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Un partage inattendu

Chapitre unique

Divers
L’histoire que vous allez lire, sachez, je ne l’avais encore racontée à personne. Pourquoi aujourd’hui ? Parce que je l’ai revue... elle ! Oui elle avec qui j’ai découvert les joies de la sexualité, mais surtout les expérimentations insouciantes de deux jeunes qui, passés 18 ans, avaient envie timidement de passer à la vitesse supérieure. En revoyant Sofia hier dans cette salle de cinéma avec son compagnon actuel, je me suis replongé vingt ans en arrière, et s’il ne devait rester qu’un souvenir plus coquin et marquant que les autres, c’est celui que je vais vous exposer sans plus attendre, comme si ma mémoire avait besoin "d’éjaculer" ce souvenir.
Nous avions terminé nos derniers examens de Noël et rentrer à la maison faire l’amour signifiait pour nous clore un chapitre stressant, celui des deux mois où nous avions étudié sans relâche pour éviter une deuxième session en fin d’années qui nous aurait privés de vacances bien méritées. Avachi sur le lit, je la regardais rire aux éclats devant moi, tenant dans sa main ma vieille revue érotique qu’elle venait de trouver derrière ma commode. Terriblement gêné, je rougissais comme un enfant pris la main dans le sac et me dit gentiment :
— T’inquiète va, je me doutais bien que tu avais ce genre de cochonneries, tous les garçons ont ce genre de trucs pour se masturber.
Nous n’avions fait que trois ou quatre fois l’amour et pour tout dire, nous l’avions toujours fait de manière très pudique, dans la pénombre même, sans beaucoup de passion. Sophia était plutôt rigide, pas très à l’aise avec sa sexualité, même si je la sentais s’ouvrir de plus en plus. J’en avais donc profité pour sauter le pas et lui avouer que j’avais aussi un film porno que j’avais enregistré derrière un film classique pour ne pas éveiller les soupçons. Sur ce, ayant un peu ouvert la voie à une discussion plus poussée, je lui demandais si elle se masturbait aussi.
— Bah... euh... oui. — Et tu as une revue aussi ? Un petit film érotique de derrière les fagots ?— C’est gênant de t’avouer ça, mais oui j’ai l’habitude de me masturber. Mais malheureusement, j’ai juste des fantasmes avec lesquels joue mon esprit. D’ailleurs, j’aimerais regarder la vidéo avec toi.
Vraiment désorienté par sa demande, elle, la fille pudique par excellence, voulait vraiment se délurer. Durant la première scène de sexe, elle ne parla pas, était subjuguée par ce qu’elle voyait et je commençais sérieusement à bander sous mon pantalon. La scène se termina par une éjaculation buccale et là ce fut le choc pour elle, une femme avalait la jouissance d’un homme. Elle se retourna vers moi :
— Ha bon ? Des femmes font ça ? C’est une pratique sexuelle ? — Honnêtement Sophia, c’est quelque chose qui excite certaines femmes, et je dois l’avouer qui doit certainement faire plaisir aux hommes.— Je te vois venir Max, mais non pas question ! J’avoue volontiers que je prends du plaisir à te sucer, mais avaler ton sperme me dégoûte un peu, surtout pour le goût que ça doit avoir !— Mais tu n’as jamais goûté, tu ne sais pas ce que c’est ! Honnêtement, je trouve que ça a un goût plutôt neutre, assez spécial même.
Sans le vouloir, je venais d’ouvrir la boîte de pandore ! En lui décrivant le goût de mon sperme, je venais d’avouer bêtement que j’avais déjà eu l’idée saugrenue de goûter mon précieux liquide. Elle se mit à rire et me demanda des détails "techniques". Je lui fis alors promettre alors qu’elle garderait le secret pour elle parce que c’était assez gênant comme situation. Je fis alors le pari de tout lui dire et jusqu’à ce jour, elle reste la seule personne à qui j’en ai parlé.
— En fait Sofia, tu le sais, depuis toujours je suis super souple et ne rigole pas s’il te plaît. Ce que je vais te dire est très gênant pour un gars. Voilà je te le dis, j’arrive à me sucer un peu plus de la moitié de mon sexe en érection. Je me masturbe donc parfois en me faisant des pipes. Bon, je t’avoue que j’ai seulement avalé un peu une fois, juste pour goûter.— Mais noooonnnn tu te fous carrément de moi ! Tu crois que je vais tomber dans ton piège, tu as envie que j’avale et tu me racontes ça pour que j’essaie aussi. T’es dingue toi. Max, c’est l’histoire la plus bidon que j’ai entendue !
Touché dans mon orgueil, je décidai de lui montrer comment je faisais. Pour m’inviter à passer à l’action, je lui demandai de se déshabiller et de m’exciter un peu. Elle rigola, mais finit quand même par retirer son t-shirt et son soutien-gorge pour laisser pointer ses admirables petits tétons dans ma direction. Je commençais à bander et me mis dans ma position acrobatique d’autofellation utilisant le mur contre le lit pour appuyer mon dos. Quelle ne fut pas sa surprise quand elle remarqua qu’effectivement je parvenais à sucer une partie de mon sexe. La position était la suivante, j’avais la tête en bas comme dans un 69, sauf que j’avais ma propre queue au-dessus de moi. Elle s’approcha et me chuchota :
— C’est incroyable. Tu y arrives ! — Tu vois, je te mentais pas !— Ça te dérange si je t’accompagne ? Je me sens excitée tout à coup !
Elle s’approcha de ma bouche et se mit à lécher avec moi le bout de mon gland. Sous l’effet de l’excitation, mon gland devint encore plus grand, plus dur. Nous étions en osmose pour me sucer, nos salives se mélangeant sur le gland qui prenait un goût inédit avec nos fluides respectifs. Elle retira sa petite culotte et vint frotter son sexe contre le mien, venant déposer aussi son odeur sauvage sur mon sexe. Je léchais mon sexe et le sien quasi en même temps. Elle revint ensuite me lécher et je la doigtais en même temps. Elle commença à prendre le contrôle des opérations, me masturbant en même temps que nous léchions ma queue devenue extrêmement tendue. Je lui dis que si elle continuait comme ça, j’allais finir par jouir tellement la situation m’excitait au plus haut point. Elle m’avoua qu’elle avait envie de me faire ce plaisir et me demanda la permission. Nos deux langues entouraient mon gland pendant que son va-et-vient avec sa main s’intensifia.
Je sentis venir la jouissance et la prévins de l’arrivée imminente de mon éjaculation. A ma grande surprise, elle laissa sa bouche près de la mienne et me fit jouir intensément, laissant sortir plusieurs grosses giclées de sperme sur nos visages, mais surtout dans nos bouches à tous les deux. Terrassé par l’orgasme, je me couchai normalement sur le lit et la regarda, son visage rempli de mon foutre. Elle semblait comme en transe, réalisant que nous avions réalisé un truc hors du commun. Je commençais à culpabiliser, malgré le plaisir et le relâchement intense que l’orgasme était en train de me procurer. Puis elle s’approcha de moi, me rassura, et dit à l’oreille :
— Tu avais raison, c’est plutôt neutre comme goût, mais là où est le plaisir, c’est de sentir le fluide chaud envahir ma bouche après avoir senti sous ma langue les spasmes de ton sexe en pleine éjaculation. Je suis choquée et en même temps ravie d’avoir vécu ça avec toi. J’ai terriblement pris mon pied et je dois même te dire que je trouve ton sperme plutôt bon... mais ne pense pas que c’est un acquis. C’est quand moi je le déciderai selon mes envies !
Nous n’avons jamais refait une fellation commune par la suite, cette expérience fut donc un one-shot (ou plutôt un double shots), mais par contre j’ai eu droit à de nombreuses et délicieuses autres pipes "au miel" par ma charmante copine de l’époque.
Retour vingt ans plus tard, le film souvenir se termine dans ma tête et se termine aussi sur l’écran géant. Les gens quittent la salle et Sofia repart avec son actuel "boyfriend", ou est-ce son mari ? Les années ont passé, c’est maintenant une femme mature bien dans sa peau apparemment et elle garde ce charme fou qui me faisait fondre à l’époque. Elle ne m’a pas vu dans la foule et moi je me dirige aussi lentement vers la sortie. Au moment où je rejoins l’arrêt de mon bus, j’entends une voix qui crie derrière moi.
— Maximilien c’est bien toi ?
Je me retourne surpris et Sofia se dirige vers moi, toute contente de me présenter son compagnon, mais surtout apparemment très contente de me revoir.
— Le temps est passé trop vite Sofia, après ton année Erasmus, je n’ai plus eu de nouvelles de toi.— Je sais, Max, j’aurais dû t’appeler et je m’en suis voulu par la suite. Au fait, je te présente mon frère Samy, il m’a offert le cinéma pour mon anniversaire. Tu viens avec nous boire un verre pour terminer la soirée ? Je suis sûre qu’on a beaucoup de choses à se dire.— Oui Sophia, nous allons donc reprendre nos vieilles habitudes, je pense, nous avons tellement de choses à partager encore.
FIN
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