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Partie de chasse

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
En Normandie, mon grand-père a une action de chasse dans un domaine privé, ils sont une douzaine d’actionnaires, il m’a proposé de venir avec lui, curieuse, j’ai accepté mais je ne m’attendais pas a y aller à 6h du matin..
Nous voilà au relais de chasse, il fait encore nuit, le propriétaire a prévu une collation traditionnellement, c’est une ancienne longère Normande à colombages, une seule grande salle tout en long comme son nom l’indique, une grande cheminée en bout, il fait bon, le feu crépite déjà, quelques vieux fauteuils et canapés avachis, et une grande table campagnarde au centre de la pièce avec des bancs de chaque coté, garnie de charcuteries diverses et de quelques bouteilles de vin rouge.
A la vue du vin et de la charcuterie j’ai presque un haut de cœur, mais je sens une bonne odeur de café et de pain chaud près de la cheminée, qui me rassurent.Je suis vêtue comme lorsque j’accompagne mon grand-père au centre d’équitation, et que je n’ai pas prévu de monter, une jupe épaisse longue, très en dessous des genoux, couvrant le haut de mes bottes, un gros col roulé, une veste courte en tweed marron assortie à ma jupe, mon gp m’ayant recommandé d’être élégante pour la qualité des participants à cette chasse.
Je suis présentée à l’ensemble des personnes, il n’y a que des hommes, leur regard pesant me fait vite comprendre que je ne leur suis pas indifférente, et, en les parcourant discrètement du regard, je tressaille en voyant l’un des participants à ma prestation au centre équestre cet été, qui me lance un joyeux " comment vas-tu Camille depuis notre dernière rencontre ?"...qui me met mal à l’aise..
Je connais quelques personnes de vue, des amis de mon grand-père et le propriétaire du domaine, un vieux dragueur célibataire, très recherché par les veuves et célibataires, mais notoirement connu pour ses goûts pour de plus jeunes cuisses..
L’on me place au milieu d’un banc, et je commence par devoir lever assez haut les jambes l’une après l’autre pour me glisser entre deux hommes installés qui ne font pas le moindre mouvement pour me faciliter la tâche, les discussions baissent d’un ton le temps de mon installation...bien que ma jupe soit longue, le fait de lever les jambes pour passer le talon de mes bottes par dessus ce banc a dû offrir un bel aperçu de mes cuisses nues juste entre le haut des collants rayés rouge et blanc autofixants, et ma culotte...j’ai dû prévoir la possibilité d’une éventuelle pose pipi dans les bois, et les femmes savent que ce n’est pas pratique de baisser un tas de choses pour faire cela le plus facilement et rapidement possible pour se réajuster...
Bref, pendant un court instant, les conversations se sont un peu étiolées..les pensées sont ailleurs...je me demande s’ils ont parlé de moi avant que l’on arrive, tout le monde était là lors de notre apparition un peu en retard, et l’homme du centre équestre..s’est-il vanté de m’avoir prise à même le sol, nue dans la poussière de la grange?...devant les autres participants...et mon grand-père, m’a t-il fait venir pour agrémenter cette première chasse?...suis-je le gibier?...toutes ces pensées défilent dans ma tête soudainement..
La collation débute, la charcuterie et le vin aidant l’on m’oublie un peu, les exploits de chasse fusent, les éclats de rire aussi, je les laisse en cours avec l’autorisation du maître des lieux, permettant une pose sonore lorsque je dois repasser mes jambes pour sortir du banc, et compte tenu de l’attention soudaine que l’on me porte, une fois la première jambe passée je pose la botte de la seconde sur le banc permettant à une partie de la table d’avoir une superbe vue sur ma culotte, et sans me retourner je vais m’installer dans un vieux fauteuil près de la cheminée et du café.
L’ambiance est bruyante, le vin coule, je me demande ce que ça va donner quand ils vont sortir, mais ils terminent et le propriétaire leur demande de prendre un café avant de partir, et, en bonne jeune fille bien éduquée je sers le café à tous ces Messieurs...passant entre les épaules avec ma cafetière, me tournant tantôt vers celui de gauche appuyant mes fesses contre l’épaule gauche de celui de droite, et me retournant vers celui ci à son tour, la même chose contre l’épaule droite de celui que je viens de servir..un peu pris de cours les premiers n’ont pas réagis, mais les suivants m’attendent avec les mains sur leurs cuisses..passant, à chaque fois que je leur tourne le dos, une main sous ma jupe, n’osant pas aller au fait, mais atteignent brièvement mes cuisses..je ne dis rien, ne fais rien et je continue mon tour de table, des sourires s’échangent entre-eux, je feins de ne rien voir attentive à mon service...Une deuxième tournée de café m’est demandée par le propriétaire, Jean-Marie, je recommence, cette fois les mains deviennent plus audacieuses..elles arrivent de suite au cœur..entre mes cuisses...aussi je fais attention a ne pas les serrer à chaque fois que je me tourne pour servir, je tarde par moment pour prendre soin de ne pas en mettre à coté..permettant aux doigts d’essayer de passer sous la culotte..les conversations sont moins volubiles, et je prends mon temps..tous n’osent pas, mais ils se rendent compte que quelque chose se passe...je termine ma tournée et file aux toilettes, tout ça m’a donné envie d’uriner...songeuse, j’ai envie d’enlever ma culotte, ça y est, mes fesses recommencent à commander ma tête, j’ai pris mon sac à main qui va sûrement rester dans le relais pendant la chasse, je la mets au fond sous tout mon bazar, et me voilà toute excitée en revenant dans la salle, sachant que j’ai les fesses nues sous la jupe, avec mes collants rouge et blanc aux cuisses...hum...s’ils savaient ils me coucheraient de suite sur la table..ma petite chatte est toute humide à cette pensée..
Et nous levons le camps, il fait encore sombre, mon grand-père m’explique que nous devons être à un certain endroit quand le garde chasse donnera du clairon..pas bien saisi mis je suis tout le monde..nous sommes un peu éparpillés en largeur, je traîne un peu derrière, et je constate que certains se laissent un peu distancer pour que j’arrive à leur hauteur..tiens tiens...trois m’abordent tout sourire équivoque, ils doivent faire partie de ceux qui ont réussi à placer leur main entre mes cuisses..conversation anodine...deux se sont placés derrière moi, et pendant que le troisième me fait la conversation, je sens que l’on lève ma jupe derrière, je regarde et l’un des deux remonte ma jupe du bout du canon de son fusil et constatant que je n’ai plus de culotte siffle d’admiration..mon voisin passe derrière aussi..tous trois sont derrière et regardent mes fesses qui bougent au rythme de mes pas, je continue à marcher comme si de rien n’était, ils ne peuvent rien, les autres sont devant pas loin..
Je m’amuse de cette situation..les trois restent derrière moi, et regardent mes fesses nues, et je sais que mes collants fixés à mi-cuisses pimentent énormément le coté érotique de la situation...Je sursaute..le bout du canon glacé est appuyé contre mes fesses..j’arrête de marcher, derrière le canon descend jusqu’à mes cuisses et remonte entre elles...j’écarte un pieds...il est appliqué contre ma chatte...il me frotte doucement...il va et vient contre mes lèvres...prêt d’un arbre je me penche un peu en m’appuyant dessus...je mouille...il pousse le canon à l’entrée de ma chatte...doucement...je peux pas comme ça...et les autres où sont-ils?...je cambre encore plus mes fesses pour qu’il entre le canon sans me faire mal...il entre un peu..il le sort et joue avec en le passant sur mes lèvres...revient, entre l’extrémité...mais les autres s’étonnent, on nous appelle, ils sont hors de vue, je me redresse et replace ma jupe..
Nous repartons pour rejoindre les autres qui reviennent déjà à notre rencontre, nous voyant tous les quatre, quelques allusions ne manquent pas...et ma gêne devant les rires vainqueurs des trois hommes ne font que confirmer qu’il s’est passé quelque chose...Il fait toujours sombre et nous entrons dans une zone plus dense, là ne vois presque plus rien..je dois regarder mes pieds pour éviter de tomber, je n’ai pas de torche, quelques uns en ont mais ils sont devant, je bute sur une racine d’un gros arbre et je vais tomber lorsqu’un bras m’attrape par la taille mais je l’emmène avec moi et nous tombons tous les deux au sol, et lui sur moi...je crie il m’écrase et de plus j’ai très mal à une cheville...les autres s’approchent avec leurs torches et m’éclairent les jambes, assise par terre j’ai ramené vers moi ma cheville douloureuse pour la frotter, mais dans cette action ma jupe est descendue jusqu’aux fesses et avec une jambe allongée au sol et l’autre pieds ramené près de moi, la vue qu’ils éclairent c’est aussi ma chatte nue...je n’y prête pas vraiment attention toute à ma souffrance...mais leur silence me surprend, je les regarde, et je comprends....je rabats ma jupe, mais c’est trop tard, ils ont tous vu..la jeune fille qui ne mets pas de culotte pour aller chasser avec des hommes..certains savaient déjà que j’étais un peu coquine, mais là...l’un s’accroupit pour regarder ma cheville..dans cette position je vois la bosse de la braguette...pendant qu’il touche ma cheville je ne peux cesser de regarder ce membre emprisonné..il est gros..
Je m’aperçois qu’il me regarde et où je regarde..il prend ma main et la pose sur sa braguette, je le laisse faire..il bouge ma main sur sa braguette...il est dur...je n’ose pas lever les yeux vers les autres..mais je veux la voir et je déboutonne son jean..les autres éclairent bien la situation, il y a bien 5 torches qui nous éclairent, éblouie par toute cette lumière je ne vois pas leur visage..je sors sa queue...elle se libère...belle...dure...je la branle aussitôt...il a lâché ma cheville et me regarde faire, un autre nous rejoint et repousse ma jupe comme elle était auparavant, à la taille...à genoux à coté de moi il commence à me caresser la chatte.. le silence est pesant, l’on entend que les oiseaux de la forêt..Le second me branle bien et je commence à respirer plus fort..j’ai chaud...un troisième s’approche de l’autre coté et sort sa verge, il la place près de mon visage...tourne ma tête et touche ma bouche avec son gland...il ne force pas, mais au point où j’en suis, j’ouvre le bouche...il manœuvre seul dans celle-ci, ma main droite branle le premier qui s’est un peu avancé, la main gauche a sorti la queue de celui qui me doigte à trois doigts maintenant, écartée, ouverte à tout, je me laisse aller en arrière contre le tronc d’arbre...emmenant avec moi les deux verges dans mes mains ainsi que celle dans ma bouche, fesses nues jusqu’à la taille..en pleine lumière...l’on entend les souffle lourds des hommes qui regardent...presque silencieux, mais Jean-Marie intervient rompant le charme de la situation, en disant; "" bon, et bien ma petite, tu l’as cherché, et c’est pas ton grand-père qui dira le contraire, tu vas avoir ce que tu mérites et pas la peine de crier, on ne t’entendra pas ici! ""
Et pour les autres, il leur dit; "" éteignez vos torches les gars, on ne sait jamais quand même, il ne faut pas que l’on nous voit avec ce qu’on va faire avec la gamine, on ne sait jamais, il suffit que des bracos trainent par là...ils pourraient nous faire des problèmes...""
Nous voilà dans l’obscurité...pas totale, mais presque, avec tous ces arbres je ne vois que des formes et encore, entre deux arbres sinon je ne distingue pas les personnes...tout le monde m’a lâchée, je suis toujours assise par terre, deux ou trois se baissent et attrapent ma veste, me l’ôtent puis continuent avec le pull, le soutien, puis enlèvent totalement la jupe, et me laisse mes bottes et les collants , les affaires sont allongées par terre comme pour me faire une couverture, nue, ils me poussent pour que je m’allonge dessus, un de chaque coté à genoux m’écartent les cuisses et me les retiennent un bras passé dans le creux de chaque genoux..." au premier!...." lance l’un d’eux...
Mon grand-père passe le premier, je ne le vois pas bien mais je reconnais sa voix quand il me traite de salope...il entre facilement son sexe bien que mou...déjà mouillée à cause de celui qui me doigtais précédemment, il entre et commence de suite à s’exciter...il ne va pas durer, je le sais, mais il a envie..il jouit en moi en maugréant comme d’habitude de jouir trop vite...tenue écartée je ne peux qu’accepter le second, puis le troisième, jusqu’au douzième, pas jeune toute la bande...ils se soulagent tous rapidement...reprise a chaque fois sans que l’un d’eux soit resté suffisamment longtemps... je n’ai pas jouit...bien souvent pas très loin..
Jean-Marie, annonce la deuxième phase....ils me lèvent et me maintiennent contre l’arbre, ...debout...les deux mêmes me tiennent pour que je reste là...Jean-Marie rallume sa torche pour éclairer ma chatte, il sort de son sac une corne de chasse en corne, courbée, il enlève l’embout de métal, présente ce coté là, le plus fin, devant ma chatte et enfonce doucement la corne dedans...elle est évasée et elle ressort mais ils la maintiennent bien qu’ils l’ont bien enfoncée au moins de 15 cm...ça me fait des choses...maintenant ils me retournent face à l’arbre et me plaquent le bassin contre pour que la corne reste dans mon vagin, je comprends, il me dit de rester comme ça appuyée...j’obéis...
Il arrive derrière moi et place sa queue contre l’anus, il est dur, le premier passage les a soulagé, et là il est dur...le sperme des 12 passages qui a coulé entre mes fesses lorsque j’étais allongée facilite sa pénétration...et une fois bien entré dans mes fesses, il y va sans ménagement, et, à chaque coup, la corne entre, poussée par l’arbre, et de par sa forme à chaque retour elle ressort un peu mais vite repoussée par la pénétration suivante..., et il continue, il m’encule brutalement...la corne n’entre pas entièrement, le plus gros diamètre la stoppe heureusement, mais une grande partie grosse entre et sort sans arrêt..et revient....à ce train là je commence à gémir rapidement....les deux pénétrations en même temps ainsi que le relâchement me procurent un intense plaisir que je ne peux dissimuler....je commence à crier...il jouit au fond de mes fesses....
Un autre prend mes fesses, mes seins....là, le sperme du précédent bien au fond coule mais lubrifie aussi.....et il entre d’un coup...heureusement qu’il n’est pas très gros....il y va de suite, et la corne que l’on m’avait retenue un moment s’enfonce à nouveau dans ma chatte, les va et vient coordonnées des deux cotés m’excitent terriblement..je commence à délirer...ils ne veulent plus éteindre leurs torches, ils m’entourent pour mieux jouir du spectacle, devant, sur les cotés, derrière partout....voir cette corne appuyée contre l’arbre qui entre et sort de ma chatte, la queue en même temps entre mes fesses, une gamine nue, juste en bottes et collants rouges et blancs autofixants aux cuisses...je vais jouir...et ce n’est que le deuxième, sur la pointe des pieds je plaque mon bassin les cuisses écartées contre cet arbre...comme si je voulais le faire entrer dans ma chatte...je veux maintenir cette corne le plus enfoncée possible....mes lèvres sont écartées au possible, appuyée ainsi la grosse partie de la corne est enfoncée jusqu’à l’entrée de ma chatte...je jouis par accoups...je gémis comme une chienne....je me tords les seins, je voudrais qu’on me tripote, me serre, me sodomise encore contre cet arbre...il jouit...la tension se relâche..je reste appuyée contre cet arbre un instant puis je me laisse glisser au sol..j’ai froid...je repasse mes vêtements, personne n’ose me l’interdire..je me lève et leur dis que je reviens au relais de chasse et que je les y attendrais...
( à suivre)
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