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Le parrain, la «vierge» dominatrice, et la mère soumise.

Chapitre 1

Une « revanche » bien délicieuse….

Avec plusieurs femmes
Il faut préciser :Cette histoire a été écrite sur la base d’une idée, ou un fantasme de «-R-», un membre de ce site. Il a inventé les personnages, et a tracé les lignes. Je n’ai fait qu’embellir...******************************

« Mon adorable parrain,Tu as été ces dernières années, presque absent de ma vie. Nos contacts se limitent à des commentaires sur Facebook. Je ne peux t’en vouloir, même si j’ai pris connaissance de plusieurs de tes passages à Paris, sans chercher à me voir.
Pour fêter l’anniversaire de mes dix-huit ans, je pense pouvoir exiger ta présence et celle de ma mère. On sera trois, car on a trop à discuter concernant mon avenir, surtout que j’ai décroché mon bac avec mention très bien, et je suis certaine que ton avis me sera d’une très grande utilité.
Tu peux contacter maman, pour vous mettre d’accord concernant une date, qui ne doit pas aller au-delà de deux semaines, à compter de la présente date.Avant de conclure, j’ai moi aussi un cadeau pour toi, que tu vas regretter toute ta vie, si mon anniversaire ne sera pas organisé en temps voulu.Ta Chloé qui t’adore.»
Chloé est la fille unique de mon associé, mort depuis une dizaine d’années. Nos contacts se font presque uniquement par Facebook, où elle m’appelle son « adorable parrain ». Prête toujours à croiser les armes, avec toute personne qui oserait me contredire, sans tarir d’éloges me concernant à toute occasion.
Je me présente : Romain, 47 ans, grisonnant, 1m80, 85 kilos, physique agréable. Je suis ce qu’on appelle un célibataire endurci. J’aime collectionner les femmes, avec une faiblesse pour les bisexuelles soumises. Ou pour être plus clair, que j’aime soumettre et convertir en bisexuelles convaincues.
Je suis déjà l’amant de sa mère, que j’ai baisée pour la première fois, dans mon bureau, trois jours après les funérailles de son défunt mari.Aucune difficulté à la dévergonder, et en faire, non seulement, une bisexuelle active et entreprenante, mais aussi, celle qui adore, pour ne pas dire, exige d’être filmée à visage découvert, lors de nos ébats, surtout avec une autre femme.
Je téléphone à Amélie, la mère, qui m’explique que sa fille veut fêter à la fois ses dix-huit ans, que l’obtention de son bac, et qu’elle a besoin de moi, pour se fixer une idée concernant ses études universitaires...
***********************
En arrivant au dîner, avec un cadeau pour l’anniversaire de Chloé, et deux bouquets de roses, je trouve deux femmes splendides. Chacune à sa manière. Chloé, 1,70 m, mince, deux obus à la poitrine, un petit cul rebondi. Châtain, cheveux longs et lisses. Apparaît sa robe-soirée rouge moulante, et son maquillage prononcé, en femme réellement mature, et non celle qui fête ses dix-huit ans.
Amelie, la maman, brune, coupe courte, 1,65 m, belle et sensuelle, porte une robe noire, qui annonce de belles jambes, et surtout une femme qui sait se placer dans un équilibre assez difficile, entre la sobriété qu’exige son statut de femme veuve, et son besoin de se faire belle, et même attirante. Entre un amant, à qui elle veut plaire, et une fille, devant qui elle ne doit exposer rien de sensuel.
Je suis reçu avec une accolade très physique de la part de Chloé. Sa maman s’est contentée de deux bises amicales.Le dîner se passe très bien, en passant au salon, Chloé nous informe avec un air sérieux et serein qu’elle a envie de discuter d’un sujet plus qu’important.Elle nous balance tout cru, qu’elle sait que moi et sa mère sommes amants, et que sa mère est bisexuelle.Sa mère me demande par le regard des éclaircissements, j’exprime mon ignorance.Chloé éclate de rire, et nous dit que ce sujet est le dernier de ses soucis.
— J’ai compris que Monsieur aime les minettes vierges.
Elle marque un temps d’arrêt, et ajoute :
— Je suis minette et vierge... Et en fille majeure qui dispose depuis 19 jours et nuits, pleinement, et légalement, de sa sexualité...
Elle marque un temps d’arrêt, et ajoute :
— Je m’offre à toi, sans rien exiger, sauf...
Je reste silencieux et elle ajoute :
— Que tu me prennes comme tu l’as fait pour les deux filles, en présence et avec la complicité de ma mère.
Elle regarde sa mère qui apparaît ne rien comprendre :
— Arrête de jouer la pucelle effarouchée. Je peux te croire, si je ne t’ai pas vue en salope vicieuse sur les vidéos... Je dirais même la plus salope des actrices des plus hard des films X.
La mère semble se réveiller :
— Chloé, comment tu sais tout ça ?
Chloé rit un peu, et dit :
— Depuis presque trois ans, j’ai piraté ton ordinateur. De ce fait, je peux visionner toutes tes vidéos, et lire tous tes échanges avec notre Romain.— Mais...— Mais quoi ?
Chloé, très en colère, va ramener sa tablette, et dit à Amélie :
— Je ne te demande pas ton avis. Tu obéis comme l’esclave que tu es, ou je balance tout sur le Net.
Amélie me regarde, et je lui dis d’un ton ferme et direct :
— Je t’ordonne d’obéir.
Chloé me regarde avec un ton direct et intransigeant :
— Tu vas nous filmer comme tu aimes le faire. Tu restes simple voyeur, jusqu’à ce que je te demande d’intervenir.
Je suis plus qu’étonné par cette forte personnalité. Une intransigeance, totalement opposée à la soumission de sa mère, qui est prête à tout pour me satisfaire. Amélie ne me refuse rien, même si elle exprime une légère opposition, mais finit toujours par se soumettre.Chloé embrasse tendrement sa mère sur sa bouche. Amélie reste vraiment de marbre. La fille ne semble pas découragée, elle lève la robe de sa mère pour faire découvrir un slip rouge.En dominatrice née, Chloé jette sa mère sur le divan, lui ouvre les cuisses, et enfonce sa tête. La position est encore inconfortable. Situation qui la pousse à tirer encore plus sa mère, pour entreprendre ce dont elle a fantasmé durant des mois, à savoir bouffer le sexe de sa propre mère.
L’écran de mon téléphone ne présente pas l’image d’une vierge, qui n’a jamais rien fait, sauf se masturber, mais plutôt une lesbienne aguerrie, qui s’adonne à ce plaisir pour la nième fois.Je dois reconnaître, que pour la première fois de ma vie, mon plaisir de voyeur qui se contente de filmer est de loin plus fort, que l’envie d’y participer.Amélie commence à gémir. La connaissant, elle ne peut rester de marbre éternellement. D’une manière timide, au début, puis devient la femme que j’ai souvent baisée.Je fixe le viseur sur son visage, et je lui demande :
— Salope de ton maître.
Elle ouvre ses yeux, grand ouverts :
— Oui mon Maître.— Tu aimes cette langue qui te lèche la chatte ?— Ouiiiiiiiiiii...— Tu peux me dire qui te suce ?
Elle marque un temps de silence, je repose la question, et elle dit :
— Chloé... Mon adorable Chloé...
Avant de poser la question suivante, son visage s’illumine et une brillance apparaît dans ses yeux. Je la connais bien, elle va jouir.Son orgasme s’exprime par un cri haut et court...Chloé se relève en se léchant les lèvres, embrasse Amélie sur la bouche. Un baiser que la mère rend à sa fille, puis se dirige vers le téléphone, et annonce de la manière la plus solennelle possible :
— Monsieur Romain, je vais t’offrir ma virginité, sous conditions. La première est acquise.
Elle regarde sa mère, et la tape sur les fesses :
— La participation de ma salope et vicieuse maman.
Comme pour faire durer le suspense, elle ajoute :
— J’exige réellement deux femmes que j’ai vues sur les vidéos.
Comme pour nous laisser le temps de poser la question, elle ajoute :
— J’exige la Noire, avec le crâne rasé... Et cette femme avec plein de tatouages.
Elle nous regarde :
— Sinon rien...
J’échange un regard avec Amélie, et je la questionne :
— Au point où sont les choses, on n’a plus rien à cacher.
Amélie rougit, je lui dis avec une certaine colère :
— Tu peux les joindre, oui ou non ?
La mère répond avec une grande timidité :
— Oui...
Chloé paraît en colère, se dirige son regard vers le téléphone, et dit :
— Romain mon cher, tu dois quitter maintenant. Je dois refaire l’éducation sexuelle de ma salope de maman.
Elle regarde sa mère, et me dit :
— Tu reviens le jour où ces deux femmes seront ici... Je veux me faire déflorer sur le lit de ma salope de mère.
Je filme tout, elle ouvre la porte de l’appartement, et me dit :
— Je n’ai pas de temps à perdre... Un long travail m’attend ce soir.
Je sors et elle ferme la porte. Je reste immobile un temps que je peux mesurer. Je me sens heureux de n’avoir pas touché Chloé, tant elle veut sortir de l’ordinaire, et faire de sa nuit exceptionnelle, une nuit inoubliable. Selon les témoignages recueillis, ultérieurement : dès que la porte est fermée, Chloé va dans sa chambre, et revient avec deux boîtes, tend une à Amélie, et lui dit avec un ton ferme :
— Ce soir, tu es mon esclave à moi, ma chienne obéissante même. Je ne tolère aucun refus, aucune réticence, et même aucune hésitation.
Elle marque un temps d’arrêt, et ajoute :
— Je ne te demande pas grand-chose. Uniquement, que tu sois la salope, la vicieuse, et surtout l’esclave que tu es.
Puis, elle tend une boîte à sa mère :
— Attends-moi dans ma chambre, et mets cette tenue.
En ouvrant la porte de sa chambre, Chloé découvre sa mère avec la tenue qu’elle vient de lui offrir. Un deux-pièces, bleu foncé, à savoir un string à ficelles sur les côtes, et un soutien-gorge, qui cache à peine les seins de sa mère. Avec une nuisette courte et transparente.Elle siffle et dit avec enthousiasme :
— Tu es très belle.
Sa mère paraît encore timide. Chloé prend Amélie par la main, et lui dit avec douceur.
— Ce n’est pas moi qui ai fait de toi la salope que tu es. Aussi, rien ne sert à jouer la novice.
Elle marque un temps d’arrêt, et ajoute en maîtrisant mal sa colère :
— Je veux ce soir passer une nuit de plaisir, et des moments torrides, avec la femme que j’ai vue dans les vidéos. Ou je balance tout sur le Net, et tu ne me verras plus jamais.— Non, s’il te plaît, Chloé... je serai ta salope et ta chienne.
Chloé embrasse tendrement sa mère, qui non seulement lui rend le baiser, mais prend la tête de sa fille entre ses mains, et l’embrasse avec fougue et ardeur.
— Chloé, je peux t’avouer quelque chose.— Oui mon amour.— Depuis que je suis bisexuelle, j’ai fantasmé une fille comme toi, sans oser penser à toi directement.— Salope adorable, je suis à toi cette nuit, et pour la vie si tu veux. On va s’aimer comme jamais deux femmes ne l’ont jamais fait.— Oui mon amour de Chloé.— Un seul avertissement : j’ai vu sur les vidéos que tu aimes introduire tes doigts dans le sexe des femmes. Tu ne dois pas oublier que je veux rester vierge, et me faire déflorer par Romain.— Je ne peux l’oublier.
Les deux femmes se regardent, s’embrassent avec douceur :
— Chloé, je peux demander une chose ?— Je t’écoute.— Je peux baisser la lumière un peu ?— Certainement.
Amélie baisse la lumière, tandis que Chloé est déjà sur le lit :
— Mon tendre et adorable amour. Je t’aime comme tu ne peux imaginer.— Moi aussi, Chloé, je ferai n’importe quoi pour toi. Tu n’as qu’à demander.— Je veux une nuit immémoriale.— A ton service.
La fille met son doigt sur la bouche de sa mère, pour lui interdire de parler, puis l’embrasse tendrement. Amélie attire Chloé d’une manière délicate pour se coucher, et se lancer dans une série de bisous très tendre.
Chloé se laisse embrasser par Amélie, qui prend l’initiative de mordiller les lèvres de sa partenaire. Des morsures très légères, qui font vibrer cette vierge, excellente en théorie, mais qui manque atrocement de pratique.
A ce niveau, un petit jeu subtil va voir le jour, entre une dominatrice née, qui manque totalement d’expérience, face à une soumise, plus qu’expérimentée. Même excelle dans l’art de tous les vices.La question n’est nullement de savoir quel chemin prendra ce rapport dominatrice/soumise, mais quelle forme de relation va synthétiser cette nuit d’amour et de plaisir.Une chose est plus que certaine : elles ne pourront plus retourner au point du départ. Un jeu assez coquin s’installe entre les deux femmes, qui tout en s’embrassant, échangent les rôles dans une complicité plus qu’étonnante. Entre l’ardeur et la curiosité de Chloé, et la fougue d’Amélie, qui se sent en confiance, la relation se dégage de tous les rapports de force, pour présenter un tableau où la générosité de l’amour réside dans cette quête d’offrir le plus plaisir, et non de le prendre.
Amélie cherche la langue de Chloé pour la sucer. La vierge se laisse faire, et même fait tout son possible pour satisfaire les lèvres de sa compagne.Les quatre mains ne peuvent rester inactives. Amélie tient la tête de Chloé, qui préfère balader les siennes à la découverte du corps de sa salope de mère.Chloé, réellement imbibée par les vidéos de sa mère, se dégage, met sa partenaire sur le dos, et l’embrasse tendrement au début, pour mordiller son menton, et descendre vers son cou.Amélie gémit, et s’abandonne, comme le fait toute femme en présence de son amant. Chloé, tout en étant femme, lèche ce cou offert, de bas en haut, et conclure à chaque fois par un bisou tendre sur les joues d’Amélie, qui se tortille avec douceur.
Chloé débarrasse sa mère de sa nuisette, et envoie sa bouche mordiller les oreilles de sa soumise, qui sursaute. Raison pour insister, et surtout aller au-delà des limites de sa partenaire.Amélie sursaute encore une fois. Chloé décide de se mettre sur elle, et de la dominer. La mère obéit, et réduit ses mouvements.Chloé prend sa liberté, surtout qu’Amélie ait ouvert grand ses jambes. La dominatrice par instinct, détecte l’importance plus que stratégique, de cette poitrine qui s’offre à elle. Son instinct la pousse à découvrir cet espace, et à dépasser les images dont regorge sa mémoire.
— Laisse-moi faire.
Amélie prend le devant, inverse le rapport, sans déplaire à Chloé, qui se sent agréablement surprise. La maman met sa fille sur le dos, et commence à l’embrasser tendrement. Chloé commence à gémir avec délicatesse, tant elle revient à son instinct de jeune fille vierge, en besoin d’attention, de tendresse, et surtout sentir l’affection d’autrui.
Amélie débarrasse Chloé de sa nuisette, et commence à lécher les abords du soutien-gorge. Elle prend son temps, et même opère plus d’une retraite tactique. La fille, tout en prenant plaisir au début, commence à sentir une forme de colère.Son instinct de dominatrice se réveille, elle commence par baisser les bretelles de son soutien, et dévoiler sa poitrine. En esclave intelligente et surtout expérimentée, elle est certaine que l’acte de sa dominatrice ne peut être compris autrement.Elle prend une mamelle entre ses lèvres et la suce délicatement. La rage de Chloé a par miracle laissé la place à des gémissements de plaisir. Plus encore, la dominatrice, intransigeante à la manière d’une lionne enragée, n’est plus qu’une chatte douce et affectueuse. Amélie, est certes la chienne soumise de son amant, et actuellement de sa fille, mais reste une femme intelligente et surtout a développé un instinct très rapide.Elle accentue ses morsures sur les deux seins. Chloé semble plus prisonnière volontaire, qui n’acceptera jamais de quitter, tant Amélie, a fait sortir son arme secrète, à savoir ses mains qui se baladent sur cette poitrine, le ventre, et même aux abords d’une zone plus sensible que la plus sensible des zones militaires au monde. Tant ce centre névralgique de Chloé n’a pas encore, tels les sites de lancement des missiles nucléaires, connu de tirs.
Chloé s’est réduite en passive totale, qui ne fournit d’efforts que des gémissements, qui expriment un plaisir, mais aussi, dénote une passion, pour ne pas dire une « soif », qui a trop duré.La main d’Amélie, telle une patrouille en terre inconnue, avance avec une délicatesse plus que mesurée. Plutôt, des arrêts qui durent plus longtemps que les rares incursions hâtives.Le roulement du bassin de Chloé vient encourager la main pour augmenter sa vitesse d’incursion. Amélie la soumise, a appris depuis le premier baiser avec Romain dans son bureau qu’elle est la femme-objet, qui ne décide jamais hors des directives, et ne jamais prendre d’initiatives.Mais elle sent par instinct qu’elle est dans l’obligation de prendre une décision. Reculer n’est pas la solution, ni faire du surplace. L’unique réponse restante consiste à avancer. Amélie sent que le corps de sa dominatrice répond favorablement, et même d’une manière grandissante à sa main qui vient de toucher le string de Chloé.Rassurée qu’elle est sur la bonne voie, elle se mémorise les séances de plaisirs offertes à quelques dizaines de femmes, en compagnie de son maître, où elle a joué le rôle de celle qui ne refuse jamais rien, et aussi celle qui ne pense qu’aux plaisirs des autres.
Elle caresse les hanches de cette vierge qui vit sa première expérience du genre.Par expérience, elle sait que les femmes adorent faire durer le plaisir, et sont plus patientes à attendre. Ses doigts effleurent le string dans sa partie la plus large. Chloé sursaute réellement, de quoi obliger Amélie à adopter un repli tactique.
Telle une chatte qui a très faim, elle ose retourner sur le lieu qui a fait sursauter sa fille. Soulagement, Chloé exprime une satisfaction énorme, et en demande plus.Amélie défait les deux nœuds du string. Sa main reprend sa balade. Les ondulations de la hanche de Chloé ont fini par emporter le string. La main d’Amélie, telle une armée victorieuse, peut se permettre toutes les libertés permises par cette vierge.
Les doigts ont commencé par effleurer cette surface certes vierge, mais épilée. Les sursauts d’Amélie augmentent de fréquences.En bisexuelle, active, entreprenante et surtout avide, Amélie ne peut rater un sexe chaud et humide, mais surtout réellement vierge. Elle est la première à y mettre sa main, et surtout sa langue. En se plaçant entre les cuisses de Chloé, Amélie est à l’aise. Elle commence par un passage très léger de sa langue sur le sexe de sa fille, qui d’un coup avance son bassin.Tout est affaire de dosage, avancer très vite va offrir un orgasme rapide et fade. Traîner et manquer l’occasion, engendrera une amertume, que cette vierge ne peut oublier.Amélie augmente le contact de sa langue avec la surface gluante mais aussi le temps du contact, jusqu’à coller totalement, et entamer une procédure que cette soumise maîtrise à la perfection.
Le clitoris de Chloé est à l’image des rois dans les batailles. L’atteindre et le faire vibrer, résume tous les autres combats en quête du plaisir. Reste qu’Amélie sait bien, qu’avec une vierge qui goûte son premier cunnilingus, le plus important n’est pas de lui offrir le plus intense des orgasmes, mais plutôt la faire parvenir à un plaisir qui ne bouscule pas son métabolisme sexuel...
Chloé crie très fort, immobilise la tête d’Amélie, et s’arrête d’une manière soudaine de crier. Elle se dégage, et se met sur le ventre, et plante sa tête sous un oreiller...
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