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Le partage de Nath et Bruno

Chapitre 19

Orgie / Partouze
AVERTISSEMENT
Le chapitre 19 commence avec la vente aux enchères de Bruno, Laura, Stéphanie et Nathalie. Pour que les choses soient claires pour tous les lecteurs, je tiens à préciser que cette scène de pure fiction ne doit pas être assimilée à de la prostitution. Josiane, Laura, Louise, Stéphanie, Nathalie et Bruno, les six « salopes » de la soirée, sont fières de participer de cette manière à cette soirée de charité un peu spéciale. C’est une action bénévole (elles n’en tirent aucun bénéfice). Par contre, elles espèrent toutes paraître suffisamment excitantes pour qu’un « chaperon » les achète le plus cher possible. C’est leur première inquiétude.
En ce qui les concerne, si elles se prêtent au jeu le temps d’une soirée, c’est uniquement par goût du sexe et par défit du nombre. C’est une bonne occasion pour se prendre plein de bites et de se faire sauter par tous les trous. Ce sont des « salopes » qui vont se donner à fond dans un immense gang-bang. Seuls Nathalie et Bruno sont des novices ; Josiane, Laura, Louise et Stéphanie sont des habituées qui participent tous les ans à ce marathon du sexe.
Vous noterez d’ailleurs que ni le terme d’« esclaves » ni celui de « putains » ne sont utilisés pour les désigner. Cela signifie bien que ni dans l’esprit des organisateurs ni dans celui de l’auteur il ne s’agit de « putains » ; que l’on ne s’y trompe pas.

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Pour son filleul, Lionel fixa exceptionnellement la mise à prix à 1 000 euros. Le docteur attendit un peu avant de participer aux enchères qui montaient, tranquillement, par tranches de 500 euros. On en était rendu à 4500 et Lionel adjugea une fois, mais avant qu’il dise « deux fois », François avait annoncé 5000 euros. Il fut rapidement contré à 5200 par Julien, un de ses amis avocat qui lui aussi s’était abstenu d’enchérir avant pour ne pas montrer trop vite son intérêt pour le garçon. Léon, l’industriel qui avait annoncé 4500, renchérit à 5600 et François à 6000. Ils montèrent tous les trois ainsi jusqu’à 7000 euros. Julien abandonna les enchères alors que Léon surenchérit de 100 euros. Le docteur n’en resta bien évidemment pas là et monta directement à 8000 euros ; Bruno ne méritait pas un marchandage minable. Jamais une salope n’avait été vendue aussi cher, on était rendu à plus du double du prix moyen. C’est ce qui fit lâcher Léon qui avait largement atteint la limite de ce qu’il avait prévu de dépenser. En plus, il connaissait suffisamment bien François pour imaginer qu’il avait un budget supérieur à cette somme colossale.Ce fut ensuite le tour de Laura, qui fut achetée pour 3 800 euros, et de Stéphanie qui partit à 4 100. Le compteur des dons affichait déjà 22 500 euros et il restait encore à vendre Nathalie.
La pauvre avait peur d’être vendue au prix le plus bas, elle se disait que plus personne n’avait d’argent après les ventes des autres salopes, mais elle ignorait que certains s’étaient abstenus jusque là pour la remporter elle. Lionel fixa la mise à prix à 500 euros comme pour les autres femmes, Luc proposa 1 000 et les enchères lui échappèrent. Un député offrit instantanément 2000 euros et un juriste surenchérit à 3000, un médecin annonça 4000 et le député en offrit 500 de mieux. Le juriste ne lâcha pas l’affaire et mena ensuite les enchères jusqu’à faire lâcher ses deux concurrents à 6000 euros. C’était un homme de taille moyenne d’une cinquantaine d’année avec des cheveux bruns et un bouc grisonnant qui s’appelait Bertrand. Il passa le collier au cou de Nathalie et la mena directement vers ceux qui visiblement l’attendaient.
Lionel était aux anges, la soirée avait déjà rapporté plus de 30000 euros avec ce que Marcel avait déjà donné pour avoir le droit de filmer. Il rappela que les préservatifs étaient en vente au vestiaire et invita ceux qui ne l’avaient pas encore fait à s’y rendre pour pouvoir profiter pleinement des six salopes à baiser. Voyant que Luc n’était pas trop à l’aise, sans doute déçu de ne pas avoir eu les moyens de suivre les enchères, il lui demanda s’il voulait bien venir lui donner un coup de main. Il fallait quelqu’un pour seconder Geneviève au rangement des vêtements et à la vente des capotes. Luc accepta et Lionel profita de ce moment de travail pour discuter avec lui.
— T’es déçu de pas avoir pu acheter Nathalie, c’est ça ? Demanda sans détour Lionel.— Oui, je sais pas, j’aurai voulu veiller sur elle, là elle est la chienne d’un gars qu’on connaît pas... Répondit Luc visiblement peiné, j’avais espéré que les gens n’aient plus assez de sous pour monter aussi haut.— Tous ces hommes sont blindés de tunes ; sans le budget adéquat, tu ne peux pas acheter. Mais tu n’as pas de souci à te faire pour elle, je connais bien Bertrand et je peux te garantir qu’il fera bien son travail de chaperon. Tu sais, aucun de nous ne cherche à acheter sa femme ou sa copine, et c’est beaucoup mieux comme ça.— Mmm... Pourquoi ?— Parce qu’on pourrait parfois mêler trop d’affectif dans la tâche délicate qui incombe au chaperon. Leur rôle est de faire baiser leur salope par tous ceux qui veulent, sans restriction. Ils n’ont pas le temps de faire quoi que ce soit d’autre que de veiller à ce que ça se passe bien.— Tu veux dire que ce gars ne va pas sauter Nathalie ? Demanda Luc intrigué.— Si, bien sûr qu’il le fera, mais pas maintenant. Il doit attendre que tous les autres soient partis, expliqua Lionel.
— Parce que ça ne dure pas toute la nuit ?— Non, la soirée s’arrête officiellement à deux heures du matin, mais certains partent avant minuit et, généralement le plus gros des effectifs s’en va vers une heure du matin, après s’être copieusement vidé les couilles, crois moi.— Si tôt, j’avais cru comprendre que ça durait jusqu’au matin et que tous ces gens seraient gavés de pilules comme celles que tu nous avais données. Répondit Luc étonné.— Non, personne ne prend de pilule, on se les garde pour après. À deux heures, on invite ceux qui restent encore à s’en aller, les salopes soufflent un peu et on reste entre nous. C’est à dire les salopes, leurs chaperons, leurs conjoints ou compagnons, Marcel et ses hardeurs, et tous les membres de l’asso qui travaillent en coulisse comme Geneviève, Ruddy, Jacques et moi.— Oh, y a la soirée et son after si je comprends bien... fit Luc, je sais pas si ça doit me rassurer mais c’est vrai que je préfère les petits comités à ce gang-bang gigantesque. Si vous avez besoin, je veux bien rester avec vous pour aider.— Écoute garçon, c’est avec plaisir que j’accepte, mais je t’encourage à d’abord aller faire un tour dans la salle et à baiser Nath et Bruno dans ce genre d’ambiance, tu verras c’est pas désagréable. Fous toi à poil, prends ces deux capotes et va faire un tour. Tu reviendras me remplacer ici après, pour que je puisse me taper Laura.
Luc hésita un peu, mais Lionel insista et il prit les deux capotes qu’il lui tendait et s’engagea dans la salle à la recherche de Nathalie. L’atmosphère avait changé depuis la vente, tous les hommes étaient à poil, regroupés en paquets serrés autours des salopes et ça commençait à sentir la baise, le sperme et la testostérone. Après avoir baisé une salope, les hommes allaient en voir une autre et beaucoup d’entre eux passaient par le buffet manger un morceau et prendre un verre.
Luc remarqua que certains donnaient un ticket qui leur donnait droit à un petit verre d’une boisson verdâtre qu’ils buvaient très vite avant de retourner dans la mêlée. Comme il passait à côté du buffet, il en profita pour manger également en regardant les images qui défilaient à l’écran. On y voyait Laura qui se faisait fister la chatte avec une bite plantée dans le cul. Luc repéra les caméras et sut tout de suite où la femme de Lionel se trouvait. Un des cameramen se déplaça vers un autre groupe assez nombreux et là, il vit apparaître Bruno qui subissait une double pénétration anale en suçant une bite ; ces images le firent bander et il se dit que, s’il ne trouvait pas Nathalie, il commencerait par aller voir son amant de plus près.
— Dis moi, Jacques, demanda Luc alors qu’un homme signait le registre, c’est quoi cette boisson verte que tu leur sers ?— Oh c’est un aphrodisiaque léger que nous avons inventé François, Lionel et moi. Il permet de rebander dans le quart d’heure, mais ne transforme pas les mecs en bêtes de sexe. On leur vend ça 5 euros le shooter et ça les tient une petite heure, pas plus.— C’est quand même efficace alors...— Bien sûr, les participants aux soirées de charité qu’on organise sont des gens riches et puissants, ils veulent bien payer cher pour ce genre de chose mais faut que ca marche. J’te propose pas d’essayer maintenant, vu comme tu bandes, c’est pas la peine, Hahaha !— T’as raison, c’est de voir Bruno comme ca qui m’a excité, mais je voulais trouver Nath d’abord, tu sais pas où elle est par hasard ? Demanda Luc au restaurateur.— Si, bien sûr, elle est le centre d’attraction principal du gros groupe sur la gauche devant la scène. En tant que bénévole de la soirée, faut que tu saches que t’es prioritaire, ca t’évitera d’avoir à jouer des coudes.— Merci pour l’info, répondit Luc que cette nouvelle rassura.— Tu vas directement voir le chaperon, c’est lui qui organise la baise et gère le passage en cas de conflit. Précisa Jacques avant que Luc ne quitte le buffet.
Une dizaine de personnes entouraient Nathalie qui se faisait prendre en double vaginale. Elle gémissait comme une folle et son corps, son visage et surtout ses cheveux étaient déjà pleins de sperme. Ses baiseurs se retirèrent avant d’éjaculer et finirent en se branlant sur elle. Luc se dit que si tous faisaient ça, elle allait être franchement gluante avant la fin de la soirée. Il resta à regarder un petit moment, Nathalie avait été mise à quatre pattes, un homme la prenait en levrette tandis qu’un autre lui présentait sa bite à sucer et que Bertrand lui tartinait le cul avec du gel. Sans que la position ne change, celui qui lui baisait la chatte changea de trou et l’encula. Celui qu’elle suçait largua son foutre sur son visage et ses cheveux alors que l’autre lui envoya sa sauce sur le dos. Luc se couvrit d’une capote et vit qu’elle était différente de celle des autres. La sienne brillait dans la pénombre de la pièce, elle était phosphorescente. Quand il l’aperçut équipé ainsi, le chaperon lui fit signer de venir et Luc se fit chevaucher par Nathalie qui était visiblement heureuse de le voir. Dans cette position, le cul de Nathalie restait offert aux baiseurs et une première bite l’investit. Luc ne bougeait pas, il prenait plaisir à la sentir se faire enculer. Il avait pris ses seins à pleine main, les excitaient, il avait sous le nez le cul du mec qu’elle suçait et ne la voyait plus. Quand le gars éjacula à sa figure des gouttes de spermes tombèrent sur lui. Une nouvelle bite venait d’investir le cul de Nathalie et Luc décida de se faire plus actif. Nathalie était ramonée des deux côtés et jouissait comme une dingue. Le gars qui lui pilonnait le cul éjacula en premier et Luc se dégagea pour arroser la poitrine de sa chérie avant de l’embrasser.
— T’as vu Bruno ? Lui demanda-t-elle en même temps.— Uniquement en action à l’écran, mais j’y vais maintenant, répondit Luc. Baise bien, ma chérie, on se revoit plus tard.
La conversation n’alla pas plus loin car une bite bien raide se présentait à la bouche de Nathalie qui en bonne salope la suça aussitôt en faisant un petit salut de la main à Luc. Il se dirigea vers le groupe important qui entourait Bruno et se dit que ses chéris devaient occuper à eux deux près de la moitié des hommes de la soirée. Son chéri était, comme Nathalie, couvert de sperme et ceux qui l’enculaient ou qu’il suçait lui éjaculaient systématiquement dessus. Bruno avait deux bites dans le cul et se faisait baiser la bouche par John, le hardeur de Marcel, qui avait voulu tester de lui même la profondeur de sa gorge. Le sol autours de lui était parsemé de capotes usagées et Luc se dit que Bruno avait déjà battu des records. Il était à moitié allongé sur Léon, dans une position sans doute pas très confortable, mais qu’il semblait supporter. John se retira du gosier et après quelques mouvements de poignets rapides, il expulsa un foutre épais et abondant au visage du petit brun, puis se fut le tour de celui qui l’enculait de face. Le gars sortit sa bite du cul encore occupé par Léon et après avoir ôté sa capote, il éjacula sur la bite en cage de Bruno. Luc avait enfilé sa deuxième capote phosphorescente et il approcha sa pinne tendue vers le trou du cul de son compagnon. Tout le monde regardait en se disant que le monstre ne pourrait pas pénétrer dans cet anus déjà occupé. Luc se rappelant des conseils de François qui surveillait, vérifia que l’anneau était assez souple. Il appuya son gland contre la rosette, le long de la bite de Léon, il en avait convenablement lubrifié l’extrémité, il pesa contre l’anneau qui s’ouvrit et dans la stupeur générale, son chibre monstrueux pénétra jusqu’au bout. La scène avait été retransmise sur l’écran et le nombre des curieux augmenta sérieusement. Luc prit son temps avant de bouger, ses mouvements étaient lents et Bruno et lui s’embrassaient avec passion. Tout le monde put admirer l’endurance du géant, Léon ne bougeait pas, la bite de Luc comprimait la sienne et le branlait dans l’anus de Bruno qui gémissait de plaisir. L’industriel ne pouvait plus tenir. Il éjacula dans sa capote mais sa bite ramollie restait coincée. Luc continua son œuvre dans le cul de Bruno d’autant plus facilement qu’il avait plus de place et bientôt il se dégagea et inonda la poitrine de Bruno de son sperme chaud. Léon pouvait enfin se dégager, il retira sa capote et en déversa le contenu sur le ventre de la jolie salope.
Luc repartit vers le vestiaire pour remplacer Lionel à la vente des capotes. Chaque participant avait un bracelet numéroté munis d’une petite poche assez grande pour contenir cinq capotes. Ce numéro, qui permettait d’enregistrer les dépenses, était celui du vestiaire du participant. Avant les douze coups de minuits, la partouze continuait sur sa lancée, mais quelques hommes quittaient déjà la soirée.
— Vous nous quittez déjà ? demanda Luc poliment en remettant ses effets à un homme de cinquante ans légèrement bedonnant.— Oui, je suis attendu dans une soirée certainement plus sage et plus ennuyante, répondit l’homme en souriant, et je n’ai plus vingt ans, j’ai déjà niqué toute ces belles salope au moins une fois, sauf les petits nouveaux que j’ai pris deux fois.— T’as niqué avec un garçon ? Fit Geneviève surprise, c’est une première.— T’as raison, Geneviève, mais le gamin suce tellement bien que j’ai eu envie de l’enculer, après, c’est le genre de gars à te rendre pédé. Il est vraiment incroyable ! je n’ai jamais vu ca ! Répondit le quinquagénaire avant d’ajouter à l’attention de Luc, vous ne devez pas vous ennuyer dans votre trio, je vous félicite, jeune homme.— Non, c’est vrai qu’on ne s’ennuie pas tous les trois. Répondit Luc heureux, merci.
Luc se demanda si tous les hommes présents étaient déjà passés une fois sur chaque salope comme l’avait fait celui à qui il venait de parler. Mais la réponse lui parut évidente, la vente s’était terminée à 20 heures et il était presque minuit, ça faisait quatre heures que les cinq filles et Bruno se faisaient ramoner dans tous les sens. Luc se demanda si ses chéris allaient tenir le rythme et être encore opérationnels après. Il fit part de cette inquiétude à Geneviève qui lui expliqua que le rôle du chaperon était aussi de soustraire la salope à l’appétit et à la convoitise des hommes s’il sentait que ses limites étaient atteintes afin de la réserver aussi pour la seconde partie de la soirée.
Minuit arriva et les six salopes furent rassemblées en cercle. Geneviève conseilla à Luc de prendre au moins six capotes et d’aller voir. Les six salopes étaient épaules contre épaules, à quatre pattes, et suffisamment proches pour pouvoir toutes s’embrasser en exposant leur cul à tous les hommes encore présents. Les partouzeurs défilaient derrière elles pour leur lécher à toutes le cul ou la moule en leur souhaitant la bonne année et allaient ensuite se mettre dans une autre file. Quand tous eurent embrassé ou léché les six cul, la deuxième file se mit en mouvement et chaque homme faisait quelques aller et retours dans l’une avant de passer à l’autre. Ils défilèrent tous cinq ou six fois pour baiser les six salopes. La ronde dura près d’une demi-heure ; ensuite, Nathalie et Bruno furent mis à genoux côte à côte et tous les hommes vinrent se branler au dessus d’eux. Le bukkake avait annoncé la fin de la soirée et les départs se faisaient plus nombreux mais les derniers participants, sans doute grâce au cocktail aphrodisiaque de Jacques, montraient encore une bonne activité et une belle endurance. Luc avait rejoint son poste au vestiaire alors que ses amants subissaient leurs derniers assauts. Nathalie et Bruno avaient été laissés côte à côte et chacun pouvait admirer l’autre en train de se faire prendre comme un vulgaire vide couilles, admirer son corps souillé, ruisselant de foutre ou l’embrasser. Vers deux heure moins quart, les chaperons annoncèrent que leurs salopes n’étaient plus disponibles et les quelques hommes restants n’insistèrent pas et prirent le chemin des douches et du vestiaire.
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