Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 103 J'aime
  • 4 Commentaires

J'ai participé à l'amour est dans le pré

Chapitre 1

Divers
J’ai participé à l’émission « L’amour est dans le pré » mais, même si vous regardez cette émission, vous ne m’y verrez pas. Il paraît que les séquences ne sont pas diffusables à des heures de grande écoute. En fait, elles ne sont pas diffusables sur des chaînes « normales ». Il y a des moments où l’équipe technique a même oublié de filmer. Donc, j’ai participé à cette émission mais vous ne m’y verrez malheureusement pas et, pourtant, quelque chose me dit qu’une fois que je vous aurai raconté cette aventure, vous allez le regretter.    Pour moi, l’aventure a été très positive. Je me suis bien amusée et les propositions de travail sont tellement nombreuses que je n’ai que l’embarras du choix. Et puis…. j’ai trouvé l’amours (non, le « s » n’est pas une faute d’orthographe). Mais peut-être que je devrais commencer par une petite présentation.    Mon prénom est Hélène, j’ai 22 ans, je mesure un mètre cinquante-quatre pour quatre-vingt-dix kilos et… Non ! Je blague ! Les filles avec de l’humour, ce n’est pas qu’une légende ! Et puis, je suis sûre que, même si c’était vrai, mon histoire vous exciterait quand même. Je reprends donc !    Je m’appelle bien Hélène, j’ai bien 22 ans, mais je mesure un mètre soixante-quinze pour soixante-huit kilos. Je suis une fausse rousse aux yeux verts et aux seins 100D naturels, très gros pour mon âge et ma corpulence (mais c’est de famille, ma maman porte un très joli 115F). On me dit très jolie. J’ai aussi des petites tâches de rousseur sous les yeux et sur le haut des joues, un peu comme Marlène Jobert.    J’ai été élevée dans une famille de hippies pour qui la nudité, la liberté sexuelle et l’absence de toute règle étaient les trois piliers fondateurs. Si ces valeurs sont ancrées en moi, niveau centres d’intérêts, je suis plutôt une geekette qui aime le sport et, pour le style, je suis plutôt du genre très sexy, voire provocante. Pour le travail, j’ai arrêté mes études assez tôt et j’enchaîne les jobs intérimaires de toutes natures : ramassage des fruits, secrétariat, serveuse… Au fil des propositions.    Les présentations étant faites, passons au récit de cette aventure qui a changé ma vie. Tout a commencé par un très gros hasard, lors d’une soirée entre copines. La télé diffusait l’émission « L’amour est dans le pré » avec une présentation des candidats. Je ne connaissais l’émission que de nom car nous n’avons pas la télé à la maison (et oui, je vis encore chez mes parents). Nous regardions donc en buvant des verres et en nous moquant des candidats.    Les filles se moquaient de moi car j’avais avoué que Karine, la présentatrice, me faisait « grave mouiller ». La soirée était débridée et fortement alcoolisée. Quand le candidat suivant apparut à l’écran : Georges, quarante-cinq ans, brun, environ un mètre quatre-vingts pour quatre-vingts kilos et des yeux bleus tellement beaux que, si j’avais porté une culotte, elle aurait été bonne à être essorée. Il était beau, musclé et…. Puceau. Le pauvre chéri ne s’était jamais remis d’une déception amoureuse quand il avait 20 ans et était trop timide pour sortir, draguer ou répondre aux nombreuses avances qu’on lui avait faites.    Il vivait encore chez ses parents, dans la ferme familiale. C’était un producteur de céréales, qui avait quelques animaux, des plantations d’arbres fruitiers et aussi un peu de vignes. Il était beau, craquant et avait toute son éducation sexuelle à faire… J’en bavais d’envie et je n’étais pas la seule car le silence s’était fait dans l’appartement et toutes mes copines bavaient sur lui elles aussi. Je ne sais pas qui a émis en premier l’idée de répondre à son annonce. C’est parti comme une blague mais, bientôt, tous les regards se sont tournés vers moi. Ben oui ! J’étais la seule célibataire du groupe.    Quand je m’en suis rendue compte, j’ai eu un rire stupide et gêné. Oui, gêné, moi, la fille sans gêne ! Il a fallu une bonne heure de plus et de nombreux verres de vodka pour que je rende les armes et que j’accepte de faire ma candidature. Puis, comme d’habitude, la soirée a dégénéré dans une partouze entre filles, mais ceci est une autre histoire.    Le lendemain, le réveil a été difficile ! Heureusement que je ne travaillais pas. Je comptais flemmarder dans mon lit jusqu’à midi minimum mais c’était sans compter Émilie, une des copines de la soirée de la veille, qui est entrée comme une tornade dans ma chambre, retirant la couette de mon corps nu et ouvrant en grand les volets pour faire entrer le soleil et l’air frais dans ma chambre.    - Allez, ma belle ! Il est onze heures ! Il est temps de se lever ! Je viens t’aider pour ta candidature. N’oublie pas que t’es engagée devant toutes les copines à la faire !    J’ai bien tenté un « quelle candidature ? » pour essayer de m’y soustraire mais ça n’a pas fonctionné. Et, après un langoureux baiser, la jolie brune m’a forcé à me lever et m’a poussé jusqu’à ma douche. J’y suis restée de longues minutes, essayant d’enlever les brumes qui enserraient mon esprit. Ma jolie copine en profita pour se mettre à l’aise en retirant sa robe sous laquelle elle ne portait rien. Comme je vous l’ai dit, chez moi le naturisme était une habitude et, bien qu’il n’y ait aucune obligation, la plupart de mes amies adoptent ce mode de vie quand elles viennent chez moi.    Je suis enfin sortie de la salle de bain et je suis partie rejoindre Émilie dans la cuisine où elle nous a préparé un bon chocolat chaud pour accompagner les croissants qu’elle a apportés. On s’est assises à table et j’ai commencé à manger mon petit déjeuner tout en caressant mon petit bouton, une mauvaise habitude que j’ai depuis toujours et dont je ne peux me passer. Tous les matins, il me faut ma petite jouissance en déjeunant. Émilie me regardait me caresser en souriant.
   Après cinq minutes, j’ai étouffé mon cri de jouissance dans mon croissant et fini mon bol. Pendant ce temps, Émilie, qui a fini, attend patiemment que j’aie fin, tout en ouvrant un bloc et en sortant un stylo de son sac.    - Tu es prête ma chérie ?    Je grommelle un « oui » peu convaincant.    - Bien, on va commencer par la lettre. Tu me dictes et moi j’écris. Tu es trop mauvaise en orthographe pour le faire toute seule et, en plus, même toi tu n’arrives pas à te relire. 
Mais, si tu veux, on va revoir le profil de ton futur amoureux.    Elle sort son iPad, et démarre le replay de l’émission qu’elle a préparé et calé pile au début de la candidature du bel agriculteur. J’essaye bien de dire que, maintenant que je suis à jeun, il ne me plaît plus, mais elle me connaît trop bien et n’est pas dupe une seconde. Un peu mieux réveillée et à nouveau émoustillée par la vision du beau mâle. Je décide de jouer le jeu. De toute façon, je suis trop jeune, je n’ai aucune chance de l’intéresser.    - Ok, Émilie, j’accepte de faire ma promesse mais, tant qu’à faire un truc inutile et qui n’a aucune chance d’aboutir, on le fait à ma manière et à fond.    Elle me répond :    - Je ne voyais pas les choses autrement, ma chérie. C’est en étant toi-même que tu as le plus de chances d’être sélectionnée. Je suis allée voir sur le site de l’émission : il faut que tu écrives une lettre et que tu joignes entre 3 et 5 photos. Il y a aussi un questionnaire que j’ai trouvé…Très...Indiscret. 
Je te propose de commencer par la lettre ; c’est le plus dur et je t’aiderai à la travailler.    Après un long soupir, je hoche la tête pour lui dire que je suis prête.    «  Mon chéri, Il y a plein de raisons qui vont te convaincre de rejeter ma candidature : notre différence d’âge (j’ai 22ans), mes origines hippies, ma liberté et mon expérience sur le plan sexuel, mon éloignement (je vis à 500km), mon côté geekette,... Mais j’aimerais t’en donner pour te convaincre de me laisser ma chance : je ne suis ni matérialiste, ni intéressée par l’argent; je suis prête à t’apprendre tout ce que je sais sur le sexe et même à découvrir de nouveaux horizons avec toi. Je suis libre et je t’apprendrai la liberté. Je suis toujours gaie et joyeuse et ne rechigne pas à travailler. J’aime mélanger travail et plaisir. Et surtout… J’ai complètement craqué sur toi, sur ton beau visage, sur tes yeux bleus qui semblent voir l’intérieur de mon âme, sur tes beaux muscles, tes grandes mains que je rêve de voir glisser sur mon corps et sur tes lèvres que je rêve d’embrasser et voir se désaltérer entre mes cuisses.    Mais, plus que tout, ta voix grave et rauque a provoqué chez moi des vagues de désir que je ne peux contrôler. Je veux être ta chose et que tu sois la mienne. Je veux que nos corps se touchent et se caressent. Je veux que nos désirs s’additionnent pour nous emmener sur des sommets de plaisir. Je te veux pour moi et je veux te partager. Je veux être à toi et que tu me partages.    A bientôt    Hélène, ta future compagne »    Émilie ouvre de grand yeux.    - Hélène, ben, ma chérie !  Ça, c’est de la déclaration ! Si, avec ça, tu n’es pas sélectionnée, je viens te bouffer la chatte tous les soirs pendant trois mois !   - Pfff ! Même pas vrai ! Ton mari ferait la tête !     Je vois qu’elle se caresse alors qu’elle finit de corriger les fautes en relisant.    - Bon, c’est parfait, on va passer au questionnaire. J’ai déjà répondu pour toi à toutes les questions sans intérêt sur ton état-civil, tes coordonnées,... Il en reste une dizaine, les plus intrusives en fait. J’aurais pu y répondre mais je préfère que ce soit toi.    Elle me lit les questions et note mes réponses.    - Question 10 : êtes-vous hétérosexuelle ou bisexuelle ?  - Bisexuelle.  - Question 11 : Êtes-vous jalouse ?  - Non, bien au contraire, j’aime partager.  - Question 15 : Couchez-vous le premier soir ?  - Bien sûr, pourquoi attendre ?  - Question 16 : Êtes-vous pudique ?  - Non, plutôt l’inverse. - Question 19 : Pour quelle raison voulez-vous rencontrer ce candidat ?  - Parce que j’ai mouillé dès que je l’ai vu à la télé.    Je vous passe les autres questions qui n’ont pas d’intérêt pour cette histoire. Je vois que, bien que me connaissant parfaitement, Émilie commence à être bien excitée. Ses tétons sont tous durs et une fine couche de sueur fait briller sa peau. Je suis moi aussi toute mouillée, mais il reste les photos à faire. On commence par une photo du visage. Je n’ai rien contre me maquiller mais je préfère rester au naturel. Elle prend donc une photo de mon visage. J’essaye de prendre mon air le plus mutin, bien aidée par mes tâches de rousseur. Puis, il faut une photo en pied, je passe une robe blanche (ma préférée) très courte et légèrement transparente, mes tétons pointant fièrement sous le tissu, et je reste pieds nus, me mettant sur la pointe des pieds pour me faire de jolies jambes.    Pour la troisième photo, je me remets nue, dans le jardin et ne fais sortir que mon visage, une épaule et une jambe de derrière un arbre. Pour la quatrième, je m’allonge nue, sur le dos dans l’herbe, un regard effronté tourné vers l’objectif et vers Émilie qui se caresse en prenant les photos. Pour la dernière photo, je dis à Émilie que puisqu’elle m’a réveillée, je dois la punir et que la dernière photo sera le selfie de nous en train de s’embrasser (mais de manière où je suis la seule reconnaissable).    Une fois la dernière photo prise, nous cédons à notre excitation en roulant dans l’herbe, enlacées et bouillantes de désir. Notre baiser est passionné, nos mains partent à la redécouverte de nos corps. Ses mains prennent possession de mes gros seins, nos langues se font fiévreuses dans nos bouches. Je glisse mes mains sur ses fesses, les caresse, un doigt glisse dans le sillon et vient caresser son petit trou.    Émilie abandonne ma bouche et descend lécher et mordiller mes seins, m’arrachant un cri de désir et de plaisir mélangés. Elle les malaxe, les frotte l’un contre l’autre. Son visage glisse entre eux. Mon autre main glisse jusqu’à sa chatte que je trouve trempée, la mouille coule le long de ses cuisses. Je la caresse mais rêve d’y plonger ma langue. Elle doit avoir la même idée car elle s’écarte de moi et se retourne en 69. Sa chatte apparaît au-dessus de mon visage et, sans hésitation, je me jette dessus et la bois à pleine bouche. Hmmmm quelle saveur… Je pourrais la boire pendant des heures…    De manière symétrique, Émilie me rend la pareille et je commence à gémir de plaisir. Ma langue glisse dans les moindres recoins de ses lèvres, pénètre dans l’entrée de son con. Mon doigt revient vers son petit trou, il est trempé de mouille, lui aussi, et le doigt entre tout seul dans cette petite grotte. Émilie est très réceptive de l’anus et se met à crier de plaisir dès que mon doigt entre. Ma langue s’approche de son petit bouton et je commence à le lécher délicatement. Puis je l’emprisonne entre mes lèvres et l’aspire avec gourmandise. Mon doigt entame un va-et-vient dans son anus avant d’être vite rejoint par un second. Émilie devient vite incontrôlable. Ses cris, à peine étouffés par ma chatte qu’elle continue de boire, se font de plus en plus forts.    Je sais qu’elle est tellement excitée que le plaisir va venir très vite, et je n’ai pas envie de la frustrer. Je l’encule donc de plus en plus fort avec mes doigts, tout en massant agilement son petit clito, du bout de ma langue. Émilie ne tient plus, son visage se relève alors qu’un grand cri rauque de jouissance s’échappe de ses lèvres, que son corps se tend comme un arc et que son clitoris, devenu hyper sensible, provoque la fermeture de ses cuisses contre mon visage, m’obligeant à stopper. Elle met de longues secondes avant de se détendre. Ma main se glisse entre mes cuisses et je me caresse sous son nez. Son corps se détend enfin et un long jet d’urine se met à couler sur mon visage.    Instinctivement, j’ouvre la bouche pour la remplir puis je bouge la tête pour que le jet mouille mes cheveux et mon visage. Ajouté aux mouvements de ma main sur mon clitoris, je jouis à mon tour dans un grand gémissement, avalant en même temps la gorgée de pisse que je gardais dans ma bouche. Nous restons comme cela encore quelques secondes, elle pissant sur mon visage et moi faisant durer ma jouissance en continuant de me caresser. J’arrête de jouir quand son jet se tarit. Émilie a beau être une femme mariée, avec moi, elle est toujours aussi libérée, et reste mon amante préférée.    Nous nous relevons. Maman est là. Elle a dû être attirée par nos cris. Elle est nue et, la main entre ses cuisses, elle termine de se faire jouir en nous souriant. Je m’approche pour l’embrasser, sa langue vient aussitôt jouer avec la mienne, accueillant avec plaisir l’odeur de la pisse d’Émilie. Sa main vient ramasser de la mouille sur mon sexe et, s’écartant de moi, elle lèche ses doigts. Émilie s’approche après avoir ramassé son portable, s’approche de ma mère et l’embrasse à son tour dans un baiser passionné.    - Merci, les filles, vous étiez trop belles ! Qu’est-ce qui vous a mis dans cet état ?    Émilie lui répond que je suis tombée en pâmoison devant un bel agriculteur hier à la télé et que nous lui avons écrit une lettre et fait des photos. Maman éclate de rire en disant que s’il nous faisait autant d’effet, elle aimerait bien le rencontrer aussi. Émilie lui répond  « Qui sait... » en lui faisant un clin d’œil.    Puis nous filons dans ma chambre pour imprimer les photos et préparer l’enveloppe. Émilie la prend pour la poster, elle a peur que je me dégonfle sinon. Puis, avant de partir, elle me dit, soudain devenue sérieuse :    - Si ça marche… Tu me promets de le partager avec moi ?    J’éclate de rire en répondant que je comprends mieux son empressement à m’aider. Puis je lui réponds qu’évidemment, j’en serais très heureuse. Émilie se rhabille et, après un dernier baiser, elle part avec la lettre pendant que je décide de finir la journée avec son odeur de pisse et de cyprine sur le corps.    (Fin du premier épisode)
Diffuse en direct !
Regarder son live