Qu’est-ce que c’est ? Me demanda ma mère.― Le scénario qu’elle nous propose.― Super ! Et on peut le modifier ?― Tu demandes à le modifier alors que tu n’en as pas encore lu une seule ligne ? Si on propose une ou deux variantes bien argumentées, je ne vois pas pourquoi elle s’y opposerait. Mais si on veut tout changer en lui expliquant que c’est une grosse daube, ça risque d’être plus compliqué.Et nous commençâmes notre lecture. C’était l’histoire de deux sœurs plus très éloignées de la ménopause et qui n’avaient jamais eu d’enfants. Elles décident de s’allier pour enlever le fils d’un voisin qui leur plaisait, et se faire engrosser par lui. Mais il se braque et refuse d’accéder à leur demande. Alors, elles font tout ce qu’elles peuvent pour l’exciter, chacune à son tour puis ensemble. Lui essaye d’éjaculer ailleurs que dans leur vagin, dans leur bouche, en les sodomisant…Finalement, elles renoncent et décident de le libérer. Devant leur détresse, il accepte finalement de jouir en elles.Suivait un script détaillé de chaque scène. ― Alors, comment tu trouves ? Lui demandai-je, pas vraiment emballé.― Pas trop mal. Au moins, il y a une histoire. Et de quoi mettre en valeur les acteurs. Combien de temps ça va durer, d’après toi ?― Pourquoi ? T’en as déjà marre ?― Pas du tout. Au contraire, j’ai hâte de commencer ! Alors, combien de temps tu dirais ?― Le tournage, probablement deux ou trois jours. Après le montage, il restera à tout casser 30 à 40 minutes de vidéo.― Ça réduira tant que ça ?― On ne va pas tourner pendant trois jours sans s’arrêter. D’après le script, je devrais éjaculer plusieurs fois. Il faudra bien me laisser le temps de recharger.― Oh le pauvre chou. Petite nature !Puis le silence se fit, chacun étant absorbé dans ses propres pensées. Elle semblait relire le script imaginé par Noémie.―  Ça ne te gênera pas que ce soit moi ton partenaire ? Lui demandai-je, un peu inquiet quand même de ce que nous projetions de faire, devant une inconnue et sa caméra.― Je crois qu’au contraire, ça m’excite encore plus. A un point que tu ne peux pas imaginer !Et elle se tourna légèrement vers moi et je me précipitai la bouche ouverte sur le sein ainsi mis en avant. Après quelques instants à ce régime, je l’embrassai sur la bouche et glissai une main entre ses cuisses. Je sentais la fente de l’entrée de son vagin au travers du fin tissu de sa culotte.― Il serait peut-être temps que je découvre l’anatomie de mon futur partenaire, me murmura-t-elle en agrippant l’élastique de mon slip de bain.Elle le fit glisser le long de mes jambes et le retira, avant de fixer à nouveau son attention sur mes parties génitales.― Tu bandes déjà…Elle déposait des petits baisers sur mon gland, le long de ma hampe, sur mes bourses.― Tu as un beau sexe, mon chéri. Je ne vais pas regretter de me l’enfiler entre les jambes. Mais en attendant…Et elle le glissa entre ses lèvres qui coulissaient le long de ma chair à chaque aller-retour.― J’aime sucer les bites épaisses, me confia-t-elle.― Tu ne vas pas rester avec ta culotte ?― J’espère bien que non !Et elle se redressa, à genoux devant moi, le regard brillant, un peu de bave dégoulinant de ses babines entr’ouvertes. Je lui retirai le bas de son maillot. Ses petites lèvres débordaient de sa vulve, sous une toison pubienne soigneusement taillée. Je me précipitai vers son entrejambe pour la lécher.― Oh le glouton ! Je reprendrai bien ta bite dans ma bouche…Nous nous positionnâmes tête-bêche, la bouche collée au sexe de l’autre. Elle avait largement plus d’expérience que toutes les filles réunies qui avaient goûté à mon chibre depuis ma première fois. Aussi je n’imaginais pas que ça puisse être aussi bon.J’enfonçai mon visage entre ses fesses, pour des caresses que la plupart des églises réprouveraient. Mais après tout, demain nous allions tourner un porno, où tout serait permis. Je devais faire connaissance avec le corps de ma mère en accéléré. Je promenai ma langue de son clitoris jusqu’à son anus.― Tu sais parler aux dames, mon chéri.Mais son activité autour de ma hampe m’inquiétait : je n’allais pas tenir longtemps à ce régime.― Maman, arrête ! Sinon je vais jouir dans ta bouche !― Et alors ? A partir de demain, tu vas me jouir dans tous les trous. Et dans ceux de ta copine, aussi. Alors je ne vois pas où est le problème !Et elle referma ses lippes au ras de mes couilles, mon gland enfilé jusqu’à sa glotte, ou pas loin.― C’est que justement. Il vaut peut-être mieux que je garde mon énergie pour demain.Elle parut surprise de mon raisonnement et libéra mon sexe.― Mon chéri, écoute bien ce que je vais te dire. Lorsqu’on sera dans la suite de ta copine, ce sera un peu comme si on était au travail. Mais là, dans NOTRE chambre, on est dans le domaine privé. Si tu étais un acteur porno professionnel, est-ce que du coup tu deviendrais abstinent en dehors du boulot ?Je comprenais ce qu’elle voulait dire. Je n’eus pas le temps de le lui dire.― Alors, ce soir, je veux que tu te vides les couilles sur ma langue !Et elle reprit mon membre en bouche tandis que je suçai avec ferveur son clitoris. Il ne fallut que quelques secondes avant que je n’éjacule. Mon traitement de son petit bouton porta lui aussi ses fruits : je la sentis se raidir et lâcher un vrai cri de satisfaction.Après quelques instant où ni l’un ni l’autre ne bougeâmes, elle se tourna à demi sur le dos et ouvrit la bouche pour que je puisse constater qu’elle n’avait pas encore avalé mon sperme.― Merci mon chéri. Tu pourras te vanter d’avoir fait jouir ta mère à ta première tentative !Je ne voyais pas très bien auprès de qui m’en vanter. Je n’en dirai rien à personne, même pas à mes meilleurs copains, Théo et Max. En plus de ça, Max était maintenant en couple (voir le récit « La Tournée ».)Je caressai ses seins tandis qu’elle me souriait.― Je te plais ? Me demanda-t-elle.― Et comment !Ma réponse était beaucoup plus plate que sa poitrine. Je cherchai ce que je pouvais ajouter qui soit à la fois, élégant, sincère et explicite pour lui témoigner de mon excitation sexuelle à la vue et au toucher de son corps.― Tu me trouves encore baisable, à mon âge ?― Tu es beaucoup plus sexy qu’une minette de vingt ans !― Alors, demain, défonce-toi et défonce-moi !A SUIVRE…
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