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La Part Sombre

Chapitre unique

Gay
La Part sombre

Laskar

Je bois un verre à la terrasse d’un café du cours d’Estienne d’Orves avec un ami que je n’ai pas vu depuis belle lurette.Le temps est radieux, il fait doux, il est 18h et nous discutons déjà depuis une bonne heure. Yann, c’est son nom, doit partir et me propose de reprendre notre discussion après son rendez-vous en dînant ensemble. Ok, rendez-vous est prit pour 20h, il sera accompagné de la personne avec qui il a rencard maintenant, visiblement un bon copain.
Je rentre donc chez moi pour me préparer et me doucher. Yann est un copain que je n’ai pas vu depuis longtemps. Nous avons beaucoup travaillé ensemble, puis, ayant bifurqué professionnellement, nous nous sommes un peu perdus de vue. Je m’entends bien avec lui et je suis content de le revoir. C’est un garçon de mon âge, 35 ans, il est grand, brun, charmeur et charmant, divorcé. Je trouve que depuis le temps que je le connais, il a changé, je le trouve plus attentionné à sa personne, habillé avec plus de soin.
Vers 20 heures j’arrive à « l’Absinthe » un restau de la rue Sainte en plein centre ville de Marseille. Yann et son ami sont là, je m’installe à leur table. Il me présente Tonio, un garçon dans nos âges, brun lui aussi, bien habillé avec un très beau sourire. Le repas se déroule très agréablement et nous buvons suffisamment pour avoir envie de continuer la soirée. Tonio propose que nous allions dans un bar un peu plus haut sur la canebière, Yann le connait, il est d’accord et me demande mon avis. Je n’en ai pas, je lui dis que je suis partant. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai senti dans le regard de Yann une inquiétude, furtive. Je balaye rapidement cette idée qui finalement n’a fait que m’effleurer. Nous arrivons devant le bar, le « 507 », un bar comme un autre a priori, mais très vite en rentrant je soupçonne que ce doit être un bar plutôt ciblé homos. Le plutôt ciblé devient rapidement « carrément ciblé homos ». Il y a pas mal de monde, beaucoup d’hommes et quelques femmes, des gens bien habillés, fashion et à la mode, çà rigole fort, il y a une ambiance gaie, sans jeu de mots.
Yann me regarde et me dit :
« Comme tu le vois, c’est un bar un peu particulier, j’espère que tu n’es pas allergique aux tapettes »
« Non, je suis surpris, je ne m’y attendais pas, c’est tout » lui répondis-je.
On s’assied à une petite table dans un coin, la seule qui reste libre, il y a de la musique, bonne d’ailleurs, on commande une bière et on reprend nos discussions, nos rigolades reprennent, finalement le lieu passe au second plan, on se sent bien dans cette ambiance. Yann connait du monde, serre des mains, fait des bises, Tonio aussi. Les gens parlent fort, se touchent, vont de table en table, boivent. Je ne m’attendais pas à çà, je suis agréablement surpris et je me sens bien. Tonio se lève après sa deuxième bière, direction les WC, et ne revient pas.
Après un bon moment, je demande à Yann : « Il est ou Tonio ? »
« Il a du aller derrière » me répond-t-il.
Je réponds : « Ah » faisant celui qui comprend quelque chose.
On discutait toujours quand moi aussi, j’ai eu envie de me soulager, je me lève et pars dans le fond du bar où sont les toilettes. Je me vide la vessie et me lave les mains. Au moment de repartir je vois un mec sortir de derrière une tenture qui cache une ouverture dans la cloison. Je suis curieux, surtout depuis la disparition de Tonio. Je soulève le rideau, mon cœur se serre et je suis immédiatement assaillit par un nœud au ventre, je vois un couloir très sombre, il y a des silhouettes, je comprends ce que voulait dire « il a du aller derrière ». J’hésite, mais irrésistiblement je pénètre dans ce cloaque.
J’avance lentement, le couloir donne, je le distingue maintenant que ma vue s’habitue à la pénombre, sur des pièces toutes aussi sombres ou on distingue de nouvelles silhouettes. Ce qui me surprend d’abord, c’est l’odeur, un mélange d’eau de toilette, de transpiration et de sperme. Ca sniffe le sperme à donf. Ensuite, ce sont les bruits, malgré la musique qui arrive en sourdine, des bruits de gémissements, de succion, des voix basses.
En continuant dans ce couloir qui me semble interminable, le nœud se serre toujours un peu plus dans mon ventre, pas la peur du lieu, mais la surprise, surprise de me sentir bien ici. Des mecs me croisent, me frôlent, je prends des mains aux fesses, une main touche mon sexe. Je vais de surprises en surprises, je suis surexcité, je veux en voir plus.
Je rentre dans une pièce, je plisse des yeux pour mieux voir, je distingue un mec qui suce un autre mec, je m’approche encore, sa queue est grosse, il est torse nu. Cette vue, si proche et si réelle me fouette, je sens mon sexe durcir en même temps qu’une excitation violente m’envahit. Je regarde ce spectacle quelques minutes, puis je repars, décidé à explorer plus profondément ce lieu.
Je repars dans le couloir, il y a plus de monde, on se frôle, on me touche, mon tee-shirt est un maigre rempart, je me surprends à toucher les fesses d’un passant. Dans ces passants, certains sont habillés, d’autres en partie dévêtus.
Il semble y avoir encore une pièce à droite, j’avance, elle est encore plus sombre, j’hésite, une main me tire, on me touche le torse, les fesses, le sexe. Je me surprends moi aussi à toucher des corps, mes yeux s’habituent.
Je distingue une queue érigée, ma main s’avance, l’effleure, provoquant une poussée d’adrénaline excitante, inquiétante et délicieuse. En deux secondes je suis accroupi comme si mes jambes avaient cédé devant un appel inconscient. Je me retrouve avec ce sexe au niveau du visage. Il est magnifique, il m’attire, ma bouche est irrésistiblement aimantée par ce sexe arrogant. Sans vraiment y réfléchir je le prends dans ma bouche.Je suce une queue que je ne connais pas, je ne vois même pas le heureux. Tempête dans ma boite crânienne. Une inquiétude me vient d’un coup : 
« Qu’est-ce que je fais s’il éjacule ??? »
Ma question trouve une réponse rapide. Ma caresse a du être agréable car je reçois sur ma langue, une larme de chaleur, un goût inimitable, puis d’autres giclées sur mon visage et sur mes lèvres. Je passe ma langue avec plaisir sur le sperme étalé autour de ma bouche. Le mec a disparu, me laissant seul avec mon plaisir d’avoir sucé un mec pour la première fois, je suis toujours accroupi.
Cà me plait, cet incognito, ce glauque, cette odeur de foutre, ces bruits feutrés, je me relève, je m’essuie de la main je reprends ma déambulation.

Je touche les sexes qui passent, parfois j’en arrête un, un coup de langue, puis une autre queue ou je m’attarde un peu plus, un volume qui me plait, une odeur, je m’accroupis alors, je la prends alors jusqu’au fond de ma gorge, je suis rempli de ce sexe, je le lèche, je le caresse, je le branle. Il ne crache pas, son proprio a disparu avant. Je me relève, des mains me touchent, m’attirent.
De plus en plus excité, je prends de l’assurance, j’ouvre mon jean, ma queue est raide et offerte, on me la touche, on me la palpe, on me la branle et enfin, enfin, on me la suce. C’est une sensation merveilleuse, me faire sucer par un mec, dans un endroit pareil, interdit, inconnu, une excitation terrible. Je profite de ce plaisir nouveau, de cette bouche chaleureuse et douce qui m’englobe le sexe de toute son attention, je ne vois que très peu la tête de l’homme qui me suce, j’en vois les cheveux sombres que ma main caresse pour l’encourager à me faire jouir. Je me raidis à chaque coup de langue, à chaque enfournement. Des mecs me caressent les fesses, libérées de mon jean. Je sens au moins deux mains, je sens aussi un sexe raide se branlant sur ma fesse gauche. Dans ma main droite je branle un autre chibre, des doigts me pincent les seins, je jouis, je monte, je viens.
Le sexe dans ma main droite se répand en un long râle après quelques rapides allers et retours, je sens ce gland très gros, sous ma caresse glissante.
Je me retiens mais la bouche se fait de plus en plus pressante sur ma bite. Aidé d’une main autoritaire qui me masturbe en même temps, j’éjacule, exultant de plaisir, dans un râle que je peine a réfréner. Le sexe sur ma fesse en fait de même. Cà pue le sperme et le plaisir furtif, comme mes amants, qui disparaissent comme ils sont arrivés. Seul un mec me tient encore par le cou, je me tourne, surpris, je ne distingue pas bien ses traits.
Je me rhabille, je m’essuie, je me dirige vers la sortie de cet obscur endroit, l’homme me suit. J’entre dans les toilettes pour me laver un peu, mes yeux se plissent sous l’agression du néon. Je me retourne, Yann debout, souriant, me dit pour accentuer mon trouble et ma honte : « J’ai adoré ta bite ».

Laskar
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