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Le partage de Nath et Bruno

Chapitre 16

Trash
Tout le temps de leur discussion, Josiane masturbait doucement Bruno dont le sexe reprenait son ampleur. Il était temps de passer au quatrième round. Il baisèrent de nouveau pendant plus d’une heure puis sombrèrent enfin dans le sommeil. Ils émergèrent doucement avant les premières lueurs du jour et s’embrassèrent avec passion en se laissant aller l’un et l’autre dans les draps.
— (Toc-toc) Maman ? T’es réveillée ? Demanda Stéphanie à travers la porte— Oui ma Chérie, qu’est-ce-que tu veux? On n’est pas très présentables mais tu peux rentrer, Répondit Josiane à sa fille— Qu’elle odeur ! Oh la vache, hahaha ! Vous verriez vos têtes à tous les deux ! Rit la jeune fille en venant quand même embrasser son frère et sa mère. J’imagine déjà la tête de Papa quand il va vous voir aller à la douche... J’voulais juste te demander si t’avais une combi à me prêter, j’ai oublié la mienne à Grenoble.— Bien sûr, regarde dans le tiroir du milieu de la commode, y en a deux mais je crois que la bleue t’ira mieux.— Merci Maman, je t’adore...— Tout le monde est levé, demanda Bruno à sa sœur.— Non, je suis la première debout, mais tout le monde est réveillé, Papa niquait avec Nath quand je suis passé par la grande chambre pour prendre ma douche et Luc avait pris sa place quand j’en suis sortie. Quand à Ruddy, il voulait flemmarder un peu encore. — Bruno, ta bite est vraiment crado, tu permets que je te la nettoie, toute cette merde m’excite... Répondit la jeune fille en rejoignant son frère et sa mère dans le lit crasseux.— T’aime ça aussi ? Demanda Josiane surprise. Tu n’m’en as jamais rien dit.— J’adore, et Ruddy aussi, mais on fait ça que chez nous, quand on est tous les deux.
Luc avait fini de faire l’amour avec Nathalie et avait besoin de passer urgemment aux toilettes. Nathalie lui dit que sa pratique quotidienne ne risquait pas de choquer Josiane et qu’il pouvait aller retrouver son « petit urinoir préféré ». Le grand brun débarqua donc dans la chambre ou il retrouva Bruno, sa mère et sa sœur en grande activité. Il rentra dans la pièce et n’en ressentit pas de dégoût. Son amant était vraiment dégueulasse et Josiane également. Stéphanie avait bien nettoyé la bite de son frère est emportée dans une sorte de frénésie, elle était passée à la chatte de sa mère. Luc les embrassa tous les trois et grimpa sur le lit pour rejoindre Bruno. Il glissa sa bite dans la bouche du petit brun, mais ne fit pas comme d’habitude. Il poussa pour expulser sur le torse imberbe un étron collant de belle taille sur lequel Josiane se précipita afin de l’étaler sur eux quatre. Luc la laissa faire et apprécia qu’elle vienne en suite lui lécher le cul alors qu’il chiait encore. Quand il eut fini, sa vessie se libéra et Bruno but toute la miction de son amant dont la bite se redressait petit-à-petit. Ruddy s’était levé et en entendant les gémissements de sa femme dans la chambre voisine décida d’y jeter un coup d’œil. Stéphanie était engagée dans un soixante-neuf avec sa mère que Luc semblait enculer pendant que Bruno s’apprêtait à pénétrer sa sœur. Il n’en éprouva pas de jalousie et l’odeur de pisse et de merde qui régnait dans la pièce lui donnèrent envie de participer. Stéphanie s’allongea à côté du couple formé par sa mère et Luc et pendant que Bruno la prenait, Ruddy s’accroupit au dessus de son visage et apporta sa double contribution avec un bel étron qu’elle suça dès sa sortie et un torrent de pisse qui lui arrosa la poitrine et le ventre. Les jeux d’étalement de merde reprirent de plus belle et les cinq corps, serrés sur le lit, semblaient danser un étrange ballet. Nathalie et Arnaud s’étaient levés et la curiosité les amena à venir voir ce qu’il se passait dans cette chambre. Arnaud exprima clairement sa désapprobation pour ce genre de pratiques, mais le spectacle le captivait et il se mit à bander. Nathalie s’étonna de ne pas en éprouver le même sentiment. Elle trouvait beau ce qu’elle voyait et le plaisir que prenaient ces cinq personnes était évident. Elle décida d’aller chercher sa caméra et revint assez vite pour filmer la scène.
— On va bientôt avoir de quoi monter des heures de films de cul sur tous les thèmes, dit Arnaud à sa belle fille entre Ruddy et toi... Ça te dégoûte pas de voir ça ?— J’ai pas l’impression que ça te dégoûte autant que tu le dis, répondit Nathalie, sinon tu te branlerais pas en regardant. Moi j’irai bien leur en rajouter un peu, en essayant de pas me salir.— Regarde l’état du lit, rien qu’en montant dessus, tu pataugeras déjà dans la merde alors sans te salir, ça risque d’être difficile.— Dans ce cas, je vais me salir... Tu veux bien continuer à filmer pour moi ?Si tu veux, donne ta caméra, répondit son beau-père.
Nathalie alla embrasser ceux qu’elle n’avait pas encore vu. Elle le fit au prix d’un effort certain tant les bouches étaient sales, mais ce fut le premier baisé qui fut le plus difficile à faire. Puis elle grimpa au dessus de l’enchevêtrement de corps et après quelques instants de concentration, réussit à chier et à pisser. Elle jouit lorsqu’une bouche avide se colla à son cul pour lui bouffer sa merde, elle jouit encore lorsqu’une main, ignorant sa miction pénétra deux doigts merdeux dans sa chatte crémeuse. Dix mains la parcouraient, cinq bouches l’embrassaient, la suçaient lui tétaient les nichon, son corps se couvrait peu à peu d’une teinture maronnasse. Elle se retrouva subitement empalée sur la bite tendue de Ruddy alors que Bruno jouissait dans le ventre de sa sœur et que Luc inondait de sperme le cul de Josiane. Arnaud s’était rapproché et filmait en gros plan, sa bite était de plus en plus tendue. Lui qui avait toujours critiqué les rapports scatos se trouvait coincé. Il avait envie de baiser le premier cul ou la première chatte disponible, il n’avait qu’une alternative, se masturber ou rejoindre cette mêlée. Il choisit la deuxième solution. Il posa la caméra en marche sur la commode, s’approcha de sa femme et l’embrassa avec passion. Le goût de la merde lui remplit le palais, mais cela ne l’empêcha pas de poursuivre, de fouiller la bouche de Josiane avec sa langue tandis que sa bite pénétrait le con accueillant de son épouse. Des mains sales lui parcouraient le corps et d’autres bouches venaient prendre la sienne. Il vivait une situation délirante. Il sentit un doigt s’insérer dans son cul mais il ne protesta pas.
— Ta le cul plein de merde Papa, lui souffla Stéphanie au creux de son oreille, tu devrais faire caca.— Je... j’ai trop besoin de baiser maintenant, je pourrais pas y arriver. Lui répondit son père— Alors je vais te sortir ta crotte avec mes doigts, tu veux bien ? Proposa sa cochonne de fille.
— Aaah ! Aaaah oui, si tu veux, c’est bon tes doigts dans mon cul, aaah ! Tire sur ma crotte si tu veux pendant que je baise ma grosse truie ! Aaah ! Répondit Arnaud de plus en plus déboussolé.
Les doigts fins et agiles de Stéphanie, s’activaient dans le cul de son père. Ils tournaient autour d’une première crotte, la décollant des parois de son rectum et l’approchant petit-à-petit de la sortie. Leurs mouvements circulaires assouplissaient les sphincters et une merde bien moulée arriva dans les mains de la jeune femme. Arnaud avait cessé ses allers-et-retours pour faciliter cette extraction et se ranima encore plus activement quand il sentit sa fille lui étaler sa prise sur les fesses et le dos avant d’en porter les derniers restes à sa bouche pulpeuse. Elle renouvela l’opération avec une seconde crotte plus profonde et cette fois-ci, elle tendit ses doigts merdeux à sa mère avant de les replonger tout au fond du rectum pour en extraire une troisième boule de caca qu’elle étala sur ses seins avant de donner ses doigts à lécher à son père. Arnaud sembla hésiter, mais il ouvrit la bouche et suça la merde qui couvrait les doigts de sa fille. Cette dernière escalade dans sa corruption scato eut sur lui un effet extraordinaire et il explosa dans le ventre de son épouse. Alors Stéphanie lui posa une main sur les fesses.
— Ne sort pas ! Pisse d’abord, pisse dans sa chatte. Dit Stéphanie à son père.— Tu veux... mais c’est... non, c’est pas possible, on peu pas faire ça. Répondit Arnaud surpris— Mais si Chéri, on peu... Bruno m’a bien pissé dans l’cul hier soir, pisse dans ma chatte, mon amour, rajouta Josiane en embrassant son mari.
Arnaud ne comprenait plus ce qu’il se passait et après un effort terrible de concentration, il pissa dans le ventre de son épouse. Josiane n’en revenait pas, elle sentait son vagin se remplir du chaud liquide et cela la fit jouir à nouveau, la pisse n’était rapidement plus contenue, Arnaud en avait des litres et quand il se retira enfin, il vit le flot s’échapper et se répandre entre les cuisses ouvertes de Josiane. Quand ils se levèrent tous du lit, ils virent à quel point il était sale. Arnaud reprit la caméra et fit un plan général de ce champ de bataille avant de couper l’enregistrement.
— T’es contente ? Tu m’as enfin amener à partager tes plaisirs crados. Demanda Arnaud à sa femme.— Je n’ai rien fait du tout, t’es venu tout seul, répondit Josiane en le prenant dans ses bras. Et en plus tu peux pas dire que ça t’a pas fait jouir.— Non mais regarde toute cette merde ! Le matelas doit être foutu...— Les draps, ça se lave quand au matelas, il est protégé par une alèse étanche alors je pense pas qu’il soit foutu. Ce soir nous retrouverons une chambre propre mon amour.— Oui mais y a l’odeur, on devrait prendre la quatrième chambre, celle ci on n’aura qu’à la réserver pour vos partouzes scato ; j’ai pris du plaisir, certes, mais j’suis pas certain de vouloir recommencer...— Mais tu veux bien consacrer une chambre à ça ? Fit Josiane un peu surprise. Toi qui ne voulais pas en entendre parler, tu m’épates.— Si j’ai bien compris, il y a au moins quatre vrais adeptes de ces pratiques dans cette maison, alors autant que vous ayez un lieu précis pour ça sinon y aura de la merde partout, jusque dans le salon !
Arnaud proposa de faire quelques aménagements rapides pour que le sol et la base des murs soient protégés et sollicita l’aide de Bruno, Ruddy et Luc qui acceptèrent. Pendant que les trois femmes allèrent skier, les quatre hommes se rendirent dans un magasin de bricolage. La chambre étant située juste au dessus de la buanderie, il était possible d’y amener l’eau sanitaire facilement et de la relier au réseau d’évacuation des eaux usées. Ils travaillèrent vite en se répartissant les tâches et le soir, la pièce était métamorphosée. Le sol était couvert d’un revêtement plastique, la commode avait disparue et une douche avait été posée. Les murs étaient également carrelés sur plus d’un mètre de hauteur et le lit avait été remplacé par un ensemble sommier matelas king-size capable d’accueillir aisément quatre personnes dans des conditions normales de confort. Quand ils firent visiter aux femmes ce nouvel espace, les trois femmes n’en revinrent pas et Josiane ne pouvait cacher sa joie et son émotion. Elle prenait ça comme un cadeau personnel que lui faisait son mari qui acceptait enfin qu’elle donne libre cours à ses pulsions scato. Stéphanie et Nathalie admiraient les proportions du lit qui en faisait le meilleur lit à partouze du chalet. Nathalie fit remarquer à sa belle-sœur qu’ils pourraient s’y retrouver tous les cinq ensembles même pour une nuit complète.
— Faut que Luc et toi vous soyez prêts à dormir dans la merde et la pisse, Fit remarquer Stéphanie à sa belle-sœur.— Mm, c’est vrai, fit Nathalie en tordant du nez, on va peut-être pratiquer un peu avant, vous en pensez quoi mes chéris ? Demanda-t-elle à Luc et Bruno.— Moi, je suis largement prêt à ça, tu t’en doutes, surtout si c’est pour être en votre compagnie à tous les quatre. Et toi Luc, t’en pense quoi ?— Ben, pour l’instant, je découvre et ça m’excite, mais passer une nuit entière dans la pisse et la merde, je sais pas trop, pas ce soir en tout cas. Mais au rythme ou vont les choses, je serais peut-être d’accord d’ici samedi prochain... Tout espoir n’est pas perdu, hahaha ! Répondit Luc gaiement.— Moi je me pose une petite question ? Fit Josiane, c’est un lit neuf avec des draps et une couette adaptée, combien avez vous pris de parures de rechange.— Euh... il n’y a que ceux là, répondit Arnaud, c’est vrai qu’on a pas été très malins sur le coup...— C’est pas grave chéri, ça suffira pour la semaine, répondit Josiane, d’ailleurs, je propose que cette pièce ne soit pas nettoyée avant dimanche. Je m’en chargerai après votre départ.
Josiane sollicita l’aide de ses belles-filles pour préparer le dîner en disant que leurs compagnons avaient bien mérités quelques instants de repos. Quand elles eurent fini, les hommes s’étaient douchés et avaient préparés l’apéritif. Bruno et Ruddy avaient récupérés l’ensemble des films tournés par Nathalie et le grand noir. Avec l’aide et les avis de Luc et d’Arnaud, ils faisaient des montages sur l’ordinateur du salon. Cette activité avait éveillé leurs sexes qui se sentaient à l’étroit dans leurs pantalons. Arnaud caressait le dos de son fils qui lui rappela gentiment que son cul était toujours convalescent.
— Qu’est-ce-que vous faites tous les quatre, demanda Nathalie, en les voyant si occupés, vous n’regardez pas des sites de cul, quand même !— Pas exactement, non, expliqua Luc. Ruddy et Bruno sont en train de faire des montages à partir de tous les films des baises familiales dont on dispose, y compris ceux de la semaine dernière et de Noël avec Lionel et Laura.— Je vois, dit Stépanie faussement en colère, vous allez encore être excités et on va devoir vous vider les couilles en vitesse si on n’veut pas manger froid.— À moins qu’il viennent à table avec leur érection, fit remarquer Josiane, ça leur apprendra à s’exciter dans leur coin.— Perso, ça ne me déplairait pas, mais uniquement s’ils sont à poil, comme ça on pourra en plus les tripoter pendant le repas— Si y a que ça pour vous faire plaisir, dit Ruddy, je peux me foutre à poil maintenant.
Les quatre hommes se retrouvèrent donc dans le costume d’Adam pendant que leurs femmes restaient habillées. Ils prirent l’apéritif et passèrent à table assez vite. Finalement, les discussions du repas tournèrent toute plus ou moins autour du sexe et ils étaient un peu au supplice. Les femmes voulaient voir le résultat du montage et après le dîner, ils projetèrent ce qu’ils avaient produit. Le film n’était qu’une succession de scène de baises dans lesquelles Bruno tenait presque la vedette, la première scène le montrant entouré de leurs amis et de Lionel qui l’enculaient et se faisaient sucer à tour de rôle avant de se faire prendre par Laura et Nathalie. Ruddy regretta que le cul de son beau-frère ne soit plus opérationnel et Josiane émit le souhait de regarder comment se passait sa guérison. Bruno fut placé, au milieu de tous, sur la table basse et positionné comme il se doit pour une auscultation de son trou du cul. Josiane officia avec des gants en latex enduit d’un gel spécial et finit en lui enduisant copieusement l’anus de pommade.
— Tu dois revoir François avant jeudi ? Demanda-t-elle à son fils. J’ai l’impression que son traitement est très efficace.— Je dois le voir demain soir, indiqua Bruno, et il m’a aussi donné un rendez-vous mercredi soir.— Bien, je ne veux rien dire, c’est lui qui jugera, mais je pense que ton calvaire ne durera peut-être pas.
La vision de Bruno exposant son trou du cul avec ses parties de baises débridées en arrière plan ne firent qu’attiser l’excitation de tous. Quand il se releva, Luc lui donna sa bite à sucer en même temps qu’il embrassait Nathalie. Arnaud s’occupait de sa femme qu’il léchait et Ruddy et Stéphanie occupaient l’espace du canapé dans un soixante-neuf agité. Luc s’allongea ensuite sur le tapis et Nathalie le chevaucha. Elle lui présentait son dos et à la grande surprise de ses amants, elle appuya la grosse bite de Luc sur son anus. Bruno vint à son aide en lui léchant la rosette et en ré-humidifiant l’énorme pinne. Nathalie renouvela l’opération en s’écartant largement les fesses et la colonne de chair disparu peu-à-peu. Quand elle fut bien en elle, Bruno présenta sa bite tendue à l’entrée de sa chatte et les deux hommes bougèrent en cadence. C’était un véritable concert de gémissements qui se déroulait dans le salon où les bruits des accouplements présents répondaient au son des images diffusées sur le grand écran. Ce soir là, Nathalie, Luc et Bruno ne voulaient pas plus séparer leur trio que les autres ne souhaitaient séparer leurs couples et c’est rapidement que les uns et les autres regagnèrent leur chambre pour faire l’amour avec plus d’intimité. Le lendemain fut une journée très agréable pour tous car ils purent skier ensemble. Luc était surpris du niveau de ski de Ruddy, mais Bruno lui rappela que le « Jamaïcain » était né et avait grandit en Suisse. En milieu de matinée, Nathalie leur faussa compagnie pour aller « prendre quelque chose de chaud » au bar-restaurant de Jacques où elle leur proposa de la retrouver pour le déjeuner. Quand elle arriva, il n’y avait personne en terrasse et Jacques se trouvait derrière son comptoir à discuter avec deux copains à lui. Il leur parlait justement de Nathalie et de son chaud tempérament. Elle ne mit pas longtemps à faire savoir ce qui l’amenait et les trois hommes l’emmenèrent dans le studio à l’étage. Ils la sautèrent sans interruption pendant plus d’une heure et demie puis, comme l’heure du déjeuner approchait, Jacques laissa Nathalie aux mains de ses deux amis qui la besognèrent ensemble une dernière fois en lui plantant leurs deux bites dans sa petite chatte. Quand elle redescendit, la « famille » était déjà là, attablée dans la grande sale. Elle s’assit à côté de Bruno qu’elle embrassa amoureusement.
— Oulala, fit Nathalie, je pensais ne trouver que Jacques, mais il était avec deux copains à lui. Si tu savais mon cocu, ils m’ont sautée pendant deux heures...— Et c’était bon ? Lui demanda son mari d’un ton joyeux. Trois bites pour toi toute seule, t’as dû te régaler, j’imagine.— Tu m’étonnes c’était super, ils ont fini avec une double vaginale, l’apothéose ! Et vous ? C’était cool ?— Sans doute beaucoup moins chaud, dit Ruddy en souriant, encore que, Bruno et Steph m’ont emmené sur une descente hors piste vertigineuse, un truc de dingue...— Oh bien ça c’est le mot juste, vous êtes complètement malades tous les trois ! Dit Josiane en colère. Heureusement que la neige n’est pas trop instable, vous auriez déclenché une avalanche !— C’est un peu vrai, reconnut Stéphanie, en fait, c’était vraiment chaud, mais bon, on n’a pas eut de problème, alors touts va bien, non ?
Le débat du repas était lancé et chacun campa sur ses positions. L’après midi, Nathalie se fit un peu chambrée car, d’après les autres, elle avait les jambes un peu moles et trouva le moyen de se faire draguer ouvertement par homme d’une quarantaine d’années qui réussit à monter à côté d’elle sur un télésiège. Il était en vacances avec ses enfants et skiait seul quand ceux ci étaient à l’école de ski. Arrivée en haut, elle fit un petit signe à Bruno qui l’attendait pour rejoindre leur groupe et suivit cet homme sur une autre piste. Il la conduisit jusqu’à son appartement et ils firent l’amour assez vite ; ils avaient à peine plus d’une heure avant qu’il récupèrent ses gamins. En sortant de chez lui, elle appela Bruno pour savoir où ils étaient et alla les retrouver. Josiane était très intriguée par les adultères de sa belle-fille mais elle attendit qu’ils soient rentrés au chalet pour aborder le sujet avec elle alors qu’elles étaient toutes les deux dans la buanderie pour étendre des draps et plier quelques vêtements propres
— Dis donc Nathalie, c’est quoi ces petites escapades ? Demanda Josiane inquisitrice. On part pour une journée de ski en famille et tu nous plantes pour niquer avec le premier venu.— Et bien quoi ? Répondit Nathalie surprise, on partouze en famille, tout le monde baise avec tout le monde ou presque ; tu vas pas me dire que ça te choque.— Si ça me choque, c’est pas de la partouze, tu le trompes ! Tu fais ça aussi à Paris, dans ton boulot ou ailleurs ?— Pas encore, mais ça va se faire. Répondit Nathalie sur un ton apaisant. On vous a expliqué, Bruno veut être cocu, j’ai plus envie de me retenir et, comme tu dis, nos partouzes c’est pas « tromper ». Alors je peux bien dire « oui » au premier mec qui se présente. En vrai, aujourd’hui, c’était la première fois.— Comment ça la première fois ?— Et bien, oui, les deux potes de Jacques et le gars que j’ai rencontré sur le télésiège, c’étaient des mecs que Bruno n’connaît pas et que j’connaissais pas avant de niquer avec eux.— Et Jacques, t’avais déjà couché avec lui non ?— Jacques, c’est Bruno qui me l’a présenté et qui m’a poussé dans son lit avec l’aide de nos copains alors, pour moi, ça compte pas vraiment.— Ah Chérie, j’te cherchais, Dit Bruno en rentrant dans la pièce. Qu’est-ce-que vous faites ici toutes les deux ?— On s’occupe du linge en discutant, ça n’se voit pas ? Répondit Josiane secrète.— Oh... Fit simplement Bruno— Ta mère s’inquiète pour tes cornes, expliqua Nathalie. Elle a peur que t’ais du mal à les porter je crois.— Oh, Maman, faut pas te faire du souci pour ça, dit Bruno rassurant, elles poussent à peine et j’espère que j’aurai la plus belle ramure du monde. Bon je file je vais être en retard.— Tu vas où ? S’inquiéta Nathalie.— Montrer mon cul au toubib, répondit Bruno en souriant.
Il embrassa sa femme amoureusement et fila à son rendez-vous. François l’avait casé en dernier pour avoir le temps de bien ausculter son jeune patient.
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