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Parenthèse avec ma tante

Chapitre 1

Inceste
A l’âge de 18 ans, ma mère me propose de faire un stage en Angleterre, j’y rejoins ma tante Chantal, blonde aux yeux bleus âgée de 45 ans.L’idée me parut fort séduisante, d’autant plus que ma tante dès mon adolescence m’avait toujours attiré de par son physique. Elle mesure 1m70 pour 54 kg avec des seins en forme de poire et un cul féerique.Deux semaines plus tard, invité par Chantal pour y passer le week-end, je concrétisai le samedi mon fantasme absolu. Nous voici dimanche matin.

Il fut près de 9h.
Je me levai et pris une bonne douche quand j’entendis dans l’escalier ma tante. Elle arriva dans la cuisine en robe de chambre uniquement.Elle me fit un sourire, heureuse de m’avoir à ses côtés et le fait de porter uniquement sa robe me conféra le sentiment qu’elle se sentait à son aise avec son neveu.Je lui préparai un café et l’attrapai par la taille tout en ouvrant sa robe pour la coller contre moi.Les traits tirés lui donnèrent encore plus de charme et l’absence de maquillage mît en avant la sensualité de ses lèvres.Chantal s’approcha, je devinai sa poitrine endormie et je lui caressai ses fesses avec tendresse, je promenai mes mains sur cette zone défendue à la peau si douce tandis que ma tante se servit un café.Elle vint se mettre sur mes genoux, j’en profitai pour lui faire un bisou dans le cou et commençai à lui sucer l’un de ses seins, puis l’autre, Chantal me laissa faire en étant ailleurs.Certes elle fut excitée mais contrariée.
— Jean…je dois aller voir ton oncle à l’hôpital cet après-midi. Dit-elle désappointée.— Ok et tu es très en beauté au naturel.— Wouah déjà des compliments ! Répondit Chantal avec une pointe de fierté dans son ton.— J’ai une faveur à te demander ? Dis-je continuant à téter son sein désormais en alerte.— Je t’écoute. Répondit-elle en passant sa main dans mes cheveux.— Ne mets plus de culotte. En pelotant ardemment son sein devenu bien vigoureux.— Ah non Jean ! Tout mais pas ça et puis tu m’excites !— Fais-moi plaisir ma belle Tatie.
Ma tante me fit néanmoins un sourire malicieux. Je lui fis un baiser furtif sur sa bouche adorée délaissant son sein bien mûr.
— Jean, je prends une douche et je m’habille, tu peux m’attendre ?— Bien sûr Tatie d’amour !
Je vis ma tante prendre la direction des escaliers puis le jet de la douche se fit entendre.Le fait d’avoir téter son sein l’avait diablement excitée et moi aussi. Mais tout a une fin comme dit le proverbe.J’attendis patiemment dans la cuisine, je repris un café et fumai une dernière cigarette, pensif.Des pas dans le couloir attirèrent mon attention, ce fut ma tante arrivant pimpante, bien maquillée et s’apprêtant à partir. Elle fut en jupe et marqua un temps d’hésitation pour mettre sa veste.
— Chantal, tu as oublié quelque chose ?— Oui je crois bien. Dit-elle en reprenant son petit air malicieux.— Mais quoi donc ? — Attends…Dit-elle avec un grand sourire.
Ma tante releva sa jupe, elle n’avait pas mis de culotte. Elle vit mon étonnement et s’en amusa. Elle passa derrière moi, remonta entièrement sa jupe et posa ses coudes sur la table de la cuisine, fesses à l’air. Fort heureusement, les volets furent à moitié baissés. Elle me regarda longuement puis ajouta.
— Tu vois, je n’ai pas mis de culotte, alors que comptes-tu faire maintenant ? Dit-elle posément en face de moi.
Sans répondre, j’ôtai chaussures, pantalon et caleçon. Je caressai ma verge bien rigide sous les yeux attentifs de Chantal qui haussa les sourcils.Une nouvelle fois et sans le savoir, ma tante m’offrit un spectacle inconcevable de sa part.
La voir au beau milieu de sa cuisine, les coudes posés sur la table, ses jambes longilignes avec son cul magnifique me laissa bouche bée. Nous avions fait l’amour intensément hier, comme ce matin de bonne heure et j’eus le sentiment d’avoir dévergondée ma tante, de la faire revivre. Elle était devenue une affamée du sexe, elle ne se gênait plus pour me le faire comprendre, même si par instant cela me contrariait en pensant à mes parents, ma mère notamment, sachant que je sautais ma tante en toute allégresse, oubliant qu’elle avait 45 ans et un fils de 23 ans. Mais cette situation ou ce comportement fut bien loin de me déplaire.
Chantal fit une caresse furtive sur mon sexe et je me mis derrière elle avec une envie pressante de lui faire du bien.
— J’ai comme l’impression que mon neveu a des idées en tête…Dit-elle en se réjouissant de la suite.— Tu vas prendre froid.— Toi aussi ! Viens vite te mettre au chaud dans ta belle Tatie. Chuchota-t-elle en se trémoussant.
A la vue de la croupe offerte par ma tante, ma verge fut en feu et la confusion régna. Mon doigt effleura son intimité pour se faufiler entre les lèvres douces, puis anima comme il se doit son crépuscule. Ma tante émit un long soupir, hyper excitante avec son chemisier blanc transparent et ses longues jambes perchées sur des escarpins bleu foncé. 
Une fois son crépuscule bien éveillé, je doigtai Chantal pour remonter vers son deuxième orifice que je palpai consciencieusement. L’idée de la sodomiser me traversa l’esprit et sans le lui demander, mon doigt s’autorisa à s’y introduire, bien aidé par le délicieux nectar s’étant écoulé de son intimité. La veille, je l’avais pour ainsi dire dépuceler avec de genre de pratique et dire qu’elle avait adoré releva d’un doux euphémisme.
Elle fit un mouvement brusque lorsque mon doigt parcourut cet étroit canal, mais comme une belle femelle mûre et bien apprivoisée, elle se laissa faire. Sans un mot Chantal s’arc-bouta me signifiant son désir de se faire prendre.Elle ne dit mot quand un deuxième doigt fit irruption et je déposai suffisamment de salive pour que ma belle Tatie ne ressentit que du bien-être. Ce ne fut pas un langage des signes mais des mouvements dont ma tante abusa en tortillant son joli derrière, preuve d’une impatience soudaine de passer à l’acte.
— Ma belle Tatie serait-elle prête pour recevoir son neveu ? Dis-je en extirpant mes doigts.— Oui tu peux venir me prendre…Dit-elle en jubilant intérieurement.
Quelle beauté, quel spectacle j’eus face à moi. Ma tante avec ses fesses à la peau blanche affalée sur la table de la cuisine, attendant de se faire sodomiser par le fils de sa sœur, l’ensemble me créa une onde de choc encore une fois.Cette pratique honteuse, taboue voire interdite dont nous étions friands dépassa notre entendement. Nous sûmes chacun de notre côté que nos rapports incestueux samedi furent hors limite, mais pratiquer la sodomie entre sa tante et son neveu…que Dieu nous pardonne.
Immédiatement, je saisis mon sexe avide de son orifice, avec ma main j’écartai ses fesses féeriques et mon sexe vint à la rencontre de son anus si pur pour tendrement s’y glisser. Je sentis ma sublime partenaire savourer la progression de mon gros pénis, passant le cap de ses muscles anaux pour cheminer au plus profond de son intimité la plus intime. Mon sexe disparut entre ses fesses affolantes empruntant ce canal domestiqué et débuta des mouvements de folie dans le but de transcender ma belle Tatie, lui faire dépasser ses limites habituelles sur le plan sexuel en passant par des émotions jamais ressenties.
— Nom de dieu que c’est bon Jean ! Mais pourquoi toi ? Dit-elle en pleine extase.— Parce que c’était écrit et parce que tu aimes maintenant te faire prendre par derrière par ton jeune étalon. Répondis-je dans un rythme volontairement paresseux.— Oooh oui c’est si bon de te sentir et quand je pense que tu me baises par le cul, toi mon propre neveu ou mon jeune étalon si tu préfères et…Gémit Chantal sans terminer sa phrase.— J’ai toujours aimé ton cul Tatie, alors y mettre mon sexe dedans, tu n’imagines pas le plaisir que je ressens ! Tout en poursuivant mes mouvements bien lents, dégustant l’intérieur de son superbe cul.— Ooooh c’est pas possible que ce soit si bon…S’étonna-t-elle.
Je remontai le chemisier de ma tante pour lui caresser ses seins en feu et un premier gémissement me fit comprendre que sa jouissance débuta. Mon rythme s’intensifia, les va et vient langoureux laissèrent leur place à de véritables coups de butoirs pour la plus grande joie de ma tante. 
A chaque mouvement, j’éprouvai la sensation que ma tante fut sur le point d’atteindre les étoiles, aussi je portai le coup de grâce en dorlotant comme il se doit le point précieux de son intimité. Cette fois, je lui fis atteindre l’impossible, elle devint Icare en prenant de plus en plus d’altitude pour s’approcher de la plus fabuleuse des étoiles, le soleil, le soleil qui l’emporta dans sa chaleur, sa luminosité.Ses doigts fins attrapèrent les bords de la table, ses mèches blondes virevoltèrent et Chantal ressentant la puissance grandissante de mon sexe hurla sa jouissance pour faire place à un déferlement, digne d’un orgasme d’anthologie. Ma semence se déversa au fond de son précieux canal, j’exultai à mon tour. Chantal se consuma, brulée d’amour.
— Ah bordel ! Dire que je découvre ça avec toi ! Mon neveu me baise par le cul et je jouis comme une folle. Chantal en oublia ses paroles crues.— Oooh Chantal c’est magique avec toi !— Je t’aime mon neveu chéri…Je t’aime…t’es mon homme…baise-moi…ouiii baise ta Tatie adorée. Hurla Chantal au sommet de son orgasme.
Je pilonnai son somptueux derrière, ses bras tremblèrent, son souffle s’accéléra et Chantal poursuivit sa jouissance. Elle eut le souffle court et dans un dernier effort, je lâchai ma semence se répandant dans son derrière admirable pour l’entendre jouir, l’entendre s’épanouir.
— Fantastique Jean ! Gueula-t-elle sans se soucier du voisinage.— T’as un cul de rêve Chantal ! Criai-je à pleins poumons.— Ooooh tu m’as fait jouir…c’est trop, je n’en peux plus…Dit-elle essoufflée par tant d’émotions.
Mon sexe ressortit de ses fesses pour mieux se couler encore une fois dans son orifice si intime, se montrant s’y accueillant une fois dompté. Les gémissements de ma tante furent incessants, abondants tant elle aima cette pratique.Je ralentis néanmoins mes saccades, ma tante s’affalant sur la table tout en savourant mon sexe, logé dans son orifice dilaté. Je caressai ses fesses fermes, continuant à la pénétrer avec lenteur pour mieux apprécier, déguster, savourer la moiteur de son cul, la chaleur de son être.
S’en fut fini, j’avais fait jouir ma tante, mes mouvements ralentirent et je me retirai en douceur en voyant mon sexe apparaitre, sortir de son formidable cul diabolique. Chantal se leva puis se retourna, ôta ce chemisier inutile pour m’adresser son sein. Je tétai ainsi son relâche ce téton déjà durci, mais ma tante en voulut encore plus, comme s’il elle se trouvait dans un état second. J’aspirai sa pointe pour la relâcher en lui caressant ses hanches, puis elle oscilla son bassin, elle qui pourtant quelques minutes auparavant jouissait à tout rompre, me donna cette folle impression de vouloir à nouveau éprouver un sentiment comparable. Elle m’offrit ses lèvres pour un baiser amoureux, faisant baisser la tension régnant dans la pièce.
Puis elle se ravisa, pensant à son mari et au temps qui passe.
— Oh c’est fou ce que l’on fait… Ecoute Jean, je vais passer voir Andrew dès le début des visites et je serai de retour à 15 heures, tu peux faire un saut vers 16 heures ? Demanda-t-elle en parlant de manière saccadée.— Avec grand plaisir Chantal. Dis-je en caressant son ventre à la peau si douce.— Prends une bonne douche mon grand, je veux que tu sentes bon ! S’exclama-t-elle.— Ne t’inquiète pas.— C’était grandiose ce que tu m’as fait. Dit-elle en m’embrassant à nouveau.
J’enfilai mon pantalon et lui adressai un petit baiser pour repartir chez moi. Les yeux rivés sur ma montre, j’attendis avec impatience l’heure fatidique en regardant des programmes inutiles à la télé. Bien avant de repartir, je pris comme convenu une bonne douche tout en pensant à ma promise.
A l’heure dite, je sonnai mais il me suffit de pousser la porte entre-ouverte pour accéder au couloir. J’aperçus ma tante sur la terrasse revêtue d’un paréo et je devinai sans mal qu’elle ne porta rien en dessous.
— J’avais laissé la porte ouverte ! Te connaissant, je savais que tu serais à l’heure ! Me dit ma tante assise sur la terrasse, jambes croisées.— Oui et ton mari ?— Bof, à vrai dire je m’en moque un peu, il préfère la présence de son infirmière à la mienne.— Quel con et tant mieux pour moi ! Dis-je en allumant ma tante.— On peut dire que tu en profites de ta Tatie. Ajouta-t-elle tout en se réjouissant de mes paroles.— Disons que je prends plaisir à la connaitre de manière plus intime. — Oui tu commences à connaître ta tante sous un angle différent. — C’est loin de me déplaire Chantal, tu es tellement bien foutue ! En m’exclamant.— Oui mais je te rappelle que je reste ta tante, je suis la petite sœur de ta maman Jean. Insista-t-elle dans chaque mot prononcé.— C’est peut-être ça qui nous rend fusionnel quand on fait l’amour…bref j’aime sauter la petite sœur et si je ne me trompe pas, elle adore, pas vrai ?— Tu connais fort bien la réponse Jean, mais tu sais comme moi que ça reste exceptionnel dans tous les sens du terme.— On fait trop l’amour ? Demandai-je naïvement.— Je n’ai pas dit ça, bon je m’allonge sur le transat et mets-toi à l’aise, prends un verre ! Dit-elle un peu désemparée de réaliser la situation.
Je revins et la vis allongée sur le ventre, son paréo posé sur ses fesses divines. Sans échanger un mot, je posai mon verre de coca et mes mains vinrent effleurer sa voute plantaire pour remonter vers ses cuisses. Chantal ne moufta guère lorsque mes lentes caresses apparurent le long de ses fesses, mes doigts se faufilant sous ce morceau de tissu.
— Alors jolie Tatie, envie de te faire câliner par ton neveu ?-  Oui ! Tu ne me mets pas de crème mon chéri ?— Je préfère sentir ta peau douce et il y a quelques nuages. Dis-je avec mes doigts approchant de son intimité.— Tu aimerais que je me retourne comme ça tu seras plus à l’aise pour continuer ce que tu as commencé…— Oui retourne-toi ma belle Chantal.— Si c’est un ordre, je m’exécute sur le champ. Ravie de se faire dorloter par son neveu.
Elle se mît sur le dos en prenant soin de mettre le paréo sur sa poitrine. Le reste fut en plein soleil pour ma plus grande joie. Ma tante ferma les yeux et je poursuivis mes caresses uniquement entre ses cuisses. Le résultat ne se fit pas attendre, Chantal écarta progressivement ses jambes pour me dévoiler son intimité reluisante. Quelle fut sexy avec uniquement cette serviette sur la poitrine et son sexe à portée de ma bouche !
Avec une envie irrésistible, je déposai quelques baisers sur son ventre et ma langue se posa sur son point culminant en lui faisant une animation habile dans cette zone hautement érogène.
— Oh c’est bon, tu as les mains douces mais j’ai la bouche sèche. Dit-elle en soupirant.— Redresse-toi je t’apporte mon verre.— Oui c’est gentil mais tu reprends tes caresses ?— Évidemment mais redresse-toi sinon tu vas t’en mettre sur la poitrine.— Dans ce cas, tu la lécheras !
Un peu déconcerté par de tels propos émanant de ma tante, je restai sans voix tout admirant son buste, ses seins en forme de poire et ses épaules gracieuses. Mais à force de la contempler, mon sexe devint encombrant et ma tante le remarqua au moment de boire dans mon verre en jetant un bref coup d’œil. Du coup, j’y allai au culot, direct. 
— Ma belle Chantal ?— Oui mon amour.— Mon sexe te réclame. Dis-je un peu maladroitement.— J’avais remarqué, qu’il vienne me rendre visite. Répondit-elle du tac au tac sans se soucier de mes propos osés.— Il préférait que tu viennes ! Insistai-je.— Soit, va t’asseoir sur la chaise de la terrasse…Dit-elle dans un long silence.
Je n’en crus ni mes yeux ni mes oreilles, ni rien du tout. Ma tante se leva en gardant son paréo sur les épaules et ce fut elle qui me prit la main pour nous diriger vers son salon d’été. Nous marchâmes ainsi main et durant ces quelques mètres, j’admirai au passage la finesse de ses jambes, des jambes à tomber par terre et son cul de rêve, un cul comme on en voit dans les magazines de mode, un cul qui vous fait louper une marche…que sais-je encore.Quelle belle paire de fesses elle pouvait avoir pensais-je, sans me rendre compte que je fus quasi obnubilé par les formes de ma tante.
Durant ce court instant, je me dis dans la tête : ça n’est pas possible (!), tu vas baiser ta tante avec son cul de rêve, ses guibolles gracieuses, ses lèvres délicieuses. Tu as 18 ans, tu vas sauter ta superbe Tatie de 45 ans pour l’entendre gémir, la faire jouir avec ton sexe plongé en elle !! Elle marche devant toi toute conquise, ça n’est plus un rêve ni un fantasme…c’est du délire tout simplement.
— Installe-toi ici. Dit-elle en m’indiquant une chaise à l’abri des regards.— Je prends place ma chère. La voyant debout, face à moi, mon érection se renforça de plus belle.— Alors, ton beau sexe me réclame parait-il, montre-moi un peu ? Attentive à mon entrejambe.
Je ne rêvai point et je revins à la réalité.Dans la foulée je me débarrassai de mon caleçon puis je m’assis. Mon sexe rigide pointa son gland face au ciel. Chantal eut un regard admiratif mêlé d’une joie intérieure avec ses yeux fixés sur mon membre, gorgé de sang.
— Belle bête ! Dit-elle en se dépossédant de son paréo tel une armure.— Alors qu’en penses-tu ma belle Chantal ? Rajoutai-je avec un ton posé même si mon corps tout entier la réclamait.— Eh bien il faut que je teste tout cela. Dit-elle ultra-bandante en posant ses mains sur les hanches.— Merde t’es hyper sexy Tatie d’amour !
Ma tante le sut très bien et enjamba mes cuisses pour se retrouver sur moi, elle recula un peu et laissa mon sexe lui frotter son bas ventre. Cela l’excita terriblement et l’envie de me sucer se fit jour.
— Dommage que je ne puisse pas goûter cette si belle partie du corps de mon neveu ! Sourit-elle avec des yeux gourmands.— Mais l’après-midi n’est pas terminée…Rajoutai-je pour laisser planer l’ombre d’un doute.— Bon, voyons voir de plus près. Dit-elle, telle une gosse prête à dévorer son 4 heures.
Sans aucun complexe, elle saisit mon sexe, le plaça à l’entrée de son orifice pour le laisser tranquillement couler en elle en fermant les yeux, posant ses mains sur mes épaules, telle une cavalière. Le cheminement de ma verge gonflée à bloc dans le vagin de ma belle Tatie ne fut qu’un plaisir brut, total et plus mon sexe poursuivit son chemin en elle et plus encore j’eus cette impression folle de posséder cette belle femelle de 45 balais, belle à en crever.
Mon sexe s’encra dans ses profondeurs, envahissant ses chairs, partageant l’intimité de sa chaleur et ce fut elle qui se pencha pour me rouler une pelle, digne d’une adolescente affamée mais studieuse. Mes mains se promenèrent le long de son dos pour finir par ses hanches et comme sa peau fut chaude et agréable au toucher, je ne fis que la caresser de partout. Je décidai de prendre le commandement en la dirigeant dans ses mouvements, bienheureux de maitriser ma belle fleur que j’apprivoisais au gré de nos ébats incessants depuis hier.
— Viens ma belle, bascule doucement ton bassin. Lui dis-je en la tenant par les hanches.— J’aime Jean, j’aime beaucoup. Elle me regarda, bouche ouverte.— Continue, sens moi bien en toi. Dis-je en lui caressant ses superbes fesses.— Ouiii mon chéri je sens ton sexe profondément. Avec une voix tremblante.— Fais doucement, calmement, savoure mes caresses et approche tes lèvres. Ma tante s’approcha, attentive à mes propos.— C’est excitant ce que tu me dis Jean. Dit-elle émue en m’embrassant.— Lâche toi en douceur, commence à balancer ton bassin ma belle…oui c’est bien. 
Tandis que mes caresses se firent incessantes sur chacune de ses fesses vigoureuses, Chantal se prit au jeu de l’élève face au prof.
— Ouh c’est bon mon chéri.— Fais-toi câline comme j’aime, soulève-toi et baisse-toi avec lenteur. — C’est bien comme ça ? En m’interrogeant pour se rassurer.— Oui tu baises très bien ma Tatie ! Dis-je tel un prof.— Merci grand chef. Chantal approcha et me fit un baiser dans le cou.— Tu es bien avec ton neveu en toi…Dis-je en lui donnant un petit coup de rein.— Merveilleusement bien. Soupira-t-elle.— Chantal ? Dis-je en l’interpellant.— Oui Jean je t’écoute.— Putain ce que t’es belle à baiser !— Que tu es bête…
Elle prit un peu de recul me montrant ainsi son buste flamboyant. Je pris une nouvelle décision pour mieux baiser ma tante, pour mieux la faire jouir comme j’aimais.
— Lève-toi ma chérie et suis moi…
Chantal se soumit à mon ordre et je l’emmenai vers le salon. Une nappe déposée sur la table à manger attira mon attention et une idée jaillit dans mon esprit.
— Allonge-toi sur la table ma belle Tatie, que je te baise comme tu aimes. Dis-je en la regardant de bas en haut.— Ah c’est nouveau, tu veux me baiser sur la table.— Affirmatif !
Elle s’installa sur la table puis je la pris par les hanches pour bien la positionner. Ma tante fut ainsi allongée dans son salon, entièrement nue et les jambes écartées, prête à copuler une nouvelle fois avec son jeune neveu. Devant la beauté de son sexe, je ne pus éviter de fourrer ma langue dans son vagin en lapant littéralement ses lèvres éveillées. Comme elle fut belle étendue sur cette table avec son ventre plat et ses cotes naissantes, avec sa poitrine conquise et enfin son regard émerveillé.
— Oh Jean j’aime…j’aime...En passant ses mains dans mes cheveux.— Prête ma belle à te faire sauter une nouvelle fois par ton neveu ?— Avec plaisir…allez viens vite te remettre au chaud ! Me répondit-elle totalement décomplexée.
Je plaçai les jambes de ma tante sur mes épaules et je lui introduisis ma verge luisante dans sa fente épanouie. J’entrai en elle à un train de sénateur, savourant chaque instant la chaleur diffuse de son intimité. Elle poussa un petit cri lorsque mon sexe disparut entre ses cuisses.Puis je m’autorisai mon petit plaisir personnel tant attendu avec ma tante.
— Chantal, pose tes pieds sur mon torse.— Ah je vois…on veut sucer les pieds de sa Tatie chérie !— Exactement.
Et ma tante les posa et je continuai à la baiser. Chantal s’en amusa et grimpa ses pieds magnifiques à hauteur de ma bouche, ses orteils glissèrent le long de mes lèvres. Tandis que mes allers-retours au fond de son vagin continuèrent, j’attrapai ses orteils soignés pour lui sucer la pointe de ses ongles et finalement les avoir en bouche en les léchant âprement. Chantal sourit, fière de se savoir désirer de partout par son neveu.
— Ah tu aimes mes pieds ! Dit-elle avec une certaine fierté de me voir ainsi.— Si tu pouvais savoir…— Tu es le seul mec qui me baise et qui me lèche les pieds en même temps, t’es un peu fou.
Je ne fis que la regarder, merveille de la féminité que j’eus en face de moi. Je caressai ses cuisses puis son bas ventre, Chantal m’attrapa finalement les mains me signifiant qu’il me fallut m’occuper d’elle en accélérant mes mouvements dans son corps sublime.Étalée sur la table, ma tante m’excita au plus haut point, elle le ressentit aussitôt tandis que je suçais ses orteils si fins.
— Oui plus fort ! Fais-moi jouir…Hurla-t-elle.— Oui ma chérie, tu aimes quand c’est plus fort !— Oh ouiii…continue à bien me baiser…Dit-elle en me serrant les mains plus fort.— Ton neveu va te donner du plaisir ! Dis-je en m’immobilisant en elle le temps de notre conversation.— Tu aimes rester à l’intérieur de ta Tatie, hein ?— Oui je suis au chaud dans ton corps et dès que je bouge, je te fais frétiller !— Alors bouge un peu pour voir…
Immédiatement, j’imprimai une cadence plus soutenue, Chantal en ferma les yeux et se mit à émettre de petits gémissements. Je détachai mes mains des siennes pour retirer mon sexe un instant. Ma tante me fixant, interrogative. Mon membre en main, j’effleurai ses grandes lèvres pour remonter vers son crépuscule. Mon gland rendit visite à son merveilleux clitoris, il tournoya autour pour finalement échouer contre lui en le câlinant. Je décidai de jouer avec ma tante.
— C’est pas bien ce que l’on fait en ce moment Tatie.— Je m’en fous ! Baise-moi ! Dit-elle avec un ton énergique.— Tu te rends compte que tu veux que le fils de ta grande sœur te baise ?— Oui je le veux ! Dit-elle en se tortillant.— Alors je vais te baiser petite sœur.— Ouiii viens…Viens en moi bordel. Dit-elle en gémissant des grossièretés.
Je réalisai à quel point je possédais ma tante dorénavant.Je fus face à ma belle femelle bien mûre, apprivoisé et docile et du haut de mes 18 ans, je savourai le fait de pouvoir me la faire quand bon me semblait, la faire jouir, elle qui était ma tante de 45 ans. Rétive au départ de notre relation, la voici devenue demandeuse donc soumise à mes désirs.
Le rêve dans son absolu.
J’insérai mon gros sexe une nouvelle fois et je vis Chantal soulagée de me recevoir en elle. Je berçai ma tante avec des mouvements amples pour intensifier ses sensations et un long râle se fit jour, preuve qu’elle apprécia mes gestes. Elle tendit ses pieds afin que je puisse les lécher, les sucer ou même les avaler dans mon imaginaire. J’eus ses orteils en bouche, leur beauté dépassant mes espérances, je ne pus m’en séparer tout en continuant à la baiser.
— Qu’est-ce que tu es belle !— Tant mieux. Répondit-elle en acquiesçant un sourire.— Et comme tu me plais ma superbe Tatie !
Chantal me caressa les avant-bras puis je sentis quelques contractions vaginales, aussi j’impulsai un rythme plus vif et ma tante se mit à respirer fortement. Elle fut au bord de la jouissance.Je déposai un dernier baiser sur ses pieds charmants en les laissant sur mes épaules. Cette fois, je pris ses cuisses à pleines mains et je baisai ma tante avec une violence inouïe.Dieu qu’elle aima cette cadence infernale !Elle ne fit que gémir puis se lâcha à haute voix.
— Oh oui ça vient…ouiii…— C’est bon, t’aimes ça ma coquine ! Dis-je en maintenant mes répétitions en elle.— Ouiii…tu me fais jouir mon beau salaud…Dit-elle en pleine jouissance.— Jouis ma belle…— Viens en moi…viens…Me supplia-t-elle.
À mon tour, des spasmes foudroyants me submergèrent comme je submergeais ma tante dans le même temps. Elle planta ses ongles dans mes avant-bras et se mît à jouir comme j’aime. Une lame déferlante inonda le bas-ventre de ma tante, mes coups de butoirs à répétition eurent raison d’elle.
— Oh mon dieu que c’est bon avec toi !!! Hurla-t-elle dans un orgasme profond.— Ouiii….Dis-je continuant à culbuter ma tante comme un damné.— Continue à me baiser…ne t’arrête plus…
Suivant les conseils précieux de ma tante, je n’arrêtai plus. Pendant l’espace de dix bonnes minutes, je baisai Tatie Chantal dans toute sa splendeur. Mais les coups de butoirs firent place à des allers-retours langoureux et je me plus à admirer mon gros sexe disparait dans sa fente royale pour réapparaitre à l’orée de son vagin, le tout sous les gémissements indécents de Chantal.
Bien qu’elle fût ma maitresse, elle n’en restait pas moins ma tante en train de se faire baiser par son jeune neveu au beau milieu de son salon, elle en oublia qui je fus et se fit bercer par les vagues incessantes de mon sexe pour n’y garder que le plaisir.Ma jouissance terminée, je trouvai la force en la regardant de continuer mon va et vient…et de récupérer ses pieds fabuleux dans ma bouche.J’eus ainsi l’impression de croquer ma belle blonde pour de bon !Chantal fut exténuée mais totalement charmée de ma présence en elle.
Je m’apprêtai à prendre congé de l’intimité de ma tante mais elle se ravisa.
— Non…reste encore un peu. Dit-elle faiblement.— Tatie t’es une sacrée baiseuse !— Tu peux parler ! T’es une vraie machine de sexe ! Tu viens de me sauter comme jamais personne ne l’a fait !!— Ouh quel compliment de la part de ma tante.— Ah oui j’oubliais notre côté incestueux ! Enfin que veux-tu, je prends mon pied avec mon jeune neveu, j’aime ça et lui aussi. S’exclama-t-elle oubliant l’interdit de notre acte en savourant l’instant passé.— Bien résumé Chantal. Dis-je en me retirant lentement.— Oooh comme j’ai aimé...Tu viens te laver avec moi ? — Ah tu as d’autres projets ? Dis-je en rigolant.
Chantal eut un énorme fou rire et me suivit en chemin.Nous prîmes une douche ensemble, prenant soin de nous frotter l’un contre l’autre. En sortant, je pris soin d’essuyer moi-même ma tante qui se laissa faire, un pur régal de la sécher et je ne privai pas de lui faire quelques caresses sur l’ensemble de son corps parfait. Chantal en fut surprise.
— Quel gentleman ! Dit-elle flattée.— Je prends soin de toi Tatie chérie.— Dis donc, le temps passe, il est près de 18 heures, je me rhabille et je te propose un petit apéritif ?— Comment pourrais-je refuser !— Alors vas t’installer dans le salon et sers toi un verre, je te rejoins quand je suis prête. Ajouta-t-elle comblée.— Ne te maquille pas trop, j’aime te voir au naturel.— D’accord ! Dit-elle faussement étonnée.
Installé sur la terrasse, je fumai tranquillement ma cigarette, admiratif du jardin verdoyant de ma tante qui arriva dans la foulée. 
— Je suis en décontractée, tu m’acceptes ainsi ?
Chantal n’avait qu’un slip et un chemisier bien déboutonné, laissant apparaître ses seins reposés. Évidemment, elle fut la nana super sexy dans sa splendeur, mélange de la femme au foyer se voulant sensuelle. Je n’eus rien contre et ma tante se mît face à moi. Je lui cherchai un verre de blanc, moi restant au coca pour rentrer en voiture.
— Tu admirais mon jardin ?— Oui il est beau, bien entretenu, verdoyant, soigné.— On dirait que tu parles de moi ! Dit-elle en souriant.— je parle de ton jardin et si je parlais de toi, ce serait différent ma chère Tatie.— Ah bon, allez resserre moi un petit verre.
Il fut 19 heures, je ramenai ledit verre et Chantal continua la conversation, intriguée de savoir quelles furent mes pensées vis à vis d’elle. Comme à son habitude, elle croisa ses longues jambes et se débarrassa de ses sandales pour se retrouver les pieds à l’air. Je n’eus qu’une envie, la croquer encore et encore mais il me fallut rester posé, attentif à ses paroles. Là aussi ce fut difficile, ma tante parla et sans l’écouter, je regardai ses lèvres si bien dessinées, ses pieds raffinés et le début de sa poitrine naissante.
— Alors comment parlerais-tu de moi mon très cher neveu ? Dit-elle en terminant son apéritif.— Ah ça devient intéressant ! Dis-je en prenant un air désinvolte.— J’aimerais savoir ce que tu penses de moi…Dit-elle en terminant sa cigarette.— Dans ce cas, je vais te le chuchoter mais il faut que tu te rapproches.— Je vois, mon neveu désire avoir sa Tatie sur ses genoux !— Oui et sans sa culotte !— Jean tu exagères un peu cette fois et je sens que tu vas insister alors je vais le faire mais avant je t’écoute. — D’abord je ne te parle pas de ta plastique irréprochable à mes yeux et tu sais parfaitement que je te trouve resplendissante. Dis-je en la dévisageant.— Continue. Dit-elle en enlevant sa culotte comme une promesse tenue.— Chantal tu me perturbes. En la regardant, mon sexe se mît dans tous ses états.— Et comme ça ? Tu peux continuer ?
Chantal écarta ses jambes laissant apparaître une partie de son anatomie puis déboutonna son chemisier. Je cherchai mes mots devant tant de sensuailté.
— Bon je reste concentré. Tu es rieuse, tolérante et intelligente mais tu restes mariée à un con. Dommage. Plus je te connais et plus tu me plais, j’ai envie que ça ne s’arrête jamais entre nous et pour finir, je réalise mon rêve, t’avoir dans mes bras.— Quel finish ! Ce n’était pas mal du tout et je vais exaucer ton vœu.
Ma tante se leva avec juste son chemisier blanc ouvert et vint se mettre sur mes genoux. Durant ce laps de temps, j’en profitai pour retirer mon caleçon, ma tante observant mon geste ne dit rien. Ce fut bon signe pour la suite.Chantal me prit par la nuque et réclama un autre verre.
 - On peut servir sa tante une dernière fois. De toute façon je ne bois plus rien après. Dit-elle en me glissant un baiser dans le cou.— Allez le dernier et puis j’y vais. Dis-je exprès pour voir la réaction de ma tante.— Tu pars et tu laisses ta tante dîner toute seule ?— Est-ce une invitation ? Tout en la caressant à la base de ses seins.— Ouiii et je te l’avais dit. Dit-elle enjouée.— Alors je reste !
 Je m’attardai sur la pointe de ses seins, en les pinçant à chaque passage avec de douces caresses. Chantal termina son dernier verre et prit une cigarette. Je commençai à insister sur l’un de ses tétons et tout à coup, la réaction de ma tante fut sans appel.
 - Bon, tu veux me téter mon chéri ? Dit-elle en approchant sa poitrine.— Avec joie mais je ne suis pas le seul…— Non c’est vrai. En tirant une bouffée de cigarette, Chantal se leva pour se mettre à califourchon sur son neveu.— Ah c’est mieux, je suis face à toi. Dis-je en attrapant avec mes lèvres son sein désireux de tendresse.— Oui et je sens entre mes cuisses mon neveu de nouveau en forme ! Ajouta-t-elle tout en se laissant téter son sein.— Je t’ai dit que tu me plaisais énormément Tatie. Dis-je tout en aspirant son téton que je sentis durcir entre mes dents, en le pinçant avec une infinie délicatesse.— Jean, tu n’arrêtes jamais ! Dit Chantal en éteignant sa cigarette.— T’es unique. Dis-je en passant ma main dans la raie de son superbe cul.— Jean, je voudrais te poser une question.— Allons donc ! En m’exclamant, je lui caressai la peau duveteuse de sa chute de reins.— Tu as fait l’amour quand pour la première fois ? Dit-elle intriguée.— Il y a un an et j’ai connu trois filles dont la dernière qui avait 30 ans, mais c’était purement sexuel.— Ah en effet, tu apprends vite et une trentenaire donc avec moi, tu bats ton record. S’interrogea-t-elle avec une pointe de susceptibilité.— Non rien à voir, c’est tellement différent. Tu es ma tante et comme je te l’ai dit, pour moi quand je te regarde tu es la définition d’une femme dans toute sa splendeur, tu es LA femme de toute mon adolescence ! — Ah bah dis donc tu n’y vas pas de mains mortes ! Donc je suis ton fantasme absolu ? Demanda-t-elle comme pour se rassurer.— Oh oui ma belle Chantal mais au fait et toi, ça te fait quoi de faire l’amour avec moi ? Tout en caressant la base de son sein.— Ah ! …
Chantal me regarda, pensive en se laissant désormais peloter son sein ardent, mais hésitante à se laisser aller à de telles confidences avec une conversation portée sur le sexe.
— Allez vas-y ! Dis-je d’un ton impératif.— D’abord ça m’a fait drôle au début et puis je dois te l’avouer, maintenant je me rends compte à mon tour que j’assouvis une sorte de fantasme. Je fais l’amour avec un garçon plus jeune que mon fils et…Chantal ne put finir sa phrase, embarrassée.— Il faut finir, donc t’adore te faire baiser par un mec qui pourrait être ton fils et… ? — Et je réalise que c’est le top et en plus c’est avec toi. Je t’ai toujours trouvé très beau dès tes 15 ans et tu m’as toujours inconsciemment attirée mais je ne devrais pas te dire tout ça !  S’énerva-t-elle.Je palpai son sein et mes doigts firent de petites spirales sur son aréole, Chantal se détendit.— Tu ne peux pas savoir le plaisir que j’ai à te regarder Jean, quand ta mère m’a dit que tu venais, je me suis dit cette fois il va bien me draguer quand même ! Chantal alluma une cigarette, nerveuse à souhait.— Que de confidences ma chère tante. Dis-je dans un sourire pour la mettre en confiance.— Je suis gênée maintenant, mais je voulais que tu le saches et puis de toute façon, j’étais sûre que tu me draguerais et j’ai résisté pour la forme, mais au fond de moi je savais qu’avec toi ce serait merveilleux de faire l’amour ensemble, nous avons une telle alchimie tous les deux…enfin je crois. Dit-elle dans cette longue narration.— Tu crois bien ! Et quoi d’autre ? Demandai-je tel un inspecteur.— Bah tu as dû t’en apercevoir, tu me donnes des sensations inconnues, je ne pensais pas que tu serais aussi douée pour m’envoyer au septième ciel !! Et puis ta façon de me faire l’amour est surprenante, tu es doux, attentionné, imprévisible, ça me change de mon mari et même des autres hommes que j’ai connus et puis je te trouve canon. Voila ! S’exclama-t-elle comme soulagée de m’avoir déballée toutes ses pensées les plus secrètes.— Pas mal…Dis-je en cachant ma joie.
Chantal me caressa les épaules machinalement, nerveusement. Puis elle reprit de plus belle.
— C’est comme avec mes pieds, personne ne me l’a fait et je le prends comme une preuve d’amour et c’est très agréable Jean. J’ai cette impression que tu me désires toute entière. Dit-elle émue.— Oui c’est nouveau comme pour ton joli petit cul !— Ah c’est autre chose, là j’avoue que je suis la première surprise ! Déjà je ne pensais pas que je franchirai le pas et puis…qu’est-ce que j’aime avec toi, tu as la manière alors que tu es si jeune. On peut dire que tu m’as bluffée sur ce coup-là. Chantal éteignit sa cigarette.— Avec toi Chantal, j’ose tout et je sais que ça va marcher à merveille. Lui confiai-je en m’approchant de son sein désireux de mes lèvres.
Ma tante m’excita au plus haut point avec son chemisier défait et toutes ces confidences. Je pris son autre sein et recommençai mon œuvre, je sentis Chantal parcourut d’un léger frisson tandis que ma main se positionna à l’entrée de son vagin, bien trempé pour la circonstance. Je stoppai ma tétée et embrassai ma tante qui n’opposa aucune résistance, au moment où mon doigt fit des spirales à l’entrée de son orifice. Chantal s’embrasa et ondula son bassin en me serrant près d’elle. Notre coït incestueux fut imminent.
— Tu veux me sauter si j’ai bien compris. Me chuchota-t-elle en faisant un geste de son bassin sans équivoque possible du désir qu’elle éprouva.— Oui j’en ai fortement envie. Dis-je en me frayant un passage entre ses lèvres, pour y introduire mon doigt dans sa belle fente.— Je le ressens ! Dit-elle avec ses bras posés sur mes épaules, telle une cavalière prête à faire un parcours d’obstacles….
 Chantal déposa de multiples baisers dans mon cou, elle rapprocha son intimité de mon membre plein de vigueur, puis colla sa joue contre la mienne. Je plaquai ensuite mes mains contre chacune de ses fesses pour les pétrir, comme elles le méritèrent.
— Bon mon chéri on fait vite et après on mange.— Mais sans problème !— Tu veux qu’on le fasse ici ? Dit-elle totalement décontractée.— Viens on va dans ta chambre, on sera plus à l’aise.
Je la pris par la main et nous montâmes directement. Chantal enleva son chemisier et s’allongea sur le lit en écartant les jambes, comportement totalement impudique quoique très à l’aise après notre conversation fortement intime. Devant mon regard admiratif à la vue du spectacle offert par ma tante, elle me fit le sourire d’une femme amoureuse et frotta ses jolis pieds sur le drap, impatiente de ma venue.Face à elle avec le sexe tendu, je me régalai par avance de la pénétrer une nouvelle fois. Elle me contempla et finit par me dire quelques mots.
— Jean, viens me prendre, viens baiser ta belle Chantal. En suçant son doigt pour m’allumer.— Je viens te baiser ma belle Chantal. 
Je sus qu’un nouvel accouplement incestueux ne la dérangeait guère, qu’elle aimait tout ce que je lui faisais et qu’en plus, elle me trouvait canon.Chantal jeta un bref coup d’œil sur mon membre ayant retrouvé sa forme. Je vis en un éclair la satisfaction qu’elle exprima à l’idée de se faire à nouveau sauter par son neveu.
— Tu regardes mon sexe ? Lui demandai-je.— Bah disons que j’ai hâte de l’avoir en moi…Répondit-elle dans un sourire.— Tu vas voir comment je vais te faire jouir !— Oh depuis hier, je ne doute de rien et je t’ai vu à l’œuvre ! Dit-elle en frottant ses pieds d’impatience.
Je me mis à genoux au bord du lit et ma tante en fut quelque peu étonnée, puis comprenant mon désir pour elle, son corps parfait se mut à son tour pour mieux se positionner.Sa belle chatte épilée me fit face et je passai mes doigts sur ses lèvres gracieuses.
— Ah tu l’as enfin ta tante ! Dit-elle charmeuse.— Oui et je crois que ça lui plait.— Ca faisait longtemps que tu attendais…— Depuis que je suis ado et tu le sais !  Par contre toi tu revis ma chère Tatie depuis hier.— Ouiii je revis avec toi et tu n’imagines pas le bien que tu me fais…allez viens me lécher ! 
Ma bouche se colla à sa vulve trempée et ma langue hésitante se fourra dans son vagin, ressentant toute la chair de Chantal, toute son intimité à elle, sa liqueur, son nectar s’écoulant de cette fabuleuse source.Ma main caressa son bas ventre avec sa vulve en bouche, je l’entendis pousser de petits cris de plaisir et je descendis plus bas, dorlotant son deuxième orifice friand de ma langue suave.
 - Oh c’est si bon ce que tu fais ! Tu apprends vite pour connaitre mes points sensibles.— Chut…savoure Chantal, savoure ma langue dans ta chatte si belle.— Hum...Oui...Oui ! Oui ! Grogna-t-elle du plaisir ressenti.
Chantal balaya ses mains dans mes cheveux, je dévorai son intimité dans les moindres recoins. J’introduis deux doigts dans sa fente royale pour mieux dorloter son point sensible avec ma langue, goûtant sa belle liqueur. Elle leva les jambes à la verticale, aussi j’eus à loisir de la doigter en restant dans son orifice précieux, tout en tournoyant à l’intérieur. L’effet fut immédiat, un long râle de ma tante se fit entendre preuve d’une jouissance imminente.
— Oh ouii…Prend moi Jean, viens me baiser encore…— Oui je vais te baiser comme tu aimes !— Je suis à toi mon neveu chéri. S’exclama-t-elle.
Chantal se dégagea avec grâce pour se mettre un oreiller derrière la tête. Elle mit ses bras en croix derrière la tête et écarta ses longues jambes. Elle ne fut ni gracieuse ni sensuelle, mais simplement hyper attirante physiquement, sexuellement.Je m’allongeai sur elle, nos corps unis l’un à l’autre. Je me soulevai légèrement et ma tante guida mon sexe à l’entrée de son orifice. Mon visage se plaça à la hauteur du sien et sentant mon souffle, ma tante ouvrit les yeux. Cette fois, ce fut elle qui m’offrit ses lèvres.Des lèvres pulpeuses, sensuelles.Des lèvres qui vous interpellent, qui appellent au désir.
Je l’embrassai comme un fou, sentant la chaleur de son corps lorsque mon sexe se perdit dans ses profondeurs. J’entrai en elle, nos lèvres furent collées et nos langues s’immobilisèrent, nous fûmes dans une symbiose totale durant ce moment entre ma tante et moi.Ce fut l’Acte Sexuel à l’état brut.
— Oh la vache, c’est vraiment super de te sentir mon chéri. Me dit-Chantal tout naturellement.— Alors nous sommes deux. En laissant mes lèvres contre les siennes.
Puis je me redressai, ma tante promenant ses mains sur mon torse, je débutai de lents va et vient en elle.Comme par enchantement, elle posa ses pieds ravissants à hauteur de mes lèvres, histoire de me faire comprendre qu’ils furent à ma disposition. Je ne me fis pas prier et suçai âprement ses orteils raffinés, son regard expressif fut rempli d’une fierté intérieure de se faire croquer intégralement par son jeune amant. Ma tante totalement relâchée ne fut pas avare de paroles durant notre coït.
 - Tu aimes tant que ça me sucer les pieds ? S’interrogea-t-elle une nouvelle fois.— Tu ne peux pas savoir comme ils sont sensuels et si beaux ! Dis-je, mon sexe baignant dans sa chaleur.— Si je comprends bien, je te plais de partout…— Oui partout, allez laisse-toi te faire baiser ma Tatie. Ajoutai-je en lui donnant de grands coups de reins bien contrôlés, en douceur pour apprécier ma pénétration.— Continue, c’est si fantastique avec toi ! Laissant éclater sa joie, son bien-être, sa béatitude en se faisant posséder par son jeune amant.
Je contemplai ma tante, voyant mon sexe disparaître dans son corps sublime.
Et Baudelaire m’apparut."La femme est une divinité, un astre, qui préside à toutes les conceptions du cerveau mâle ;c’est un miroitement de toutes les grâces de la nature condensées dans un seul être;c’est l’objet de l’admiration et de la curiosité la plus vive que le tableau de la vie puisse offrir au contemplateur".
Je restai inerte en elle, pensif.
— Qu’est-ce que tu as Jean ?— Je pensais. Il y a deux ans quand tu es venue seule à la maison.— Et alors ? Demanda-t-elle.— J’aurais dû venir te voir le soir dans ta chambre.— Et tu crois que je t’aurais laissé venir.— Je ne sais pas. Dis-je désappointé.— Oui tu aurais dû venir, tu m’avais tellement regardée ce soir-là.— Quel con je suis !
 Ma tante rigola provoquant des contractions et je me fis un véritable film…Je rattrapai le temps perdu en quelque sorte.
Puis l’heure vint au déferlement, ma tante appréciant des coups bestiaux de ma part. D’une douceur paisible, je passai à une dureté houleuse, agressive. Je devins une espèce de brute, baisant ma tante telle une garce, une femme infidèle voire totalement soumise. Les doigts fins de Chantal caressèrent mes fesses puis se plaquèrent contre elles, m’incitant à poursuivre mon rythme infernal.
Force fut d’avouer que sur le moment, je ne ressentis plus que la chaleur de ma tante, mon sexe baignant littéralement dans son orifice radieux, totalement dévoué à mes entrées et sorties successives.Chantal chercha mes lèvres pour y engouffrer sa langue dans ma bouche.Purement génial de baiser sa tante.
— Ooooh….Gémit Chantal sous mes coups amples.— Laisse-toi aller ma toute belle. Lui soufflai-je, mes lèvres soudées aux siennes.— Ouiii…baise-moi fort Jean…baise-moi…Hurla-t-elle en pleine orgasme.
Tout son corps se contracta intensément, sa jouissance fut profonde, intérieure et Chantal se mit à m’embrasser avec frénésie, en attente de ma semence. Telle une femelle en chaleur, elle me caressa la nuque, le dos et ondula son bassin pour me procurer du plaisir. Je ne voulus pas finir ainsi et lentement je pris congé de son paradis en l’invitant à se mettre en position de levrette. Chantal s’exécuta, toute excitée de cette position dominatrice et du plaisir à me recevoir une nouvelle fois. Elle se cambra, m’offrant sa croupe majestueuse.
Cette fois, elle fut à moi et je caressai son cul comme une belle pouliche, comme pour la polir en déposant des baisers sur ses fesses claires et ma langue se hasarda entre son intimité pour remonter le long de son anus.Qu’elle fut magnifique dans cette position, si sensuelle, si femme mûre, je n’en crus pas mes propres yeux. 
— Alors, je te plais comme ça ? Dit-elle en prenant soin de bien se cambrer.— Oui ma belle Tatie, t’as un cul splendide ! Tandis que je caressai son cul, tel un dû dans lequel j’allais retrouver cette chaleur abandonnée.— Si ta mère nous voyait ! S’exclama-t-elle sur un ton désolé.— On s’en fout de ma mère ! Je baise sa petite sœur et elle adore ça…Lui répondis-je tout en continuant à caresser sa croupe majestueuse.— Oui je me fais baiser par un môme de 18 ans et j’ai l’impression qu’il me fait découvrir le sexe !— Avoue quand même que l’on baise avec une harmonie sensationnelle…— Oui c’est sensationnel avec toi. Allez viens jouir dans ta Chantal mon chéri. Dit-elle charmeuse.
J’écartai ses lèvres et mon gros sexe prit possession de l’entrée de son vagin. Je la saisis par les hanches et je commençais à la pénétrer dans un silence de cathédrale.Le paradis sur terre existait, j’en fus convaincu au moment où je vis mon sexe apparaître puis disparaître entre ses fesses à la peau de velours. J’imposai un rythme soutenu en lui caressant son ventre doux.
— Ouh comme tu es délicat, j’adore Jean ! Me dit Chantal à voix basse.
Tout en baisant ma tante, je scrutai son joli trou du cul et des idées me vinrent à l’esprit. Mais la voir ainsi me fit atteindre les étoiles plus vite que je ne le pensais.Ma cadence s’accélérant, Chantal ressentit ma jouissance arriver et se mit à pousser de petits cris.J’explosai dans son cul, dans sa paire de fesses fermes.
— Non de dieu c’est dingue avec toi !! Hurlai-je dans la pièce.— Continue…remplis moi…Exulta ma tante complétement dévergondée dans ses propos.
Je laissai une partie de moi dans le corps de ma tante dont les mains fripèrent les draps. Mon sexe resta gonflé dans ses chairs et mes mains posées sur sa croupe parfaite me donnèrent un bien-être sans égal. Je fus le mâle dominant sa femelle, femelle qui fut ma tante. Là encore, cette sensation non plus physique mais mentale de domination exercée sur ma douce Chantal me donna cette impression d’avoir atteint mon but suprême.Voyant ma proie tant convoitée si docile, j’abusai de la situation en continuant de lents va et vient savoureux.
A chaque pénétration de mon sexe, je réalisai l’incroyable de la situation en baisant la petite sœur de ma mère, demandeuse à souhait d’ébats sexuels avec son neveu. Chantal continua à gémir de plaisir sous mes vagues de tendresse et je ralentis mon rythme pour m’immobiliser en elle. Elle comprit la fin de notre accouplement bestial. Délicatement, j’abandonnai la chaleur de ma douce pour prendre la direction de la salle de bains. Ma tante en fit de même et je la retrouvai dans le couloir, m’apprêtant à partir. Elle fut quelque peu surprise de me voir ainsi, elle en nuisette, moi habillé.
— Tu pars ? Dit-elle désappointée.— Bah oui, je ne vais pas coucher là ?— Et pourquoi pas ? et je t’invite à dîner comme promis.— Dans ce cas je ne peux pas refuser mais demain je partirai de bonne heure…— Ca marche ! Dit-elle sexy au diable avec toujours les mains sur les hanches.
Il fut 20 heures.Ma tante dressa la table sur la terrasse, à l’abri des regards. Vêtue d’une simple nuisette et ne portant point de sous-vêtements, je restai contemplatif devant son anatomie, sa plastique irréprochable. Nous fûmes en tête à tête et ma tante me fit des regards coquins tout en mangeant. Nul doute que ma présence la rendit heureuse ce soir-là. De mon côté, je n’eus qu’une idée, la baiser encore et encore (!). A la fin du repas, la table débarrassée, ma tante s’octroya le droit de fumer une cigarette.Les jambes croisées, je ne fis que la regarder du bout de ses orteils raffinés à sa bouche délicieuse. Sachant l’effet qu’elle provoqua sur ma personne, elle décroisa ses jambes longilignes ce qui me donna l’opportunité de jeter un bref coup d’œil sur sa belle chatte aux lèvres déployées.Elle tira une dernière bouffée de cigarette et me regarda droit dans les yeux.
— Jean, j’ai comme l’impression que je ne vais pas dormir ce soir…— Allons donc ! Je suis complètement vanné.— Ah bon ? Dit-elle en prenant soin d’écarter les jambes et d’ouvrir sa nuisette.— Vu sous cet angle ! Dis-je en reluquant sa chatte si désirable à bouffer.— Bon je ne voudrai pas que tu penses que je suis une espèce de nymphomane…— Pas du tout ! Simplement une femme qui n’a plus fait l’amour depuis un sacré bout de temps. En l’observant de la tête aux pieds.— Ouii Jean, ça fait un sacré bout de temps et en plus je suis avec un sacré baiseur !— Merci ma tante. Dis-je en rigolant.— Depuis hier, tout se bouscule dans ma tête, je n’aurais jamais cru…enfin tu comprends. Dit-elle dans un ton confidentiel.— Oui on en a parlé et c’est le top entre nous.— Oui je prends mon pied avec toi, je prends vraiment mon pied mon chéri. Renchérit-elle en étant pensive.— Tu veux qu’on monte se coucher Chantal ?— Moi qui pensais que tu avais encore envie de me baiser sur la terrasse…Dit-elle en se caressant le bout des pieds.— Sacrée Tatie, viens sur mes genoux que je te dorlote un peu.
Ma tante me fit un large sourire et s’installa sur mes genoux en m’enlaçant avec tendresse. Avec un geste de la main, je remis une de ses mèches derrière son oreille et ma tante m’offrit tout naturellement ses lèvres.Nous nous embrassâmes sans notion du temps, nos lèvres s’accordèrent pour entamer une partition avec nos langues. Puis Chantal me regarda, je vis qu’elle me dévorait des yeux, qu’elle avait une folle envie de faire à nouveau l’amour.Malgré mes 18 ans, il me fallut un temps de récupération et mon sexe se fit absent même si mon esprit lui dicta l’inverse.
— Tu veux te coucher mon chéri, je crois que tu es fatigué. Dit-elle avec une voix maternelle.— Oui j’aimerais assez mais je prends une douche avant.— Ah une bonne douche et c’est reparti ! Me dit ma tante en s’amusant de la situation.— Tu ne crois pas si bien dire !— Ta vieille tante répond présent, bon je vais me calmer. Dit-elle un peu gênée de s’être emportée de la sorte.— Attends un peu et va te coucher je te rejoins.— Je fume une cigarette et j’arrive très vite. Dit-elle tout sourire.
Je montai prendre une bonne douche tantôt froide, tantôt tiède puis je me couchai dans le lit conjugal. Chantal arriva, je l’observai ôtant sa nuisette sans aucune pudeur devant son neveu. Avec son anatomie frisant la perfection, mon sexe reprit de la vigueur pour ma plus grande joie. 
— Quand je vois ta tête, tu as de nouveau envie de me baiser ! Me dit ma tante en se posant en victime, pour ne pas se culpabiliser dans notre inceste.— Montre-moi ton corps. — Pourquoi pas ! Dit-elle en tournant sur elle-même, entièrement nue et en se mettant ses mains dans les cheveux.— T’es hyper bandante Chantal. Dis-je en découvrant le drap avec mon sexe dressé comme il se doit.— Et que dois-je faire maintenant ? Dit-elle songeuse.— Viens me sucer, tu suces tellement bien.— Il n’y a qu’avec mon mari que je l’ai fait…et encore une ou deux fois mais avec toi, c’est différent. Ma tante passa sa langue sur sa bouche, telle une gosse devant sa gourmandise (!).— Je dois prendre ça comme un beau compliment ?— Oui et si je t’avoue que j’aime le faire…mais juste avec toi.— Dans ce cas, ne te prive pas !
Chantal s’allongea sur le ventre et se retrouva avec sa tête entre mes cuisses en remuant ses mollets dans le vide. Elle se mit sur les coudes, faisant face à moi et à mon sexe. Je ne pus rêver à un plus beau spectacle et savoir que ma tante adorait me sucer me procura un sentiment de fierté intérieure.Elle donna un coup de langue le long de ma verge, puis ses lèvres sensuelles glissèrent sur mon membre, ma tante me suça avec lenteur. Ce fut un plaisir indescriptible de voir mon sexe disparaître entre ses lèvres somptueuses. Chantal s’interrompit.
— Dire que je suce mon neveu de 18 ans, je suis complètement folle ! Pompant mon sexe à pleine bouche.— Oui mais tu aimes le faire et tu t’y prends…enfin c’est magnifique de te regarder le faire.— Je ne sais pas ce qui me prend avec toi depuis hier, j’ai perdu la tête !
Je ne répondis pas à cette remarque pertinente et ma tante reprit sa fellation. Elle alterna ses mouvements en immobilisant mon pénis dans la chaleur de sa bouche avec sa langue si habile, que j’en fus parcouru de plusieurs frissons. Elle n’en eut cure et poursuivit ses va et vient paresseux en me caressant le torse.Chantal sut très bien ce qu’elle faisait et je commençai à recevoir le début de décharges électriques avec de fortes contractions. Je compris que ma tante avait envie de me faire jouir pour le plaisir de me voir et de me prouver qu’elle pouvait aller jusqu’au bout.Une sorte de preuve d’amour en quelque sorte.
— Oui c’est bien, doucement…Lui dis-je en passant ma main dans ses mèches blondes.
Même si cette envie d’aller au bout me tarauda, je la laissai faire. Le moment fatidique arriva, Chantal saisit mon membre et le branla avec légèreté. J’observai mon gros pénis gorgé de sang et je pris sa main pour la poser sur mon torse. Un étonnement surgit de par mon geste et ma tante releva la tête.
— Tu ne veux pas que j’aille au bout ? Dit-elle franchement surprise.— Si mais garde moi entre tes lèvres.— Aaah d’accord mais je te préviens, je n’avale pas !
Puis elle se pencha à nouveau et je vis ses magnifiques lèvres glissées le long de mon sexe qui se retrouva au chaud dans son palais. Sentant ma jouissance pressante, elle ressortit mon sexe et garda mon gland à portée de sa bouche en le caressant adroitement. Mon corps se contracta et ma semence abonda sur le visage de ma douce Chantal. 
— Oooh putain ! Dis-je sans me soucier d’un tel vocabulaire.
Chantal balaya d’un revers de sa main ses mèches pour les mettre en arrière. Sentant que je n’avais pas fini et contre toute attente, je la vis lâcher ma verge et l’introduire dans sa bouche. Ma tante aspira mon gland, joues creusées en attente d’un deuxième spasme. Ne contrôlant plus la situation, je posai ma main sur sa tête et soulevai mon bassin en l’inondant de bonheur.Ma tante ne broncha pas, elle me caressa le torse avec ses deux mains et ingurgita ma liqueur. Diabolique au possible, elle se remit à me branler ses lèvres collées à mon gland. Les spasmes me reprirent pour une succession sans fin et Chantal suça son neveu tout en avalant son sperme, oubliant ce qu’elle s’était promise de ne pas faire. Telle une gloutonne, elle aspira mon gland et à chaque contraction de mon pénis ardent, son gosier se contracta à son tour, preuve que ma tante se délectait de la liqueur de son jeune amant.
— Oh c’est merveilleux avec toi ! Dis-je en toute sincérité.— J’adore ! Me dit-elle en me jetant un regard d’une rare complicité.— C’est fantastique…Mais tu n’avais pas dit ? Dis-je en soupirant.— Oui je sais mais j’ai changé d’avis, c’est une partie de toi que j’avale et j’aime te faire jouir. Répondit-elle en suçant à nouveau ma verge pour la laisser glisser au fond de son palais.— Tu t’y prends super bien…et tu aimes le goût ? Dis-je en lui caressant ses mèches blondes.— Oui c’est chaud, c’est crémeux. J’aime assez ton sperme mon chéri. Dit-elle en s’essuyant la bouche.
Ma tante se leva un peu gênée, gênée d’en être arrivée à faire une fellation divine à son neveu, gênée carrément d’en avoir avalé le sperme de son propre neveu sans se priver de lui dire qu’elle avait aimé. Nous franchîmes une nouvelle étape avec ma tante, tant sur le plan sexuel mais également dans nos rapports affectueux. Elle m’avait sucé certes, mais cette fois elle était allée jusqu’au bout, chose qu’elle n’avait jamais faite avec un homme. Elle se dirigea vers la salle de bains et j’entendis l’eau de la douche couler. Chantal revint avec une serviette à la taille, exhibant sa poitrine impeccable avec son ventre plat.
— Voila je suis toute propre ! En manifestant une mine aguichante.— Montre moi…
Ma tante se débarrassa de sa serviette et mît ses mains sur les hanches, sa position favorite pour m’aguicher. Elle afficha des formes resplendissantes, le tout avec un joli sourire charmeur.
— Alors mon cher neveu, je te plais ? Dit-elle en posant son pied sur lit tout en écartant sa jambe de façon à me faire voir sa belle intimité parfumée.— Tu es très appétissante et tu as une chatte superbe.— Oui je m’en suis rendu compte, maintenant dodo ! Ajouta-t-elle en se glissant sous le drap, une nouvelle fois un peu embarrassée de s’exhiber de la sorte face à son neveu.
Elle vint se blottir près de moi et s’endormit aussitôt. Je ne trouvai pas le sommeil immédiatement, restant pensif à toutes les émotions vécues de cette journée fabuleuse.Je pris plaisir à entendre son souffle et quelques caresses totalement futiles à cette heure, me donnèrent pleine conscience de mon fantasme accompli. J’oubliai qu’elle fut ma tante mais quelque part et baiser une femme de son élégance aussi bien foutue flatta mon égo inconsciemment.
A 6 heures du matin, je m’éveillai avec un beau soleil. Ma tante dormant profondément, je ne pus m’empêcher de la découvrir quelque peu, histoire d’admirer sa poitrine endormie. Je ne fis que l’effleurer et cela la réveilla, elle s’étira de tout son long, tirant sur ses bras en arrière.Dieu qu’elle fut attirante avec son ventre délicieux, ses seins ensorcelants et sa nuque gracieuse. J’avoue qu’elle m’excita au plus haut point surtout lorsqu’elle posa son regard sur moi.
— Tu as bien dormi mon chéri ?— Oui Chantal et ça me fait tout drôle d’être à tes côtés. Dis-je sans oublier de promener ma main sur l’ensemble de son corps éblouissant.— Moi aussi figure-toi…Tout en poursuivant son étirement aguicheur.— Oh la vache, comme tu es belle dès le matin. En m’extasiant devant son corps de femelle mûre, attirante au possible.— Des compliments au réveil ? Alors ta Tatie te plaît tant que ça ? En me regardant avec ses yeux de biche.
Et comment qu’elle me plaisait, je n’eus qu’une seule envie facile à deviner. Je me mis face à elle et tout naturellement, elle me tendit ses lèvres que je saisis à pleine bouche. Tandis que nous nous embrassâmes, ma main mit son habit de scaphandrier et rien qu’en effleurant son intimité, mon scaphandrier se perdit dans les abysses de sa blonde. Il fut le seul à le voir sous le souffle haletant de Chantal. Un monde étrange se forma autour de lui, il y vit une source très pure s’écoulant de cette rivière à diamants tant convoitée, telle une oasis près d’un écueil, chaude comme la tendresse, espérante tel un désert qu’un nuage de pluie caresse…
Avec une infinie tendresse, Chantal me prit le visage entre ses mains et m’invita à descendre plus bas, là où mon scaphandrier s’était aventuré.Je descendis et avouons-le, le sexe en feu. Je me mis à genoux face à ma tante entièrement nue qui garda son regard posé sur moi. Délicieusement ou délicatement, elle écarta ses jambes sublimes, me dévoilant ainsi sa source pure. Je marquai un temps d’arrêt, lui caressant l’intérieur de ses cuisses, câlinant la peau lisse de son ventre, effleurant sa poitrine avec ses seins éveillés et enfin, tel un pianiste mes doigts firent une partition le long de son intimité, dont les lèvres si harmonieuses me donnèrent le sentiment d’être face à la définition parfaite du sexe féminin.Je cachai mon émotion face à ma tante, mon cœur battant la chamade. Il est vrai que quelques mois auparavant, j’étais encore puceau alors me retrouver face à ma tante, féline au diable en lui caressant sa fente royale, se laissant faire toute docile m’apparut comme un conte enchanté. 
Je fus en plein rêve.
Chantal fit un léger mouvement du bassin, signifiant le souhait de me voir à l’œuvre. Je stoppai mes caresses gourmandes pour m’allonger face à sa source.Après de multiples baisers déposés de manière éparse, ma langue se fit à son tour scaphandrier. Avant de partir en immersion, je fixai du regard ma belle Chantal.
— Tu en profites ! Dit-elle, pas peu fière de voir son neveu admiratif de son corps.— A mort…Répondis-je en débutant la dégustation de ma tante.— Tu aimes me lécher. Dit-elle faussement blasée.
Son regard la trahit, en fait elle succombait intérieurement de se savoir autant désirée par un jeune mâle et par la même occasion, flattée de plaire avec sa plastique que je trouvais irréprochable. Force est d’avouer que peu de femmes de 45 ans peuvent se narguer d’afficher de telles mensurations, car garder sa ligne avec 1m70 pour en afficher 54 kg avec des seins en forme de poire, un ventre plat des cuisses au galbe parfait et un cul irrésistible auraient pu faire rougir bon nombre de trentenaires.Et puis il y eut un fait indéniable, faire jouir Chantal alors que j’en avais 18 représenta une sorte de graal absolu, la savoir si réceptive avec moi combla mon égo et la qualité de nos rapports dépassa mes espérances. Mais au fond de moi-même, la voir jouir, se tortiller, gémir de plaisir représenta la consécration.
— Oh nom de dieu, que tu es belle ! M’exclamai-je dans une profonde sincérité.
Ma tante leva les yeux au ciel, aussi j’entrepris de l’emmener vers cette étendue céleste. Là où mon scaphandrier s’était perdu, je décidai l’exploration de cette oasis sauvage en berçant ma langue le long des dunes, pour finir par baigner dans sa source adorée.La gardienne du temple me scruta un temps, mais ma baignade provoqua de forts remous et je la vis clore ses yeux, s’associant à mon désir de la voir être caresser par un nuage de pluie. Ma bouche toute entière s’accapara les lieux, mes mains glissèrent de dunes en dunes, admiratifs de ce sable fin et si lisse.Une tempête de sable se fit jour, aussi mes mains tels de preux chevaliers trouvèrent refuge au pied de deux colline, sorte de dunes perchées. La source se mit à gronder, mes doigts rejoignirent leurs sommets pour faire face à l’indomptable. Maladresse de leurs parts puisque la tempête s’accentua sous la pression qu’ils exerçaient !Il me fallut me mettre au bas de cette source abondante, m’abreuvant de ce liquide à la fois limpide et mystérieux. La gardienne émit quelques sons, semblable à des gémissements de pure bien-être, ressentant la présence physique des chevaliers sur la crête de ses dunes. Face à ce tourbillon, ce tumulte, je pris la décision d’abandonner la source pour me redresser, faisant face à la propriétaire de cet endroit délicieux, fascinant voire paradisiaque. Le ciel se remplit de nuages menaçants, l’obscurité prit place.Confuse, elle me conjura de satisfaire aux appels ininterrompus de sa source affolée. Devant un tel désarroi, il me fallut administrer un soulagement, une sorte de réconfort à cette oasis en folie. Elle me glissa la solution en me murmurant d’une voix faible.
— Comble-moi Jean…
Et soudain, le tonnerre gronda et un éclair illumina les dunes, les crêtes, la source tant convoitée. Des perles de pluie se répandirent sur l’anatomie de Chantal pour rapidement se disperser, ce fut le signal pour goûter à cette oasis.Mon sexe fit connaissance avec les lèvres chaleureuses de ma tante, tant excitée qu’elle s’avança pour se faire pénétrer. Je la saisis par les hanches, elle s’arc-bouta et progressivement, ma verge en fureur prit possession de son corps sous nos yeux soudés. On a beau dire, mais les préliminaires sont élémentaires pour réussir un accouplement que l’on souhaite d’une rare intensité. Nous n’échangeâmes pas le moindre mot, nous n’entendîmes que nos souffles respectifs. 
Chantal resta inerte, me laissant le champ libre et des remous nonchalants apaisèrent ma douce dans un premier temps. Elle se soulagea de m’avoir en elle, la nonchalance céda à la vivacité, les remous devinrent tourbillons et nos souffles muèrent en langueurs gémissantes…
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