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Le partage de Nath et Bruno

Chapitre 14

Orgie / Partouze
Le docteur François Gaudron s’était installé dans le village moins de dix ans au par avant et Bruno ne le connaissait donc pas vraiment. Il se rappelait d’un homme assez maigre, avec des cheveux mi-long, noir et raide, affublé d’une moustache à la gauloise et un look un peu retours à la terre avec de gros pull tricotés main en laine brute. Il découvrit un homme bien différent. Le docteur Gaudron avait une bonne quarantaine d’années, un corps fin, bien qu’un peu plus épais que dans son souvenir, il n’avait plus de moustache, mais une sorte de petit bouc à la Méphistophélès qui lui allait plutôt bien. Ses cheveux noirs étaient coupés courts, bien qu’habillé de façon assez décontractée, il était plutôt élégant avec sa chemise Paul Smith très colorée, ses lunettes rectangulaires aux montures bariolées et très bien assorties à la couleur étrange de ses yeux. Bruno ne se rappelait pas de ce détail pourtant si troublant. François avait les deux yeux de plusieurs couleurs ; globalement marron, ils comportait également une teinte plus vive tirant sur l’orangé et des taches vertes bien visible. Le regard du docteur était étrange et réellement fascinant. C’était curieux qu’il n’ait pas noté ce détail, mais sans doute avait il été plus impressionné à l’époque par sa moustache. Le docteur lui exposa en bref ce que Josiane lui avait dit en prenant le rendez-vous, mais il voulait avoir plus de détails sur les pratiques sexuelles et plus particulièrement sodomites de Bruno. Il lui demanda depuis combien de temps et combien de fois par mois, ou par semaines, Nathalie l’enculait, quel était la matière des godes, leur forme. Il voulait connaître au moins en estimation leur longueur et leur largeur, même question pour les plugs, il lui demanda la fréquence de ses relations avec des partenaires masculins et comme Bruno lui expliqua que ça ne datait que de dimanche, il lui demanda des détails sur leur nombre, depuis ce jour, la fréquence des rapports et la taille des sexes. Comprenant que le jeune homme partouzait en petit comité depuis maintenant six jours, il lui demanda s’il avait subit des doubles pénétrations et des rapports multiples à la chaîne et jusqu’à combien de personnes. Il aborda ensuite le chapitre de la protection et des MST et se fâcha presque quand Bruno lui avoua qu’ils n’avaient aucun rapport protégé avec leurs amis. Bruno, considérant qu’il n’en était plus à ça prêt dans le déballage de sa vie intime, expliqua au médecin le contexte conjugale de chacun et pourquoi ça leur avait paru sans risque, avant d’évoquer son plaisir à être cocu et l’envie qu’ils avaient que sa femme ait un enfant de l’adultère. Alors, le médecin dit qu’il allait en profiter pour faire un bilan complet. Il demanda à son jeune patient de se déshabiller complètement. Il le mesura, le pesa, prit sa tension, son pouls, vérifia les réflexes et demanda enfin au jeune homme de s’installer sur la table d’auscultation dans la même position que sa mère l’avait fait la veille.
– C’est comme ça que Maman m’a demandé de me mettre hier soir avant de me dire que je devais venir vous voir d’urgence, dit Bruno en s’installant– Votre mère est une très bonne infirmière, vraiment compétente, elle est capable de faire des diagnostiques tellement bon que, généralement, j’ai juste à faire l’ordonnance en fonction de ce qu’elle me dit de ses observations. Tant que je peux, j’envoie mes patients vers elle. Bon ! Il va falloir calmer le jeu mon ami !– C’est grave ?– Ça ne nécessite pas d’hospitalisation, a priori, j’espère simplement qu’il n’y a pas de dégâts intérieurs, sinon, c’est Chambéry, points de sutures et diète totales pendant quelques temps.
Le docteur avait enfilé des gants en latex qu’il avait enduit d’un gel et écartait la rondelle de Bruno pour l’observer sur toutes les coutures. Le jeune homme n’osait évidemment pas dire que ça lui procurait du plaisir et savourait ce bienfait en silence.
– Je vais devoir ouvrir un peu pour voir l’état des parois de votre rectum, lui annonça le docteur... Si vous avez mal, si ça tire ou quoi que ce soit, vous me le dites tout de suite, d’accord.– Ok, répondit simplement Bruno inquiet des conséquences éventuelles de sa boulimie de bites
Le docteur, après avoir prévenu son patient, enfonça, avec beaucoup de précautions et un grand professionnalisme, un spéculum dans l’anus de Bruno qu’il ouvrit graduellement jusqu’à l’écartement minimum pour une auscultation succincte en demandant régulièrement à son patient si ça allait.
– Et là, ça va toujours ? Demanda le docteur pour être certain de pouvoir y voir encore mieux.– Très bien docteur, je n’ai absolument pas mal, Répondit Bruno, en vérité je sens pratiquement rien...– Mais, c’est comment ? Ça vous fait mal, vous ressentez quelque chose de désagréable... ou ça va– Euh... non, ça ne me fait pas mal, vous pouvez ouvrir beaucoup plus, je pense.
Le docteur se fia donc aux lésions qu’ils voyaient pour régler l’ouverture jusqu’à la limite de leur réouverture. Il faut dire que c’était un sujet qu’il maîtrisait très bien. Il savait exactement où s’arrêter si le patient ne disait rien, ce qui était le cas de Bruno. Il écarta l’objet presque à son maximum et s’arrêta de peur que les lésions ne se rouvrent. Normalement, Bruno, même avec l’anesthésiant contenu dans le gel, aurait dû demander grâce avant. François avait rarement imposé un tel écartement à un anus, mais celui-là s’ouvrait avec une facilité qu’il n’avait encore jamais observée. Le rectum était propre et sain et le sphincter interne n’était pas trop endommagé. Les problèmes de Bruno étaient principalement superficiels, exactement comme l’avait décrit Josiane, mais il ferait comme elle lui avait demandé, il lui ferait un peu peur, simplement pour qu’il sache dire non. Il retira le spéculum et caressa le cul qu’il avait sous les yeux. Il en bavait d’envie, il en bandait. Il écarta les fesses et déposa un baiser sur l’anus qu’il venait d’ausculter. Il le lécha un peu, Bruno le laissa faire sans broncher et sans bouger.
– Bien, vous pouvez vous rhabiller. Et je vais vous expliquer différentes choses et vous prescrire ce qu’il vous faut pour être en forme d’ici jeudi. Mais attention ! Aucune sodomie jusque-là ! Vous m’entendez ? Rien ! Pas une bite, pas un gode et surtout pas votre plug. C’est d’accord ?– Je vous le promets docteur, je serai sérieux.– J’espère pour vous. Vous avez un cul magnifique et, sans vouloir vous offenser, il donne vraiment envie de vous enculer.– Merci docteur, j’espère vous retrouver plus en forme jeudi soir, je vois que vous êtes sincère, répondit Bruno en admirant la bosse déformant le pantalon du médecin.
– Oh oui, il me fait envie... Jusqu’à présent, je n’étais pas certain de venir chez Lionel jeudi, mais maintenant c’est sûr.– Pourquoi n’étiez-vous pas sûr de venir ?– Tu veux une réponse franche et précise ?– S’il vous plaît...– Parce que ça manquait de jeune passif au cul bien ouvert comme le tien. Alors compte sur moi pour te donner tout ce qu’il faut pour que tu sois d’attaque jeudi.– Je vous plais vraiment ?– Oh, oui ! Tu me plais et je regrette de devoir attendre jusqu’à jeudi, si, bien sûr, tu es d’accord pour que je te prenne.– J’en serai ravi, vous êtes très beau, je... si je peux faire quelque chose pour... dit Bruno en désignant du regard la protubérance à l’avant du pantalon de François.– J’avoue que je ne serais pas contre une petite pipe ; ce n’est pas contre-indiqué.
Bruno ne répondit que par un hochement de tête. Il était toujours nu. Il s’agenouilla devant le docteur, défit sa ceinture, dégrafa son pantalon, en descendit la braguette et extrait du slip une bite presque aussi épaisse que celle de Luc, mais moins longue, brunâtre et terminée par un gros gland violet dépassant du prépuce. Le sexe de François était glabre, comme le sien, et ses couilles étaient grosses et lourdes. Il regarda le docteur dans les yeux et commença sa fellation comme il en avait l’habitude. François était incrédule ! Ce garçon suçait comme les pros des films de boules. Quand il vit sa bite disparaître entièrement dans la jeune bouche, il n’en revint pas.
– Oh putain ! T’avale tout ça ? Demanda-t-il incrédule. T’as pas de renvoi ?– Rrrl... non, c’est un truc que j’arrive à contrôler, mais je ne sais pas comment en vrai. Expliqua Bruno avant de reprendre son travail.– Oh... putain de salope ! Tu suces vraiment bien ! Oh ouai... J’vais pas te lâcher jeudi, tu vas être une vraie star... Oh putain ! Tu me branles dans ta gorge ! Comment tu fais ça ?!
Bruno ne répondit pas, il était acharné sur la bite de François. Il gérait lui-même sa pénétration dans son gosier. Sa capacité à tenir des apnées assez longues l’aidait dans sa pratique. Comme personne ne l’enculait en même temps, il n’avait pas trop de mal à retenir sa respiration pendant plus d’une minute. Quand il en ressentait le besoin, il ressortait la bite de son œsophage, la léchait sur toute sa longueur jusqu’aux couilles ou en excitait, avec sa langue, le méat urinaire avant de la replonger entièrement au-delà de sa glotte. Au bout de trois ou quatre plongées profondes dans l’étroit goulet, le docteur sentit qu’il allait exploser et se retira de force pour lui éjaculer sur le visage.
– Putain ! On m’avait encore jamais sucé comme ça, dit le docteur impressionné.– C’est parce que j’aime ça, presque autant que la sodo, dit Bruno, mais je préfère qu’on éjacule directement au fond de ma gorge...– Désolé, mais ça j’évite... c’est comme le cul sans capote. Une maladie est trop vite arrivée. Il ne faut pas jouer avec ça, Bruno. Tu ne me connais pas, même si a priori, je suis sain, faut pas jouer à la loterie.
Le docteur appliqua et donna à Bruno une pommade cicatrisante, très efficace, qu’il ne trouverait pas en pharmacie et qu’il avait en échantillon. Il lui prescrit ensuite un laxatif, tout aussi puissant, pour que son anus n’ait pas à faire d’effort, et une autre pommade préventive et curative contre les hémorroïdes à appliquer quotidiennement après sa guérison. Bruno quitta son cabinet vers onze heures et retrouva Nathalie et Luc pour déjeuner en haut des pistes. Ils avaient été rejoints par Jérôme et Mathieu et tout le monde semblait préoccupé par son trou du cul. Il donna donc l’essentiel des détails de sa visite médicale, en évitant seulement d’évoquer la pipe qu’il avait faite au docteur. Il faisait très beau, mais il s’étaient installés à l’intérieur pour être plus tranquilles. Jacques, le patron du restaurant les servit lui-même, c’était un homme de 28 ans aux cheveux bruns, mi-long et qui portait une barbe épaisse. Il s’assit avec eux plusieurs fois, entre Nathalie et Bruno, au prétexte de trinquer avec eux. Son manège ne trompait personne, il flashait sur la jolie blonde qui, comble du bonheur, semblait s’intéresser à lui. Nathalie lui posait des questions sur les détails de sa vie et de son travail durant la saison hivernal, s’il était tout seul, s’il dormait sur place ou s’il montait là dès l’ouverture des remonte-pentes. Jacques expliqua à la jeune femme qu’il restait sur place la plupart du temps, qu’il avait à l’étage un petit studio très confortable et qu’il ne descendait au village que pour de bonnes raisons, pour commander ses approvisionnements ou s’il était invité. Jérôme profita d’un moment où le restaurateur était retourné derrière son comptoir pour aller discuter avec lui. Il lui dévoila sans détour que Nathalie mouillait pour lui et faisait cocu Bruno tous les jours et sans s’en cacher avec Luc, Mathieu et lui, ou tout autre homme présent. Il revint ensuite vers ses amis pour leur répéter ce qu’il avait expliqué à Jacques.
– Sérieusement, t’as vraiment fait ça ? Demanda Nathalie incrédule.– Oui, t’as tellement l’air de vouloir niquer avec lui qu’il m’a semblé juste de lui dire qu’il ne ferait pas vraiment de mal à Bruno. Répondit le blondinet en souriant.– C’est pas si grave, remarqua Bruno philosophe, puisque je suis effectivement cocu et que tu as envie de niquer avec lui depuis l’autre jour...– En plus, t’avais vraiment l’air de vouloir visiter son studio, rajouta Luc avec défiance, je suis sûr que t’es pas chiche d’aller vérifier ce qu’à pu lui dire Jérôme...– Ah oui ! Vous croyez ça ? Répondit Nathalie, vexée par la remarque. Et bien, je vais aller le voir et s’il me propose de me faire visiter son plumard, je veux vous retrouver à cette même table quand je redescendrai ! Et toi, Chéri, t’as pas peur que toute la station sache que je ne suis qu’une salope et toi le roi des cocus ?– Ma Chérie, j’ai compris que t’avais vraiment besoin de bites et que tu ne seras plus jamais une femme fidèle, alors si je ne prends pas plaisir à être cocu pendant que tu me trompes ouvertement, on n’a plus qu’à se quitter, mais je préfère de très loin être cocu et que ça se sache. Je suis cocu, je n’en ai pas honte et ça ne m’empêche pas de t’aimer.– T’es un cocu, un pédé et je t’aime aussi mon Chéri. Moi non plus, je ne veux pas te quitter, et c’est vrai que je ressens le besoin de niquer avec tous les mecs qui me regardent... Est-ce que ça t’ennuierait que je nique avec Jacques maintenant ? Cet après-midi ?– Ma Chérie, fais-moi cocu vraiment, baise avec qui tu veux et quand tu veux. Et, surtout, ne me demande pas l’autorisation, dis moi seulement quand tu l’as fait et avec qui, que ce soit aujourd’hui ou n’importe quel autre jour, que ce soit ici ou à Paris, fais de moi un cocu.– Si c’est ce que tu désires, je te promets de ne pas te décevoir, jamais. Répondit Nathalie à son mari en se levant de table.
Nathalie rejoignit Jacques en bout du comptoir et discuta quelques minutes avec lui. Les quatre hommes à table faisaient mines de ne pas s’en occuper bien que le restaurateur jetait régulièrement un coup d’oeil vers Bruno. Puis, il confia la caisse à l’une des serveuses avant de pousser Nathalie vers une porte sur laquelle était inscrit « Privée ». Chaque marche qui la menait vers l’étage supérieur faisait croître son excitation. Elle allait tromper son mari et c’est ce qu’ils désiraient l’un et l’autre. Le studio de Jacques était en fait un loft qui occupait tout le comble du chalet d’altitude transformé en restaurant, avec un petit coin cuisine, un espace salle de bain totalement ouvert et entre les deux un grand espace qui contenait d’un côté une table et de l’autre un grand lit. À peine la porte refermée, Jacques la prit dans se bras et l’embrassa fougueusement. Les combinaisons de ski et les dessous ne tardèrent pas à joncher le sol et marquait leur déplacement vers le lit à la manière des cailloux du Petit Poucet. Ils s’allongèrent nus ensemble, c’est à peine si leurs bouches s’étaient séparées. Les mains courraient à la découverte de leurs corps ; celles de Jacques ne tardèrent pas à s’occuper simultanément de ses seins et de sa chatte en feu. Un doigt agile et précis excitait déjà son point G dont elle connaissait la position exacte depuis ses jeux saphiques avec Laura. Son amant la besognait avec des gestes précis et, de toute évidence, il savait ce qu’il voulait. Nathalie fondait, sentait sa chatte se liquéfier. Elle avait empoigné la bite de Jacques qu’elle masturbait doucement. Semblable à celle de Bruno ou de Jérôme, elle n’avait pas une taille impressionnante mais elle était excessivement dure et sa forme était particulière. Elle était tordue, arquée et pointait comme une virgule vers le nombril de son propriétaire. Après un bon moment de préliminaires délicieux, Jacques attrapa une capote dans le tiroir de sa table de nuit et c’est impeccablement couvert qu’il l’enfila. L’homme était endurant et son pénis, avec sa forme si étrange, frottait sa zone sensible à chacune de ses longues allées-et-venues. Nathalie jouissait et jouissait encore. Elle ne disait rien, mais tout son corps parlait pour elle et les gémissements qui sortaient de sa bouche étaient le produit direct de ses sensations orgasmiques. Comme Jacques annonçait qu’il allait jouir, elle lui demanda de le faire sur elle. Alors il retira précipitamment sa capote et lui inonda le ventre et la poitrine de cinq ou six giclées de sperme épais qu’elle étala avec soin sur son corps et son visage.
– Tu trompes souvent Bruno avec le premier venu, comme ça ? Demanda Jacques à la belle blonde alanguie– Non... enfin on en est juste au début, pour l’instant, on a fait ça qu’avec nos amis proches et après en avoir parlé pendant longtemps... et la première fois c’était dimanche dernier. Répondit Nathalie pensive.– Mais,... je suis un peu curieux mais vous faites ça pourquoi ? Il assure pas au pieu, c’est ça ? Vous vous aimez plus ?– Non, c’est pas ça, il assure très bien et me fait jouir tout le temps mais j’ai besoin d’avoir d’autres bites que la sienne et il a fini par l’accepter et par le désirer, c’est tout. C’est uniquement sexuel. On a fait un essai avec nos trois copain, ça nous a plu et maintenant je suis libre de baiser avec qui veut.– C’est dingue... Il est pas jaloux ? Tu peux niquer avec qui tu veux y dira rien ? Et lui ? Il va voir ailleurs aussi ?– C’est vrai que t’es bien curieux... Constata Nathalie en souriant. Oui, je veux bien qu’il aille voir ailleurs effectivement mais ça dépend avec qui... Bon, maintenant, je crois qu’il est temps que j’aille les rejoindre sinon mon chéri n’aura pas sa dose de ski et nos copains partent demain matin.
Ils redescendirent dans la grande salle où Nathalie retrouva son mari. Bruno l’embrassa à pleine bouche et lui fit remarqué qu’elle sentait le sperme. Elle lui dit que Jacques l’avait très bien baisé, qu’il avait mis une capote et lui avait éjaculé sur le ventre. Ils skièrent une paire d’heures et rentrèrent au chalet pour faire le ménage et ranger. Laura arriva trop tard pour aider nettoyage de la buanderie mais Bruno, vu l’état de son trou du cul, préférait le faire seul. Mathieu, Jérôme et Luc affichaient une certaine tristesse à l’idée de partir le lendemain.
– Toutes les bonnes choses ont une fin, Dit Jérôme en rangeant l’aspirateur.– Faut bien bosser, Répondit Mathieu, tout le monde ne peut pas être prof à l’université ou en grande école et se payer huit ou dix semaines de congés par ans. Heureusement que je pouvais prendre quatre jours sur mes RTT.– Ouai, moi, je sais pas si j’ai bien fait de déposer mon arrêt pour dépression, j’vais me faire chier toute la semaine, dit Luc qui se voyait replonger.
Cette remarque surprit Nathalie qui écoutait à moitié. Elle alla voir directement Bruno qui mettait les derniers coups de serpillière dans une buanderie étincelante.
– Bruno ? Demanda Nathalie précipitamment. Tu savais que Luc était arrêté pour dépression ?– Oui Chérie, j’avais cru comprendre, en effet, mais je lui ai pas trop posé de questions pourquoi ?– Ben, parce qu’il va se retrouver tout seul la semaine prochaine quand les autres vont aller bosser. J’ai peur que ça le fasse déprimer...– T’as raison, j’avais pas pensé à ça... Remarqua Bruno ennuyé pour son ami.– Tu crois que ça gênerait tes parents s’il restait avec nous ici ? Ça m’ennuie de le savoir tout seul.– Non, ça les gênera pas, c’est sûr, je vais juste les prévenir de cette possibilité et on en parle avec lui après, ok ?
Bruno alla chercher son portable et appela sa mère pour lui expliquer la situation. Elle n’y trouva aucune objection et dit juste à son fils qu’ils n’avaient qu’à garder leur chambre dont le lit permettait de dormir aisément à trois. Nathalie fut ravie de cette réponse et elle en aima encore plus sa belle-mère. Ils appelèrent ensuite Luc pour leur dévoiler leur idée.
– Vous vouliez me voir ? Demanda Luc en arrivant dans la buanderie.– Oui, répondit Bruno, avec Nathalie, on a réalisé que tu bossais pas la semaine prochaine.– Ben non, puisque je suis arrêté pour dépression pendant un mois et ça fait seulement dix jours... Pourquoi ?– Parce qu’on a pensé que tu pourrais rester avec nous, ici la semaine prochaine, répondit la jeune femme.– Tu seras mieux ici que tout seul toute la journée à Paris, Ajouta Bruno sur un ton persuasif.– Mais, y aura tes parents, ta famille,... répondit le géant un peu gêné.– T’occupes pas de ça, lui dit Nathalie rassurante, Bruno a déjà prévenu sa mère, il n’y a pas de problème et ça nous ferait vraiment plaisir.– En plus, pour quelqu’un qu’a eu le privilège de pouvoir traiter ma mère de putain et de salope, tu n’me feras pas croire que tu vas te sentir gêné devant mes parents, ajouta Bruno en souriant franchement.– T’as raison, je... je ne sais pas quoi dire... J’espère que Jérôme et Mathieu ne m’en voudront pas trop de les abandonner lâchement. Dit Luc avec un sourire retrouvé. J’accepte avec grand plaisir.– T’inquiètes pas pour eux, ils s’entendent bien tous les deux. Fit remarquer Nathalie. Je suis certaine qu’ils ne s’ennuieront pas. Tu vas prendre tes affaires et les mettre dans notre chambre, je t’accompagne pour t’aider et faire de la place dans le placard.
Jérôme et Mathieu accueillirent la nouvelle avec plaisir car eux aussi s’inquiétaient pour leur ami et lui firent remarquer, en blaguant, qu’il n’allait pas s’ennuyer. Le soir, Nathalie se donna aux quatre hommes qui la prirent les uns après les autres dans une longue tournante. Elle voulait que sa chatte déborde de leur sperme alors elle ferma sa porte de derrière avec son bijou annal. Ils la prirent tous trois ou quatre fois et même Bruno déchargea en elle pour leur plus grand bonheur à tous les deux.
– Enfin, tu reviens jouir dans ma chatte, remarqua Nathalie après la longue partie de baise.– Oui, ça me manquait, répondit son mari heureux. J’ai dit que je ne participais pas à la conception mais ça, en théorie, c’est déjà fait. Par contre, je tiens à participer aux finitions et je peux te garantir que je vais m’y appliquer avec beaucoup d’assiduité.– J’y compte bien, lui dit sa femme en se pendant à son cou pour l’embrasser.
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