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Le pari stupide

Chapitre 4

La fin

Hétéro
Yoan était surpris de voir son frère casé avec cette femme, elle était vraiment très jolie, mais il avait remarqué que c’était elle, qui portait la culotte comme on dit dans un couple. Son frère se reposait sur elle. Yoan se disait qu’il avait peut-être de la chance de l’avoir rencontrée. Il aurait beaucoup aimé avoir une personne de ce genre dans sa vie. Un soir, le couple l’invite à passer la soirée avec eux. Il est surpris d’y découvrir une amie de Mathilde, une jeune femme qui s’appelle Maria. Yoan passe une belle soirée en leur compagnie, surtout à regarder le visage jovial et souriant de Maria. Elle a un joli grain de beauté sur une de ses narines, qui a pour effet de le rendre fou. Il n’a qu’une envie c’est de se pencher pour embrasser ce petit point noir sur son visage.
Elle a aussi un cou fin, une jolie nuque, sur laquelle il voudrait poser ses lèvres pour lui faire des milliers de baisers. Il n’a pas vu sa poitrine, mais il l’imagine avec des seins hauts en forme de pomme et... magnifiques. Elle a un ventre plat, une chute de reins incroyable avec des fesses bombées et rondes et des jambes longues. La jeune femme a aussi de longs cheveux bruns, qui descendent en cascade dans son dos. La pointe atteint le dessous de ses fesses.
— Tu es... magnifique ! fit Yoan, subjugué par la beauté de Maria.— Merci ! dit-elle un peu rouge sur les joues.
Peut-être est-ce parce qu’il ne la rencontre pas dans le cercle des forums pour avoir un enfant, mais Maria, qui a dix-neuf ans lui semble différente. Elle a une voix douce, de petites mains, et un charme fou. Mais pourquoi était-elle aussi jeune ? Pourtant quand il eut l’occasion de la revoir, il n’hésita pas un seul instant à l’inviter à partager un repas au restaurant, à l’écouter lui raconter sa vie. Elle lui posa tout autant de questions, elle était très curieuse à son sujet. Ils partagèrent un bon moment ensemble. Il fréquentait cette jeune femme depuis plusieurs jours quand il se surprit même à refuser des femmes avec qui procréer. Il voulait avoir plus de temps avec Maria.
— Notre différence d’âge ne te gêne pas ? demanda Maria.— Ce serait plutôt à moi de poser cette question ? fit remarquer Yoan.— Eh bien... c’est moi qui fréquente un vieux, rigola la jeune femme, toi tu as une petite jeunette à ton service, ça doit flatter ton égo, non ?— C’est vrai que vu comme ça. Mais non, ça ne me gêne pas, mon égo est très flatté d’avoir une minette à mon bras.— Pff ! rigola Maria.
Yoan trouvait qu’elle avait un très joli rire, elle était très rafraichissante comme jeune femme. Il aimait beaucoup ses moments avec elle. Il la retrouvait tous les soirs dans un pub, à la sortie de son travail. Maria travaillait dans une agence de voyages, elle permettait à beaucoup de monde de réaliser leurs rêves de découverte. Il trouva cela admirable, même si Maria ne voyait pas toujours en quoi, c’était aussi extraordinaire que ça.
— Cela ne me gêne pas non plus, dit Maria en se promenant main dans la main avec lui.
Il la raccompagne toujours jusqu’au bas de chez elle. Elle remonte dans son appartement, puis elle attend son message quand il est bien rentré chez lui. Il ne lui a pas dit qu’il squattait chez son frère. Yoan avait toujours virevolté ici et là, chez les différentes femmes qu’il rencontrait. Il avait fait quelques boulots d’intérim ici et là, histoire d’avoir un peu d’argent, mais comme il ne dépensait pas grand-chose, il avait cumulé pas mal d’argent. Dans ses rêves, il se surprenait à vouloir acheter une maison et il voyait Maria dans sa vie future, avec des... enfants, ses « vrais » enfants à lui.
— Est-ce que tu veux... monter aujourd’hui ? demanda Maria.
Yoan est un peu surpris de sa demande, mais il hoche la tête, en lui serrant tendrement la main. Maria ouvre la porte de l’immeuble. Ils montent dans l’ascenseur en silence, en se fixant l’un l’autre avec tendresse et amour. La jeune femme demande à Yoan s’il veut boire quelque chose. Il refuse, vient prendre la jeune femme dans ses bras et l’embrasse avec passion. Leurs deux langues se glissent l’une contre l’autre. Maria gémit contre lui, et fait onduler son corps contre lui.
— Tu es vraiment belle ! dit-il en plongeant son nez dans le cou de la jeune femme.— Fais-moi l’amour ! murmura-t-elle à son oreille, en saisissant son lobe entre ses dents.
Yoan la regarde, surpris ! Mais elle est là debout devant lui, avec cette timidité qui lui va si bien avec... cette tendresse. Elle joue nerveusement avec ses doigts. Il lui fait un sourire.
— Tu es sûre ? demande-t-il.— Oui, Yoan... Mais tu... es le... premier, avoua-t-elle.
Yoan n’avait jamais pris une femme une « première fois « et cela le laissait pantois. Il ne savait pas du tout quoi faire. Il se sentit soudain aussi nerveux qu’elle. Il avait la « responsabilité » de lui faire découvrir l’amour. Il avait peur de mal faire, et en même temps, il ne pouvait pas laisser un autre homme lui apprendre l’amour.
— Je suis... honoré ! fut la seule chose qu’il trouva à dire.
Maria le conduisit dans sa chambre, Yoan fit à peine attention au décor autour de lui, il n’observait que cette petite nymphe qui l’entraînait vers la pièce. Elle referma la porte derrière elle.
— Il faut... euh... se déshabiller, dit-elle nerveuse.
Yoan fit quelques pas vers elle, posa ses mains sur ses épaules, la caressa avec douceur et lui enleva son haut, son pantalon, découvrant son corps. Il lui ôta son soutien-gorge, découvrit une belle poitrine en pomme, comme il l’avait imaginée et même encore plus belle que ça. Elle était magnifique, si douce, vraiment extraordinaire. Il n’existait sans doute pas deux personnes comme elle dans le monde. La jeune femme enleva sa petite culotte et se mit à nue devant lui.
— Tu es... sublime, mon trésor, ma perle, mon amour.
Il n’avait jamais donné de petits noms aux mères de ses différents enfants. Mais là, Maria était différente. Il en avait parlé avec Yann et ils en avaient conclu tous les deux qu’ils étaient tombés (enfin) amoureux. Yann de Mathilde, et Yoan de Maria.
— Merci... dit-elle avec un petit sourire.
Yoan allongea Maria sur le lit, et commença à caresser son corps, avec ses mains. La jeune femme essayant de lui enlever ses vêtements, il l’aida pour qu’ils soient enfin nus l’un face à l’autre. Elle tendit ses bras vers lui. Yoan avait envie de s’y réfugier, mais il voulait la rendre folle de désir, de plaisir, dans ses bras. Il passa sa langue sur son corps, tétant ses seins magnifiques, léchant la peau douce de son ventre, et titillant son clitoris. Maria se mit à gémir sous sa langue. Elle ne savait pas qu’il était possible de faire ça. Elle s’était déjà masturbée, mais se faire quelque chose comme ça à elle-même c’était impossible. La jeune femme posa ses mains sur sa tête, mêlant ses doigts dans ses cheveux qu’elle tirait doucement en cambrant son corps contre lui. Il passa ses mains sous ses reins pour la serrer plus fort contre sa bouche. Il avait tellement envie de la goûter, de lui faire connaître le plaisir d’être femme.
— Yooooooooaaaaaaaan ! fit-elle en jouissant sous sa langue.
Le jeune homme se redressa enfin, et vint se mettre au-dessus d’elle. Elle parcourut le corps de Yoan avec ses mains douces, tendres et vraiment chaudes contre sa poitrine. L’une d’elles se glissa doucement sur son pénis pour faire des va-et-vient timides. Il trouva cela tellement... gentil. Elle avait peur de lui faire mal. Il posa sa main sur la sienne, et accéléra le mouvement.
— Tu peux y aller plus fort...— Ah !
Obéissante, Maria fit comme il le lui demandait. Il sentit le plaisir monter en lui, c’était vraiment bon. Il se coucha sur elle, quand il sentit qu’il allait jouir. Il n’avait presque pas envie de la pénétrer. Il savait qu’il allait lui faire mal. Il se releva, et la regarda avec amour. Elle avait les seins à l’air, le sexe luisant, elle était prête à être prise... elle s’offrait à lui, elle n’avait pas idée du cadeau qu’elle lui faisait. Il écarta les jambes de la jeune femme, et guida sa verge vers le puits secret de Maria.
Il échangea un dernier regard avec la jeune fille, qui hocha la tête avec le sourire. Alors il entra en elle. Il la vit grimacer, et elle se mordit la main pour ne crier trop fort. Puis... il se mit à la pilonner. D’abord doucement pour que la douleur s’estompe et qu’elle s’habitue à lui, puis de plus en plus vite, de plus en plus loin, de plus en plus fort. Son vagin était serré, humide, doux, et incroyablement chaud. Il se sentait vraiment bien dans le corps de la jeune femme. Finalement, il avait bien fait d’entrer en elle, il s’y sentait bien, au point de ne pas vouloir en sortir. Il continuait de la pilonner. Il tenait ses hanches pour qu’elle ne glisse pas trop. Maria se mit à pousser des petits cris. Il sentit que son vagin se serrait encore plus... Oh c’était trop bon. La jeune femme se mit à jouir comme une petite folle. Elle ondula sous lui et se mit à crier. C’était trop bon tout ça.
— Oh oui... Yoan ! cria-t-elle en jouissant une nouvelle fois.
Il ne mit pas longtemps à suivre et à jouir en elle, comme un fou. Il pencha la tête en arrière en haletant. Les cris de Maria l’avaient tellement excité. Il posa son regard sur elle, la jeune femme était... d’une beauté époustouflante, sublime. Il ne savait même si le mot était assez fort pour la décrire. Il retomba sur elle, et pensa qu’il n’avait pas du tout pensé à la mettre enceinte. Il voulait juste lui faire l’amour, alors que cela avait été son but avec toutes les autres femmes.
Six mois plus tard, Yoan passait plus de temps chez Maria que chez son frère, au point qu’il était installé chez elle. Il avait trouvé un travail, et la vie était magique... Tout se passait bien, ils essayaient de tout se dire, de communiquer. Il leur arrivait souvent de se fâcher, c’était nouveau pour lui, au point que parfois, il ne savait pas toujours comment se mettre en colère, ou de se faire pardonner. Et finalement, ils discutaient et les choses allaient mieux. Ils envisageaient l’avenir ensemble. Sauf que... Yoan ne lui avait jamais parlé de son passé. C’était une... zone d’ombres, qu’il voulait « oublier ». Ce pari... était vraiment stupide.
Un soir, il entra chez Maria avec le sourire, tenant un bouquet de fleurs dans ses mains. Il ouvrit la porte, et découvrit la femme qu’il aimait plus que tout au monde, assise au milieu de son salon, avec les nombreux classeurs ouverts. Elle avait éparpillé les tests de paternité.
— Maria ! fit-il en faisant tomber son bouquet.
La jeune femme pleurait, et le regardait comme s’il était un... monstre. Et il réalisa que c’était sans doute le cas. Il avait cru que le petit ange assis dans le salon allait le rendre plus pur.
— Tu es... le père... de tous ces... enfants ? demanda la jeune femme en pleurs.— Euh... oui, Maria... Je peux t’expliquer... c’était...— Je ne veux pas t’écouter maintenant... Est-ce que tu... peux t’en aller ! s’il te plaît.
Yoan tendit la main vers elle, mais ne put la toucher. Il hocha la tête et quitta la pièce sans un mot. Maria se remit à pleurer en serrant les bras autour de ses genoux, en se balançant comme une enfant. Elle n’avait même pas compté combien il y en avait mais au moins deux mille. Et c’était avec cet homme qu’elle avait envisagé de faire sa vie... La jeune femme se leva enfin, prit un sac poubelle et commença à tout mettre dedans, elle ne voulait pas de ce genre de choses chez elle. Elle posa le tout devant la porte de l’entrée. Au préalable, elle récupéra deux fiches dans les classeurs. C’était affreux cette situation. Elle invita Yoan à la retrouver dans un bar. Il arriva accompagné de son frère. Elle ne dit rien. Les deux hommes lui expliquèrent alors tout. Le pari stupide qu’ils avaient fait tous les deux, la situation dans laquelle ils s’étaient englués, pendant vingt ans, sans avoir quelqu’un pour les arrêter, pour vivre avec eux.
— C’est votre orgueil, le responsable de tout ça. Vous croyez vraiment que vous avez rendu des gens heureux avec votre comportement irresponsable ? Vous pensez que vous avez rendu des femmes heureuses de cette façon ? Et les enfants qui ne savent même pas d’où ils viennent ? Ils ont été conçus suite au désespoir de leur mère, de l’orgueil et de la vanité de leur père...
Les deux frères se regardèrent, tout penauds, c’était bien la première fois qu’on leur faisait la leçon de cette façon. Mais elle n’avait pas tort et aujourd’hui, ils ne voulaient plus de cette vie. Yann avait trouvé Mathilde et Yoan... espérait que Maria pourrait lui pardonner.
— ... et combien ont pu tomber amoureuses de vous et depuis se retrouvent seules à élever un enfant ? Quelque temps de bonheur... et puis pouf plus rien. Et les enfants... à voir leur mère triste, tu crois que ça les rendait heureux ! Vous êtes tous les deux de beaux s*l*ps !— Je...— Non, il n’y a rien à dire, Yoan.— Je t’aime... Tu ne comprends pas ? En vingt ans, à rencontrer des centaines de femmes, aucune ne m’a... ému comme tu l’as fait. Tu es la femme de ma vie. Je t’en prie pardonne-moi ! fit Yoan.
Maria soupira et ferma les yeux une seconde, non elle ne devait pas flancher. De toute façon il n’y avait aucun avenir possible pour eux. Elle ouvrit son sac et fouilla dedans pour en sortir un test de paternité qu’elle avait récupérés dans ce foutu classeur.
— Sauf que toi et moi, ce n’est pas possible ! fit-elle en lui mettant le test dans la main. Ma mère se nomme Lola et... tu es mon père, Yoan.
Yoan posa son regard sur le test de paternité qu’il tenait en main, il sentit son monde s’écrouler sous ses pieds, il était tombé amoureux de sa fille. Il leva son regard vers elle. Maria se leva, et prit ses affaires, elle laissa un billet sur la table pour payer leurs boissons, puis elle quitta le bar. Ce n’était peut-être pas le meilleur endroit pour avoir ce genre de conversation, mais elle ne se sentait pas le courage d’affronter... son père ; l’homme dont elle était amoureuse ; chez lui ou chez elle.
— Yoan, cours-lui après... fit Yann.— Mais c’est ma fille...— Non... c’est l’un des miens.— Hein ?— Lola, c’est... bref, ce n’est pas ta fille.— C’est ma nièce, ce n’est pas mieux.— Yoan, cours-lui après, répéta son frère.
L’homme se leva et courut après la jeune femme, il ne pouvait pas la laisser partir, qu’elle soit sa fille ou sa nièce, elle était avant tout la femme de sa vie.
— Maria ! fit-il en la prenant dans ses bras.— Lâche-moi !— Non, écoute-moi ! Tu n’es pas ma fille, tu es celle de Yann. Mais je m’en fiche, tu es avant tout la femme que j’aime. Maria, j’ai effectivement eu de nombreuses maîtresses, je ne peux pas le nier, mais tu es la seule dont je suis tombé amoureux.— Tu es un... s*l*p, tu le sais ça. Tu as vu ce que tu as fait... elles... Promets-moi de ne jamais me rendre malheureuse comme elles.— Je te le promets.— Promets-moi que tu seras là pour notre... Enfant ! fit-elle.— Je te le promets... Notre enfant ? répéta Yoan, en réalisant ce qu’elle venait de lui dire.
Il se détacha de Maria, la tenant toujours par les épaules, il observa le ventre de la jeune femme, il était toujours plat, mais en levant son regard, il vit de la peur, autant que de la joie dans son regard.
— Promets-moi de rester avec moi... pour toujours, continua-t-elle.— Je te le promets.—--------------------------------
Maria et Mathilde se tenaient l’une en face de l’autre, elles parlaient de la situation.
— Dis-moi, tu trouves ça normal, toi ? demanda Maria.— Bof, ça ne me gêne pas particulièrement, c’est du passé tout ça.— J’ai trouvé ça... dans les classeurs, fit-elle en lui tendant deux tests.
Mathilde lut bien chaque mot, puis sur le second. Elle leva enfin la tête vers Maria, puis elle afficha un bon sourire.
— Bonjour, cousine !— Oui... tu es la fille de Yoan et moi celle de Yann, donc en plus d’être cousines, on est aussi belles-sœurs... C’est vraiment... n’importe quoi.— Très excitant, oui...— Bonjour les filles, fit Yann.
Il s’avança pour embrasser Mathilde, la femme de sa vie (et sa nièce), puis Maria qui était sa fille (et sa belle-sœur). La situation était un peu bizarre.
— Vous voulez entendre la dernière nouvelle, fit Mathilde en se levant.
Elle s’avança vers Yoan pour le prendre dans ses bras. Yoan regarda son frère sans comprendre ce qui arrivait à la copine de son frère. Maria se recula et sourit.
— Bonjour... Papa ! fit-elle en lui tendant le test. Ma mère est Clara.— Oh ! fit Yoan en posant son regard sur sa fille (et sa belle-sœur).— Qu’est-ce qu’on fait des autres tests ? On les détruit ? On les recherche ? demanda Maria.— Eh bien... commença Yann.
Ils échangèrent un regard tous les quatre, sans savoir ce qu’ils allaient faire de leurs vies, mais au moins ils seraient tous les quatre, tous ensemble.
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