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un parfais inconnu

Chapitre 1

Hétéro
je me réveillais de bonne heure et de bonne humeur ce matin car je devais aller pique niquer seul. C’était un jour de juillet comme tant d’autre, la chaleur était étouffante. Je partais donc pour pour aller manger dans la clairière derrière cher moi. J’habitais un petit village ou les maison sont séparées de plusieurs kilomètres. Arrivée à mon coin préféré, je mangeais rapidement car j’aimais surtout m’allonger dans l’herbe, nue comme un ver, l’air chaud me faisais monter l’excitation. Mon esprit partais dans des délires érotiques, des corps se mêlaient pour des plaisir multiples. Je commençais à me caresser, lentement le bout des seins, mon excitation montait progressivement. J’aimais les caresser, les faire durcir entre mes doigts, les faire rouler sur ma paume de main. Ma main glissait sur ma chatte et mes doigts caressaient mon clito. Je le pinçais, le tordais, lui infligeais des tortures érotiques, je descendais mes doigt dans mon trou rempli de cyprine, titillant l’entrée de mon con pour permettre l’intrusion d’un doigt puis deux et enfin trois. Mes allées et venues m’excitaient de plus en plus. j’avais pensé à emmener mon jouet, je le sortais et l’enfilais entre mes lèvres gonflées. Il était froid et cela procurais en moi des frissons, je le faisais aller et venir, il dégoulinais de mon jus, je le portais à mes lèvres car j’ aimais le goût et le portais à nouveau à mon con. Soudain j’avais envie d’une queue, un membre droit et bien gros. Un homme au loin me regardait, ça me donnait des envies supplémentaires. Il caressait son membre à travers son pantalon. Une bosse se formait, je mouillais comme une folle. J’aimais le regarder prendre du plaisir en lorgnant sur mon plaisir solitaire. Je lui criais de me rejoindre je n’en pouvais plus. Il se déshabillait lentement, une fois nu, il se couchait à coté de moi, et là, comme sa queue m’avait mise l’eau à la bouche, je m’en suis occupée d’une langue cochonne pour lui faire connaître tous les raffinements de la fellation qui figurent à mon répertoire. Parfois je pompais le gland, tout en imprimant à deux mains un mouvement de va et vient au reste de sa bite, parfois j’avalais tout, jusqu’aux couilles. Sa queue qui se tendait, ses couilles gonflaient, prêtes à exploser. Je m’empalais sur ce membre durci par le plaisir de m’avoir regardé me masturber. Mon vagin dilaté épousait parfaitement la forme de ce membre, mes va et vient procuraient à cette homme des spasmes de plaisir. Mon plaisir grandissait dans des cris de jouissance extrême. Sa bite, je ne sentais que ça, cet inconnu en moi. A un moment son membre quittait son logement et venait s’empaler dans mon anus, une douleur violente me parcourût, et un désir brutal me saisissant je jouissais de tout mon cul: mes fesses se contractaient. Je bougeais comme une possédée je n’en pouvais plus. Lassée de cette position je me mit à quatre pattes et il me rentrais son membre dans la chatte, ses allers et venues me limais parfaitement et de ma main gauche je jouais avec mon bouton tout en lui tâtant les boules de la mains droite. Il remit sa bite dans mon cul, me le défonçait et j’aimais ça.A ce moment là une décharge de sperme venait de gicler dans le fond de mon cul. Le râle bestiale de cette homme sans nom m’excitait, je jouissais comme une damnée j’haletais, mon souffle était court, je jouissais par tout mes trous car j’avais rentré deux doigts dans ma chatte dilatée.Une fois fini, je retombais par terre. Je vis mon belle étalon se lever, se rhabiller et partir sans un mot. Quand à moi je suis restée allongée sur le dos à rêver de ce qui venait de se passer. Et à mes prochaines escapade champêtre.
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